Moyenneville (Oise)
Moyenneville est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Moyennevillois et les Moyennevilloises.
Pour les articles homonymes, voir Moyenneville.
Moyenneville | |||||
La gare et la distillerie au début du XXe siècle. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Plateau Picard | ||||
Maire Mandat |
Didier Ledent 2020-2026 |
||||
Code postal | 60190 | ||||
Code commune | 60440 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Moyennevillois, Moyennevilloises | ||||
Population municipale |
620 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 86 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 29′ 29″ nord, 2° 38′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 55 m Max. 100 m |
||||
Superficie | 7,19 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Estrées-Saint-Denis | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | www.moyenneville.fr | ||||
Géographie
Localisation
Moyenneville est une commune située à 73 km au nord de Paris, 41 km à l'est de Beauvais, 16 km à l'ouest de Compiègne et à 51 km au sud d'Amiens[1].
Topographie et géologie
Moyenneville est une commune située aux confins du plateau Picard et de la plaine d'Estrées-Saint-Denis au sud. Le territoire], établi principalement sur le versant méridional de la vallée de l'Aronde, est entaillé de plusieurs vallons tel les vallées de Beaupuits et des Cordeliers au sud. Son point le plus élevé culmine à 100 mètres d'altitude à l'ouest tandis que le point le plus bas se situe au débouché de l'Aronde sur la commune de Neufvy à 55 mètres. L'église se situe à 67 mètres, le cimetière à 80 mètres et le moulin à eau à 59 mètres au-dessus du niveau de la mer[2]. La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire faiblement exposée aux risques de tremblement de terre. La présence de caves a occasionné quelques effondrements de terrains[3].
Hydrographie et eau potable
La commune est traversée l'Aronde, sous-affluent de la Seine, prenant sa source à Montiers et confluent avec l'Oise à Clairoix. Son lit forme une zone marécageuse parcourue de fossés et cressonnières. Un cours d'eau temporaire s'écoule depuis la vallée de Beaupuits et rejoint ce marais. Le territoire dispose également d'un château d'eau et de plusieurs stations de pompage des eaux. Le village conserve une mare sur la place principale et un moulin à eau subsiste toujours sur l'Aronde[2]. Les zones plus basses du terroir sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[4].
Voies de communications, transports et liaisons douces
La commune est traversée par quatre routes départementales : la D 26, la D 37, la D 73 et la D 531. La route départementale 37, de Breuil-le-Sec à Gournay-sur-Aronde en forme l'axe majeur. Elle traverse le village par les rues de la Libération, Eugène-Boullanger et de Gournay, d'où l'on peut rejoindre la route départementale 1017, ancienne route des Flandres. La route départementale 26, débute depuis la D 73 au nord du village pour rejoindre Verberie, via Remy notamment. Elle passe au moulin à eau de l'Aronde puis par les rues du Jeu-de-Paume et des Cordeliers. La route départementale 73, de Maignelay-Montigny à Villers-sur-Coudun traverse le territoire par la rive gauche de l'Aronde, sans traverser le village par Wacquemoulin. Enfin, la route départementale 531 se détache de la D 37 après le pont sur la ligne d'Amiens à Compiègne par la rue des 14-Mines-du-Roy en rejoignant Grandvillers-aux-Bois[2].
La ligne ferroviaire d'Amiens à Compiègne, officiellement d'Ormoy-Villers à Boves traverse la commune du nord au sud. De 1883 aux années 1980, le village disposait de sa propre gare, aujourd'hui transformée en habitation. Depuis, la desserte SNCF la plus proche est la halte de Wacquemoulin à 2 km à l'est sur la même ligne. La gare d'Estrées-Saint-Denis, davantage fréquentée, se situe à 7 km au sud-est[1].
La commune dispose de plusieurs dessertes de transports en commun. Elle est desservie par le réseau ATRIOM du Compiégnois du conseil général de l'Oise par deux lignes de car départementaux (ligne 48 et 49 à destination de Compiègne et Francières) ainsi que par une ligne de transports scolaires vers le collège d'Estrées-Saint-Denis[5]. La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des huit points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[6]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal a été mise en place avec les communes de Gournay-sur-Aronde et Neufvy-sur-Aronde[[7].
L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 38 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 54 km au sud[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Godenvillers », sur la commune de Godenvillers, mise en service en 1937[14] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 38 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels
Hormis les espaces bâtis couvrant 42 hectares pour 6 % de la surface communale, le territoire comprend 84 % d'espaces cultivés sur plus de 605 hectares ainsi que 4 hectares de vergers et de prairies. Les espaces boisés situés dans le fond des vallées marécageuses totalisent 64 hectares soit 9 % de la superficie[21],[2].
La vallée de l'Aronde constitue une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[22] intégrée au réseau de cours d'eau salmonicoles du plateau picard entre Beauvais et Compiègne. Cet espace naturel protégé forme un corridor écologique potentiel[23].
Urbanisme
Typologie
Moyenneville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[27],[28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,6 %), zones urbanisées (6,8 %), forêts (6,5 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[30].
Politique et administration
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].
En 2018, la commune comptait 620 habitants[Note 7], en diminution de 0,48 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (15,2 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,3 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 49,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,8 %, 15 à 29 ans = 17,1 %, 30 à 44 ans = 26,7 %, 45 à 59 ans = 18,1 %, plus de 60 ans = 15,3 %) ;
- 50,3 % de femmes (0 à 14 ans = 25,4 %, 15 à 29 ans = 14,8 %, 30 à 44 ans = 25,7 %, 45 à 59 ans = 19 %, plus de 60 ans = 15,1 %).
Lieux et monuments
Économie
Moyenneville est dotée de plusieurs entreprises de différents secteurs : des agriculteurs, une entreprise de travaux agricoles, des cressonnières, une épicerie, une entreprise de travaux publics...
Vie associative
Il y existe une activité associative : sport, culture...
Personnalités liées à la commune
- Jean Antoine Leclercq « de Lannoy », né à Moyenneville (Vermandois) le , mort à Nesle (Somme) le [41], était « laboureur, propriétaire de la seigneurie de Lannoy [42], y demeurant, bailliage de Chauny ». Avant la Révolution, il était Commissaire des guerres. Il fut élu, le , député du tiers état aux États généraux par le bailliage de Vermandois. Il opina silencieusement avec la majorité de l'Assemblée[43]. Après la dissolution de la Constituante il se retire à Ercheu et à Nesle et n'a plus de vie publique [44].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 29 juin 2018)..
- « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Moyenneville », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
- « Transports en commun à Moyenneville (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
- « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard », sur Oise Mobilité (consulté le ).
- « Navette de regroupement pédagogique intercommunal », sur Oise mobilité (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Godenvillers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Moyenneville et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Godenvillers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Moyenneville et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Larris et Bois de Mont, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- « Corridors écologiques potentiels sur la commune de Moyenneville », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
- « Plateau picard : voici le visage de vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283, , p. 21.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Moyenneville en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Les objets classés de l'église Saint-Martin sur la base Palissy
- Jumelages avec Moyenneville
- « Leclerc de Lannoy (Jean-Antoine) », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition] [texte sur Sycomore], par erreur place sa mort à Moyenneville en février voir Tables décennales de Nesle où il apparaît et l'État-civil de Moyenneville où il n'apparaît pas
- à Ercheu, qu'il avait acquis en 1777 pour 63 000 livres, voir François de Boisdeffre "Autour des Fernet et des Cambronne" www.lulu.com 2010
- « Leclerc de Lannoy (Jean-Antoine) », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition] [texte sur Sycomore].
- François de Boisdeffre "Autour des Fernet et des Cambronne" www.lulu.com 2010
- Portail de l’Oise
- Portail des communes de France