Clairoix
Clairoix (prononcé [klɛ.ʁwa]) est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Clairoix | |||||
![]() Vue sur le village depuis les hauteurs. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CA de la Région de Compiègne et de la Basse Automne | ||||
Maire Mandat |
Laurent Portebois 2020-2026 |
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Code postal | 60280 | ||||
Code commune | 60156 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Clairoisiens, Clairoisiennes | ||||
Population municipale |
2 190 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 466 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 26′ 35″ nord, 2° 50′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 31 m Max. 141 m |
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Superficie | 4,7 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Compiègne (banlieue) |
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Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Compiègne-1 | ||||
Législatives | 6e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.clairoix.fr/ | ||||
Géographie
Localisation

Situé aux confins du Valois et de la Picardie, ce bourg d’environ 2 000 habitants et de 470 hectares, limitrophe de Compiègne, garde un certain cachet rural. Le village s’étale au pied d’une colline culminant à 155 m d’altitude, le mont Ganelon. Une rivière, l’Aronde, traverse Clairoix, le confluent de l’Oise et de l’Aisne en est à la limite. La ligne de chemin de fer Paris-Maubeuge, et deux axes routiers, la nationale 31 et l’ex-nationale 32, bordent la partie la plus ancienne.
Historiquement, le mont Ganelon a toujours eu une grande importance pour Clairoix, qui a exploité ses terres, ses sources, ses vignes, ses carrières, ses bois, etc. C’est sans doute la position stratégique de cette butte, près du confluent de deux grandes rivières, qui est à l’origine de la création du village.
Jusqu’à ces dernières décennies, Clairoix est une commune essentiellement rurale. À part des minoteries et des tuileries-briqueteries, peu d’entreprises de production s’y implantent avant le XXe siècle. Le site industriel le plus important de la commune est l’usine de pneumatiques Continental (antérieurement Englebert, puis Uniroyal), qui faisait suite à une éphémère filature de soie artificielle[1], [2], et qui a fermé en 2010[3] après un important conflit social[4]. Le bourg a surtout une vocation résidentielle.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Margny-les-Compiègne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne, mise en service en 1994[11] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 662,2 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 49 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[15] à 10,3 °C pour 1981-2010[16], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Clairoix est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Compiègne, une agglomération intra-départementale regroupant 14 communes[21] et 70 699 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[24],[25].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (38,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (38,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (24,7 %), terres arables (23,8 %), zones urbanisées (18,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (15,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), prairies (6 %), eaux continentales[Note 7] (2,6 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].
Histoire

Le village est marqué notamment par le passage de Jeanne d'Arc, qui y serait restée une nuit sous la garde de Jean II de Luxembourg-Ligny (Jehan de Luxembourg) : une plaque commémorative a été créée en 1930.
Politique et administration

Distinctions et labels
Ville fleurie : une fleur attribuée en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[31]. Une deuxième fleur attribuée en 2009.
Démographie
- Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2018, la commune comptait 2 190 habitants[Note 8], en augmentation de 3,69 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
- Pyramide des âges en 2007
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,1 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,9 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 50,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,5 %, 15 à 29 ans = 19,3 %, 30 à 44 ans = 19,2 %, 45 à 59 ans = 25 %, plus de 60 ans = 18 %) ;
- 49,1 % de femmes (0 à 14 ans = 16,7 %, 15 à 29 ans = 17,2 %, 30 à 44 ans = 22,2 %, 45 à 59 ans = 23,6 %, plus de 60 ans = 20,3 %).
Économie
La ville abrite une des deux usines de pneumatiques du groupe allemand Continental AG[38]. L'usine est spécialisée dans la production de pneu tourisme. En 2007, confrontée à un ralentissement de son activité et pour sauvegarder la compétitivité de la division pneu tourisme et camionnette, la direction du groupe veut faire baisser de 8 % le coût de sa masse salariale en faisant passer le temps de travail de 35 à 40 heures avec une hausse de salaire de 92 euros. L'usine de Clairoix qui emploie 1 113 salariés accepte le compromis contre la promesse que le site sera maintenu et ses carnets de commandes remplis jusqu'en 2012. Mais Continental annonce le mercredi 11 mars 2009 la fermeture du site de production. Après des recours juridiques, l'usine ferme le 31 mars 2010[39]. Le 30 septembre 2014, la cour d'appel d'Amiens invalide le motif économique des licenciements de 683 anciens salariés de l'usine de Clairoix et condamne le groupe « à payer à chacun des salariés les dommages et intérêts qui leur ont été alloués par les jugements confirmés »[40] (soit 30 à 36 mois d'indemnités selon les salarié). L'argument de l'équipementier qui expliquait avoir déployé 200 millions d'euros pour reclasser les salariés n'a pas porté[41].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments


Clairoix compte un monument historique sur son territoire :
- Église Saint-Étienne (inscrite aux monuments historiques par arrêté du [42]) : Elle a probablement été construite à partir du début du XIIIe siècle, mais les profonds remaniements à partir du XVIe siècle et la simplicité de son architecture ne permettent plus de reconstituer avec certitude l'évolution de l'édifice au fil des siècles. Ainsi, l'on ignore si les bas-côtés de la nef ont jamais été mis en œuvre, et comment s'explique l'enchevêtrement d'éléments gothiques et Renaissance sur l'étage de beffroi du clocher, qui se distingue du reste de l'édifice par son élégance, et n'a pas son pareil dans les environs. Il paraît seulement probable que l'actuelle croisée du transept était initialement une première travée droite du chœur, et que les actuels croisillons n'ont été ajoutés qu'à la période gothique flamboyante. Sous cette même campagne, toutes les voûtes sont refaites. Leurs clés de voûte délicatement sculptées font le principal intérêt de l'intérieur de l'église, hormis le mobilier. La clé de la base du clocher affiche les trois croissants d'Henri II, et renseigne ainsi sur la période de l'achèvement des remaniements flamboyants, au milieu du XVIe siècle. Le portail, de pure style Renaissance, est plaqué devant la façade un peu plus tard. Puis, au milieu du XVIIe siècle, un pilier du clocher est refait, ainsi que les supports des voûtes à l'ouest de l'ancien transept. Comme l'indique un départ de voûtes dans l'angle entre nef et ancien croisillon sud, le voûtement ou la construction des bas-côtés est encore à l'ordre du jour. Mais au début du XIXe siècle, il n'y a déjà plus (ou toujours pas) de bas-côtés, et les arcades reliant la base du clocher aux anciens croisillons du transept se trouvent bouchées[43].
On peut également signaler :
Parmi les autres édifices remarquables de Clairoix figurent la « villa Sibien » (siège de l’ADAPEI de l’Oise), la propriété de Comminges (centre d’accueil de loisirs de la RATP), le Clos de l’Aronde, l’actuelle mairie, qui a hébergé quelques familles illustres comme celles d’Hervé Clérel de Tocqueville, de Joseph Pinchon (dessinateur de Bécassine), ou de Louis Duval-Arnould.
L’Aronde a longtemps fait tourner cinq moulins à eau, associés à d’importantes bâtisses devenues petit à petit, au XIXe siècle, des propriétés privées. Le village garde un moulin à eau, le moulin Bacot, ainsi que le moulin de Froisselle (dont l'activité a cessé en 1955)[44].
Personnalités liées à la commune
- Jeanne d'Arc, qui aurait passé une nuit de captivité à Clairoix, juste après sa prise devant Compiègne.
- Joseph Porphyre Pinchon, artiste illustrateur, dessinateur notamment de Bécassine[45].
- Hervé Clérel de Tocqueville, père d'Alexis de Tocqueville[46].
- Louis Duval-Arnould, député de Paris.
Héraldique
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Les armes de Clairoix se blasonnent ainsi : D’azur au chevron vivré renversé d'argent, accompagné en chef d'une épée posée en pal surmontée d’une couronne et accosté de deux fleurs de lys le tout d’or ; et deux coquilles du même en pointe (au chef d’or chargé du nom de la commune en lettres capitales de sable). |
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Voir aussi
Bibliographie
- Philippe Bonnet-Laborderie et François Callais, Entre rivière et forêts, la communauté compiégnoise : Clairoix, Beauvais, G.E.M.O.B., coll. « Villes d'art de l'Oise et de la Picardie », , 192 p. (ISSN 1255-0078), p. 34-41
- Rémi Duvert, Clairoix : patrimoine, histoire et vie locale, 2005, association AHPC, 132 p.
Articles connexes
- Église Saint-Étienne de Clairoix
- Gare de Choisy-au-Bac (halte ferroviaire fermée en 2011)
- Liste des communes de l'Oise
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Rémi Duvert, La filature de soie de Clairoix (Oise), Clairoix, Association « Art, Histoire et Patrimoine de Clairoix », coll. « Collection « Les notices historiques clairoisiennes » », , 20 p. (lire en ligne).
- « La filature de viscose La Soie de Compiègne ; puis usine de pneumatiques Englebert, puis Uniroyal, actuellement Continental », notice no IA60001112, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Continental cède à Sita le site de Clairoix », Challenges, (lire en ligne).
- « Usine Continental de Clairoix : la chronologie des faits : Mois après mois, l'évolution de la lutte des salariés de l'usine Continental de Clairoix dans l'Oise. », Métronews, (lire en ligne).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Clairoix et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Clairoix et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Compiègne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Les maires de Clairoix », FranceGenWeb (consulté le ).
- « Bientôt des élections partielles », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Frederika Guillaume, « Laurent Portebois réélu maire avec 18 voix sur 19 », Oise Hebdo, no 1369, , p. 16 (ISSN 1774-6418).
- « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise, .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Clairoix en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- 40 heures, sinon rien, Nathalie Brafman, 31 juillet 2007, page 3
- Sylvia Zappi, « Compétitivité-emploi, sauvetages et duperies », sur lemonde.fr, .
- « Continental Clairoix. Les licenciements invalidés en appel », sur ouest-france.fr, .
- « Le licenciement économique des "Contis" invalidé par la cour d'appel », sur franceinfo.fr, .
- « Église Saint-Étienne », notice no PA00114597, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Philippe Bonnet-Laborderie et François Callais, Entre rivière et forêts, la communauté compiégnoise : Clairoix, Beauvais, G.E.M.O.B., coll. « Villes d'art de l'Oise et de la Picardie », , 192 p. (ISSN 1255-0078), p. 36-38.
- « Le moulin à farine, dit Moulin de Froisselle », notice no IA60001118, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Site J.P.Pinchon - page d'accueil
- Alexis de Tocqueville 1805 - 1859
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