Montigny-lès-Cormeilles

Montigny-lès-Cormeilles est une commune française, située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Montigny.

Montigny-lès-Cormeilles

La promenade des Impressionnistes.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Argenteuil
Intercommunalité Communauté d'agglomération Val Parisis
Maire
Mandat
Jean-Noël Carpentier
2020-2026
Code postal 95370
Code commune 95424 (ex 78424)
Démographie
Gentilé Ignymontains, Ignymontaines
Population
municipale
21 638 hab. (2018 )
Densité 5 316 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 59′ 00″ nord, 2° 11′ 00″ est
Altitude 130 m
Min. 61 m
Max. 168 m
Superficie 4,07 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Herblay-sur-Seine
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Montigny-lès-Cormeilles
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Montigny-lès-Cormeilles
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Montigny-lès-Cormeilles
Liens
Site web montigny95.fr

    Tout comme ceux de Montigny-le-Bretonneux dans les Yvelines, ses habitants se nomment les Ignymontains et Ignymontaines[1].

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    La commune a une superficie de 407 hectares dont 10 de forêts aménagées ou en cours d'aménagement. Les communes limitrophes sont Cormeilles-en-Parisis, La Frette-sur-Seine, Franconville, Herblay-sur-Seine, Pierrelaye, Beauchamp et Le Plessis-Bouchard.

    Le vieux village est situé sur le versant nord /nord-ouest des buttes du Parisis qui sont formées de marne argileuse et de sables de Fontainebleau. Certaines rues et chemins du vieux village ont une pente très forte, surtout sur la face ouest qui descend vers la RD 392.

    Les voies routières les plus importantes en trafic qui traversent la commune sont l'autoroute A15 (2×3 voies), la départementale 14 qui traverse une importante zone commerciale et la départementale 392.

    Deux gares SNCF desservent la ville : la gare de Montigny - Beauchamp (Réseau Nord et RER C) et celle de La Frette - Montigny (réseau Saint-Lazare).

    Climat

    Montigny-lès-Cormeilles comme toute l'Île-de-France est soumise à un climat océanique dégradé. La localisation de la commune au sein de l'agglomération parisienne provoque une très légère élévation de la température d'un ou deux degrés en fonction des conditions climatiques par rapport aux zones rurales d'Île-de-France. Cet écart est particulièrement notable au lever du jour par temps calme et anticyclonique, et la situation a tendance à s'accentuer au fil des années. La température moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec +4 °C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec +19 °C (moyenne journalière). Le nombre moyen de jours où la température dépasse 25 °C est de 40, dont 8 au-delà de 30 °C. Dans le Sud du Val-d'Oise, depuis 1955, la durée moyenne annuelle d'ensoleillement est de 1 719 heures[4].

    MoisJanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures maximales moyennes (°C). Tg 6 7 11 14 18 21 24 24 21 15 9 7 14,8
    Températures minimales moyennes (°C) 1 1 3 6 9 12 14 14 11 8 4 2 7,1
    Températures moyennes (°C) 4 4 7 10 14 17 19 19 16 12 7 5 11,2
    Source : Climatologie mensuelle - Aéroport de Roissy, France[5]

    Urbanisme

    Typologie

    Montigny-lès-Cormeilles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[9] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[12],[13].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Montigneium juxta villam de Cormellis en 1200[14], Montiliacus[14], Montiniacus[14], Montignacum en 1207[14] au XIIIe siècle[15].

    Albert Dauzat[16] et à sa suite Ernest Nègre assignent une même origine à tous les Montigny, qui viendraient d'une même forme *Montaniacum : le nom de personne roman *Montanius auquel on a adjoint le suffixe d'origine gaulois -acum. Il s'agirait donc du nom d'un domaine rural de l'ancienne Gaule[17], et la première attestation de Montigny-lès-Cormeilles remonterait à l'an 862 sous la forme Montiniacus. Même opinion chez Marie-Thérèse Morlet qui cite nommément Montigny-les-Cormeilles[18]. Le fait de savoir si tel ou tel *Montaniacum est formé sur un anthroponyme (« domaine de Montanius ») ou sur un nom commun (« domaine montagneux »), l'un et l'autre dérivé de mons peut néanmoins être source de discussion. Le fait que le vieux village soit situé sur la butte de Cormeilles (parfois appelée La Montagne), est un élément à prendre en compte et Michel Roblin y voit un dérivé du bas latin montanea « montagne » suivi du suffixe -acum au sens locatif qu'il possède à l'origine[19].

    La liaison lès signifie « près de » et se rapporte à Cormeilles-en-Parisis qui est le chef-lieu de canton de Montigny-lès-Cormeilles. L'élément Cormeilles quant à lui est dérivé du nom du cormier, un arbre très commun sur la butte très justement appelée « Butte de Cormeilles ».

    Histoire

    Charlemagne a cédé Montigny à l'abbaye de Saint-Denis qui en a conservé la propriété jusqu'à la Révolution.

    Montigny a été source d'inspiration pour certains peintres, par exemple Jean-Baptiste Camille Corot, qui a peint l'auberge Corot (aujourd'hui un espace destiné à accueillir des expositions) située sur la place de l'église, ou encore Maurice Utrillo.

    Politique et administration

    En 1922, la commune de Beauchamp est créée par détachement de parties des territoires de celles de Pierrelaye, Taverny et de Montigny-lès-Cormeilles[20].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du [21], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise après un transfert administratif effectif au .

    Initialement rattachée à l'arrondissement de Pontoise du Val-d'Oise, Montigny-lès-Cormeilles fait partie de l'arrondissement d'Argenteuil en 1976.

    Pour l'élection des députés, la commune est intégrée depuis 1988 à la troisième circonscription du Val-d'Oise.

    Elle faisait partie de 1793 à 1964 du canton d'Argenteuil, année où elle intègre le canton de Cormeilles-en-Parisis de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au nouveau canton d'Argenteuil puis, en 1976, au canton de Cormeilles-en-Parisis[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la ville est désormais intégrée au canton d'Herblay-sur-Seine.

    La commune fait partie de la juridiction d’instance de Sannois, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[réf. nécessaire].

    Intercommunalité

    Montigny-lès-Cormeilles était membre fondateur de la communauté de communes du Parisis, créée fin 2005 et transformée fin 2010 en communauté d'agglomération sous le nom de communauté d'agglomération du Parisis.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment « l'extension du périmètre de la communauté d'agglomération Le Parisis aux communes de Frépillon, Saint-Leu-la-Forêt, Le Plessis-Bouchard, Ermont et Eaubonne[22] ».

    En conséquence est créée le la communauté d'agglomération Val Parisis dont est désormais membre la commune.

    Tendances politiques

    Au second tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, la liste MUP-PS menée par le maire sortant obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 894 voix (50,10 %, 25 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), battant de justesse (12 voix) celle UMP-UDI-MoDem menée par Modeste Marques, qui a obtenu 2 882 voix (49,90 %, 8 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
    Lors de ce scrutin, l'abstention s'est élevée à 47,07 %[23].

    Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, la liste MdP-LREM-PS-UÉ-GÉ menée par le maire sortant Jean-Noël Carpentier remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 421 voix (54,49 %, 27 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant largementa celle DVD menée par Modeste Marques  qui avait bénéficié de la fusion de la liste SE du premier tour menée par Jeanne Docteur  qui obtient 2 022 voix (45,50 %, 8 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire. Lors de ce scrutin marqué par la crise de la Pandémie de Covid-19 en France, 61,90 % des électeurs se sont abstenus[24],[25],[26].

    Le candidat battu Modeste Marques a contesté, comme en 2014, le résultat de ces élections, alléguant « une campagne délétère », « des irrégularités commises dans les bureaux de vote » et « une utilisation des moyens de la commune pour faire campagne pour monsieur Carpentier[27] ». Ces griefs sont rejetés par le tribunal administratif en mars 2020, qui juge que les points soulevés n'étaient pas de nature à annuler les élections, et confirme la régularité de l'élection[28]

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 octobre 1947 Robert Ménière PCF  
    octobre 1947 mars 1959 Paul Metten    
    mars 1959 mars 1965 Marcel Tache    
    mars 1965 mars 1971 André Clement    
    mars 1971 mars 1977 Robert Mulot[30]   Chef d'entreprise
    Ancien vice-président du tribunal de commerce de Bobigny
    mars 1977 mars 2009[31],[32] Robert Hue PCF puis MUP Infirmier
    Secrétaire général puis président du PCF (1994 → 2003)
    Conseiller général de Cormeilles-en-Parisis (1988 → 2001)
    Député du Val-d'Oise (5e. circ) (1997 → 2002)
    Sénateur du Val-d'Oise (2004 → 2017)
    Démissionnaire
    mars 2009 En cours
    (au 11 février 2021)
    Jean-Noël Carpentier[33] PCF puis MdP Cadre du secteur privé
    Député du Val-d'Oise (3e circ.) (2012 → 2017[34])
    Réélu pour le mandat 2020-2026[35],[36]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[37],[Note 3]

    En 2018, la commune comptait 21 638 habitants[Note 4], en augmentation de 6,55 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +3,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    280369347376464581472487538
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    505526581577682781806705811
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7918581 0591 4562 2012 8523 1803 1664 158
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    5 5557 0228 28813 64417 01217 18318 93519 44220 927
    2018 - - - - - - - -
    21 638--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Une source fut exploitée en affermage jusque dans les années 1980 dans le village même, avec embouteillage et commercialisation du produit. Elle a été fermée à cause d'un manque de mise aux normes et de la vétusté des installations et du bâtiment qui a été démoli. Les travaux ont coûté ~2 millions €.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Martin.

    Aucun monument historique classé ou inscrit n'est présent sur le territoire communal.

    On peut néanmoins signaler !

    • Manoir Plisson, rue Fortué-Charlot : cette villa de la fin du XIXe siècle abrite la mairie depuis 1939[39].
    • Église Saint-Martin : L'église primitive de Montigny n'a été construite qu'en 1710 sur le même emplacement, mais elle menace déjà ruine vers le milieu du XIXe siècle.
    Une nouvelle église est construite et terminée en 1898, selon les plans dessinés par Marcel Lambert, architecte en chef du domaine de Versailles et des Trianons. Seul le clocher du XVIIIe siècle est conservé, qui a la particularité d'être octogonal[39]. L'église contient un riche mobilier dont douze éléments sont classés au titre du mobilier[40].
    • Église Saint-Joseph, 53, rue de la République, consacrée en 2019, et conçue par le cabinet d’architectes Enia en remplacement d'une chapelle construite en 1979 et devenue vétuste et trop petite. Le nouveau lieu de culte, financé par la communauté catholique, est dotée d’une architecture moderne où le bois est très présent et peut accueillir 300 fidèles[41],[42].
    • Maison du Coq Hardi, située près du quartier de la Croix Blanche, et qui présente sous le toit la peinture d'un coq écrasant un serpent[39].
    • Belles villas de l'architecte Henri Lecoeur (1867-1951) construites vers 1920 au no 2 rue de la Halte et la Belle-Isloise au no 7 rue du Panorama[39].
    • De nombreuses propriétés privées ou lotissement privé ou copropriété sont implantés à Montigny : Le Hameau du Parisis (situé à la hauteur de la rue E.-Degas), les Arcades (situé derrière l'école Van Gogh, derrière la rue colette), Diderot-Marmontel (au niveau de la rue Daguerre), Les Hauts de Bruyères (situés avenue Aristide Maillol), Les Sources (situées avenue Aristide Maillol et rue du Plessis Bouchard).

    Montigny-lès-Cormeilles dans les arts

    Films tournés à Montigny-lès-Cormeille :

    Culture

    Le « Salon du polar » est organisé sur la commune au début du mois de décembre de chaque année depuis 1997.

    Héraldique

    Les armes de Montigny-lès-Cormeilles se blasonnent ainsi[43] :
    D'or à la fasce ondée d'azur, au mantel du même chargé en chef d'un têtu de carrier d'argent accosté de deux fleurs de lys d'or.

    Symbolique : évocation de la colline où étaient les carrières à plâtre exploitées par l'abbaye de Saint-Denis ; la fasce ondée rappelle la source de Montigny.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. http://www.capeutservir.com/postaux/
    2. « Communes limitrophes de Montigny-lès-Cormeilles » sur Géoportail..
    3. « Communes limitrophes de Montigny-lès-Cormeilles » sur Géoportail..
    4. Météo France - Climatologie
    5. L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle distant de 25 kilomètres au sud-est en plaine constitue la station de référence pour le département du Val-d'Oise.
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 978-2-85023-076-9), p. 477b.
    16. ibidem
    17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, où Montigny-lès-Cormeilles est nommément cité au § 9328.
    18. Noms de personne sur le territoire de l'ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, tome III, 1985.
    19. Michel Roblin, Le Terroir de Paris aux époques gallo-romaine et franque : peuplement et défrichement dans la Civitas des Parisii (Seine, Seine-et-Oise), préface de M. Albert Grenier, membre de l’Institut, éd. A. et J. Picard, Paris, 1951, 381 p.; rééd. A. et J. Picard, Paris, 1971, XIV-491 p. — Thèse soutenue à l’Université de Paris. — Compte-rendu d'Albert Dauzat in Revue Internationale d'Onomastique III, 1951, p. 231-236.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    22. « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional de coopération intercommunale » [PDF], sur http://www.marneetgondoire.fr (consulté le ).
    23. Résultats officiels pour la commune Montigny-lès-Cormeilles
    24. Alexandre Boucher, « Municipales à Montigny-lès-Cormeilles : la gauche et la droite en ordre dispersé : Le maire progressiste Jean-Noël Carpentier brigue, avec le soutien de LREM un troisième mandat. Trois candidats, de gauche et de droite, tenteront de lui damer le pion », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    25. Daniel Chollet, « Val-d'Oise. Municipales à Montigny-lès-Cormeilles, Jean-Noël Carpentier bien placé au soir du 1er tour : Jean-Noël Carpentier, le maire (Mdp) sortant soutenu par En Marche, décroche la première place avec 47,88% tandis que Modeste Marques (liste DVD) ne recueille que 36,65% », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    26. Thomas Hoffmann, « Val-d'Oise. Municipales à Montigny-lès-Cormeilles : Jean-Noël Carpentier confirme : Le maire sortant (Mdp) sortant soutenu par En Marche, Jean-Noël Carpentier, a été réélu à Montigny-lès-Cormeilles avec 400 voix d'avance », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    27. « Après les municipales, des recours déposés dans 34 villes du Val-d’Oise : Le nombre de recours déposés au tribunal administratif pour demander l’annulation des élections a explosé cette année. On en compte quasiment trois fois plus qu’en 2014 », Le Parisien, 14/7/2020, modifié le 15/7/2020 (lire en ligne, consulté le ).
    28. Julie Olagnol et A.C, « Les recours des élections municipales rejetés à Bezons, Saint-Brice, Gonesse et Montigny-lès-Cormeilles : Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise a rendu de nouvelles décisions concernant ces quatre communes en fin de semaine dernière », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    29. Il est à noter que Fortuné Charlot, qui a habité au 219 boulevard de Pontoise, n'a jamais été maire. Il est devenu 2e adjoint de Victor Bordier lors du renouvellement du 17 mai 1929
    30. « Robert MULOT », sur https://www.dansnoscoeurs.fr, (consulté le ).
    31. « Robert Hue démissionne de son mandat de maire de Montigny-lès-Cormeilles », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « M. Hue qui a toujours été élu au premier tour depuis 1977, a décidé de passer la main à son premier adjoint, Jean-Noël Carpentier ».
    32. Laure Equy, « Hue quitte Montigny et se raccroche à son NEP : PCF : L’ex-leader du parti passe le relais à la mairie. », Libération `, (lire en ligne, consulté le ).
    33. Alexandre Boucher, « Montigny-lès-Cormeilles se donne le temps de réfléchir à son futur centre-ville », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Les habitants peuvent désormais découvrir ce projet d’ampleur, qui passe par la transformation de la D14, à l’Atelier. Le maire (MDP) Jean-Noël Carpentier l’assure : ce centre-ville « ne pourra pas se faire si la population n’en veut pas ».
    34. Angélique Boilet, « Législatives : Jean-Noël Carpentier préfère son siège de maire : Dans le cadre de la loi sur le non-cumul des mandats, le député-sortant Mdp de la 3e circonscription, Jean-Noël Carpentier, choisi de ne pas briguer de second mandat car il a « décidé de rester maire de Montigny », VO news 95, (lire en ligne, consulté le ) « En 2012, Jean-Noël Carpentier avait remporté les élections, sous l’étiquette du Mouvement unitaire progressiste, avec le soutien du Parti Socialiste. Le mouvement politique créé par Robert Hue et devenu par la suite MDP, avait passé un accord national avec le PS ».
    35. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Daniel Chollet, « J.-Noël Carpentier réélu maire, mais un recours de M. Marques : Vainqueur de 12 voix, le maire, Jean-Noël Carpentier (Mup), a retrouvé vendredi son fauteuil le 4 avril. Mais Modeste Marques (Ump) a déposé un recours au tribunal administratif. », La gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    36. « Procès-verbal de l'élection du maire et des adjoints » [PDF], Toutes les publications, sur https://www.montigny95.fr/, (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. M. Farion, Daniel Renard, M. Rigault, Bernard Chahmirian, Carel de Gaube et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Montigny-lès-Cormeilles », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I, , p. 170-175 (ISBN 2-84234-056-6).
    40. « Liste des objets classés de Montigny-lès-Cormeilles », sur Base Palissy (consulté le ).
    41. Alexandre Boucher, « Montigny-lès-Cormeilles : l’ancienne chapelle cède sa place à une église : En 2018, l’église permettra d’accueillir 300 fidèles. Une partie du chantier sera financée par la vente de biens immobiliers », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    42. Alexandre Boucher, « Une nouvelle église pour les fidèles de Montigny-lès-Cormeilles : Après deux ans de travaux, le diocèse de Pontoise consacrera la nouvelle église Saint-Joseph ce dimanche matin. Une première depuis quinze ans », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ) « La construction du nouveau lieu de culte, dont le coût est estimé à plus de 3 M€, a été financée à 70 % par le diocèse de Pontoise, à 10 % par les Chantiers du Cardinal et à 15 %, dont 10 % de produits de vente de biens immobiliers, par la paroisse de Montigny. Une souscription est d’ailleurs toujours ouverte pour combler les 5 % restants, soit 150 000 € ».
    43. Jean-Paul de Gassowski, L'Armorial des communes du Val-d'Oise, édition Gaso, 1996, s.p.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Pierre Denis, « Henri Lecœur, l'architecte du Parisis des années 1900 », Vivre en Val-d'Oise, no 118, , p. 28-33 (ISSN 1146-2191)

    Articles connexes

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