Herblay-sur-Seine

Herblay-sur-Seine (appelée Herblay jusqu'en [1]) est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Herblaysiens ou Herblaisiens[2].

Herblay-sur-Seine

Herblay et son bourg ancien en bord de Seine.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Argenteuil
Intercommunalité CA Val Parisis
Maire
Mandat
Philippe Rouleau (LR)
2020-2026
Code postal 95220
Code commune 95306
Démographie
Gentilé Herblaysiens
Population
municipale
30 095 hab. (2018 )
Densité 2 362 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 59′ 24″ nord, 2° 09′ 52″ est
Altitude 25 m
Min. 20 m
Max. 91 m
Superficie 12,74 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Herblay-sur-Seine
(bureau centralisateur)
Législatives 3e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Herblay-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Herblay-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : France
Herblay-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : France
Herblay-sur-Seine
Liens
Site web http://www.herblay.fr

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    Située sur la rive droite de la Seine, à la limite des Yvelines, Herblay-sur-Seine est limitrophe de La Frette-sur-Seine, Montigny-lès-Cormeilles, Pierrelaye, Saint-Ouen-l'Aumône, Éragny, Conflans-Sainte-Honorine, Achères.

    Transports en commun

    La gare d'Herblay sur la ligne de Paris-Saint-Lazare à Mantes-la-Jolie et à Gisors par Conflans-Sainte-Honorine est desservie par les trains de la ligne J du Transilien.

    La commune est desservie par les lignes 30.07, 30.31, 30.32, 30.38, 30.47 et 30.48 de la société de transport Cars Lacroix ainsi que par les lignes 95.19, 95.20 et 95.21 du réseau de bus départemental Busval d'Oise. Herblay possède une ligne CitéVal composé de deux circuits desservant les différents quartiers de la commune.

    Climat

    Herblay-sur-Seine, comme toute l'Île-de-France est soumis à un climat océanique dégradé. La localisation de la commune au sein de l'agglomération parisienne provoque une très légère élévation de la température d'un ou deux degrés en fonction des conditions climatiques par rapport aux zones rurales d'Île-de-France. Cet écart est particulièrement notable au lever du jour par temps calme et anticyclonique, et la situation a tendance à s'accentuer au fil des années. La température moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec +4 °C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec +19 °C (moyenne journalière). Le nombre moyen de jours où la température dépasse 25 °C est de 40, dont 8 au-delà de 30 °C. Dans le sud du Val-d'Oise, depuis 1955, la durée moyenne annuelle d'ensoleillement est de 1719 heures[5].

    MoisJanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures maximales moyennes (°C) 6 7 11 14 18 21 24 24 21 15 9 7 14,8
    Températures minimales moyennes (°C) 1 1 3 6 9 12 14 14 11 8 4 2 7,1
    Températures moyennes (°C) 4 4 7 10 14 17 19 19 16 12 7 5 11,2
    Source : Climatologie mensuelle - Aéroport de Roissy, France[6]

    Quartiers

    Les quartiers d'Herblay-sur-Seine sont :

    • Les Copistes
    • La Roue
    • Les Ambassadeurs
    • La Butte de la Tuile
    • Les Chênes
    • L'Orme Macaire
    • Centre-ville
    • L'Orme brûlé
    • Le Village
    • Les Fontaines
    • Les Naquettes
    • La Martinière
    • Le Val de Seine
    • Les Quais de Seine
    • Les Bournouviers
    • Les Bayonnes
    • Les Cailloux gris
    • Les Courlains
    • Les Buttes blanches

    Urbanisme

    Typologie

    Herblay-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[10] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].

    Toponymie

    Attestée sous les noms, Acebrelidum et Arabrelidum en 754[15], Arablai et Arablet[16], Adrabletum et Atrabletum[17], Herbleyo en 1207[18], Erbleium[19] et Erbledum en 1210[20], Herbledis en 1226[21], Herbuletum et Herbleium au XIIIe siècle[22], Herbleio au XIIIe siècle[23], Erblay fin du XIIIe siècle[24], Erblay en 1365[25], Arblay entre 1346 et 1372[26], Erbelay-sur-seine en 1394[27], Arbeley en 1598[28], Erbelay en 1626[29], Herbelay en 1631[30], Erblai et Herbelai en 1631[31], Herbelay[32], Herbelaye en 1667[33], Arblay en 1714[34], Herblai au XVIIIe siècle[35],[36], Arblai en 1720[37], Airblai en 1720[38], Herblet en 1746[39], Erbelay en 1764[40], Herblai en 1763[41], Erblay et Orblay[Quand ?].

    Acebrelidum issue du bas latin acerabulus « érable » et du suffixe -etum « ensemble d'érables »[42].

    La commune, instituée par la Révolution française sous le nom de Herbelay en 1793, puis de Herblay en 1801[43], change officiellement de nom pour devenir Herblay-sur-Seine en [44], après une consultation des habitants[45].

    Histoire

    Les origines

    Le village était partagé entre les seigneuries des abbés de Saint-Denis, du chapitre de Notre-Dame de Paris, et la famille Chaumont. Ce fut également le fief de Jean de Beauvais au XIVe siècle, au XVIe siècle, celui des Ailegrin[46].

    L'église du XIIe siècle (Saint-Martin), classée monument historique le , est bâtie sur l'emplacement d'une nécropole mérovingienne.

    XIXe siècle

    À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, grâce à l'arrivée du chemin de fer, la ville se développe fortement. De nombreuses familles bourgeoises s'installent dans cette campagne devenue si près de Paris. Ils commandent à des architectes locaux de belles villas imprégnées du goût de l'époque pour l'éclectisme et l'Art nouveau.

    • Architecte Henri Lecœur (1867-1951) : 4, 6, 14 et 18, rue Maurice Berteaux ; 21, rue des Sablons.
    • Architectes Paul et Albert Leseine et Coulon : 31, quai du Génie.
    • Architecte P. Guignard : 17 et 19, rue des Sablons.

    XXe siècle

    Plan de la zone « B » de répliques de Paris, dont Herblay est quasiment le centre.

    À la fin de la Première Guerre mondiale, le secteur où est situé la commune étant à l'époque encore peu peuplé malgré la proximité de Paris, est délimitée une zone « B » dont Herblay-sur-Seine est quasiment le centre (il existe, ailleurs, en région parisienne des zones « A » et « C ») dans le cadre du projet de répliques de Paris, un ensemble d'infrastructures militaires françaises destinées à leurrer la nuit les aviateurs allemands en opération de bombardement, en simulant, principalement par des éclairages, la présence de la Capitale à des endroits peu urbanisés. Mais cependant et par conséquent, Herblay court potentiellement le risque de subir des destructions par l'ennemi, sacrifié en quelque sorte pour préserver Paris. Dans les faits, ce projet n'est concrétisé, partiellement, qu'en zone « A », mais n'est pas réalisé en zones « B » et « C », en raison de la fin du conflit.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du [47], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et son arrondissement d'Argenteuil, après un transfert administratif effectif au .

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la troisième circonscription du Val-d'Oise.

    Elle faisait partie de 1793 à 1964 du canton d'Argenteuil, année où elle intègre le canton de Cormeilles-en-Parisis. En 1973, elle devient le chef-lieu du canton d'Herblay-sur-Seine [43]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune devient le bureau centralisateur de ce canton dont la composition est modifiée, passant de 2 à 3 communes.

    La commune fait partie de la juridiction d’instance de Sannois, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[48],[49].

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du Parisis a été créée le , et transformée en communauté d'agglomération en 2011 sous le nom de communauté d'agglomération du Parisis.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine pour former, le la communauté d'agglomération Val Parisis, dont la commune est désormais membre.

    Tendances politiques

    Au deuxième tour des dernières élections présidentielles :

    Lors des élections municipales de 2014, Philippe Rouleau (LR) l'emporte au premier tour avec 50,98 % soit 4 992 voix[50].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[51]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790   François Nicolas Cochon    
    1792   M. Tempe    
    1793   Nicolas Lorfevre    
    1797   Jean-Baptiste Jouvin    
    1798   Jacques Dumesnil    
    1800   M. Delot    
    1814   M. Marceau    
    1820   M. Bunel    
    1848   Oscar Thevenin    
    1851   Louis-Victor Dubray    
    1865   Edme Jean Leclaire[52]    
    1868   Gabriel Paulmier    
    1878   Constantin Macaire    
    1887   Paul Louchet    
    1896   François Brunet    
    1904   Benoni Crosnier    
    1912   G. Brunet    
    1919   A. Brault    
    1924   L. Berard    
    1925   E. Froumy    
    1927   G. Estorges    
    1945   M. Breteche    
    1947   A. Brunel    
    1959   C. Verneau    
    1962 1969 Roger Recrosio    
    1969 1994 Roger Barat UDF-Rad. Directeur d'école
    Conseiller général d'Herblay (1976 → 1992)
    1994 juin 1995 Michel Barat[53] UDF Professeur de philosophie
    Grand maître de la Grande Loge de France (1990 → 1993 et 2001 → )
    juin 1995 mars 2001 Jean-Pierre Lechalard PS Professeur
    Conseiller général d'Herblay (1998 → 2004)
    mars 2001 mars 2014[54] Patrick Barbe RPR puis UMP Cadre informatique
    Conseiller général d'Herblay (2004 → 2011)
    Vice-président de la communauté d'agglomération du Parisis ( ? → 2015)
    mars 2014[50],[55] En cours
    (au 25 mai 2020)
    Philippe Rouleau[56] UMPLR Directeur des ventes chez Orange
    Conseiller départemental d'Herblay-sur-Seine (2015 → )
    Vice-président du conseil départemental du Val-d'Oise (2015 → )
    Vice-président de la communauté d'agglomération Val Parisis (2017 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[57],[58]

    Politique de développement durable

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[59].

    Jumelage

    La ville est jumelée avec la ville de Taunusstein, en Allemagne et la ville de Yeovil, au Royaume-Uni.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[60],[Note 3]

    En 2018, la commune comptait 30 095 habitants[Note 4], en augmentation de 9,92 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +3,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5241 3641 3771 3961 5641 5761 5741 6051 582
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5921 6411 6111 6991 6311 6251 6811 7982 033
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9902 1902 3392 8984 2585 4715 8005 9377 452
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    10 22012 26416 39719 64722 13523 08325 82426 42229 066
    2018 - - - - - - - -
    30 095--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La ville d'Herblay-sur-Seine relève de l’Académie de Versailles.

    Les écoles maternelles sont :

    • Jean-Moulin
    • La Tournade
    • Louis-Pergaud
    • Saint-Exupéry
    • Les Chênes
    • Jean-Jaurès
    • Les Buttes-blanches
    • Jeanne-d'Arc (école privée catholique sous contrat)
    • Jean-Louis-Étienne

    Les écoles élémentaires sont :

    • Jean-Moulin
    • Marie-Curie
    • Pasteur
    • Saint-Exupéry
    • Les Chênes
    • Jean Jaurès
    • Les Buttes-blanches
    • Jeanne-d'Arc (école privée catholique sous contrat)
    • Jean-Louis-Étienne

    Les établissements du secondaire sont :

    • collèges : Jean-Vilar (avec une SEGPA), Georges-Duhamel ; Isabelle-Autissier
    • lycée : Montesquieu ;
    • privée : école Montaigne (enseignement secondaire de la sixième à la Terminale).

    On compte également une école pour enfants précoces avec une classe de la maternelle à la fin du collège spécialisée pour enfants intellectuellement précoces, l'école Léonard-de-Vinci.

    À la rentrée 2015, le groupe scolaire Jean-Louis-Étienne ouvre ses portes.

    Sports

    La commune dispose d'un grand complexe sportif à la sortie d'Herblay-sur-Seine comprenant, un terrain de football d'honneur avec tribune, un terrain de rugby d'honneur avec tribune et quelques terrains d'entraînement. Il existe, en outre, un terrain de baseball, une piscine, un club de tennis et un club de pétanque.

    La ville possède un espace dédiée au sport aux alentours du Lycée Montesquieu, comprenant un gymnase, un dojo, un terrain de sport de ballons (basket, handball, volley), une piste de soixante mètres et des sautoirs, ainsi qu'une rampe.

    Au centre du quartier de l'Orme Macaire, une enceinte pour le handball et la gymnastique le COSEC, ainsi qu'une piste d'athlétisme et d'un terrain de hand à l'extérieur.

    Économie

    La ville possède un centre-ville composé de rues ouvertes à la circulation, bordées par de nombreux commerces et services. La place du marché est aussi entourée de commerces. Le quartier de la gare est une zone économique, du fait du transit et regroupe de nombreuses administrations locales et publiques. Des regroupements de commerces et de services se trouvent à la jonction des différentes zones d'habitations de la ville (exemples : aux Buttes Blanches, ou, entre les Chênes et l'Orme Macaire). Les artisans sont disséminés sur tout le territoire de la ville. En outre, il existe une zone industrielle et commerciale, dynamique vers la Patte d'Oie d'Herblay.

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 42 194 €, ce qui plaçait Herblay au 1 605e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[62].

    Culture locale et patrimoine

    Monument historique

    Église Saint-Martin, vue depuis le sud-est.

    Herblay ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire.

    • Église Saint-Martin, rue Jean-XXIII (inscrite monument historique par arrêté du [63]) : Elle a été édifiée à partir de la seconde moitié du XIIe siècle dans le style gothique. Le transept est la partie la plus ancienne. La nef, assez longue, est un peu plus récente, et peut être datée de la fin du XIIe siècle ou du début du XIIIe siècle. Ses bas-côtés ont toutefois été rebâtis à l'époque moderne, et perdu leur intérêt. L'élégant clocher central, dont les baies sont flanquées de multiples colonnettes, est certes la partie la plus emblématique de l'édifice gothique. Entre 1500 et 1535 environ, son chœur a été remplacé par un vaste complexe de style gothique flamboyant, qui comporte trois travées, se terminant par un chevet à pans coupés, et deux collatéraux, également à pans coupés. Son architecture est soignée, et l'on y trouve toujours cinq verrières de style Renaissance, qui datent des années 1537-1540, et ont été restaurées vers 1881[a 1],[64].

    Autres éléments du patrimoine

    • Vestiges des fortifications du village, chemin des côtes de La Frette, du XVIe siècle[a 2] ;
    • Tourelle, rue de Montigny, du XVIe siècle[a 2] ;
    • Rue de l'Enfer, seule à conserver l'aspect des issues du village fortifié[a 2] ;
    • Mur du Roy, rue des Grosses-Eaux et chemin du Val-de-Gaillon, datant de 1663 à 1683. Reliant les terrasses de Saint-Germain-en-Laye à Poissy par La Frette-sur-Seine, il servait à empêcher le gibier de la forêt royale de pénétrer sur les cultures, tout en lui permettant de s'abreuver dans la Seine[a 3] ;
    • Croix Martinière, 1, place du Général-Leclerc, de 1618[a 3] ;
    • Château de l'Église, 5, rue Jean-XXIII, du XIXe siècle[a 4]. ;
    • Mairie, 43, rue du Général-de-Gaulle, du XIXe siècle[a 5]. ;
    • Puits-tour, parc de la Mairie, du XIXe siècle, ayant supporté une éolienne pour pomper l'eau[a 6] ;
    • Chapelle de la maison de retraite, 42, rue du Général-de-Gaulle, de 1867[a 6] ;
    • Colombier du colonel Monteil, 8-12, quai du Génie, de la fin du XIXe siècle[a 6] ;
    • Croix Thévenin, rue de Paris / boulevard des Ambassadeurs, offert par le maire en 1868[a 7]. ;
    • « Château », 50, rue de Paris, de 1900, aujourd'hui clinique, et porche du château de la fin du XVIe siècle[a 8] ;
    • Kiosque en bois, 2, rue des Sablons, vers 1902[a 9].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Herblay
    • Les armes d'Herblay se blasonnent ainsi : De gueules aux trois serpes de vigneron d'or emmanchées de sable.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Roger Barat (dir.), Jacques Boucly, Micheline Dietrich, Henri Maingon et al., Regards sur Herblay : Du village du Parisis à la ville d'Île-de-France, Millau, Imprimeries Maury, , 352 p.
    • Claude Adam, Gilbert Forget, Jacques Hitier et Valérie Jacquemin, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Herblay », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I, , p. 384-403 (ISBN 2-84234-056-6)
    • Jean-Pierre Denis, « Henri Lecœur, architecte du Parisis des années 1900 », Vivre en Val-d'Oise, no 118, , p. 28-33 (ISSN 1146-2191)

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Herblay », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. p. 387-391.
    2. p. 392.
    3. p. 393.
    4. p. 397.
    5. p. 398-399.
    6. p. 400.
    7. p. 401.
    8. p. 402.
    9. p. 403.
    1. Décret no 2018-956 du 5 novembre 2018 portant changement du nom de communes, Légifrance, consulté le 11 février 2019.
    2. http://www.capeutservir.com/postaux/index.php
    3. « Communes limitrophes d'Herblay-sur-Seine » sur Géoportail..
    4. « Communes limitrophes d'Herblay-sur-Seine » sur Géoportail..
    5. Météo France - Climatologie
    6. L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle distant de 25 kilomètres à l'est en plaine constitue la station de référence pour le département du Val-d'Oise.
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. Diplôme du roi Pépin le Bref
    16. Origine Celtique supposée
    17. Anciens manuscrits latins vers l'an Mil
    18. Galliva Christiania
    19. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    20. Anciens titres latins et Pouillé de Paris
    21. Titre de donation faite à Notre-Dame par Guillaume de Perche
    22. Cartulaires de France
    23. Epitaphe sur une pierre tombale du XIIIe siècle (Eglise d'Herblay)
    24. Cartulaire de Saint-Denis
    25. Vente faite par Dame Alips des Saulsayes au chapître de Paris
    26. Arrêté du Parlement reconnaissant dans Erblay ou Arblay la justice de l'Abbaye de Saint-Denis
    27. Manuscrit sur les biens de l'Aumône de Saint-Denis
    28. Carte de l'Ile-de-France par la Guillotière
    29. Epitaphe de la pierre tombale de Jacques Hellet
    30. Coustumes de la Prévosté et Vicomte de Paris
    31. Notice des Gaules par Hadrien de Valois
    32. factum contre Charles de Boisseret, Seigneur d'Herblay et gouverneur de l'Ile de la Guadeloupe.
    33. Bail à loyer par les religieux de Saint-Denis de l'exercice des greffes et tabellionage de Chastellerie de Cormeilles
    34. Carte du Diocèse de Paris
    35. Almanach des Doyennes
    36. « Nouveau plan des environs de Paris et Départt. de Seine et Oise. », sur Library of Congress, Washington, D.C. 20540 USA (consulté le ).
    37. Prononciation locale
    38. Prononciation parisienne
    39. Carte particulière de la Seigneurie d'Herblay mouvante au Duché d'Anguien
    40. Dictionnaire géographique des Gaules et de la France par Expilly
    41. Atlas des Élections du Royaume par Regley
    42. Toponymie générale de la France, Ernest Nègre, page 332
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    44. Décret n° 2018-956 du 5 novembre 2018 portant changement du nom de communes.
    45. Daniel Chollet, « Herblay : les habitants ont encore 10 jours pour dire s’ils veulent du nom d’Herblay-sur-Seine : Herblay : les habitants ont encore 10 jours pour dire s’ils veulent du nom d’Herblay-sur-Seine », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    46. Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti
    47. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    48. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    49. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    50. « A Herblay, le nouveau maire a déjà gagné des voix », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Après avoir avoué sa « surprise » d'être élu dès le 1er tour, dans un scrutin où cinq candidats étaient en lice, le nouveau maire (UMP) d'Herblay, directeur des ventes chez Orange, a ceint l'écharpe tricolore (...) En préambule, Patrick Barbe avait rappelé les résultats des élections qui avaient vu la victoire de Philippe Rouleau, avec 50,98 % des voix, loin devant le socialiste Olivier Dalmont (23,3 %, 4 sièges), la liste DVD menée par le premier adjoint dissident François Bernieri (17,25 %, 3 sièges), Séverine Kaoua (FG, 6,46 %, 1 siège) et Roger Desmelliers (LO, 2 %) ».
    51. « Les maires de Herblay », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    52. Marie Persidat, « Municipales : Patrick Barbe s’offre un départ en fanfare à Herblay », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Après avoir exprimé sa gratitude envers l’ancien maire Roger Barat, le sortant est même remonté jusqu’aux années 1860, récitant un poème écrit par un maire de l’époque Jean Leclaire ».
    53. Dominique de Montvalon, « Non à une écologie antiprogrès », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    54. Daniel Chollet, « Bagarre pour la succession de Patrick Barbe à Herblay : Quatre candidats s’affrontent aux élections municipales à Herblay », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Après treize ans de mandat, le maire d’Herblay, Patrick Barbe (Ump), s’arrête. L’élu avait réussi en 2001 et 2008 à faire l’union, mais en 2014, le passage de témoin se passe mal. Si son adjoint, Philippe Rouleau (Ump), a le soutien des partis, celui de la plupart des élus de la majorité et celui du maire, le 1er adjoint depuis 2001, François Bernieri (Ump), a décidé de se présenter à la tête d’une liste sans étiquette. Une dissidence dont la gauche compte clairement tirer profit ».
    55. Daniel Chollet, « Philippe Rouleau, nouveau maire d’Herblay : Philippe Rouleau, après sa victoire au premier tour le 23 mars, a succédé à Patrick Barbe lors du conseil municipal samedi 29 mars », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Il a été élu par le conseil municipal par trente bulletins à son nom et cinq blancs. Comme l’opposition compte huit élus et qu’on peut penser que les vingt-sept de la majorité ont voté pour lui, trois élus de la minorité l’ont élu maire ».
    56. « Le maire, les adjoints et les conseillers », Le Conseil municipal, sur http://herblay.fr (consulté le ) « Il démarre sa carrière professionnelle comme consultant pour les collectivités locales en matière de nouvelles technologies puis intègre un groupe national comme directeur des ventes (...) C’est en 2008 qu’il rejoint le conseil municipal où il est nommé adjoint au maire chargé des finances, de la communication et des nouvelles technologies ».
    57. Alexandre Boucher, « Municipales : trois listes pour bousculer l’ordre établi à Herblay-sur-Seine : Élu dès le premier tour en 2014, le maire (LR) Philippe Rouleau brigue un deuxième mandat dans cette ville historiquement ancrée à droite. », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Têtes de liste : Philippe Rouleau (LR), Christine Seleskovitch (LREM), Jean-François Dupland (GRS), Juan Munoz (LO) ».
    58. « Val-d’Oise : les nouveaux maires enfin installés : Élus dès le premier tour des élections municipales, les nouveaux maires ont dû attendre deux mois pour être intronisés », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « C’est également le cas de Philippe Rouleau (LR) à Herblay-sur-Seine qui a confié « sa fierté et son émotion » de revêtir une seconde fois l’écharpe de maire ».
    59. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Herblay, consultée le 26 octobre 2017
    60. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    61. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    62. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    63. Notice no PA00080091, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    64. Jean Lebeuf, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris : Tome second, Paris, Librairie de Fechoz et Letouzey (réédition), 1883 (réédition), 693 p. (lire en ligne), p. 78-86.
    65. Nobiliaire universel de France Volume 18 page 155
    • Portail du Val-d'Oise
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.