Montfrin
Montfrin est une commune française située dans le département du Gard en région Occitanie.
Montfrin | |||||
Château de Montfrin | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gard | ||||
Arrondissement | Nîmes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pont du Gard | ||||
Maire Mandat |
Éric Tremoulet 2020-2026 |
||||
Code postal | 30490 | ||||
Code commune | 30179 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
3 176 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 208 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 52′ 36″ nord, 4° 35′ 39″ est | ||||
Altitude | Min. 7 m Max. 78 m |
||||
Superficie | 15,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Montfrin (ville-centre) |
||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Redessan | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Gard
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | montfrin.com | ||||
Géographie
Localisation
Commune membre de la Communauté de communes du Pont du Gard, située entre le Rhône et le Gardon.
|
Géologie
Pendant l’Ère secondaire[1], au crétacé, il y a -130M. d'années, la Méditerranée, les Pyrénées et les Alpes n'existaient pas. Notre région était occupée par un immense océan. La profondeur était variable et permettait la vie de récifs de coraux et d'animaux à squelette calcaire. Les déchets s'accumulaient sur le fond. Ils ont été transformés en une roche dure et compacte qui forme l'essentiel de nos garrigues et qu'on retrouve chez nous sous des roches plus récentes : le calcaire.
Au Miocène -28M. d'années, le plissement pyrénéo-provençal se produit, la mer est toujours là et nous nous trouvons sur un rivage attesté par la présence de roches à pholades visibles près des Orgnes.
La profondeur de l'eau permet le dépôt de sédiments mélangés argile et calcaire qui formeront une roche plus ou moins tendre, la molasse. On la retrouve à la Beaume, à Saint Roman… On peut la creuser et elle durcit à l'air.
Au pliocène -12M. d'années, l'eau revient. C'est de l'argile qui se dépose de façon irrégulière. C'est l'argile bleue que nous connaissons bien, colorée par des oxydes ferreux (bleus) qui s'oxydent à l'air devenant jaunes (oxydes ferriques).
Enfin, il y a 1M. d'années, les montagnes, Alpes et Pyrénées, sont sorties de l'eau bousculant les terrains du massif central. L'eau des océans s'est retirée. Les terres de nos régions sont émergées bordant la Méditerranée.
Un fleuve puissant coule depuis les Alpes - le Rhône - il emprunte une zone de failles (vallée du Rhône). Son delta est immense et il dépose des sédiments en divaguant entre Marseille et Montpellier. Ce sont des galets de quartzites rougeâtres et des alluvions argilo-calcaire : c'est le Gress que nous retrouvons sur nos plateaux. Nous sommes à l’ère IV, au villafranchien.
Lorsqu'il pleut, l'eau acidifiée par le CO2 de l'air s'infiltre dans le Gress et dissout le calcaire qu'elle entraîne jusqu'à la couche d'argile. Là arrêt de la circulation : le calcaire entrainé précipité et forme un ciment très dur, le Tapparas.
Des variations du niveau de la mer, en particulier son abaissement, ont entraîné un creusement des vallées coupant la série des terrains sous-jacents au Gress puis le dépôt d’alluvions récentes du Gardon et du Rhône au fond des vallées. Des colluvions issues de l'érosion des plateaux se sont déposées sur les bords vallées.
Hydrographie et relief
Sur la commune de Montfrin nous disposons de l'eau de trois origines différentes :
1° les nappes phréatiques du Gardon et du Rhône qui imbibent les terrains autour des rivières et descendent en suivant la pente des vallées (puits de Saint Martin).
2° Dans le calcaire crétacé se trouve la nappe du Karst. L'eau de pluie s'enfonce et circule dans les failles, fissures et réseaux de cavités du calcaire. Cette eau suit la pente générale de ces terrains et rejoint finalement les nappes phréatiques des rivières. elle forme des veines dans la plaine entre les pentes des plateaux et le Gardon.
C'est là que les anciens ont foré leurs puits et ont permis l’établissement des Mas.
3° l'eau de pluie sur le Gress s'enfonce dans ce terrain meuble mais est arrêtée par la couche d'argile qu'elle suit jusqu’à ce qu'elle affleure à la surface et coule à l’extérieur. C'est l'origine des sources du Réal, des Orgnes, de Césérac, de la Malautiére et de Saint Jean.
Ouvrage lié à l'alimentation en eau dit Guérite[2].
Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :
- rivière le Gardon ou Gard,
- ruisseau le Briançon,
- roubine du pradas.
Climat
|
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[4].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Meynes », sur la commune de Meynes, mise en service en 1966[9] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 15 °C et la hauteur de précipitations de 734,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 19 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[13], à 15,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[15].
Axes ferroviaires
Transports aériens
Les aéroports les plus proches sont :
Urbanisme
Typologie
Montfrin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montfrin, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[21] et 12 300 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[22],[23]. La commune est en outre hors attraction des villes[24],[25].
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme depuis le qui définit les règles d'urbanisme du village[26]. Il s'inscrit dans le SCOT Uzège / Pont-du-Gard[27].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40,7 %), zones agricoles hétérogènes (37 %), zones urbanisées (7,6 %), forêts (5,7 %), terres arables (4,7 %), eaux continentales[Note 4] (3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Provençal Mount-Frin, du roman Monfrin, du bas latin Mons Frenus, Mons Frinus[29].
Les habitants sont appelés les Montfrinois et les Montfrinoises.
Histoire
Moyen Âge
Le village est mentionné Castrum de Montfrin en 1196, puis Locus Montis-Frini en 1461[30].
Politique et administration
Histoire des maires
Origine, ancien Régime : on parle d’échevins, conseillers, Maire perpétuel, alternatif mitriennal.
- De 1789 à 1799 : Révolution française, Première République, Directoire, les maires sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles.
- De 1799 à 1848 : Consulat, Premier Empire, Restauration, Monarchie de Juillet, les maires sont nommés par le préfet.
- Du à 1851 : Seconde République, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
- De 1851 à 1871 : Second Empire, les maires sont nommés par le préfet.
- De 1871 à aujourd'hui, les maires sont élus par le conseil municipal.
Liste
Liste des maires du XVIIe siècle à la Libération
|
Population et société
Pyramide des âges
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].
En 2018, la commune comptait 3 176 habitants[Note 5], en diminution de 0,35 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
Santé
Professionnels de santé sur la commune[40].
Cultes
Culte catholique, Paroisse d'Aramon, Diocèse de Nîmes - Uzès - Alès[41],[42].
Sports
- Arènes ou se déroulent les courses camarguaises en été[43]..
- Stade Municipal.
- Tennis Club.
- Skatepark.
- Parcours de santé du Gardon.
- Boulodromes
- Piste de BMX
Médias
La commune bénéficie d'un correspondant local Midi-Libre, depuis le , il s'agit de Monsieur Antoine Pierron[44].
Économie
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[45] :
- total des produits de fonctionnement : 2 781 000 €, soit 860 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 2 723 000 €, soit 749 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 772 000 €, soit 239 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 952 000 €, soit 294 € par habitant.
- endettement : 3 184 000 €, soit 985 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 14,23 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 26,51 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 60,00 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 991 €[46].
Agriculture
- Le rucher de Montagnac[47].
- Société coopérative agricole cave intercommunale des vignerons de Montfrin, Meynes, Comps et Théziers[48] Vins Côtes-du-rhône (AOC).
- Le Mammouth (squelette) à la cave vinicole[49].
- Moulin à vent[50].
Commerces, artisanat et industrie
Commerces et services de proximité[51].
Tourisme
Outre la richesse de son patrimoine, la proximité du Pont du Gard (10 km des villes de Nîmes et d’Avignon (moins de 20 km) lui offre des atouts touristiques supplémentaires au sein du PETR (Pôle d'Équilibre Territorial et Rural)[52].
Culture locale et patrimoine
Édifices et patrimoine civils
- Château Classé MH (1985)[53] : Il y eut en premier lieu un château ou une tour romaine. Le château lui-même fut construit en plusieurs étapes, la dernière étant réalisée au XVIIe siècle. Les jardins sont attribués à Jules Hardouin-Mansard. Il a appartenu ensuite à la famille des marquis de Monteynard. Il fut acquis par Robert Servan-Schreiber en 1925. Il a appartenu ensuite à sa fille, Marie-Claire Mendès France, puis à son petit-fils, Jean-René Claret de Fleurieu, oléiculteur, qui produit notamment une huile d'olive appelée Château de Montfrin. Ce château a également servi de centre de commandement pour la Luftwaffe lors de la Seconde Guerre mondiale. C'était le quartier général de la deuxième division aérienne. Deux généraux s'y sont succédé : Johannes Fink, de au , et ensuite, Hans Korte jusqu'au . Le village fut libéré par les chars de la 1re Armée française du maréchal de Lattre de Tassigny, en l'occurrence un peloton du 5e régiment des Chasseurs d'Afrique commandé par Jean-Claude Servan-Schreiber, fils de Robert.
- Hôtel de Calvières Inscrit MH (2003)[54].
- Inventaire du petit patrimoine[55] :
- Croix de chemins,
- Croix de cimetière,
- Oratoire,
- Fontaines et abreuvoirs,
- Monuments commémoratifs :
- Édicule commémoratif de la République dédié à Marianne
- Édicule commémoratif d'une personnalité dédié au Docteur Larrey,
- Édicule commémoratif dit(e) : Robert Servan Schreiber (1880-1966),
- Monument aux morts[56].
- Le château.
- Cave des vignerons de Montfrin
(années 1920). - Le rucher de Montagnac.
Édifices religieux
- Église Notre-Dame de Malpas de Montfrin. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1926[57] : Elle date du XIIe siècle. L'horloge date de 1901[58],[59].
- Chapelle des Pénitents noirs de Montfrin.
- Vestiges de la commanderie templière Inscrit MH (2003)[60] : ils sont insérés dans le tissu urbain[61].
- Église Notre-Dame de Malpas.
- Intérieur église.
- Commanderie templière.
Patrimoine naturel
- Site de la Baume : très vieilles ruches.
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Personnalités liées à la commune
- Henri Reynaud alias Tartarin, cousin d'Alphonse Daudet. Il lui aurait inspiré le personnage de Tartarin de Tarascon.
- Jean Quittard, journaliste sportif né à Montfrin le .
- Odette Mougneau (1918-2009), dite Aude Sylve, peintre, est inhumée dans cette commune.
- Jean Mouton, ancien président du conseil général et député de la Drôme de 1986 à 1988, qui est né à Montfrin en 1929.
- Ernest Matet, président du Conseil général du Gard. Il fut maire de Montfrin.
- Laurence Chanfro, plasticienne (1959-2012).
- Jean-Claude Servan-Schreiber (1918-2018), y est inhumé.
Héraldique
Blason | ||
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Commanderie de Montfrin, Templière et Hospitalière. Dossier réalisé par Philippe Ritter et Georges Mathon
- La commanderie de l'ordre du temple, Montfrin
- Le Château de Montfrin
- Librairie Hachette et société d'études et de publications économiques, Merveilles des châteaux de Provence, Paris, Collection Réalités Hachette, , 324 p.Préface du Duc de Castries vice-président de l'Association des Vieilles maisons françaises : Languedoc méditerranéen : Montfrin, Louis XIII y pleura la trahison de Cinq-Mars..., pages 276 à 281
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Montfrin, p. 792
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Cavités souterraines
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- « Montfrin (Office de Tourisme du Pont du Gard) », sur www.ot-pontdugard.com (consulté le )
- « Montfrin sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ], sur wikiwix.com (consulté le )
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Occitanie]
- En 1963, Monfrin sert principalement de cadre au tournage du film Maniac de la firme Anglaise de la Hammer. Dans le film il est cependant question de Saint Gironde au lieu de Monfrin.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- L'atlas des paysages du Languedoc-Roussillon : Les paysages et la géologie
- Ouvrage lié à l'alimentation en eau dit(e) : Guérite
- L'eau dans la commune
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Meynes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montfrin et Meynes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Meynes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montfrin et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Transports à la demande Communauté de Communes du Pont du Gard
- Réseau de bus départemental Edgard
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Montfrin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Modification du PLU le 26/07/2013
- Le référent aménagement de l’Uzège - Pont du Gard}
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français, Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, notice BnF no FRBNF37258238), p. 365, t. 2
- Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (notice BnF no FRBNF30500934), p. 141
- « Montfrin : le conseil municipal s'est installé », Midi Libre, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- École maternelle dite Suzanne Crémieux
- École élémentaire dite Armand Peyrot
- Écoles
- Établissements d'enseignements
- Professionnels de santé
- Église: Notre Dame de Malpas
- Église de Montfrin
- Édifice sportif (Arènes)
- Correspondant Midi-Libre
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Le Rucher Troglodyte de Montfrin
- Cave des Vignerons de Montfrin
- Cave de Montfrin - Histoires Naturelles
- Moulin à vent
- Commerces et services de proximité
- Pays Uzège / Pont-du-Gard
- Notice no PA00103083, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA30000049, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Inventaire du petit patrimoine du Pays Uzège-Pont du Gard Montfrin
- Inventaire du petit patrimoine du Pays Uzège-Pont du Gard, Monument aux morts de la guerre de 14-18
- Notice no PA00103084, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Les horloges de l'église, pp. 13-14
- Usine d'horlogerie Arsène Cretin-l'Ange, actuellement usine de matériel d'équipement industriel des Anciens Ets Charles Peccaud
- Notice no PA30000048, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La commanderie de Montfrin », sur www.persee.fr (consulté le ).
- L'armorial des villes et des villages de France
- Site officiel de la ville de Montfrin
- Portail des communes de France
- Portail du Gard