Montfrin

Montfrin est une commune française située dans le département du Gard en région Occitanie.

Montfrin

Château de Montfrin

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté de communes du Pont du Gard
Maire
Mandat
Éric Tremoulet
2020-2026
Code postal 30490
Code commune 30179
Démographie
Population
municipale
3 176 hab. (2018 )
Densité 208 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 52′ 36″ nord, 4° 35′ 39″ est
Altitude Min. 7 m
Max. 78 m
Superficie 15,29 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Montfrin
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Redessan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Montfrin
Géolocalisation sur la carte : Gard
Montfrin
Géolocalisation sur la carte : France
Montfrin
Géolocalisation sur la carte : France
Montfrin
Liens
Site web montfrin.com

    Géographie

    Localisation

    Commune membre de la Communauté de communes du Pont du Gard, située entre le Rhône et le Gardon.

    Géologie

    Pendant l’Ère secondaire[1], au crétacé, il y a -130M. d'années, la Méditerranée, les Pyrénées et les Alpes n'existaient pas. Notre région était occupée par un immense océan. La profondeur était variable et permettait la vie de récifs de coraux et d'animaux à squelette calcaire. Les déchets s'accumulaient sur le fond. Ils ont été transformés en une roche dure et compacte qui forme l'essentiel de nos garrigues et qu'on retrouve chez nous sous des roches plus récentes : le calcaire.

    Au Miocène -28M. d'années, le plissement pyrénéo-provençal se produit, la mer est toujours là et nous nous trouvons sur un rivage attesté par la présence de roches à pholades visibles près des Orgnes.

    La profondeur de l'eau permet le dépôt de sédiments mélangés argile et calcaire qui formeront une roche plus ou moins tendre, la molasse. On la retrouve à la Beaume, à Saint Roman… On peut la creuser et elle durcit à l'air.

    Au pliocène -12M. d'années, l'eau revient. C'est de l'argile qui se dépose de façon irrégulière. C'est l'argile bleue que nous connaissons bien, colorée par des oxydes ferreux (bleus) qui s'oxydent à l'air devenant jaunes (oxydes ferriques).

    Enfin, il y a 1M. d'années, les montagnes, Alpes et Pyrénées, sont sorties de l'eau bousculant les terrains du massif central. L'eau des océans s'est retirée. Les terres de nos régions sont émergées bordant la Méditerranée.

    Un fleuve puissant coule depuis les Alpes - le Rhône - il emprunte une zone de failles (vallée du Rhône). Son delta est immense et il dépose des sédiments en divaguant entre Marseille et Montpellier. Ce sont des galets de quartzites rougeâtres et des alluvions argilo-calcaire : c'est le Gress que nous retrouvons sur nos plateaux. Nous sommes à l’ère IV, au villafranchien.

    Lorsqu'il pleut, l'eau acidifiée par le CO2 de l'air s'infiltre dans le Gress et dissout le calcaire qu'elle entraîne jusqu'à la couche d'argile. Là arrêt de la circulation : le calcaire entrainé précipité et forme un ciment très dur, le Tapparas.

    Des variations du niveau de la mer, en particulier son abaissement, ont entraîné un creusement des vallées coupant la série des terrains sous-jacents au Gress puis le dépôt d’alluvions récentes du Gardon et du Rhône au fond des vallées. Des colluvions issues de l'érosion des plateaux se sont déposées sur les bords vallées.

    Hydrographie et relief

    Sur la commune de Montfrin nous disposons de l'eau de trois origines différentes :

    1° les nappes phréatiques du Gardon et du Rhône qui imbibent les terrains autour des rivières et descendent en suivant la pente des vallées (puits de Saint Martin).

    2° Dans le calcaire crétacé se trouve la nappe du Karst. L'eau de pluie s'enfonce et circule dans les failles, fissures et réseaux de cavités du calcaire. Cette eau suit la pente générale de ces terrains et rejoint finalement les nappes phréatiques des rivières. elle forme des veines dans la plaine entre les pentes des plateaux et le Gardon.

    C'est là que les anciens ont foré leurs puits et ont permis l’établissement des Mas.

    3° l'eau de pluie sur le Gress s'enfonce dans ce terrain meuble mais est arrêtée par la couche d'argile qu'elle suit jusqu’à ce qu'elle affleure à la surface et coule à l’extérieur. C'est l'origine des sources du Réal, des Orgnes, de Césérac, de la Malautiére et de Saint Jean.

    Ouvrage lié à l'alimentation en eau dit Guérite[2].

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 690 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[4].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Meynes », sur la commune de Meynes, mise en service en 1966[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 15 °C et la hauteur de précipitations de 734,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 19 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[13], à 15,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[15].

    Axes ferroviaires

    Transports en commun

    • Transports à la demande[16].
    • Réseau de bus départemental Edgard[17].

    Transports aériens

    Les aéroports les plus proches sont :

    Urbanisme

    Typologie

    Montfrin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montfrin, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[21] et 12 300 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[22],[23]. La commune est en outre hors attraction des villes[24],[25].

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme depuis le qui définit les règles d'urbanisme du village[26]. Il s'inscrit dans le SCOT Uzège / Pont-du-Gard[27].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40,7 %), zones agricoles hétérogènes (37 %), zones urbanisées (7,6 %), forêts (5,7 %), terres arables (4,7 %), eaux continentales[Note 4] (3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Provençal Mount-Frin, du roman Monfrin, du bas latin Mons Frenus, Mons Frinus[29].

    Les habitants sont appelés les Montfrinois et les Montfrinoises.

    Histoire

    Moyen Âge

    Le village est mentionné Castrum de Montfrin en 1196, puis Locus Montis-Frini en 1461[30].

    Politique et administration

    Histoire des maires

    Origine, ancien Régime : on parle d’échevins, conseillers, Maire perpétuel, alternatif mitriennal.

    • De 1789 à 1799 : Révolution française, Première République, Directoire, les maires sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles.
    • De 1799 à 1848 : Consulat, Premier Empire, Restauration, Monarchie de Juillet, les maires sont nommés par le préfet.
    • Du à 1851 : Seconde République, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
    • De 1851 à 1871 : Second Empire, les maires sont nommés par le préfet.
    • De 1871 à aujourd'hui, les maires sont élus par le conseil municipal.

    Liste

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1er août 1944 19 février 1945 Robert Servan-Schreiber   Président de la délégation
    20 février 1945 12 mai 1945 Albert Malafosse   Président de la délégation municipale
    13 mai 1945 1953  ?    
    1953 1959 Robert Servan-Schreiber    
    1959 25 mars 1965 Ernest Matet SFIO Président du conseil général du Gard (1951 → 1957)
    26 mars 1965 12 mars 1983 André Domergue DVG  
    13 mars 1983 17 juin 1995 Jean-Marie Biot PS  
    18 juin 1995 1998 René Trébillon    
    1998 15 mars 2008 Jean-Marie Biot PS  
    16 mars 2008 26 mai 2020 Claude Martinet DVD Cadre
    Président de la CC du Pont du Gard (2014 → 2020)
    26 mai 2020[31] En cours Éric Tremoulet SE Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Pyramide des âges

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

    En 2018, la commune comptait 3 176 habitants[Note 5], en diminution de 0,35 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 9601 9992 0492 2412 3312 4102 5162 5442 639
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 6782 6672 5802 4162 5412 5612 5452 5172 258
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1452 1352 1241 7081 6391 6121 6731 6471 616
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 7792 0552 0892 4042 6852 9343 0533 1173 211
    2018 - - - - - - - -
    3 176--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • École maternelle[36], élémentaire[37] et primaire[38].
    • Collèges à Aramon, Remoulins, Beaucaire[39],
    • Lycées à Meynes, Beaucaire, Tarascon.

    Santé

    Professionnels de santé sur la commune[40].

    Cultes

    Culte catholique, Paroisse d'Aramon, Diocèse de Nîmes - Uzès - Alès[41],[42].

    Sports

    • Arènes ou se déroulent les courses camarguaises en été[43]..
    • Stade Municipal.
    • Tennis Club.
    • Skatepark.
    • Parcours de santé du Gardon.
    • Boulodromes
    • Piste de BMX

    Médias

    La commune bénéficie d'un correspondant local Midi-Libre, depuis le , il s'agit de Monsieur Antoine Pierron[44].

    Économie

    Budget et fiscalité 2016

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[45] :

    • total des produits de fonctionnement : 2 781 000 , soit 860  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 2 723 000 , soit 749  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 772 000 , soit 239  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 952 000 , soit 294  par habitant.
    • endettement : 3 184 000 , soit 985  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 14,23 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 26,51 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 60,00 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 991 [46].

    Agriculture

    • Le rucher de Montagnac[47].
    • Société coopérative agricole cave intercommunale des vignerons de Montfrin, Meynes, Comps et Théziers[48] Vins Côtes-du-rhône (AOC).
    • Le Mammouth (squelette) à la cave vinicole[49].
    • Moulin à vent[50].

    Commerces, artisanat et industrie

    Commerces et services de proximité[51].

    Tourisme

    Outre la richesse de son patrimoine, la proximité du Pont du Gard (10 km des villes de Nîmes et d’Avignon (moins de 20 km) lui offre des atouts touristiques supplémentaires au sein du PETR (Pôle d'Équilibre Territorial et Rural)[52].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices et patrimoine civils

    • Château  Classé MH (1985)[53] : Il y eut en premier lieu un château ou une tour romaine. Le château lui-même fut construit en plusieurs étapes, la dernière étant réalisée au XVIIe siècle. Les jardins sont attribués à Jules Hardouin-Mansard. Il a appartenu ensuite à la famille des marquis de Monteynard. Il fut acquis par Robert Servan-Schreiber en 1925. Il a appartenu ensuite à sa fille, Marie-Claire Mendès France, puis à son petit-fils, Jean-René Claret de Fleurieu, oléiculteur, qui produit notamment une huile d'olive appelée Château de Montfrin. Ce château a également servi de centre de commandement pour la Luftwaffe lors de la Seconde Guerre mondiale. C'était le quartier général de la deuxième division aérienne. Deux généraux s'y sont succédé : Johannes Fink, de au , et ensuite, Hans Korte jusqu'au . Le village fut libéré par les chars de la 1re Armée française du maréchal de Lattre de Tassigny, en l'occurrence un peloton du 5e régiment des Chasseurs d'Afrique commandé par Jean-Claude Servan-Schreiber, fils de Robert.
    • Hôtel de Calvières  Inscrit MH (2003)[54].
    • Inventaire du petit patrimoine[55] :
      • Croix de chemins,
      • Croix de cimetière,
      • Oratoire,
      • Fontaines et abreuvoirs,
    • Monuments commémoratifs :
      • Édicule commémoratif de la République dédié à Marianne
      • Édicule commémoratif d'une personnalité dédié au Docteur Larrey,
      • Édicule commémoratif dit(e) : Robert Servan Schreiber (1880-1966),
      • Monument aux morts[56].

    Édifices religieux

    Patrimoine naturel

    Personnalités liées à la commune

    • Henri Reynaud alias Tartarin, cousin d'Alphonse Daudet. Il lui aurait inspiré le personnage de Tartarin de Tarascon.
    • Jean Quittard, journaliste sportif né à Montfrin le .
    • Odette Mougneau (1918-2009), dite Aude Sylve, peintre, est inhumée dans cette commune.
    • Jean Mouton, ancien président du conseil général et député de la Drôme de 1986 à 1988, qui est né à Montfrin en 1929.
    • Ernest Matet, président du Conseil général du Gard. Il fut maire de Montfrin.
    • Laurence Chanfro, plasticienne (1959-2012).
    • Jean-Claude Servan-Schreiber (1918-2018), y est inhumé.

    Héraldique

    Blason
    D'or au monde d'azur, cintré et croisé d'argent, soutenu de l'inscription MONSFRINUS en lettres capitales de sable[62],[63].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. L'atlas des paysages du Languedoc-Roussillon : Les paysages et la géologie
    2. Ouvrage lié à l'alimentation en eau dit(e) : Guérite
    3. L'eau dans la commune
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Meynes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Montfrin et Meynes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Meynes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Montfrin et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. Transports à la demande Communauté de Communes du Pont du Gard
    17. Réseau de bus départemental Edgard
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Unité urbaine 2020 de Montfrin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    22. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. Modification du PLU le 26/07/2013
    27. Le référent aménagement de l’Uzège - Pont du Gard}
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français, Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, notice BnF no FRBNF37258238), p. 365, t. 2
    30. Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (notice BnF no FRBNF30500934), p. 141
    31. « Montfrin : le conseil municipal s'est installé », Midi Libre, (lire en ligne).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. École maternelle dite Suzanne Crémieux
    37. École élémentaire dite Armand Peyrot
    38. Écoles
    39. Établissements d'enseignements
    40. Professionnels de santé
    41. Église: Notre Dame de Malpas
    42. Église de Montfrin
    43. Édifice sportif (Arènes)
    44. Correspondant Midi-Libre
    45. Les comptes de la commune
    46. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    47. Le Rucher Troglodyte de Montfrin
    48. Cave des Vignerons de Montfrin
    49. Cave de Montfrin - Histoires Naturelles
    50. Moulin à vent
    51. Commerces et services de proximité
    52. Pays Uzège / Pont-du-Gard
    53. Notice no PA00103083, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    54. Notice no PA30000049, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. Inventaire du petit patrimoine du Pays Uzège-Pont du Gard Montfrin
    56. Inventaire du petit patrimoine du Pays Uzège-Pont du Gard, Monument aux morts de la guerre de 14-18
    57. Notice no PA00103084, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    58. Les horloges de l'église, pp. 13-14
    59. Usine d'horlogerie Arsène Cretin-l'Ange, actuellement usine de matériel d'équipement industriel des Anciens Ets Charles Peccaud
    60. Notice no PA30000048, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    61. « La commanderie de Montfrin », sur www.persee.fr (consulté le ).
    62. L'armorial des villes et des villages de France
    63. Site officiel de la ville de Montfrin
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