Mayac
Mayac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Mayac | ||
L'église de Mayac. | ||
Administration | ||
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Pays | France | |
Région | Nouvelle-Aquitaine | |
Département | Dordogne | |
Arrondissement | Nontron | |
Intercommunalité | Communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord | |
Maire Mandat |
Jean-Michel Quéméré 2020-2026 |
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Code postal | 24420 | |
Code commune | 24262 | |
Démographie | ||
Gentilé | Mayacois | |
Population municipale |
344 hab. (2018 ) | |
Densité | 30 hab./km2 | |
Géographie | ||
Coordonnées | 45° 16′ 49″ nord, 0° 56′ 38″ est | |
Altitude | Min. 110 m Max. 230 m |
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Superficie | 11,28 km2 | |
Unité urbaine | Commune rurale | |
Aire d'attraction | Périgueux (commune de la couronne) |
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Élections | ||
Départementales | Canton Isle-Loue-Auvézère | |
Législatives | Troisième circonscription | |
Localisation | ||
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | ||
Site web | mayac.fr | |
Géographie
Généralités
Au nord-est du département de la Dordogne, incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1] et faisant partie du canton de Savignac-les-Églises, la commune de Mayac est traversée du nord-est à l'ouest par l'Isle, principal affluent de la Dordogne.
L'altitude minimale, 110 mètres, se situe à l'ouest du lieu-dit Pomerède, là où l'Isle quitte la commune pour entrer sur celle de Savignac-les-Églises. Le point culminant, avec 230 mètres, se trouve au sud, près du lieu-dit Loubatau, en limite de la commune de Savignac-les-Églises.
Le village de Mayac est situé, en distances orthodromiques, 11 kilomètres au sud-ouest d'Excideuil et 20 kilomètres au nord-ouest de Périgueux, sur la route départementale 4.
La commune est également desservie par la route départementale 705 (ancienne route nationale 705) qui longe la vallée de l'Isle.
Communes limitrophes
Mayac est limitrophe de trois autres communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[8] et qui se trouve à 29 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 48 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Mayac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,1 %), zones agricoles hétérogènes (28,6 %), terres arables (14,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), prairies (0,6 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2016 pour l'Isle en amont de Trélissac, impactant les rives de ce cours d'eau qui traverse la commune du nord-est àl'ouest[21],[22].
Toponymie
Mayac tirerait son origine de Maius, nom de personne gallo-roman[23].
C'est en 1120, dans une bulle du pape Calixte II[24], qu'apparaît pour la première fois dans un écrit le nom de la paroisse Sanctus Saturninus de Majac[23], dépendant de Tourtoirac[24].
Histoire
Au Moyen Âge, Mayac dépendait de la châtellenie d'Ans[24].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune de Mayac a, dès 1790, été rattachée au canton de Savignac qui dépendait du district d'Excideuil jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton de Savignac, renommé en canton de Savignac-les-Églises, est rattaché à l'arrondissement de Périgueux[26].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , le canton de Savignac-les-Églises disparaît aux élections départementales de mars 2015[27]. La commune est alors rattachée électoralement au canton Isle-Loue-Auvézère.
En 2017, Mayac est rattachée à l'arrondissement de Nontron[28],[29].
Intercommunalité
Fin 2003, Mayac intègre dès sa création la communauté de communes Causses et Rivières en Périgord dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute le et ses communes — hormis Savignac-les-Églises qui rejoint Le Grand Périgueux — sont rattachées à la communauté de communes du Pays de Lanouaille. En 2017, celle-ci devient, à la suite de regroupements, la communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[30],[31].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Mayac relève[34] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2018, la commune comptait 344 habitants[Note 9], en augmentation de 12,42 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
Mayac et les communes voisines de Coulaures et Savignac-les-Églises sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI Coulaures - Savignac-les-Églises) au niveau des classes de maternelle et de primaire.
Économie
Emploi
En 2015[38], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 157 personnes, soit 48,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-six) a augmenté par rapport à 2010 (quinze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 16,7 %.
Établissements
Au , la commune compte trente établissements[39], dont quatorze au niveau des commerces, transports ou services, sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, trois dans l'industrie, trois dans la construction, et trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[40].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Saturnin du XIIe siècle, inscrite aux monuments historiques depuis 1948 pour son portail et inscrite en totalité depuis 2008[41].
- Château de Mayac du XVIIIe siècle.
- Du château de Sarazac ne subsiste plus qu'une tour du XVe siècle.
Le portail de l'église. Un chapiteau du portail. La façade sud
du château de Mayac.La tour de l'ancien
château de Sarazac.
Patrimoine naturel
Hormis la plaine de l'Isle qui s'étend de 500 mètres à un kilomètre de large suivant les sites, le territoire communal est composé de deux causses de part et d'autre de la rivière.
Ces deux zones calcaires boisées sont classées comme zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II, principalement pour leur flore spécifique :
Distinctions culturelles
Mayac fait partie des communes ayant reçu l’étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.
Voir aussi
Bibliographie
- Eugène Aubisse, L. du Cheyron, « Les grottes inexplorées du Bancheraud » (Les Banchereaux) », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1941, tome 68, p. 198-207 (lire en ligne)
- E. Aubisse, L. du Cheyron, « La Pierre de la Vierge », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1943, tome 70, p. 256-258 (lire en ligne)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Décédé en fonctions.
- De 1915 à 1917 pendant la mobilisation du maire, c'est le premier adjoint, Henri Pouchard, qui a fait fonctions de maire.
- Démissionnaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Coquille - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Mayac et La Coquille », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La Coquille - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Mayac et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- PPR inondation - 24DDT20150057 - Isle amont et Auvézère, DREAL Aquitaine, consulté le 23 mars 2019.
- [PDF] Rivières Isle-amont - Auvézère – Mayac - Plan de prévention du risque inondation p. 8, DREAL Aquitaine, consulté le 23 mars 2019.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, p. 217, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2).
- Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1), p. 260-261.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 10 mars 2014.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
- [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 4 novembre 2020.
- « Bruno Lamonerie a été réélu », Sud Ouest édition Dordogne, 23 juillet 2020, p. 25.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 25.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dossier complet - Commune de Mayac (24262) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 1er décembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Mayac (24262) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 1er décembre 2018.
- « Inscription de l'église de Mayac », notice no PA00082641, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- [PDF] Causse de Cubjac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 août 2013.
- Carte du causse de Cubjac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 août 2013.
- [PDF] Causse de Savignac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 août 2013.
- Carte du causse de Savignac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 août 2013.
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