Famille de Rougé
La famille de Rougé olim des Rues est une famille subsistante de la noblesse française dont la filiation certaine remonte à 1375[3],[4] et qui selon certains auteurs serait issue de la famille de Rougé citée dès le XIIe siècle[4],[5]. Elle donna plusieurs officiers généraux, ainsi que des hommes politiques (pairs de France, députés, sénateurs). Elle prit le nom de Rougé au début du XIVe siècle après l'extinction des branches de la famille de Rougé.
Pour les articles homonymes, voir Rougé (homonymie).
Famille de Rougé | |
Armes | |
Blasonnement | De gueules à la croix pattée (parfois alésée) d'argent[1]. |
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Devise | « Sans Plus » « Rougé rugit mais ne rougit » « Deo Meisque » ((en français : « Pour Dieu et les miens »))[2], |
Lignées | de Rougé (olim des Rues) |
Branches | des Rues de Courtimont, du Plessis-Bellière, de Caylus |
Période | 1375-XXIe siècle |
Pays ou province d’origine | Duché de Bretagne |
Allégeance | Duché de Bretagne Royaume de France |
Fiefs tenus | Les Rues, Courtimont, Faÿ-les-Nemours, Plessis-Bellière |
Demeures | La Motte-Glain, Derval, La Guerche, Les Rues, Faÿ-lès-Nemours, Pontcallec, Sablé-sur-Sarthe, Moreuil, Villers-aux-Erables, Baronville, Tonquédec, Les Essarts, Rostrenen, ... |
Charges | Ambassadeur de France en Angleterre Ambassadeur de France à Modène et à Rome Pair de France (Chambre des pairs) Professeur au Collège de France Députés, Députés aux États généraux de 1789 Plusieurs sénateurs |
Fonctions militaires | lieutenants-généraux Gouverneur du Pays de la Mée, de Saint-Malo, d'Ingrandes, de Givet, de Charlemont, d'Armentières, de Dieppe, du Mans |
Fonctions ecclésiastiques | évêque de Périgueux, Abbés de Bon-Repos |
Récompenses militaires | Plusieurs commandeurs de Saint-Louis Ordre de Saint-Michel Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand Ordre national de la Légion d'honneur Société des Cincinnati |
Preuves de noblesse | |
Admis aux honneurs de la Cour | Honneurs de la Cour |
Origines
Rattachement possible mais non prouvé à l'ancienne famille de Rougé
D'après Henri Jougla de Morenas, les seigneurs des Rues (fief qui dépendait de la seigneurie de La Roche-Diré) affirment avec vraisemblance être issus de la maison de Rougé par Emery, seigneur des Rues, qui aurait été fils de Guillaume, seigneur de Rougé et de Derval, vivant au début du XIVe siècle[4]. Toutefois ce rattachement n'est pas prouvé et cette famille ne prit le nom de Rougé qu'après l'extinction des différentes branches citées ci-dessus, au début du XVe siècle. Sa filiation certaine remonte à Huet, seigneur des Rues, marié en 1375 à Jeanne d'Erbrée[4].
L'ancienne famille de Rougé, citée dès le XIIe siècle, forma plusieurs branches : celle des barons de Derval, vicomtes de La Guerche et de La Roche-Diré, éteints en 1415 ; celle des seigneurs de La Chapelle-Glain, éteinte au début du XVe siècle ; celle des seigneurs de Bouays, éteinte à la même époque[4].
Jullien de Courcelles donne comme premiers auteurs de la famille des Rues, appelée plus tard de Rougé, « Huet des Rues, seigneur des Rues dans la paroisse de Chenillé en Anjou fief qui était un démembrement de la terre de la Rochediré, vivant en 1410. Il fut père de Jean des Rues, seigneur des Rues marié dès l’année 1388 avec Marie de Vrigné. Ceux-ci paraissent avoir eu pour fils Jean II des Rues, seigneur des Rues, marié en 1421 à Jeanne d’Orvaux depuis lequel la filiation est bien prouvée »[6].
Personnalités
Les personnalités issues de cette famille sont :
Famille des Rues d'où l'actuelle famille de Rougé :
- Mathurin Ier de Rougé des Rues (?-1596), seigneur des Rues, de Chenillé, etc. ;
- Pierre François de Rougé (1702-1761), seigneur de La Bellière, du Tremblay, etc., dit « marquis de Rougé, baron de Coëtmen », lieutenant général des armées ;
- Gabriel-Louis de Rougé (1729-1772), successivement abbé de Rougé, grand-vicaire de Séez, et évêque de Périgueux (1772) ;
- Bonabes Alexis de Rougé (1751-1783) ;
- Bonabes Louis Victurnien Alexis de Rougé (1778-1839), pair de France, président du collège électoral du département de la Somme en 1823 et 1827, maire de Moreuil de 1808 à 1829. Nommé maréchal de camp en août 1830 ;
- Adrien de Rougé (1782-1838), comte de Rougé et pair de France (1830), député du département de la Somme de 1815 à 1816 et de 1824 à 1827, chef de l'organisation des chevaliers de la Foi (1822) et lieutenant-colonel de l'état-major de la 1re division militaire à Paris ;
- Henri Marie Bonabes Victurnien, marquis de Rougé (1842-?), engagé aux Zouaves pontificaux le , chevalier de la Légion d'honneur et de divers ordres étrangers, se bat en duel en 1867 contre le prince Achille Murat.
Première branche du Plessis-Bellière, éteinte en 1794
- Jacques de Rougé du Plessis-Bellière (1602-1654), général français ;
- Suzanne du Plessis-Bellière ;
- Innocente-Catherine de Rougé du Plessis-Bellière, par son 2e mariage duchesse d'Elbeuf, princesse de Lorraine-Guise et du Saint-Empire (1707-1794).
Rameau dit des « marquis de Cholet », éteint en 1786
- Gabriel François de Rougé (1729-1786), dit « le marquis de Cholet », général français, bienfaiteur de la ville de Cholet[7].
Branche cadette, dite "seconde branche du Plessis-Bellière", subsistante
- François Pierre Olivier de Rougé (1756-1816), général, député de la noblesse de sa sénéchaussée aux États généraux de 1789 ;
- Emmanuel de Rougé, « vicomte de Rougé », égyptologue, successeur de Champollion (1811-1872) ;
- Alain de Rougé (1871-1936), blessé au combat le , conseiller général et député de la Sarthe ;
- Arthur de Rougé (1844-1913), comte de Rougé, duc espagnol de Caylus et grand d'Espagne de première classe en 1893 (par héritage de la famille Robert de Lignerac). Après sa fille, qui lui succéda dans la grandesse d'Espagne, le titre de duc de Caylus passa en Espagne à la famille de Dampierre, qui en fut déchue[4] ;
- Olivier de Rougé, « vicomte de Rougé », sénateur, créateur de la race bovine Rouge des Près (1862-1932) ;
- Bonabes de Rougé (1891-1975), secrétaire général des Ligues de la Croix-Rouge de 1936 à 1957 ;
- Charles de Rougé, « vicomte de Rougé » (1892-1983), aviateur et inventeur, notamment de l'avion Élytroplan ;
- Charles-Armand de Rougé, « vicomte de Rougé » (1918-1940), - fils de Bonabes de Rougé -, aspirant officier français mort pour la France à Château-Thierry le [8].
Galerie de portraits
Jacques de Rougé du Plessis-Bellière, marquis de Faÿ-lès-Nemours et du Plessis-Bellière, général - François-Henri de Rougé, marquis du Plessis-Bellière, maréchal de camp
- Marie-Thérèse d'Albert d'Ailly de Chaulnes, marquise du Plessis-Bellière, épouse de Louis de Rougé du Plessis-Bellière, par Carmontelle
Pierre-François de Rougé, marquis de Rougé et baron de Coëtmen, lieutenant-général Marie Claude Jeanne Julie de Coëtmen, marquise de Rougé, baronne de Coëtmen François-Pierre-Olivier de Rougé (1756-1816), comte de Rougé et du Plessis-Bellière, marquis du Faÿ La marquise de Pezay et la marquise de Rougé avec ses fils Alexis et Adrien par Elisabeth Vigée-Lebrun, 1787 Natalie Victurnienne de Rochechouart de Mortemart, marquise de Rougé, par Élisabeth Vigée Le Brun Bonabes Louis Victurnien Alexis de Rougé, marquis de Rougé et baron de Coëtmen, pair de France Alexandrine Celestine Zoé Emmanuelle Thimarette de Crussol d'Uzès, marquise de Rougé Bonabes Louis Victurnien Alexis de Rougé en août 1815 à la Chambre des pairs Hervé de Rougé, comte de Rougé et marquis du Plessis-Bellière Le comte Bertrand de Rougé, mort pour la France à la fin de la Première Guerre mondiale Emmanuel de Rougé, vicomte de Rougé, égyptologue et professeur au Collège de France, par Eugène Giraud - Adolphe de Rougé, comte de Rougé et du Plessis-Bellière, marquis de Faÿ, par Charles Gomien
- Marie de Saint-Georges de Vérac, comtesse Adolphe de Rougé et du Plessis-Bellière, marquise de Faÿ, par Charles Gomien
le vicomte Robert de Rougé, peintre - Arthur de Rougé, comte de Rougé et du Plessis-Bellière, duc de Caylus et grand d'Espagne
Le vicomte Charles Armand de Rougé, tué en 1940 à Chateau-Thierry.
Régiments de Rougé
Différents membres de la famille de Rougé ont été à la tête de plusieurs régiments :
- le régiment de Plessis-Bellière cavalerie: 1652-1654, avec à sa tête Jacques de Rougé du Plessis-Bellière ;
- le régiment du Plessis-Bellière : 1675-1692, avec à sa tête Henri-François de Rougé, marquis du Plessis-Bellière ;
- le régiment d'Angoumois : 1702-1707, avec à sa tête Jean-Gilles de Rougé, marquis du Plessis-Bellière ;
- le régiment de Vexin : 1722-1732, avec à sa tête Louis de Rougé, marquis du Plessis-Bellière ;
- le régiment de Foix : 1758-1761, avec à sa tête Gabriel-François de Rougé, comte de Rougé et marquis de Cholet ;
- le Régiment de Rougé : 1761-1763, avec à sa tête Gabriel-François de Rougé, comte de Rougé et marquis de Cholet ; régiment dédoublé pour donner le régiment de Cambrésis ;
- le régiment de Bresse : 1788-1791, avec à sa tête François-Pierre-Olivier de Rougé, comte du Plessis-Bellière.
Seigneuries possédées par la famille de Rougé
La famille de Rougé posséda les seigneuries suivantes : Les Rues, Le Plessis-Bellière, Chenillé-Changé, La Guerche (Anjou), Moreuil, Villers-aux-Érables, Guyencourt, Faÿ-lès-Nemours, Courtimont, Le Plessis-Courtimont, Roisson, Les Touches, Le Theil-de-Bretagne, Le Teilleul, La Mauvesière, Le Bignon, Sainte Scolace, Vauregnoust, Lorière, Marigné, Le Plessis-Gaudin, La Bellière, Le Bois, La Cour-du-Bois, Maigné, Chigné, Les Mortiers, Dissé, La Courtaillé, La Gauberdière, Les Feuges, Launay, Le Bouays, La Chapelle-Glain, Neuville, La Roche d'Iré, Cinq-Mars-la-Pile, Rouaibile, La Cornouaille, Pontcallec, Gastines, Valençon, Saint-Pierre-Montlimart, La Frébaudière, Langeron, Le May, Montfaucon, Vienne-le-Château, Cholet, Chemillé, Le Tremblay, La Cour de La Raye, Rostrenen, Kerjean, Hervillé, Moyencourt, Hardecourt-aux-Bois, La Maison-Rouge, etc.[réf. souhaitée]
Châteaux de la famille de Rougé
La famille de Rougé posséda les châteaux de : Bois-Dauphin à Précigné, Sablé-sur-Sarthe, Moreuil, Guyencourt-sur-Noye, Villers-aux-Érables, Coetmen, en Tréméven, Tonquédec, Baronville, Dinteville, La Maison-Rouge, Mesnil-Voysin, Bonaban, La Bellière, Le Charmel, La Guerche, Roche d'Iré, Courtimont, Faÿ-lès-Nemours, Pontcallec, Tremblay-sur-Mauldre, Rostrenen, Kerjean, Saint-Symphorien-des-Monts, Tressé, Les Essarts, en Vendée, Les Bouysses, dans le Quercy, etc.
- Château de Derval (Tour Saint Clair)
- Château des Rues à Chenillé-Changé
- Château de la Guerche
- Château de Tressé
- Château de Tonquédec
- Château de Dinteville
- Château de Baronville
- Château de Sablé-sur-Sarthe
- Château de Faÿ-les-Nemours
- Château de Mesnil-Voisin
- Château du Tremblay-sur-Mauldre
- Château des Essarts en Vendée
- Château de La Motte-Glain
- Château de Guyencourt-sur-Noye, dit "La Rougédière"
- Château de La Vallière
- Château de Wideville
- Château de la Maison-Rouge
- Château de Bois-Dauphin à Précigné
- Le château de Moreuil resta dans la famille de Rougé de 1712 à 1890
Armes
De gueules à la croix pattée d'argent[1],[4],[9]
Entourée d'un manteau et bonnet de pourpre (pour la pairie de France) au vol issant de cygne.
Supports : deux lions d'or tenant deux bannières, l'une de gueules à la croix pattée d'argent, l'autre d'hermines plain.
Arthur de Rougé (1844-1913), duc espagnol de Caylus (1893-1913), ainsi que sa fille, "duchesse de Caylus et grande d'Espagne", timbrèrent d'une couronne ducale[10]
Cri : "Hary Avant" ! Devises : "Rugit mais ne rougit", "Deo meisque" (pour Dieu et les miens), "Sans Plus"
- De gueules à la croix pattée d'argent.
- Armes portées par Arthur de Rougé (1844-1913), duc de Caylus (1893-1913).
- Armoiries de Bonabes Louis Victurnien Alexis, marquis de Rougé et Pair de France
Titres
La famille de Rougé porta différents titres de noblesse, dont celui de « marquis de Plessis-Bellière »[11] pour une branche éteinte (qui était en réalité lié au marquisat de Faÿ-lès-Nemours), et reçut les titres suivants :
- pair de France en 1815[4] ;
- marquis-pair en 1817, confirmé en 1825[4] ;
- pair de France en 1827 confirmé baron-pair en 1830[4].
La famille de Rougé est membre de la Société des Cincinnati, comme issue d'un officier ayant contribué à l'indépendance des États-Unis d'Amérique.
Postérité
Le nom de la famille de Rougé a été donné à certains lieux publics :
- la place de Rougé et les arcades Rougé, à Cholet ;
- la rue Alain-de-Rougé, à Sablé-sur-Sarthe ;
- la rue du Comte-Claude-de-Rougé, à Béville-le-Comte ;
- la rue Armand-de-Rougé, à Essarts-en-Bocage ;
- le pont Aspirant-de-Rougé (du nom du vicomte Charles-Armand de Rougé), à Château-Thierry ;
- la rue Olivier-de-Rougé, à Château-Gontier ;
- la caserne Rougé, la plus longue de France avant son bombardement en 1916 ;
- le stade Alain-de-Rougé, à Précigné.
Principales alliances de la famille de Rougé (olim des Rues)
d'Erbrée (1375), de Vrigné (1388), d'Orveaux (1421), du Boys (1447), d'Anès (1477), Foureau (1510), du Vieille (1554), de la Cour (1589), Jousseaume (1637), Petiteau (1683), de Chérité (1660), Prezeau de Guilletière (1700), de Coëtmen (1749), de Rochechouart de Mortemart (1777), de Crussol d'Uzès (1804), de Sainte-Maure-Montausier, Cadeau d'Acy, de Colbert-Chabanais, (1880), Martel (1896), de Cardevac d'Havrincourt, de Pastoret, de Francqueville (1842), Niverlet, de Kérouartz, de Forbin d'Oppède (1809), de Tramecourt (1828), de Beauffort (1874), Budes de Guébriant (1839), de Nicolaï (1872), Robert de Lignerac de Caylus (1779), de La Porte de Riantz (1808), de Saint-George de Vérac (1833), de Rohan-Chabot (1880), de Ganay, Hutteau d'Origny (1869), Maigne de La Gravière (1872), de Lespinay (1850), Ferron de La Ferronnays (1888), de Charnières (1857), d'Oilliamson, de Malortie etc.[4].
de Beaumanoir, de Beauregard, de Châteaubriant, de Clermont-Tonnerre, de Walsh-Serrant, de Neuville, de Gastines, de Tournemine de la Hunaudaye, de Coëtquen, de Penhoët, de Sesmaisons, du Pouget de Nadaillac, de Malet de La Garde, de La Tour du Pin Chambly de La Charce, de Mandat-Grancey, de Nettancourt-Vaubécourt, de Cornouaille, d'Andigné, de Maigret, de Pomereu d'Aligre, de Pierre de Bernis Calvière, de Quatrebarbes, de Boisgelin, de La Ville de Baugé, de Cassagnes de Beaufort, de Blocquel de Croix de Wismes, de La Panouse, de Sonis, de Cossé-Brissac, de Maupeou d'Ableiges, de Certaines (1854)[12], Colonna-Walewski, de Bruc de Montplaisir, de Kerhoant de Coëtanfao, de Savonnières, Lefebvre de Laboulaye, etc.[réf. souhaitée]
Pour approfondir
Bibliographie
- Henri Jougla de Morenas, Raoul de Warren, Grand armorial de France, vol. 6, Société du Grand armorial de France, (lire en ligne [PDF]), p. 74
- Jean-Baptiste Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France, volume 8, pages 216-220.
- Catalogue de la noblesse française de Régis Valette
- Dom Lobineau,, Mémoire pour servir de preuves à l'Histoire de la Bretagne
- Courcelles, Chevalier de, Histoire de la Maison de Rougé, Béthune, 1830.
- Borel d'Hauterive, André, Notice historique et généalogique sur la Maison de Rougé, Annuaire de la Noblesse de France, 1880.
- Rougé, Vicomte Olivier de, Histoire Généalogique de la Maison de Rougé, Chartier Vendôme, 1908.
- Wismes, Armel de, Ainsi vivaient les Français, Jean-Pierre Gyss éditeur, 2001.
- Rougé, Comte Bertrand de, Le Château de Tonquédec, Éditions Ouest-France, 2000.
- Morand, Paul, Fouquet ou le Soleil Offusqué.
- Bazin, Raymond, La Fronde en Normandie, Dieppe, 1907.
- Almanach de Gotha
- Bottin mondain
- Dominique Perrin, Histoire des Caylus, 2002[13]
- Dominique de La Barre de Raillicourt, Les Titres authentiques de la noblesse en France, Éditions Perrin, 2004.
- Quid, différentes années.
Articles connexes
Liens externes
- Les papiers personnels de la famille de Rougé sont conservés aux Archives nationales sous la cote 499AP Archives nationales.
Notes et références
- Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. 1 et 2, Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887
- Noblesse de Bretagne, hier et aujourd'hui, par Jean de Saint-Houardon. Mémoire et Documents, 2005.
- Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, éditions Robert Laffont, 2007, page 169.
- Henri Jougla de Morenas, Raoul de Warren, Grand armorial de France, vol. 6, Société du Grand armorial de France, (lire en ligne [PDF]), p. 74
- Frédéric Morvan la Chevalerie de Bretagne et la formation de l'armée ducale 1260-1341 Presses Universitaires de Rennes, Rennes 2009, page 144, (ISBN 9782753508279).
- Jean-Baptiste Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France, volume 8, page 220..
- Mickaël Leclerc, « Cholet doit un Grand Merci au Comte de Rougé », Mauges et Bocage, (lire en ligne, consulté le ).
- crdp.ac-amiens.fr.
- E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 878.
- Noblesse de Bretagne, hier et aujourd'hui, par Jean de Saint-Houardon. Mémoire et Documents, 2005
- Le Bulletin héraldique de France, 1890, page 446.
- Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, impr. de C. Hérissey, 1903-1929, tome 9, p.142
- catalogue.bnf.fr
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