Lucy (film, 2014)
Lucy est un film de science-fiction français écrit et réalisé par Luc Besson et sorti en 2014. Il met en scène Scarlett Johansson et Morgan Freeman dans les rôles principaux. Partant du postulat que l'être humain n'utilise que 10 % des capacités de son cerveau, le film décrit ce qui arrive à une jeune étudiante de 25 ans, Lucy, dès lors qu'on lui a injecté dans le bas-ventre une drogue expérimentale qui décuple ses capacités cérébrales.
Cet article concerne le film de Luc Besson. Pour le film de Henner Winckler, voir Lucy.
Pour les articles homonymes, voir Lucy.
Réalisation | Luc Besson |
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Scénario | Luc Besson |
Musique | Éric Serra |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Canal+ Ciné+ EuropaCorp TF1 Films Production |
Pays d’origine | France |
Genre | science-fiction |
Durée | 90 minutes |
Sortie | 2014 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Fin 2014, Lucy devient le plus gros succès du cinéma français à l'étranger avec 53,5 millions d'entrées[1], devant Taken 2 (47,8 millions), Le Cinquième Élément (35,7 millions) également réalisé par Luc Besson et Intouchables (31,9 millions), avec 58,7 millions de billets vendus dans le monde dont 5,2 millions d'entrées en France[2].
Synopsis
Lucy Miller est une jeune femme vivant à Taipei (Taiwan). Prise dans un guet-apens par la mafia coréenne, elle est contrainte de faire la « mule » pour des trafiquants de drogue qui insèrent un paquet de poudre bleue dans son ventre, le CPH4, produit de synthèse expérimental. Elle est ensuite enfermée et violentée dans une cellule ; son agresseur la renverse à terre d'un coup de poing au visage puis lui donne des coups de pied à l'abdomen, ce qui déchire le paquet. La substance se répand dans son corps. Cela décuple ses facultés psychiques[3]. Dès lors elle acquiert un savoir et des pouvoirs illimités, contrôle les ondes, l'électricité, la matière, le temps, le sommeil, peut changer d'apparence et acquiert des pouvoirs télékinétiques et télépathiques.
Elle se rapproche du professeur Samuel Norman, spécialiste du cerveau qui a théorisé les possibilités humaines si plus de 10 % des capacités cérébrales étaient utilisées. Au cours du film, va s'afficher, à l'écran, la progression des capacités cérébrales de Lucy. Celle-ci rejoint le professeur Norman à Paris et doit affronter la mafia coréenne menée par son chef sanguinaire, monsieur Jang.
Trois autres « mules » ont été chargées de CPH4 à Taipei pour apporter la drogue en Europe. Lucy aide les forces de police à les retrouver toutes, et à l'issue d'un affrontement contre les mafieux coréens qu'elle maîtrise d'un geste, elle récupère les trois paquets et se fait injecter la totalité du produit afin que son cerveau parvienne à 100 % d'utilisation. Elle comprend dès lors le sens et l'origine de l'existence, de l'univers, puis une substance noire jaillit de ses membres, fabriquant un superordinateur organique dans les locaux de la Sorbonne devant Norman et plusieurs de ses collègues ébahis, afin de leur transmettre tout son savoir. Dans le même temps, elle se met à voyager à travers le temps et l'espace, revient trois millions d'années en arrière et rencontre un des plus anciens hominidés connus, l'Australopithecus afarensis Lucy. Elles se touchent l'index, comme dans la fresque peinte au plafond de la Chapelle Sixtine, Création d'Adam de Michel-Ange.
À la Sorbonne, les coups de feu pleuvent entre les mafieux coréens et la police française. Monsieur Jang parvient jusqu'à la pièce où se trouve Lucy et lui tire dessus, mais à l'instant où les balles devraient la toucher, celle-ci disparaît dans le continuum espace-temps. Le commissaire Del Rio de la police française abat finalement monsieur Jang, tandis que l'ordinateur organique fournit une clé USB contenant tout le savoir de Lucy au professeur Norman avant de se dissoudre. Lorsque Del Rio demande où est passée Lucy, il reçoit instantanément un SMS : « Je suis partout. » La caméra s'élève au-dessus du cadavre de monsieur Jang et la voix de Lucy retentit : « La vie nous a été donnée il y a un milliard d'années. Maintenant, vous savez quoi en faire. »
Fiche technique
- Titre original et français : Lucy
- Réalisation : Luc Besson
- Scénario : Luc Besson
- Musique : Éric Serra
- Direction artistique : Gilles Boillot, Dominique Moisan, Stéphane Robuchon et Thierry Zemmour
- Décors : Hugues Tissandier
- Costumes : Olivier Bériot
- Photographie : Thierry Arbogast
- Son : Stéphane Bucher
- Montage : Julien Rey
- Production : Christophe Lambert
- Sociétés de production : Canal+, Ciné+, EuropaCorp et TF1 Films Production
- Sociétés de distribution : EuropaCorp Distribution (France) ; Universal Pictures (États-Unis)
- Budget : 40 millions de dollars[4]
- Pays d'origine : France
- Langue originale : anglais
- Format : couleur - 2.35 : 1
- Genre : science-fiction, action
- Durée : 90 minutes
- Dates de sortie[5] :
- États-Unis :
- Belgique :
- France :
- Suisse : (festival de Locarno)
- Classification[6] :
- États-Unis : R - Restricted (interdit aux moins de 17 ans non accompagnés d'un adulte)
- France : tous public avec avertissements
Distribution
- Scarlett Johansson (VF : Julia Vaidis-Bogard ; VQ : Camille Cyr-Desmarais) : Lucy Miller
- Morgan Freeman (VF : Benoît Allemane ; VQ : Guy Nadon) : le professeur Samuel Norman
- Choi Min-sik : Monsieur Jang
- Amr Waked (VF : Patrick Béthune ; VQ : Yves Soutière) : l'inspecteur Pierre Del Rio
- Pilou Asbæk (VF : Loïc Houdré ; VQ : Claude Gagnon) : Richard
- Analeigh Tipton (VF : Marie Tirmont ; VQ : Claudia-Laurie Corbeil) : Caroline
- Julian Rhind-Tutt (VF : Jérôme Pauwels ; VQ : Daniel Picard) : l'Anglais
- Nicolas Phongpheth : Jii
- Jan Oliver Schroeder : l'Allemand
- Luca Angeletti : l'Italien
- Pascal Loison : le drogué
- Cédric Chevalme : le policier français Daniel
- Alexis Rangheard : le policier français Robert
- Claire Tran : l’hôtesse de l'air
- Frédéric Chau : le steward
- François Legrand : l'homme d'affaires
- Alessandro Giallocosta : Marco Brezzi
- Loïc Brabant, Pierre Grammont, Pierre Poirot et Bertrand Quoniam : professeurs
Production
Genèse et développement
En , Luc Besson annonce qu'il va réaliser un nouveau film de science-fiction qu'il a depuis longtemps en tête et qu'il a voulu faire après avoir vu Avatar : « Quand j'ai fait Le Cinquième Élément, j'avais des outils technologiques qui étaient un peu obsolètes déjà […] Avec l'arrivée du numérique, c'est incroyable ce qu'on peut faire. On peut imaginer n'importe quoi, il y aura toujours des techniciens pour vous suivre dans votre délire. Je pense que le tournage sera en 2012-2013, parce que ça va être très très gros »[10].
Le réalisateur se concentre cependant sur d'autres projets, notamment Malavita, d'après le roman du même nom de Tonino Benacquista.
En , Christophe Lambert, directeur général d'EuropaCorp, rapporte que le film sera la production la plus ambitieuse et chère du studio[11].
Distribution des rôles
En , il est révélé qu'Angelina Jolie serait en négociations pour tenir le rôle principal du film[12]. Finalement, Scarlett Johansson est confirmée pour le rôle en [13],[14]. En , Morgan Freeman est évoqué pour le rôle d'un scientifique[3].
L'un des acteurs du film, Lee Chun, n'est autre que le fils du réalisateur taïwanais Ang Lee[15].
Tournage
Le tournage débute en [16] dans le centre de Paris et dans le studio 5 de la Cité du Cinéma de Luc Besson à Saint-Denis[17]. Le , Luc Besson et son équipe tournent secrètement à la falaise d'Aval à Étretat[18]. Le , Luc Besson et son équipe tournent discrètement en Lozère à Saint-Chély-du-Tarn[19].
Le , le tournage se poursuit à Taipei, la capitale de Taïwan, pour une durée de 11 jours[20],[21],[22]. Quelques scènes sont notamment tournées à Taipei 101, l'une des plus grandes tours du monde[15]. Le tournage taïwanais est fortement perturbé par la forte présence de paparazzi et de la presse locale, qui gênent considérablement l'équipe[23]. Des incidents ont lieu avec des photographes qui ont failli causer un accident de voiture en s’approchant trop près d’une zone bouclée pour le film, alors que d'autres ont été très oppressants avec notamment Scarlett Johansson. L'équipe abrège donc le tournage à Taipei[24],[15].
Une des scènes a été tournée dans l'amphithéâtre Richelieu de la Sorbonne. La scène finale l'a été dans le hall de la faculté de droit de Paris, ainsi que devant l'entrée principale, place du Panthéon. Une des scènes de poursuite en voiture a été tournée dans le 13e arrondissement de Paris rue Jeanne d'Arc[réf. souhaitée], sur les quais de la Seine entre le musée du Louvre et l'Hôtel de ville de Paris, ainsi que rue de Rivoli.
Effets spéciaux
Pour réaliser les 1 000 plans d'effets spéciaux, la production a fait appel à ILM (Industrial Light & Magic, fondé par George Lucas), situé dans le quartier du Presidio de San Francisco.
Nicholas Brooks a dirigé les opérations. Il a reçu un Oscar pour Au-delà de nos rêves et il a récemment travaillé sur Insaisissables.
Choix du titre
Le nom du film Lucy est aussi une référence au nom donné au premier fossile relativement complet d'Australopithèque. Elle apparaît par deux fois dans le film. Dans la deuxième scène, les deux « Lucy » se rencontrent de la même manière que Dieu et Adam dans la fresque La Création d'Adam de Michel-Ange sur la voûte de la Chapelle Sixtine.
Musique
Bande originale du film
Sortie | [25] |
---|---|
Genre | musique de film |
Format | téléchargement |
Compositeur | Éric Serra |
Label | EuropaCorp |
Albums de Éric Serra
La musique du film est composée par Éric Serra, collaborateur de longue date de Luc Besson. Éric Serra décrit le style adopté pour Lucy : « D'habitude, c'est à la fois pop, ethnique et symphonique. Mais cette fois, c'était plus une combinaison entre électronique et symphonique[26]. »
Luc Besson a également fait appel à Damon Albarn pour le titre Sister Rust. Le compositeur anglais raconte : « Tout est parti d'un coup de fil que m'a passé Luc Besson. Un appel en visioconférence. Au début, je ne comprenais pas trop ce que je voyais à l'écran. Pour être honnête avec vous, je m'étais couché très tard ! (rires) Bref, je suis venu à la Cité du Cinéma, j'ai vu des passages de Lucy, et c'était très séduisant. En plus, j'aime beaucoup les films de Luc Besson, ça aide. Et voilà, c'était parti… Ça s'est fait de manière très simple. Je ne peux bosser qu'avec des gens que j'apprécie. J'ai besoin de me sentir proche d'eux pour m'engager à fond, et c'était le cas ici[26]. »
Tous les titres sont composés par Éric Serra, sauf exceptions notée
|
Accueil et sortie
Promotion
Du au , une grande campagne de marketing viral a été organisée sur Internet. Chaque jour, les internautes devaient déchiffrer un message sur le site Lucy-everywhere[27]. Dans des messages sur les capacités cérébrales de l'homme, étaient dissimulés des codes secrets. Ces codes permettaient ensuite d'accéder à des images exclusives du film[14].
Accueil critique
Aux États-Unis, le film est défendu par le magazine Variety (« agreeably goofy sci-fi thriller »)[28]. Cependant, dans le New York Times, on peut lire que Luc Besson a été « porté par la présence de Scarlett Johansson » mais qu'il possède trop de « légèreté. (…) Ce qui semble nouveau dans le travail de Luc Besson est toujours vieux »[29]. Dans The Washington Post, le journaliste regrette « certaines fioritures stupides de Luc Besson », même si l'énigme du film intrigue les spectateurs[29].
En France, le film reçoit des critiques de dix-sept titres de presse. Parmi les positives, Danielle Attali écrit dans Le Journal du dimanche que « Luc Besson signe un thriller d'anticipation réussi qui a le talent de distraire et de tenir en haleine »[30]. Dans Voici, le journaliste apprécie le travail de Luc Besson qui « revient au cinéma d'action avec ce croisement farfelu entre le film de super héros et le film de gangsters asiatiques, dopé par la toujours sexy Scarlett Johansson »[30]. Dans Le Parisien, Magali Gruet écrit que « Certains ont qualifié le film de féministe, nous n'irons pas jusque-là, mais pour une fois qu'une femme est à la source de solutions pour sauver le monde, on aurait tort de s'en priver. »[30] Libération écrit « Par-delà la réussite ou le grotesque dont se pare chaque nouvelle scène d’épate spectaculaire de cette violente et invraisemblable embardée, domine le sentiment que Luc Besson filme désormais tout cela depuis un au-delà d’indifférence marketeuse (…). »[30] Le Nouvel Observateur écrit qu'« on voit mal comment un tel bidule peut faire illusion chez nous une fois le buzz dissipé, tant "Lucy" ne contente personne (…). »[30]
Matthieu Santelli, de Critikat, condamne violemment le film ainsi que le système de production mis en place par Luc Besson : « L’histoire d’EuropaCorp est celle d’un empire qui n’a rien à conquérir, d’une entité gigantesque qui règne sans avoir à s’en donner la peine, d’un immense gâchis qui n’a même pas pour lui d’aller jusqu’au bout de son cynisme, pas assez rance pour être détestable, tout juste suffisamment nul pour être oubliable. Une anomalie industrielle qui indiffère royalement, à l’image de Lucy, consumée par son pouvoir et qui se désintègre sans que ça dérange ni elle, ni nous, là où Besson, lui, a fini par totalement se désincarner. À la fin du film, de Lucy, il ne reste plus que son pouvoir. Aujourd’hui, de Besson, il ne reste plus qu’EuropaCorp. Le pouvoir est une aliénation. »[31].
Lucy est moyennement reçu par la critique, puisque dans les pays anglophones, le site Rotten Tomatoes lui attribue 66 % d'avis favorables, sur la base de 193 commentaires et une note moyenne de 6,1/10[32] et le site Metacritic lui attribue un score de 61/100, sur la base de 45 commentaires[33].
Le film reçoit un accueil moyen sur le site Allociné, sur la base de 17 commentaires presse, le film reçoit une note moyenne de 2,6 sur 5, tandis que les spectateurs lui attribuent une note moyenne de 3,1 pour 19 319 commentaires[34] dont 2 917 critiques. Sur Cinémur, le film obtient un score de 81 %[35].
Box-office et records
Pays ou région | Box-office | Date d'arrêt du box-office | Nombre de semaines |
---|---|---|---|
États-Unis Canada |
126 663 600 $[4],[36] | 14 | |
France | 5 203 226 entrées[36] | 13 | |
Russie | 3 421 798 entrées[37] | 7 | |
Monde | 463 360 063 $[4] | 17
|
Au [38], Lucy est le plus grand succès d'un long métrage français, toutes langues de tournage prises en compte, avec 459 millions de dollars[38], devant le précédent détenteur du record, Intouchables (445 millions de dollars[39] ou 449 millions de dollars corrigé de l'inflation[40]). C'est également le deuxième plus grand succès international (non corrigé de l'inflation) d'un film non-américain de toute l'histoire, après l'anglais Skyfall (1 108 millions de dollars[41]) et juste devant Intouchables (445 millions de dollars)[42].
Aux États-Unis et au Canada, le film réalise 43 899 340 $ de recettes pour son premier week-end d'exploitation, fin , ce qui correspond à peu près au budget de production du film[4]. Lucy prend ainsi la tête du box-office du week-end, devant Hercule et La Planète des singes : L'Affrontement[29].
En France, le film réalise le deuxième meilleur démarrage de 2014 pour les premières séances parisiennes avec 6 359 entrées[43], précédé par Dragons 2 (7 520 entrées)[44].
Distinctions
Récompenses
- National Society of Film Critics Awards 2015 : 3e place dans la catégorie « meilleure actrice » pour Scarlett Johansson dans le rôle de Lucy (ainsi que pour le rôle de Laura dans le film Under the Skin)
Nominations et sélections
- Festival international du film de Locarno 2014
- Critics' Choice Movie Awards 2015 : meilleure actrice dans un film d'action pour Scarlett Johansson
Édition vidéo
Le film sort en France le dans un coffret Blu-ray Édition spéciale Fnac, le coffret comprend les films Lucy, Anna et Nikita.
Commentaires
Outre la référence à la fresque La Création d'Adam, de Michel-Ange, le film rend hommage à 2001, l'Odyssée de l'espace, de Stanley Kubrick. En effet, la rencontre des deux Lucy est une référence au monolithe de Kubrick. Le personnage joué par Scarlett Johansson représente la connaissance, laquelle va être transmise à l’australopithèque. À la fin du film, le personnage de Lucy se transforme en un ordinateur qui disposerait de toutes les connaissances. Cet ordinateur va offrir au professeur Norman une clé USB noire, représentant le monolithe de 2001, l'Odyssée de l'espace, avant de se consumer. Le SMS « Je suis partout » reçu par Del Rio à la fin du film fait également penser à la scène finale du film Le Cobaye, où tous les téléphones de la planète se mettent à sonner simultanément. Le scénario présente d'ailleurs une autre similitude : dans Le Cobaye, un homme simple d'esprit subit un traitement à base de drogues et voit ses capacités psychiques décuplées de façon extraordinaire[45],[46],[47].
Luc Besson a fourni une note d'intention[48] aux techniciens dans laquelle il décrit visuellement trois étapes dans le film[49], associé aux films références Léon, Inception et 2001, l'odyssée de l'espace[50].
Le film semble aussi faire référence à Powder de Victor Salva. En effet le jeune adolescent très intelligent a des capacités extra-sensorielles, il ressent les émotions et lit les pensées des autres ; la fin elle-même est identique car il devient la part d'un tout, de l'énergie pure.
Notes et références
- http://www.unifrance.org/actualites/13062/box-office-francais-dans-le-monde-novembre-2014
- sur Le Monde, consulté le 8 novembre 2014
- Notes de production - Comme au cinéma.com.
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- (en) Dates de sortie sur l’Internet Movie Database
- (en) Parents Guide sur l’Internet Movie Database
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- « 2e fiche du doublage français du film » sur Allodoublage, consulté le 4 août 2014
- « Fiche du doublage québécois du film » sur Doublage Québec, consulté le 24 juillet 2014
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- (en) Patrick Brzeski, « Scarlett Johansson Begins Taiwan Shoot for Luc Besson's Lucy, Causes Media Circus », sur The Hollywood Reporter.com, (consulté le )
- Paris - Luc Besson fait des cascades à la Concorde
- (en) Elsa Keslassy, « Morgan Freeman Set to Topline in Lucy », sur Variety, (consulté le )
- « Luc Besson tourne discrètement sa superproduction à Étretat », sur 76actu.fr, (consulté le )
- Pour Lucy, Luc Besson a tourné en Lozère - Lozère.fr
- Scarlett Johansson spotted shooting film in Taipei | Culture | FOCUS TAIWAN – CNA ENGLISH NEWS. Focustaiwan.tw.
- Taipei 101 to be featured in new Luc Besson movie | Culture | FOCUS TAIWAN – CNA ENGLISH NEWS. Focustaiwan.tw.
- « Scarlett Johansson filming for Lucy », Taipei Times,
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- « Luc Besson arrête le tournage de Lucy à Taïwan », sur Première.fr, (consulté le )
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- « Éric Serra et Damon Albarn mettent Lucy en musique… », sur AlloCiné, (consulté le ).
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- , Allociné
- , Cinemur
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- « Люси », sur RuData.ru
- http://www.boxofficemojo.com/movies/?page=main&id=lucy.htm Box Office Mojo
- « Die weltweit erfolgreichsten Kinofilme aller Zeiten - Top 452, Plätze 151 - 175 », sur wulfmansworld.com (consulté le ).
- http://www.jpbox-office.com/fichfilm.php?id=12364&affich=monde
- http://www.jpbox-office.com/charts_monde.php
- http://www.jpbox-office.com/charts_monde.php?qpage=classg&limite=150&infla=no&variable=default&tri=champ0&sens=DESC&limit5=no
- Sorties Cinéma : Lucy réalise le 2e meilleur démarrage de l'année - AlloCiné.fr
- Sorties cinéma : meilleur démarrage de l'année pour Dragons 2 ! - AlloCiné.fr
- Le Cobaye, sur le site du magazine Première
- Everything You Can Do With the Other 90 Percent of Your Brain (in Movies), Vulture.com, 25 juillet 2014
- Why Is Our Sci-Fi So Glum About A.I.?, The New York Times, 19 septembre 2014
- « InfiniteCineQuiz on Twitter », sur Twitter (consulté le ).
- http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Pour-Lucy-Luc-Besson-s-est-inspire-de-Leon-2001-Odyssee-de-l-espace-et-Inception-4037799
- Damien Leblanc, « REVIEW - Lucy ou le recyclage déshumanisé du cinéma de Luc Besson et de 2001, l’Odyssée de l’espace », sur Premiere.fr, (consulté le ).
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- Centre national du cinéma et de l'image animée
- Ciné-Ressources
- Cinémathèque québécoise
- Unifrance
- (en) AllMovie
- (en) BFI National Archive
- (en) British Film Institute
- (en) Internet Movie Database
- (en) LUMIERE
- (en) Metacritic
- (de) OFDb
- (en) Rotten Tomatoes
- (mul) The Movie Database
- Ressource relative à la littérature :
- Site officiel
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