Le Plessis-Trévise
Le Plessis-Trévise est une commune française située dans le département du Val-de-Marne, en région Île-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Plessis (homonymie).
Le Plessis-Trévise | |||||
La place du marché en 2017. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-de-Marne | ||||
Arrondissement | Créteil | ||||
Intercommunalité | Métropole du Grand Paris | ||||
Maire Mandat |
Didier Dousset 2020-2026 |
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Code postal | 94420 | ||||
Code commune | 94059 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Plesséens | ||||
Population municipale |
20 025 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 4 635 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 48′ 40″ nord, 2° 34′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 88 m Max. 111 m |
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Superficie | 4,32 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Villiers-sur-Marne | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | leplessistrevise.fr | ||||
De peuplement récent, elle a une existence administrative depuis 1899 et s'est urbanisée surtout à partir des années 1950.
Ses habitants sont appelés les Plesséens.
Géographie
Localisation
Située à 17 km à l'est de Paris, Le Plessis-Trévise est la plus jeune commune du Val-de-Marne (son 100e anniversaire a été fêté le ).
Le Plessis-Trévise est située au carrefour entre la Seine-et-Marne avec la commune de Pontault-Combault, la Seine-Saint-Denis avec la commune de Noisy-le-Grand et le Val-de-Marne avec les communes de Champigny-sur-Marne, Chennevières-sur-Marne, La Queue-en-Brie et Villiers-sur-Marne.
Voies routières
Au nord, la commune est accessible par l'autoroute A4, en empruntant l'accès Noisy-le-Grand/ Villiers-sur-Marne. Au sud, elle est accessible par la N4 en empruntant la direction "Le Plessis-Trévise" au niveau du centre commercial Pince-Vent d'Ormesson. À l'est, la commune est accessible via la francilienne N104 en empruntant la sortie "Pontault-Combault gare"[1].
Transports en commun
Le réseau de transports en commun plesséen repose sur les lignes de bus suivantes :
- Les lignes de bus RATP 206, 207 et 209 offrent accès aux lignes RER suivantes :
- La ligne 209 offre également accès au RER E en gare d'Émerainville - Pontault-Combault (arrêt Place de Beilstein) ;
- La ligne de bus RATP 208b offre accès au RER A en gare de Champigny.
Urbanisme
Typologie
Le Plessis-Trévise est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[5] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[8],[9].
Histoire
À l'origine, le hameau est constitué de deux domaines séparés : Le Plessis-Saint-Antoine et le Plessis La Lande. En 1776, le prince de Conti réunit les domaines ébauchant ainsi le territoire de ce qui deviendra le Plessis-Trévise, alors partagé entre les communes de Villiers-sur-Marne, La Queue-en-Brie et Chennevières-sur-Marne[10].
Le vieux mot « plessis » désignait jadis des branchages entrecroisés protégeant un domaine. Quant au mot « Trévise », il fait référence à la ville d'Italie (Vénétie) : le maréchal Mortier fut nommé duc de Trévise et gouverneur de Silésie par Napoléon Ier, en 1808, après la bataille de Friedland[10]. En 1812, le maréchal Mortier, devenu immensément riche, s'était installé au château de La Lande, situé sur la commune dont il deviendra le maire. Il est tué en 1835, boulevard du Temple, victime de la « machine infernale » de Fieschi qui visait le cortège de Louis-Philippe. Inhumé aux Invalides, son cœur est enterré au cimetière du Père-Lachaise.
Vers le milieu du XIXe siècle, l'actuel territoire de la commune du Plessis-Trévise est presque entièrement boisé et à peine une cinquantaine de personnes y vivent de façon permanente[11].
En 1857, après la mort de la duchesse de Trévise, ses héritiers confient à Jean Augustin Ardouin la tâche de morceler le domaine et d'en faire des lotissements. Cette décision a pour conséquence le début du morcellement des anciens grands domaines boisés[12]. le château de la Lande et son parc sont achetés par Gustave Roger. Dans les anciennes dépendances du château, un institut hydrothérapique est fondé par le docteur Louis Fleury[10]. Le lotissement d'une partie des terres du château amène une nouvelle population à s'y installer. Dans un premier temps, une population parisienne en quête d'espaces verts contribue à l'accroissement rapide de la ville, souvent par la construction de villas spacieuses. L'artisanat et le petit commerce s'y implante, ainsi que plusieurs fermes. Le chemin de fer y parvient et amène l'ouverture d'auberges et de guinguettes[10]. En quarante ans, plus de 200 maisons sont construites sur le territoire de l'actuelle commune et la population passe de 50 habitants en 1857 à environ 950 habitants en 1899[12].
Un syndicat des propriétaires du Parc du Plessis-Trévise porte des revendications d'indépendance administrative de la communauté en croissance rapide, ce qui conduit, après une trentaine d'années de démarches, à la création d'une commune à part entière par la loi du [10]. Un odonyme local (« Esplanade du 7-Juillet-1899 ») rappelle cet événement. L'église Saint-Jean-Baptiste du Plessis-Trévise est construite peu de temps avant la proclamation de la nouvelle commune[12]. La création de la nouvelle commune entraîne l'édification d'équipements publics propres, dont la mairie et une école[12].
Ce n'est cependant qu'à partir des années 1950 que la nouvelle commune commence réellement à s'urbaniser, notamment après la création par l'abbé Pierre de la « Cité de la Joie », une des premières cités d'urgence construites après son fameux appel de l'hiver 1954 par l'architecte Pierre Dufau[10]. Une communauté Emmaüs, la première à accueillir des femmes, et plusieurs logements gérés par Emmaüs Habitat sont situés sur la commune du Plessis-Trévise.
Un grand nombre de lotissements pavillonnaires se construisent dans les années 1970[10]. À partir de 1984, la ville se dote d'un cœur et voit sa population atteindre sa maturité, autour de 20 000 Plesséens aujourd'hui[10].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du [13], la commune, créée en 1899 par détachement de celles de Chennevières-sur-Marne, La Queue-en-Brie et Villiers-sur-Marne faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-de-Marne et à son arrondissement de Nogent-sur-Marne après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie depuis sa création à 1964 du canton de Boissy-Saint-Léger , année où elle intègre le canton de Chennevières-sur-Marne. Elle est rattachée en 1976 au canton de Villiers-sur-Marne[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de deux à trois communes.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté d'agglomération du Haut Val-de-Marne, créée en 2001.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[15].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand Paris Sud Est Avenir, qui succède notamment à la communauté d'agglomération du Haut Val-de-Marne.
Tendances politiques et résultats
Le maire de la commune était depuis Jean-Jacques Jégou, ancien député et sénateur MoDem, réélu en 2008 au premier tour avec 53,89 % des voix. Le , la liste conduite par Didier Dousset remporte les élections. Lors de la réunion du conseil municipal du 28/, Didier Dousset est élu maire par les conseillers municipaux.
Liste des maires
Distinctions et labels
Le Plessis-Trévise a été distinguée entre autres de deux fleurs au concours des villes et villages fleuris en 2006[23] et de trois fleurs en 2015[24] ou 2017[25].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1901. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[27],[Note 3]
En 2018, la commune comptait 20 025 habitants[Note 4], en augmentation de 4,53 % par rapport à 2013 (Val-de-Marne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
Le Plessis Trévise dispose du collège Albert-Camus, qui se situe non loin de l'espace sportif Philippe-de-Dieuleveult.
Le Plessis Trévise dispose de cinq écoles élémentaires (l'école Jean-Monnet, Jean-Moulin, Marbeau, Val-Roger et l'école Marie-Louise-et-Marcel-Salmon.)
Et dispose également de cinq écoles maternelles (l'école Charcot, Olympe-de-Gouges, Saint-Exupéry, La Maréchale, Val-Roger)
Bibliothèques
La médiathèque Jacques Duhamel se trouve en face de la place du marché, sur l'esplanade du , près de l'avenue Ardouin. Elle a été inaugurée en 1999[29]. Depuis fin 2016, elle est gérée par l'établissement public territorial Grand Paris Sud Est Avenir (GPSEA), qui regroupe seize communes du Val-de-Marne[30].
Manifestations culturelles et festivités
Chaque année se déroule au début du mois de décembre le salon "Arts et Délices", marché de Noël, organisé par le Club de jumelage Robert-Schuman.
Sports
Le Plessis-Trévise possède plusieurs complexes sportifs. Le plus vaste est le complexe Philippe-de-Dieuleveult, composé d'une salle de handball, de gymnastique, de judo, d'escrime, de danse, de badminton, de tennis de table et une piscine. Le Plessis-Trévise possède également le centre sportif Louison-Bobet, un espace sportif comprenant principalement un stade d'athlétisme, qui se trouve à proximité de l'espace Philippe-de-Dieuleveult.
Le Plessis-Trévise dispose d'une équipe de handball masculine qui joue actuellement[Quand ?] en Nationale 3.
Médias
En 2010, la commune du Plessis-Trévise a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »[31].
Cultes
La commune du Plessis-Trévise dispose de l'église Saint-Jean-Baptiste, une église paroissiale chrétienne construite en 1881[32].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La mairie actuelle du Plessis-Trévise se trouve dans un bâtiment construit dans les années 1930[33]. Elle a été rénovée et agrandie en 2008.
Le Plessis-Trévise compte également deux châteaux : le château d'Emmaüs et le château des Tourelles.
Personnalités liées à la commune
- Robert Bobin (1920-1994), athlète puis dirigeant sportif y est mort.
- Catherine Boursier, née le au Plessis-Trévise, est une personnalité politique française membre du PS depuis 1989[34].
- Pierre-François Fernand Delannoy (1897-1950), statuaire et architecte-décorateur, y est mort.
- Anne-Élisabeth Lemoine, journaliste.
- Steve Malonga, ancien joueur de rugby à XV
- Pierre Repp (1909-1986), humoriste et acteur, de son vrai nom Pierre Bouclet, est mort au Plessis-Trévise le [35]. Une salle municipale (un restaurant scolaire) porte son nom, située tout près de son dernier domicile, 91 parc de la Lande.
- Maxime Vachier-Lagrave, joueur d'échecs.
- Marcel Vezinat, a résidé au Plessis-Trévise de 1961 à 1965, officier de la Légion d'honneur, officier de l'ordre national du Mérite, officier des Palmes Académiques et titulaire de nombreuses autres décorations. Ancien dirigeant d'organisations professionnelles (production machinisme et outillage agricole), ancien président fondateur du cercle « arts et loisirs » et cofondateur, avec Jacques Carlier, du comité des fêtes.
Héraldique, logotype et devise
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Les armes du Plessis-Trévise se blasonnent ainsi : D’azur à la haie circulaire d’or, au chef cousu de gueules semé d’étoiles aussi d’or. |
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Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Page "Accès et transports" sur le site de la mairie du Plessis-Trévise. Page consultée le 12 octobre 2017.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction duParis », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Page "En bref" sur le site de la commune du Plessis-Trévise. Page consultée le 12 octobre 2017.
- Page d'accueil du site "Mémoire du Plessis-Trévise" maintenu par la Société historique du Plessis-Trévise. Page consultée le 12 octobre 2017.
- Page "Mémoire des lieux" sur le site Mémoire du Plessis-Trévise. Page consultée le 12 octobre 2017.
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
- « Les maires de Plessis-Trévise (Le) », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Nos maires depuis 1899, page du site de la mairie du Plessis-Trévise. Page consultée le 12 octobre 2017.
- Fanny Delporte, « Municipales au Plessis-Trévise : Jean-Jacques Jégou (MoDem) a préparé sa succession », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Après cinq mandats, soit trente-et-un ans à la tête de la mairie, Jean-Jacques Jégou (MoDem), ne se représentera pas. Il figure néanmoins en bonne place sur une liste. Celle de Didier Dousset (MoDem), « à ses côtés depuis 1983 », et chef de son cabinet depuis plus de vingt ans ».
- « JÉGOU Jean-Jacques », Ancien sénateur du Val-de-Marne (consulté le ).
- Marion Kremp, « Municipales : un duel 100% MoDem au Plessis-Trévise : Le patron du MoDem 94 et maire du Plessis-Trévise Didier Dousset bataillera contre son ex-colistière et conseillère départementale Sabine Patoux, MoDem elle aussi. », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « La candidate Front de gauche en 2014 Nathalie Lemaire pourrait elle aussi se décider à entrer dans la campagne. Tandis que le rassemblement national, arrivé en deuxième position au premier tour en 2014 reste silencieux ».
- Hélène Bréault, « L'UDF Didier Dousset élu conseiller général », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Il occupera le fauteuil laissé vacant par Jacques-Alain Bénisti, député-maire UMP de Villiers-sur-Marne démissionnaire pour cause de cumul des mandats ».
- C. Dubois, « Didier Dousset prend la présidence du Modem Val de Marne », sur http://94.citoyens.com, (consulté le ) : « L’élu succède à cette fonction à Jean-Jacques Jégou, après lui avoir succédé il y a quelques mois à la mairie du Plessis tandis que l’ancien sénateur a pris la présidence de la Communauté d’agglomération du Haut Val-de-Marne. ».
- Johan Thienard, « Le concours des villes et villages fleuris, un outil à l'appui du fleurissement des services espaces verts municipaux : A l'exemple des communes de plus de 10.000 habitants de l'Ouest de la Seine-et-Marne » [PDF], Mémoire de recherche, Ecole polytechnique de l’Université de Tours (consulté le ).
- « Cachan, 4e ville de Val-de-Marne à obtenir sa 4e fleur », 94 citoyens.com, (lire en ligne, consulté le ).
- « Label Régional « Label Régional Villes et Villages Fleuris - Palmarès 2017 » [PDF], Comité régional du tourisme d'Île-de-France (consulté le ).
- Villes jumelées au Plessis-Trévise
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Le Plessis mag' (bulletin d'informations municipales du Plessis-Trévise), n°108, novembre 2019, p. 10.
- Billet sur le site de la médiathèque Jacques Duhamel. Page consultée le 17 octobre 2017.
- Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
- Page "Premiers édifices publics" sur le site Mémoire du Plessis-Trévise, maintenu par la Société historique du Plessis-Trévise. Page consultée le 12 octobre 2017.
- Les premiers édifices publics, page sur le site de la Société historique du Plessis-Trévise. Page consultée le 17 octobre 2017.
- « Catherine Boursier », Site du Parlement Européen (consulté le ).
- Personnages célèbres du Val-de-Marne
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