Illois

Illois est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Illois
MIllois - mairie -IMG 20200620 133927.jpg
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
Bernard Haudiquert
2020-2026
Code postal 76390
Code commune 76372
Démographie
Gentilé Illoisiens
Population
municipale
406 hab. (2018 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 45′ 01″ nord, 1° 39′ 00″ est
Altitude Min. 175 m
Max. 243 m
Superficie 14,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Illois
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Illois
Géolocalisation sur la carte : France
Illois
Géolocalisation sur la carte : France
Illois

    Géographie

    Localisation

    Illois est une commune rurale normande traversée par l'autoroute A29 (sortie d'Aumale/Haudricourt), et desservi par l'ex-RN 29 (actuelle RD 929).

    Elle est située à 53 km au nord-est de Rouen, cinquante kilomètres au sud-ouest d'Amiens et quarante kimomètres de la Manche au Tréport.

    Communes limitrophes

    Hameaux et écarts

    Le chef-lieu de la commune est situé en retrait de la RD 929.

    Elle compte plusieurs hameaux, Coupigny et Le Mesnil-David  qui étaient des communes autonomes avant leur fusion avec Illois en 1823  La Clouterie, Grand Illers, Le Ménivier et Cuignet.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 873 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Forges », sur la commune de Forges-les-Eaux, mise en service en 1959[7] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 827,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Abbeville », sur la commune d'Abbeville, dans le département de la Somme, mise en service en 1922 et à 42 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Illois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,4 %), prairies (23,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), zones urbanisées (4,5 %), forêts (2,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Hillais en 1115; de Hisleis en 1156 et 1161 ; Ecclesia de Yslois en 1181 et 1182; Ecclesia de Illeis entre 1165 et 1183; Sancti Albini de Isleis en 1204; de Isleis en 1214[21]; de Illois en 1230; de Isleis (sans date); prepositus des Isleis en 1227; Villam de Yllais en 1233[22]; In parrochia de Ylleis, de Illais et Ville de Yllais en 1234[23]; Isloeis (sans date); Ecclesia de Illeis vers 1240; Ecclesie Sancti Albini de Yslois en 1263; Terroir d'Islois et Dame d'Islois en 1265; In feodo meo de Hysleis en 1266; In parrochia et territorio de Illois en 1282[22]; Hylois (variante Hyllois) en 1337; Illois 1431 (Longnon); Illoys entre 1413 et 1460 et au XVIe siècle[24]; Cure de Ileys en 1428 et 1429[25]; Illois en 1525 et 1526[26]; Yloix 1525 et 1526[27]; Illoys en 1648; Illoy en 1683 et 1701[28]; Islois en 1704 (Pouillé); Illois en 1715 (Frémont); Saint Aubin d'Illois en 1716[29]; Saint Aubin vulgo d'Illoy en 1719; Iloy 1757 (Cassini); Iloix 1788; Illois 1953[30].

    Histoire

    Un statère datant de l'époque gauloise en or, ainsi qu'une hache en pierre polie ont été trouvés dans un jardin du Mesnil-David en 1869[31].

    Au lieu-dit le Petit-Illers, on retrouve des traces de l'ancienne ligne de défense du XIIe siècle dénommée Le Fossé du Roy, le long d'un espace boisé. À cet endroit, des fouilles ont été entreprises lors de la construction de l'autoroute Amiens-le Havre. Au-delà de l'ex-Route nationale 29 (actuelle route départementale Amiens-Le Havre), à Mesnil-David, dans les pâtures on retrouve un léger nivellement qui rappelle le tracé de ce fossé[réf. nécessaire]. A proximité du Fossé du Roy ont été retrouvées au XIXe siècle des vestiges gallo-romains : tuiles à rebords et deux meules à broyer en poudingue. Douze vases de cette époque en terre fine ont été trouvées vers 1850, mais ont été brisées[31].

    La commune d'Illois, instituée lors de la Révolution française, absorbe en 1823 celles de Coupigny et de Mesnil-David[Note 6],[32].

    Le bourg a été desservi par la ligne de chemin de fer secondaire Amiens - Aumale - Envermeu à voie métrique de 1906 à 1947

    Horaires de la ligne Amiens-Aumale-Envermeu en 1936.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Aumale[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune a intégré le canton de Gournay-en-Bray.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du canton d'Aumale, créée fin 2001.

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du prescrit, dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale, que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants.

    Les communautés de communes de Blangy-sur-Bresle et du canton d'Aumale, dont aucune n'atteignait le seuil légal, ont donc été amenées à fusionner, formant le la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle[33] dont est désormais membre la commune.

    Politique locale

    Dans le cadre d'une mésentente avec le maire Jean-Claude Blondin, cinq conseillers municipaux démissionnent en , entraînant l'organisation de nouvelles élections municipales les 3 et [34],[35]. Celles-ci se soldent par la réélection du maire sortant, Jean-Claude Blondin le [36]. Celui-ci est néanmoins battu lors des élections municipales de 2020, au terme desquelles est élu son opposant,, Bernard Haudiquert, conseiller municipal depuis 2018.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[37]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1808 Jacques Desmarquet    
    1808 1815 François De Sarcus    
    1815 1830 Auguste De Sarcus    
    1831 1855 Jean Baptiste Armand Poussard    
    1855 1862 Anatole Alexandre Le Vaillant    
    1862 1870 Jules Poussard    
    1870 1880 Alfred Larcher    
    1881 1888 Auguste Boulenger    
    1888 1892 Louis Quillent    
    1892 1904 Auguste Boulenger    
    1904 1919 Joseph Fournot   Conseiller général d'Aumale (1945 → 1955)
    1919 1934 Valentin Lefèvre[Note 7]    
    1934 1959 Lucien Fournot    
    mars 1959 1977 Maurice Dumont    
    mars 1977 1995 René Dumont DVD  
    juin 1995 2008 Jean Pieters    
    mars 2008 juillet 2020[38] Jean-Claude Blondin[39]    
    juillet 2020[40] En cours
    (au 9 juillet 2020)
    Bernard Haudiquert    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

    En 2018, la commune comptait 406 habitants[Note 8], en augmentation de 6,84 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    250239267271569563560615573
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    569567556510564542508504503
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    487434450434420428440466436
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    419398363314259266302307371
    2017 2018 - - - - - - -
    407406-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Le monument aux morts, devant la mairie-école.

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Aubin d'Illois, reconstruite en 1845 et 1861, a conservé le mur nord de la nef, dont l'appareil est du XIIIe siècle, ainsi qu'une fenêtre du XVIIe siècle[31].
    Elle contient une chaire à prêcher (XVIe siècle) classée aux monuments historiques en 1913, en bois avec des panneaux présentant des rinceaux de feuillage et des animaux affrontés[44].
    • Église Saint-Germain-l'Écossais du Mesnil-David. Elle date, en grande partie, de l'époque de Louis XVI mais la maçonnerie de la nef date de celle de Louis XIV. Le baptistère en pierre est du XIIIe siècle[31] ;
    • Église Saint-Denis de Coupigny, des XVIe et XVIIe siècles. En 1871, on notait la charpente de la nef avec des poutres et des sablières sculptées du XVIe siècle. Les autels possédaient des baldaquins en bois de la Renaissance[31] ;
    • Château d'Illois, XVIIe siècle ;
    • Château de Coupigny, 1877.

    Personnalités liées à la commune

    • Nicolas André Courtin (1817-1879), maréchal des logis de gendarmerie, chevalier de la Légion d'honneur, né à Illois[45].
    • Étienne Isidore Courtin (1822-1887), brigadier de gendarmerie, chevalier de la Légion d'honneur, né à Illois[46].
    • Éloi Firmin Courtin (1828-1908), maréchal des logis à la 4e légion de gendarmerie, chevalier de la Légion d'honneur, né à Illois[47].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Illois », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Archives départementales de la Seine-Maritime Microfilms, pour Coupigny : Cotes Dates extrêmes Collection
      5 Mi 259 BMS 1668 - An II Greffe,
      5 Mi 260 NMD An III - 1823 Greffe,
      Pour Illois :
      Cotes Dates extrêmes Collection
      5 Mi 260 BMS puis NMD 1546 - 1815 Greffe
      5 Mi 1918 NMD 1823 - 1852 Communale
      5 Mi 2004 NMD 1853 - 1881 Communale
      5 Mi 1049 NMD 1860 - 1876 Greffe
      5 Mi 3001 NMD 1877 - 1886 ? Greffe
      5 Mi 3002 NMD 1877 ? - 1886 Greffe,
      Pour Mesnil-David
      Cotes Dates extrêmes Collection
      5 Mi 272 BMS puis NMD 1546 - 1823 Greffe
    7. Valentin Lefèvre est décédé le 18 avril 1934
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Forges - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Illois et Forges-les-Eaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Forges - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Illois et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Sémichon Histoire d'Aumale II, 26 et 388.
    22. Archives de Seine-Maritime 1 H.
    23. Archives de Seine-Maritime 1 H 27.
    24. Archives de Seine-Maritime G. 25, 3269, 4.
    25. Archives de Seine-Maritime G. 252.
    26. Archives de Seine-Maritime G. 1959.
    27. Archives de Seine-Maritime G. 110.
    28. Archives de Seine-Maritime G. 1537.
    29. Archives de Seine-Maritime G. 740.
    30. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 538.
    31. Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 170, lire en ligne sur Gallica.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Arrêté interpréfectoral du 29 novembre 2016 portant création de la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
    34. Vincent Beny, « Illois, près d’Aumale. Cinq élus démissionnent, ils ne sont plus que trois à siéger : Cinq élus d’Illois ont présenté leur démission du conseil. Ils reprochent au maire de ne pas travailler en équipe, de tout faire dans leur dos. Il ne reste plus que 3 élus », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, (lire en ligne, consulté le ).
    35. Vincent Bény-Thoreux, « Jean-Claude Blondin, le maire d’Illois, près d’Aumale, réagit après la démission de cinq conseillers : Une semaine après les attaques des cinq opposants démissionnaires au maire d’Illois, ce dernier réagit et démonte leurs reproches un par un », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3551, , p. 15.
    36. Vincent Bény-Thoreux, « Elections municipales complémentaires : le conseil enfin au complet », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3559, , p. 15.
    37. Archives départementales de la Seine-Maritime : État civil de Illois de 1800 à 1913, et en mairie état civil de 1913 à 1953 et registre des délibérations d'Illois de 1953 à 2008
    38. Laurent Hellier, « Les résultats des municipales 2020 : Forges-les-Eaux, Morienne, Illois… : Michel Lejeune à Forges-les-Eaux conserve sa mairie. Ailleurs, plusieurs résultats pour ce second tour des municipales », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « A Illois : Jean-Claude Blondin, le maire sortant, est battu (...) Jean-Claude Blondin a récolté 104 suffrages. Un score insuffisant au regard des résultats obtenus par la liste d’opposition emmenée par Bernard Haudiquert, élu au premier tour ».
    39. Vincent Beny, « Municipales : Jean-Claude Blondin se représente à Illois, près d’Aumale : Maire depuis 2008, et malgré un dernier mandat difficile, Jean-Claude Blondin a décidé de se représenter. Sa liste est complète avec cinq nouvelles personnes. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) |Parti= |Qualité= |Date à jour=2 mars 2020.
    40. « Bernard Haudiquert élu maire », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3666, , p. 14 « Le conseil municipal a été ins-tallé ce vendredi 3 juillet. Candidat à la fonction de maire, Bernard Haudiquert a été élu avec 7 voix, face à Sébastien Dunet (3 voix). ».
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    44. « Chaire à prêcher », notice no PM76000941, base Palissy, ministère français de la Culture.
    45. « Cote LH/615/83 », base Léonore, ministère français de la Culture.
    46. « Cote LH/615/70 », base Léonore, ministère français de la Culture.
    47. « Cote LH/615/69 », base Léonore, ministère français de la Culture.
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