Lauzerte
Lauzerte (en occitan Lausèrta) est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
Lauzerte | |||||
![]() Vue générale de Lauzerte. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Castelsarrasin | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Serres en Quercy (siège) |
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Maire Mandat |
François-Thierry Le Moing 2020-2026 |
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Code postal | 82110 | ||||
Code commune | 82094 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lauzertins, Lauzertines | ||||
Population municipale |
1 447 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 32 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 15′ 24″ nord, 1° 08′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 98 m Max. 270 m |
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Superficie | 44,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Serres Sud-Quercy | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Ses habitants sont appelés les Lauzertins.
Géographie
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Localisation
Lauzerte est située dans le Quercy et plus précisément dans le Quercy Blanc, sur l'ancienne route nationale 653.
De son sommet, Lauzerte surveille depuis le XIIe siècle la route Cahors-Moissac et les rivières Barguelonnette et Lendou.
Lauzerte est une bastide classée Plus Beaux Villages de France.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Durfort », sur la commune de Durfort-Lacapelette, mise en service en 1993[8]et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 765,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 32 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[12] à 14 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Lauzerte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,2 %), zones agricoles hétérogènes (22,7 %), forêts (13,8 %), prairies (6,5 %), zones urbanisées (1,4 %), cultures permanentes (1,4 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
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Son nom est issu d'un des noms occitans du sainfoin, la lauserta[20]. Une légende locale veut que le nom dérive du lézard, qui figure sur les armoiries de la ville[21], mais c'est une fausse interprétation : il symbolise l’oisiveté des sénéchaux au XVIIe siècle.
Histoire
Raymond VI de Toulouse, qui y possédait déjà un château, fonde à Lauzerte une bastide, en lui concédant des coutumes.
La ville connaît par la suite la guerre de Cent Ans et les guerres de religion : aussi fallut-il reconstruire ses églises. Lors des guerres de religion, Symphorien de Durfort, sire de Duras, du parti huguenot prend la ville grâce à une percée dans les murailles de la ville, à l'emplacement de l'actuelle rue de la Brèche. La totalité des 597 habitants, hommes, femmes et enfants, est tuée sur l'ordre de Duras[22].
Dans la maison des marchands, rue de la Gendarmerie, les boutiques occupaient le rez-de-chaussée, vendant à la clientèle les draps de lin du Quercy avec les épices venues des Indes, le blé ou le vin de Cahors. Ces commerçants s'adonnaient à l'usure, prêtant aux Anglais le paiement des rançons des prisonniers. Dans la même rue, les avancées de la maison à colombages rappellent que cette manière de construire économisait sur l'impôt.
Politique et administration
Liste des maires
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Instances administratives
Lauzerte possède un centre de secours, une gendarmerie, une poste, une maison de retraite, un office de tourisme.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].
En 2018, la commune comptait 1 447 habitants[Note 5], en diminution de 2,16 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
Lauzerte possède une école maternelle et primaire ainsi qu'un collège.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La ville est perchée sur son promontoire, ouvrant ses fenêtres sur un panorama généreusement offert depuis la Barbacane ou la promenade de l'Éveillé.
- On peut y voir, dans la vieille ville, des maisons du XIIIe siècle, à façades de bois et fenêtres géminées, d'autres de la Renaissance à fenêtres à meneaux, d'autres encore formant rempart ; colombages et pierres blanches, et des rues descendantes bordées d'histoire.Vue sur la colline lauzertine depuis le Domaine du Chartron
- Un chemin de ronde incliné mène à la place des Cornières aux couverts marchands ; des esplanades plus récentes offrent leur panorama.
- Église Saint-Amans de Lespinasse[27].
- Église Saint-Didier de Cadamas[27].
- Église Saint-Fort de Saint-Fort[27].
- Église Saint-Jean de Salles[27]. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[28]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[28].
- Chapelle de la maison de retraite de Lauzerte.
- Chapelle Saint-Mathurin de Lauzerte.
- Église du couvent des Clarisses de Lauzerte.
- Église Saint-Martin de Carcès[27]. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[29]. Une cloche est référencée dans la base Palissy[29].
- Église Saint-Pierre-ès-Liens de Moncessou[27].
- Église Saint-Symphorien de Lauzerte[27]. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[30].
- Église Saint-Sernin-du-Bosc de Lauzerte[27]. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1995[31].
- La chapelle de l'hospice.
Reconstruite vers 1830, elle accueillait pèlerins et mendiants sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
- Église des Carmes de Lauzerte
- Intérieur de l'église des Carmes de Lauzerte
- Église Saint-Sernin-du-Bosc de Lauzerte
- Intérieur de l'église Saint-Sernin-du-Bosc de Lauzerte
- Église du couvent des Clarisses de Lauzerte
- L'église des Carmes
Les façades et toitures ont été inscrits au titre des monuments historiques en 1974[32]. La chaire est référencé dans la base Palissy[32].
À la sortie du faubourg d'Auriac, elle garde le nom de l'ordre religieux du Carmel qui fonda ici un couvent au XIVe siècle. Elle a un chevet plat et une nef unique, reconstruite en 1673.
On y voit la Notre-Dame du Mont Carmel remettre le scapulaire à saint Simon Stock et à sainte Thérèse d'Ávila ; et dans les niches latérales, le prophète Élie et saint Jean de la Croix. Elle possède un retable.
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- L'église Saint-Barthélemy[27]
L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1976[33]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[33].
Dans la ville haute, elle possède un clocher carré très sobre.
Elle présente deux façades des XIVe et XIXe siècles. Elle a été agrandie et voûtée d'ogives de 1591 à 1654 : abside à cinq pans, large nef unique à trois travées flanquée de six chapelles, clocher rectangulaire. À l'intérieur, le Christ en cuir est l’œuvre d'un prisonnier en échange de sa libération.
Elle possède un retable en bois doré consacré à la Vierge, véritable chef-d'œuvre de l'art baroque.
- Le monastère des capucins
Monastère de moines mendiants, fondé au XIIe siècle, il fut occupé par des capucins jusqu'en 1789. S'étant fait chasser du monastère par les révolutionnaires français, ces derniers se dispersèrent à travers la France.
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Une légende relate que, depuis cette date, le père Calixte, revient tous les soirs de Noël au douzième coup de minuit. Ayant entendu parler de cette tradition de revenant, l'entrepreneur ayant réalisé la restauration du monastère, désireux de vérifier si elle était fondée, vint se poster dans la cellule du père Calixte le peu avant minuit, accompagné de sa fille. Installés en silence dans une obscurité complète, ils virent apparaître juste après minuit, non pas le moine dans sa robe de bure, mais une lumière douce sur l'âtre de la cheminée, de la forme et de la dimension d'une assiette, éclairant l'ensemble de la pièce. Le phénomène ne dura que quelques secondes puis se reproduisit quelques instants plus tard avant de disparaître définitivement[34].
Le monastère a reçu le trophée de La Tour D'or en 1980, pour la restauration de ce lieu.
- Météorologie
Le village de Lauzerte comprend une des cinq stations Météo-France du département. Elle relève la température, la pluie, le vent ainsi que tout autre paramètre météorologique. Son exposition, très sujette au vent, lui a permis de relever une rafale supérieure à 100 km/h le , à la suite d'un violent orage remontant du département du Gers.
Lauzerte perchée sur son promontoire. Vieilles maison .
L'église St-Barthélémy. La place des cornières. Fontaine et abreuvoir à la sortie de Lauzerte sur le Chemin de Compostelle. Pigeonnier à la sortie de Lauzerte. La chapelle Saint-Sernin non loin de Lauzerte.
Le pèlerinage de Compostelle
La commune est située sur la via Podiensis et via Arvernha du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. La chapelle Saint-Sernin du Bosc date du XIe siècle.
On vient de Montcuq, la prochaine commune est Moissac, et son abbaye Saint-Pierre.
Personnalités liées à la commune
- Étienne Baron : homme politique français.
- Roger Bréchan : résistant à Lyon né à Lauzerte, mort en déportation à Buchenwald.
- Jacques Buchholtz : céramiste.
- Pierre-Paul Cavaillé : peintre.
- Marcel Dalquié : ancien maire de Lauzerte, premier Juge d'instruction à la cour de Paris, il a rénové la place principale de Lauzerte. Une tour en ruine lui ayant appartenu porte encore aujourd'hui le nom de « tour Dalquié ».
- André Étienne Justin Pascal Joseph François d'Audebert de Férussac : naturaliste et homme politique.
- Pierre Louis Jérôme Gustave de Combarieu : militaire et homme politique.
- Rémy Dessarts : journaliste, directeur de la rédaction de France-Soir.
- Léonce d'Escayrac-Lauture : conseiller général de Lauzerte, député de Tarn-et-Garonne et pair de France.
- Arnaud Gouges-Cartou : député de la sénéchaussée de Lauzerte aux États généraux, auteur d'un projet de déclaration des droits de l'homme.
- Paul Lacombe : historien.
- Paul Leygue : ancien maire de Lauzerte et ancien président du conseil général de Tarn-et-Garonne (1945-1952).
- Hugues-Guillaume-Bernard-Joseph Monmayou : homme politique.
- Jean-Baptiste Rey : compositeur et chef d'orchestre.
- Louis-Charles-Joseph Rey : violoncelliste.
- Pierre Sourbié : poète.
- Abbé Barthélémy Taillefer : curé de Cazillac (Cazes-Mondenard), historien de Lauzerte et du Quercy.
- Famille de Durfort.
Héraldique
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Blason | Parti: au 1er de gueules à la croix tréflée d'argent; au 2e de gueules au château à trois tours couvertes en dôme d'argent, croisées et maçonnées de sable, jointes ensemble par un entre-mur d'argent, le tout sur une terrasse d'argent chargée d'un lézard de sinople; le tout sommé d'un chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or[35]. |
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Détails | Armorial général de France, dressé en vertu de l'édit de 1696 par Charles d'Hozier. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- www.ign.fr Lauzerte sur le site de l'Institut géographique national (en cache)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- détail du blason
- Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, lire en ligne)., p. 234.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Généalogie en Bas-Quercy », sur basquercy.free.fr (consulté le )
- « Église paroissiale Saint-Jean », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Église paroissiale Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Église paroissiale Saint Symphorien », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Ancienne église Saint-Sernin-du-Bosc », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Eglise des Carmes », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Eglise Saint-Barthélémy », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- relation affichée à l'intérieur du monastère 08/1993
- https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=12330
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