Laudun-l'Ardoise
Laudun-l'Ardoise est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.
Laudun-l'Ardoise | |||||
![]() Vue sur Laudun. | |||||
![]() Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gard | ||||
Arrondissement | Nîmes | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Gard Rhodanien | ||||
Maire Mandat |
Yves Cazorla 2020-2026 |
||||
Code postal | 30290 | ||||
Code commune | 30141 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
6 316 hab. (2018 ![]() |
||||
Densité | 185 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 06′ 21″ nord, 4° 39′ 30″ est | ||||
Altitude | Min. 26 m Max. 274 m |
||||
Superficie | 34,19 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Bagnols-sur-Cèze (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Bagnols-sur-Cèze (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Roquemaure | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Gard
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | laudunlardoise.fr | ||||
Géographie
Localisation
La commune, qui atteint les bords du Rhône (à L'Ardoise), s'étale jusqu'au plateau du Camp de César, qui donne vue sur les deux villages de Laudun et de L'Ardoise, ainsi que sur le Rhône et plus loin encore, sur le mont Ventoux.
Bagnols-sur-Cèze est à 8 km, Roquemaure à 12 km et Orange à 22 km.
Climat
|
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chusclan », sur la commune de Chusclan, mise en service en 1991[6] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 15,1 °C et la hauteur de précipitations de 757 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 38 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Laudun-l'Ardoise est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bagnols-sur-Cèze, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[16] et 28 730 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (59,9 %), forêts (20,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,8 %), zones urbanisées (8,1 %), prairies (1,7 %), eaux continentales[Note 5] (0,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Provençal Laudun, du roman Laudum, Lodun, du bas latin Laudunum[22].
Histoire
Antiquité
La ville ancienne se situait sur le plateau du Camp de César qui domine la ville nouvelle.
Moyen Âge
L'histoire de Laudun commence après l'abandon de l'oppidum à la fin du VIe siècle ap. J.-C. Les premiers vestiges du Moyen Age (XIe – XIIe siècles) se découvrent sur la colline Sainte-Foy où demeurent des pans de murs du château féodal. Le bourg s'est ensuite développé vers la plaine avec une deuxième série de fortifications contre lesquelles s'éleva l'église gothique Notre-Dame-la-Neuve (première moitié du XIVe siècle). Laudun, riche commune, était une possession des seigneurs de Laudun. Des moulins installés le long de la Tave témoignent de l'activité économique liée à cette rivière. Toutefois, le bourg a tiré essentiellement sa richesse et sa renommée de la culture de la vigne.
Laudun, ancien vicus gallo-romain, faisait partie de la viguerie de Bagnols et du diocèse d'Uzès, doyenné de Bagnols[23]. C'était, au Moyen Âge, une des petites villes les plus considérables que le diocèse d'Uzès possédât sur les bords du Rhône[23]. À une époque où la sénéchaussée était appauvrie et dépeuplée par toutes sortes de fléaux, en 1384, on y comptait encore 52 feux[23]. Le plateau dit de Saint-Pierre de Castres, qu'on croit avoir été l'emplacement d'un ancien camp romain, est situé en partie dans la commune de Laudun et en partie dans celle de Tresques[23]. On y a trouvé de tout temps, en assez grande quantité, des inscriptions, des armures, des ustensiles, etc.[23] Un seigneur de Laudun, François, échanson du Dauphin qui devint plus tard Louis XI, reçut en 1437 le roi Charles VII de France dans son château de Laudun[23].
Époque moderne
Vers la fin du XVIe siècle, cette seigneurie est passée par mariage à la maison de Joyeuse[23]. Le prieur de Notre-Dame-la-Neuve, dont l'église servait au XIXe siècle de paroisse à Laudun, était uni, avant 1790 aux Célestins d'Avignon[23]. L'évêque d'Uzès n'avait droit de collation que pour la vicairie de Notre-Dame et pour le prieuré de Saint-Geniès hors de Laudun, devenu son annexe[23].
Le XVIe siècle est marqué par l'édification de demeures aux intéressantes façades de style Renaissance. Au XVIIe siècle, la confrérie des Pénitents blancs fait construire sur la colline Sainte-Foy une chapelle qui domine le bourg.
Époque contemporaine
Par décret du la commune de Laudun devient Laudun-l'Ardoise.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2018, la commune comptait 6 316 habitants[Note 6], en augmentation de 4,67 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Outre l'apanage touristique avec le Camp de César sur les hauteurs de Laudun, militaire avec le 1er régiment étranger de génie basé à l'Ardoise, ou encore viticole avec son vignoble, la commune de Laudun-l'Ardoise dispose d'une sphère industrielle et fluviale majeure essentiellement concentrée sur la zone industrielle de l'Ardoise qui compte actuellement plus de 3 000 employés.
Agriculture
- Vignoble classé Côtes-du-Rhône villages AOC.
Artisanat et industrie
L'Ardoise est depuis les années 1950 un bastion de l'industrie et notamment de l'industrie sidérurgique. Il a d'ailleurs été marqué en 2004 par la fermeture de ce qui fut des années durant le fleuron de l'économie locale et plus largement du Gard rhodanien, le site du Groupe Arcelor anciennement connu sous le nom d'Ugine Aciers. Cette usine a été l'un des premiers établissements industriels majeurs à avoir vu le jour dans le Gard. Plusieurs fois réorienté dans sa production sidérurgique, ce site est marqué par l'évolution des techniques de production, mais également par les évolutions sociales et salariales du XXe siècle. De son plein essor à sa fermeture, cet établissement qui a recruté près de 3 000 personnes est un véritable symbole industriel français marqué par un effondrement progressif de son activité à partir des années 1970 et une lutte ouvrière accrue jusque dans les années 1990. Démantelé depuis 2011, un musée retraçant l'histoire de l'usine se tient actuellement sur le site.
En ce qui concerne Port l'Ardoise, il est à la fois un port fluvial industriel, et un port fluvial de plaisance, l'ensemble étant géré par la Chambre de commerce et d'industrie de Nîmes-Bagnols-Uzès-Le Vigan.
Culture locale et patrimoine
Camp de César
.JPG.webp)
Le camp de César est une ville antique de 18 hectares dominant le couloir rhodanien ainsi que le confluent des vallées de la Cèze et de la Tave. Le site est occupé à partir de l'Âge du fer (Ve siècle av. J.-C.) jusqu'à l'Antiquité tardive. De nombreuses traces d'habitations antiques composent le lieu-dit de Saint-Jean-de-Rouzigues qui domine Orsan.
Aqueduc de Balouvière

Ce monument qui rappelle dans son architecture celle du Pont du Gard, a été construit en 1870 pour l'alimentation du village de Laudun en eau de source. Le captage, situé au nord du Camp-de-César, dans la combe de Roubaud, parvenait jusqu'au village à travers un petit aqueduc souterrain, dont certaines parties sont encore visibles. L'eau passant ensuite sur l'aqueduc de Balouvière aboutissait dans un vaste réservoir situé sur la colline de Sainte-Foy. L'eau alimentait ainsi les fontaines et les abreuvoirs du village. L'édifice d'une longueur de 76 m, est construit en calcaire et en briques. Il présente à sa base une arche unique, enjambant le ruisseau de Balouvière. Une série de 5 arches de taille moyenne compose le premier niveau, tandis qu'un ensemble de 18 petites arches marque le deuxième niveau. La canalisation recouverte de dalles est disposée sur cette dernière. L'aqueduc semble avoir fonctionné jusqu'au milieu du XXe siècle.
Château de Lascours
Inscrit MH (1980)
Classé MH (2008)[29]
Dans la vallée de la Tave à la croisée d'anciens chemins, ce château est probablement d'origine carolingienne. Reposant sur des pilotis, il est le seul dans le département du Gard à être entouré de douves en eau vive. Durant la période médiévale, la bâtisse est la résidence secondaire des seigneurs de Laudun. Il fut la propriété des ducs de Joyeuse, de Guise et des marquis de Brancas. La tradition rapporte que la jeune reine de France, Marie Stuart, y serait venue rendre visite à son cousin de Laudun. Le cardinal François de Joyeuse, archevêque de Narbonne, grand ami d'Henri IV et parrain de Louis XIII, le fit entièrement réaménager et fit réaliser notamment la salle des États Généraux du Languedoc. Gabrielle de Brancas, la Dame à la Rose, empoisonnée dit-on par son mari avec une fleur saupoudrée d'arsenic, hante les soixante pièces du château. Musique à Lascours, créé en 1982 par Jacqueline Gurnari, investissait il y a quelques années encore les vastes espaces de la grande demeure qu'elle avait restauré.
Château de Bord
Dominant la plaine de la Tave au sommet d'une petite colline à 175 m d'altitude, détachée du plateau de Lacau, le château de Bord ne présente plus que quelques traces de ce qui devait être un édifice défensif. En 1211, le roi Philippe Auguste reconnaît les droits de l'évêque d'Uzès sur le château, qui avait dû être construit entre le XIe et le XIIe siècle. Le monument fut en partie détruit par les protestants au cours des guerres de religions.
- Château de Bord
- Entrée du château en ruine
Édifices religieux
- Église Notre-Dame-et-Saint-Genest de l'Ardoise.
- Chapelle des religieuses de Saint-Charles de Laudun-l'Ardoise.
- Chapelle Sainte-Foy de Laudun-l'Ardoise.
- Chapelle ruinée de Saint-Jean de Rouzigue.
- Église Notre-Dame-et-Saint-Genest de l'Ardoise
- Chapelle Sainte-Foy de Laudun-l'Ardoise.
- Ruines de la chapelle romane de Saint-Jean de Rouzigue, datant probablement du début du XIème siècle. Elle était appelée au début chapelle Saint-Jean de Todon. Elle est à environ 255m d'altitude sur le plateau de Lacau, non loin du Camp de César.

Église Notre-Dame-la-Neuve de Laudun-l'Ardoise.
Construite au XIVe siècle, de type gothique méridional, succédant à l'église romane Saint-Geniès, cet édifice possède les principales caractéristiques du style gothique méridional, à savoir une nef unique flanquée de trois chapelles latérales se terminant par un chœur plus étroit. La vision du monument présente un aspect massif qui lui confère également un rôle défensif, vis-à-vis des remparts du bourg médiéval. La construction de l'église paroissiale Notre-Dame-la-Neuve fut achevée vers 1352, après quelques années de travaux. La voûte de la nef a été remplacée une première fois par une charpente durant la première moitié du XVIIIe siècle, et finalement en 1965 par une charpente métallique après un violent incendie causé par la foudre. Malgré l'absence de voûtes, le volume du vaisseau central qui se divise en six travées laisse une vaste perspective. Le monument s'étage sur trois niveaux. La face sud (niveau inférieur), composée de grandes fenêtres rythmées par de puissants contreforts et dégagée de toute construction, permet d'admirer l'édifice dans son ensemble. La tour-clocher, qui s'appuie à l'angle sud-est de l'église a servi de tour de défense (présence de meurtrières), tout comme le chevet polygonal à l'est qui présente encore sur un des contreforts les traces d'une petite échauguette. Le grand portail, actuellement entrée unique de l'église, présente une série de voussures retombant sur de fines colonnettes ornées de chapiteaux feuillagés. Le linteau sur la porte d'entrée conserve les traces d'une litre funéraire, peinture placée sur le pourtour de l'église après la mort d'un seigneur.
Chapelle Saint-Géniès de Laudun-l'Ardoise.
- Chapelle Saint-Géniès de Laudun-l'Ardoise
La façade vue du sud. La chapelle vue de l'est. L'abside. Baie de l'abside.
Académie de Lascours
L'Académie de Lascours a été fondée en 1988 au château de Lascours.
Personnalités liées à la commune
- Albert André, peintre, y est mort en 1954.
- Félix Devaux (1873- 1921), sculpteur et architecte, fit de la commune sa légataire.
- Malik Bentalha, humoriste français, d'origine algérienne et marocaine, connu pour participer au Jamel Comédie Club.
- Hyacinthe Carmes de Labruguière, militaire et homme politique.
- Patrice Prat.
- Louis Peyret (1881-1933), ingénieur aéronautique français, est né le à Laudun.
Héraldique
![]() |
Blason | D'azur au sautoir (alias : sautoir alésé) d'or, au lambel de gueules brochant en chef. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- « Groupe d'opposition de Laudun-l'Ardoise », sur www.laudunlardoiseavenir.fr (consulté le )
- « Laudun-l'Ardoise sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ], sur wikiwix.com (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Laudun-l'Ardoise », sur www.insee.fr (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Chusclan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Laudun-l'Ardoise et Chusclan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Chusclan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Laudun-l'Ardoise et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bagnols-sur-Cèze », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, notice BnF no FRBNF37258238), p. 192, t. 2
- Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (notice BnF no FRBNF30500934), p. 111 et 10
- « Partnergemeinde Laudun » Site web de la commune de Waldsolms, consulté le 1er avril 2017.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Notice no PA00103066, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Portail des communes de France
- Portail du Gard