Laboratoires Boiron

Les laboratoires Boiron sont une entreprise française qui fabrique et distribue des préparations homéopathiques. Elle possède 31 établissements de distribution en France métropolitaine, et 19 filiales en Outre-mer et à l'étranger.

Pour les articles homonymes, voir Boiron.

Laboratoires Boiron

Création 1932
Personnages clés Christian Boiron, Thierry Boiron, Valérie Poinsot
Forme juridique Société anonyme à conseil d'administration
Action Euronext : BOI
Slogan « Votre santé mérite le plus grand respect »
Siège social Messimy (Rhône)
 France
Direction Valérie Poinsot
Actionnaires famille Boiron (69,6 %)
Activité homéopathie
Produits Préparations homéopathiques
Filiales Italie, Russie, Espagne, Belgique, Pologne, États-Unis, Canada, Brésil, Hongrie, Roumanie, Suisse, République tchèque, Slovaquie, Caraïbes, Portugal, Inde, Pakistan
Effectif 3 050 (2020)
SIREN 967504697
TVA européenne FR78967504697
Site web www.boiron.fr

Capitalisation 677 M (28 juin 2021)
Fonds propres 222 M (2020)
Chiffre d'affaires 513 M (2020)[1]
7,8 % vs (2019)
Résultat net 26,2 M (2020)
35,5 % vs (2019)

Cotée à la bourse de Paris, l'entreprise est à plus de 69 % la propriété de la famille Boiron.

Histoire

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Dès 1911, René Baudry, pharmacien, se spécialise dans la fabrication du médicament homéopathique en créant, sur le conseil du Dr Vannier, un ami d'enfance, alors installé à Paris, une pharmacie homéopathique : la « Pharmacie générale homéopathique française », située au 68 boulevard Malesherbes, dans le 8e arrondissement[2]. En 1922, Baudry quitte Paris[3] pour Annonay, en Ardèche, après avoir vendu son affaire. En 1926, le docteur Vannier crée à Paris les « Laboratoires homéopathiques de France ».

En 1930, René Baudry rejoint le groupe des médecins homéopathes lyonnais et crée le « Laboratoire central homéopathique rhodanien », 38 rue Thomassin, à Lyon. Les médecins parisiens de l'École de l'homéopathie moderne l'invitent à revenir à Paris pour créer un laboratoire national de fabrication des médicaments homéopathiques. Il accepte à condition de conserver l'entité lyonnaise et recherche alors des confrères pour monter cette nouvelle société. Jean et Henri Boiron cherchent du travail. Ils viennent d'obtenir leur diplôme de pharmacie et sont également titulaires d'un doctorat ès sciences. Grâce au Dr Mondain, ils rencontrent René Baudry qui les engage.

En , les frères Boiron créent à Paris, dans les locaux du 68 boulevard Malesherbes, le « Laboratoire central homéopathique de France » : si les frères jumeaux Boiron en sont les dirigeants, et les propriétaires en titre, le véritable financier est le publicitaire Lucien Levy. Un an après, René Baudry et Henri Boiron assurent le développement du laboratoire parisien qui devient les « Laboratoires homéopathiques modernes » (LHM). Jean Boiron, quant à lui, prend en charge le développement de l'entité lyonnaise qui devient la « Pharmacie homéopathique rhodanienne » (PHR)[4].

En 1935, Jean Tétau (1901-1972), pharmacien, crée à Paris le « Laboratoire de pharmacologie homéopathique » (LPH), nom d'origine du laboratoire Dolisos ; le changement de nom a lieu en 1976.

En 1965, une monographie « Préparations homéopathiques » est introduite à la Pharmacopée française. C'est le début du remboursement de l'homéopathie par la Sécurité sociale.

En 1967, les Laboratoires Boiron se créent en réunissant : les Laboratoires homéopathiques Jean Boiron (PHR), Les Laboratoires homéopathiques Henri Boiron et les Laboratoires homéopathiques modernes (LHM). Boiron devient alors le leader mondial de l'homéopathie.

En 1969, les Laboratoires Boiron créent une première usine dans le 8e arrondissement de Lyon. Ils reprennent alors toutes les fabrications faites en sous-traitance. C'est le début d'une forte expansion, 20 % à 30 % de croissance annuelle jusqu'en 1986.

Les années 1970 marquent le début de la succursalisation de la distribution des produits : création d'établissements à Toulouse, Lille, Bordeaux, Belfort, Nantes, Avignon et Grenoble.

En 1974, les Laboratoires Boiron déménagent à Sainte-Foy-lès-Lyon dans la banlieue lyonnaise pour faire face à l'expansion très rapide de l'homéopathie. Les locaux sont agrandis dès 1979.

En 1978, sous l'impulsion de Christian Boiron, nouveau directeur général et des représentants du personnel, se met en place une politique sociale originale basée sur la conviction que le social et l’économique sont deux dimensions de la réalité de l’entreprise à ne pas dissocier et à ne pas hiérarchiser : accords de préparation à la retraite, horaires libres, temps partiel choisi, partage des gains de productivité, aide à la création d'entreprise, à l'engagement dans la vie politique, aux projets personnels, etc.

La première filiale internationale est ouverte en 1979 en Italie.

En 1983, Christian Boiron succède à son père à la présidence de l'entreprise. Il développe la promotion des spécialités par la publicité auprès du public : Oscillococcinum, Stodal, Homéoplasmine, etc. Il ouvre une filiale aux États-Unis puis en Espagne.

L'Institut Boiron créé en 1985 accentue cet engagement et l'élargit au sein de la communauté médicale et scientifique internationale.

En 1987, Boiron est introduit en Bourse au deuxième marché de Lyon.

En 1988, Boiron rachète les laboratoires LHF, alors numéro trois français de l'homéopathie. Le chiffre d'affaires augmente ainsi de 30 %.

Au début des années 1990, le rachat du laboratoire marseillais Sibourg parachève la couverture nationale de Boiron.

Dans les années 1990, Christian Boiron est élu au conseil municipal de Lyon et devient adjoint au maire Michel Noir, chargé du développement économique et international[5].

En 1991, début des ventes en Pologne et en Tchécoslovaquie. C'est le début d'un développement de plus en plus poussé vers l'ensemble des pays de l'ancien bloc de l'Est : Hongrie, Roumanie, Bulgarie.

En 1995, Boiron s'étend à Messimy, dans les monts du Lyonnais sur un terrain de 18 hectares. Le site industriel comprend au départ les fabrications et conditionnements de comprimés, pommades, sirops et une seconde unité de teintures mères. Vient s'ajouter en 1998 la fabrication des granules puis en 2002 le magasin central d'expéditions et en 2003, l'extension du siège (trois bâtiments). En 2009, une nouvelle extension du siège est faite par ajout d'un bâtiment supplémentaire.

En 2004, baisse du remboursement de l'homéopathie de 65 % à 35 % par la Sécurité sociale[6].

En 2005, Boiron fusionne avec Dolisos [7](filiale des Laboratoires Pierre Fabre), numéro deux mondial de l'homéopathie et entreprise largement déficitaire [8]. Le chiffre d'affaires est augmenté de 30 %. Un plan de réorganisation et de rationalisation des services de production, distribution et commercial est entrepris entre et . Dès 2006, l'entreprise retrouve son niveau de bénéfice d'avant la fusion.

En octobre, création d'une filiale en Russie[9]. Oscillococcinum est le principal produit de cette filiale[10].

En 2005, afin de prendre du recul, Christian Boiron demeure président-directeur général des laboratoires Boiron, tout en coordonnant les activités Boiron Italie. Thierry Boiron, son frère, quitte la filiale Boiron USA pour devenir directeur général des laboratoires Boiron. Il développe une nouvelle politique en développant les principaux OTC (Oscillococcinum, Stodal, Sédatif PC, Camilia, etc.) dans le monde.

En 2009, création d'une filiale au Brésil. À la même époque Herbaxt est intégré sur le site de Montévrain (Seine-et-Marne) comme site de production sous le nom de Boiron. L'établissement de Montévrain fabrique principalement Camilia et Homéoptic.

Le , Thierry Boiron devient président du conseil d'administration[11]. À la même date, Christian Boiron devient à nouveau directeur général des laboratoires Boiron[12].

Le , les Laboratoires Boiron annoncent le rachat des parts des laboratoires Pierre Fabre (15,5 %) ainsi que la réduction du capital social[13]. 3 330 436 actions sont ainsi cédées au groupe familial Boiron pour 1 289 593 actions et à la société Boiron elle-même pour 2 040 843 actions[14].

Le , les Laboratoires Boiron transfèrent leur siège social à Messimy[réf. nécessaire] dans les monts du Lyonnais après le déménagement de la direction générale, la direction du marketing, la direction juridique, la direction des affaires réglementaires, la recherche et la DRH[réf. souhaitée].

En 2014, Boiron achète 18 hectares de terrain sur Messimy pour agrandir son site et y construire un bâtiment de fabrication des tubes et doses[réf. nécessaire][15]. La construction démarre en 2016 pour s'achever fin 2018[réf. nécessaire]. Le site de Sainte Foy ne s'occupe plus de production et sera occupé par un établissement de distribution fin 2019.

Le , Boiron annonce la création de sa vingtième filiale, en Inde[16].

Le , Boiron annonce l'acquisition du Laboratoire Ferrier, jusque là propriété du Laboratoire Arkopharma[17].

Fin 2018, installation d'un nouvel entrepôt logistique[18] sur la Commune de Vindry-sur-Turdine près de Tarare dans le Rhône sur un terrain de 28 hectares.

En , le directeur général Christian Boiron quitte le groupe familial en difficulté, « sur fond de résultats en baisse et de relance du débat en France sur l'efficacité de l'homéopathie[19] », et Valérie Poinsot prend la direction générale du groupe[20].

En 2019, les Laboratoires Boiron possèdent[21],[22] :

En mars 2020, l'entreprise annonce avoir choisi de supprimer 646 postes en France et de fermer 13 des 31 sites du groupe, à la suite des mauvais résultats économiques ayant suivi l'arrêt du remboursement de ses produits par la sécurité sociale[23].

Le , en pleine crise internationale liée à l'épidémie de Covid-19, les laboratoires Boiron annoncent vouloir fabriquer du gel hydro-alcoolique afin d'en équiper l'établissement français du sang (EFS)[24]. La production de gel hydroalcoolique s'effectue sur le site de Messimy qui a toutes les compétences pour gérer cette nouvelle division[25],[26].

Alors que le secteur est en crise à la suite de l'arrêt du remboursement des préparations homéopathique par la sécurité sociale décidé par la ministre de la Santé Agnès Buzyn, le groupe annonce que le site de Montrichard, dans le Loir-et-Cher n'a pas réussi à trouver de repreneur. Par conséquent, le site, qui employait environ 80 personnes, devrait fermer le 31 décembre 2021[27].

Controverses

En 2013, la position de monopole actuel en France de Boiron suscite des critiques aussi bien de partisans que de détracteurs de l'homéopathie : « Boiron est en train de répandre une homéopathie fast-food, avec toujours les mêmes remèdes standardisés, peu chers à fabriquer. Le McDo de l’homéopathie ! » ainsi que le définit un homéopathe[28]. Certains vont même jusqu'à craindre « la fin de l'homéopathie »[29].

Sur l'Oscillococcinum

L'entreprise est notamment connue pour l'Oscillococcinum, une préparation controversée en raison de l'absence totale de preuve de son efficacité[30]. En , un blogueur italien dénonçant l’absence de molécules actives dans l’Oscillococcinum se voit menacé de poursuites par les Laboratoires Boiron[31].

Une action judiciaire collective a été intentée aux États-Unis contre cette préparation homéopathique. Pour éviter un jugement sur le fond d'un procès collectif intenté par tous les résidents de Californie qui ont acheté Oscillococcinum au cours des quatre dernières années, Boiron a consenti un accord transactionnel portant sur un montant de 5 millions de dollars[32],[33]. Deux plaintes similaires ont été déposées au Canada[34] en 2012. Un jugement rendu le à la Cour supérieure de Montréal a rejeté la demande d'ouverture d'une action de groupe[35].

En 2013, les détracteurs de Boiron affirment que Oscillococcinum « est fait à partir de viscères de canards malades »[36].

Sur l'Homéostick

En le baume à lèvre Homéostick est épinglé par Que Choisir, il contient en effet, comme une dizaine d'autres produits cosmétiques, des substances suspectées d'être cancérigènes[37].

Projet d'Urbanisation à Beauvechain, Belgique

Depuis 2019, Boiron est impliqué dans une proposition controversée de permis d'urbanisation à Beauvechain, en Belgique[38]

Données financières et boursières

Données financières en millions d'euros[39],[40]
Années2006200720082009201020112012201320142015201620172018
Chiffres d'affaires398,7434,3466,7526,1520,4523,2566,3617,7609,7607,8614,5617,5604,2
Résultat opérationnel26,644,757,091,866,763,785,6134,3144,2126,5129,7125,0106,0
Résultats nets part du groupe10,227,139,059,843,342.250,382,489,073,977,778,257,5
Fonds propres229,9249,9270,2313,3343.6368,4326,2391,7379.7416,0469.5517.5486,0
Dettes financières17,31,642,133,804,392,122,521,895,665,66
Investissements14,920,024,141,637,353,119,124,222,1 ?34,251,139,4
Trésorerie96,697,989,894,7160156 ?240264,9216,8
Données boursières au [41]
Années200720082009201020112012201320142015201620172018
Nombre d'actions cotées en millions22,0022,0021,7321,4821,4821,4819,4419,4419,4419,4419,4217,57
Dividendes0,550,600,700,700,700,901,201,501,501,501,50
Capitalisation boursière en millions d'euros4784024043956004509661 3191 4361 6911 431860800

Actionnaires

Nom Part
Famille de Jean Boiron45,4 %
Famille de Henri Boiron13,8 %
Auto-contrôle5,60 %
Natixis Investment Managers International5,31 %
Thierry Boiron4,35 %
Famille Boiron2,03 %
Norges Bank Investment Management1,84 %
Michéle Boiron1,55 %
Christian Boiron1,38 %
Christine Boyer-Boiron1,13 %

Tableau mis à jour le [42],[43].

Activité de lobbying

Auprès des institutions de l'Union européenne

Boiron est inscrit depuis 2016 au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de la Commission européenne. Il déclare en 2017 pour cette activité des dépenses annuelles d'un montant compris entre 50 000 et 100 000 euros[44].

En France

Pour l'année 2017, Boiron déclare à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique exercer des activités de lobbying en France pour un montant qui n'excède pas 75 000 euros[45].

Auprès des syndicats et sociétés d'homéopathes

D'après l'Institut National Homéopathique Français (INHF), Boiron intervient auprès de syndicats et d'associations homéopathes (Syndicat national des médecins homéopathes français, Société française d'homéopathie, Société savante d'homéopathie et d'autres), afin de coordonner des actions médiatiques et de mobilisation en faveur de l'homéopathie[46]. C'est effectivement de cette façon dont Boiron s'y est pris pour lancer la Coalition pour l’homéopathie au Québec en 2019[47].

Enseignement et formation

La société CEDH (Centre d’Enseignement et de Développement de l’Homéopathie) est une filiale de Boiron[48]. Selon la base de données publique Transparence Santé, le CEDH a reçu de Boiron 2 140 000 euros en 2017 et au moins 1 165 200 euros en 2018 (entre janvier et mai)[49].

La société CFDH (Centre De Formation en Homéopathie) est une filiale de Boiron[50].

En 2011, l’Université Lyon 1, faculté Lyon-Sud, inaugure l’« amphithéâtre Boiron » financé à 50% par les laboratoires Boiron. Christian Boiron, président des laboratoires Boiron, dispense des cours à Lyon-Sud et est également membre du conseil d'administration de l’Université Lyon 1[51],[52].

Dons

Boiron a déclaré, pour la période 2013-2018, 71 817 avantages en nature d'après la base Transparence-Santé. Parmi ces dons, la Faculté de pharmacie de Limoges a reçu 25 000 €, la Fédération Française des Sociétés Homéopathiques reçoit chaque année plus de 150 000 € et Homéopathes Sans Frontière, 11 000[49].

Notes et références

  1. [PDF]
  2. Les grands homéopathes francophones - René Baudry (part I), Corine Mure, CAHIERS DE BIOTHÉRAPIE, N°237, JUILLET 2013 (Consulté le 9 juillet 2019).
  3. Les grands homéopathes francophones - René Baudry (part II), Corine Mure, CAHIERS DE BIOTHÉRAPIE, N°238, Octobre 2013 (Consulté le 9 juillet 2019).
  4. L'Histoire des Laboratoires Boiron, site Boiron (Consulté le 9 juillet 2019).
  5. « Boiron démissionne de la mairie de Lyon - Les Echos », sur lesechos.fr (consulté le ).
  6. Baisse du remboursement des médicaments homéopathiques, 12e législature. Question écrite n° 10453 de M. Guy Fischer (Rhône - CRC) publiée dans le JO Sénat du 01/01/2004 (Consulté le 9 juillet 2019).
  7. http://www.ernstrade.com/communique/boiron.html
  8. Pour résister aux effets du déremboursement de l'homéopathie, Boiron et Dolisos vont fusionner, Sophie Landrin, Le Monde, 31 mars 2005 (Consulté le 9 juillet 2019).
  9. Création filiales Boiron, Russie, 2005.
  10. Boiron met un pied en Russie, Les Echos, 17/12/96 (Consulté le 9 juillet 2019).
  11. http://www.bourse-trader.com/boironevolution-de-lequipe-dirigeante/
  12. http://www.boironfinance.fr/
  13. « Pierre Fabre cède ses parts dans Boiron », sur lefigaro.fr
  14. http://www.actusnews.com/communique.php?ID=ACTUS-0-30424
  15. « Les laboratoires Boiron s’implantent et s’agrandissent à Messimy », sur leprogres.fr, (consulté le ).
  16. http://www.zonebourse.com/BOIRON-5685/actualite/Boiron-le-resultat-operationnel-de-2015-sera-inferieur-21725350/
  17. Rachat de FERRIER par le laboratoire BOIRON
  18. = www.monlocalindustriel.fr
  19. « Le directeur général de Boiron sur le départ, en pleine fronde contre l'homéopathie », sur lepoint.fr, .
  20. « Valérie Poinsot, officiellement désignée pour succéder à Christian Boiron à la tête des Laboratoires Boiron », sur leprogres.fr, (consulté le ).
  21. « Boiron en France », sur boiron.fr.
  22. « Boiron dans le monde », sur boiron.fr.
  23. « Le laboratoire Boiron, spécialiste de l’homéopathie, supprime 646 postes en France », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Coronavirus: Boiron va produire du gel hydro-alcoolique pour l'Établissement français du sang », sur bfmtv.com (consulté le ).
  25. Le Figaro avec AFP, « Boiron va produire du gel hydro-alcoolique pour l'Établissement français du sang », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  26. « Boiron va produire du gel hydroalcoolique pour l'établissement Français du Sang », sur tonicradio.fr, (consulté le ).
  27. « À Montrichard, l’usine de Boiron fermera définitivement ses portes le 31 décembre », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  28. Ariane Denoyel, « Ces homéopathes qui accusent Boiron | », sur www.lyoncapitale.fr, (consulté le )
  29. Ariane Denoyel, « Ces homéopathes qui accusent Boiron », Lyon capitale, 12 novembre 2013 [lire en ligne].
  30. Robert T. Mathie, « Controlled clinical studies of homeopathy », Homeopathy: The Journal of the Faculty of Homeopathy, vol. 104, no 4, , p. 328–332 (ISSN 1476-4245, PMID 26678738, DOI 10.1016/j.homp.2015.05.003, lire en ligne, consulté le )
  31. Zineb Dryef, « Les labos Boiron menacent un blogueur antihoméopathie », sur www.rue89.com,
  32. (en) « Gallucci v. Boiron, Inc. et al. Settlement Agreement » [PDF] (consulté le )
  33. (en) « Communiqué de la société du 5 novembre 2012 » [PDF]
  34. « Boiron: dévoile une activité trimestrielle stable », sur bourse.figaro.fr,
  35. « Boiron échappe à une class action au Canada », sur Tribune de Lyon, (consulté le )
  36. « Ces homéopathes qui accusent Boiron / », sur Lyon Capitale, (consulté le ).
  37. Delphine Perez, « Baumes à lèvres, attention danger », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
  38. Laurence Van Ruymbeke, « Zizanie à Beauvechain autour de l'installation de la firme Boiron (récit) », sur Site-LeVif-FR, (consulté le )
  39. Profil société de Boiron, 2019 (Consulté le 9 juillet 2019).
  40. Rapports annuels et semestriels, 2019 (Consulté le 9 juillet 2019).
  41. (pdf) Document de référence 2018, 16/04/2019, p.34 (Consulté le 9 juillet 2019).
  42. « liste des actionnaires », sur zonebourse.com, Zone Bourse (consulté le ).
  43. (pdf) Document de référence 2018, 16/04/2019, p.214 (Consulté le 9 juillet 2019).
  44. « Registre de transparence », sur le site de la Commission européenne (consulté le )
  45. « Fiche Organisation « Haute Autorité pour la transparence de la vie publique », sur www.hatvp.fr (consulté le )
  46. Newsletter de l'INHF, p. 8.
  47. Isabelle Hachey, « La science n'est pas soluble dans l'homéopathie », La Presse, (lire en ligne)
  48. « CEDH.org », sur www.cedh.org (consulté le )
  49. Base Transparence Santé du Ministère des Solidarités et de la Santé.
  50. « BOIRON », sur www.journal-officiel.gouv.fr (consulté le )
  51. « Inauguration de l'amphithéâtre Boiron », sur Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud - Charles Mérieux (consulté le )
  52. Rozenn Le Saint, « Lyon Sud : des étudiants biberonnés par l'industrie pharmaceutique », Mediacités, (lire en ligne, consulté le )

Liens externes

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