La Robine-sur-Galabre

La Robine-sur-Galabre est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

La Robine-sur-Galabre

Chapelle Saint-Pons.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Bruno Acciaï
2020-2026
Code postal 04000
Code commune 04167
Démographie
Population
municipale
293 hab. (2018 )
Densité 6,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 10′ 12″ nord, 6° 13′ 07″ est
Altitude Min. 646 m
Max. 1 887 m
Superficie 45,91 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Digne-les-Bains-1
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
La Robine-sur-Galabre
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
La Robine-sur-Galabre
Géolocalisation sur la carte : France
La Robine-sur-Galabre
Géolocalisation sur la carte : France
La Robine-sur-Galabre
Liens
Site web larobine.fr

    Le nom de ses habitants est Robinois[1].

    Géographie

    La Robine-sur-Galabre et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    La commune est traversée par le Galabre, affluent droit du Bès, lui-même affluent droit de la Bléone.

    Relief

    Le village est situé à 750 m d'altitude[2].

    Le point culminant est la Grande Cloche de Barles (1 887 m).

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Bès, qui forme une partie de la limite avec la commune de Digne-les-Bains[3].

    Elle est également traversée par Le Galabre, un affluent du Bes en rive droite, d'une longueur d'environ 15 km et qui prend sa source sur les pentes de la Cloche de Barles à 1887 m d'altitude.

    Son bassin versant est d'environ 35 km².

    Environnement

    La commune compte 800 ha de bois et forêts[1].

    Transports

    La commune est desservie par la départementale RD 900A, ancienne route nationale 100A. La RD 103 s’embranche sur celle-ci et remonte la vallée du Galabre jusqu’à La Robine. Elle poursuit jusqu’au fond de la vallée, et atteint Ainac. Elle est prolongée par la RD 453 jusqu’au village de Lambert[3].

    Toponymie

    Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois en 1309 (pro parte castrorum Robine), fait l’objet de différentes interprétations :

    • selon Charles Rostaing, il vient du provençal Roubina, désignant une montagne schisteuse[4] ;
    • Ernest Nègre propose deux hypothèses, tirées de l’occitan roubino : si on reste au premier degré, on a ravine ; si on prend le deuxième sens, le nom du village signifie canal de dérivation[5].

    Le nom de Galabre viendrait d'un ancien *Galauara, basé sur la racine hydronymique pré-celtique gal- complétée du double suffixe locatif -au-ar. Des formations similaires se retrouvent dans les noms de la Galèbre (Beaujeu) ou de la Galaure.[réf. nécessaire] Ernest Nègre propose quant à lui une étymologie basé sur un double hydronyme (nom de rivière), tous deux celtiques, *gal et avara[6].

    Ainac signifie, selon le couple Fénié, le domaine d’Ainus, nom gaulois latinisé, suivi du suffixe -acos[7].

    Quant à Tanaron, le toponyme est probablement antérieur aux Gaulois[8] et se forme sur la racine préceltique *Tan- à valeur oronymique (servant à caractériser le relief)[9].

    Hameaux

    • Ainac
    • Lambert
    • Tanaron

    Quartier

    le clouet

    le forest

    les lauzes du villard

    Les amandiers

    Risques naturels et technologiques

    Aucune commune du département n’est en zone de risque sismique nul. Le canton de Digne-les-Bains-Est, auquel appartient La Robine-sur-Galabre, est en zone de risque 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[10], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[11]. La commune de La Robine-sur-Galabre est également exposée à trois autres risques naturels[11] :

    • feu de forêt,
    • inondation (dans les vallées de la Bléone et de la Galabre),
    • mouvement de terrain : quelques versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[12].

    La commune de La Robine-sur-Galabre n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[13]. Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[13] et le Dicrim n’existe pas[14].

    Urbanisme

    Typologie

    La Robine-sur-Galabre est une commune rurale[Note 1],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (38,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,9 %), prairies (2,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), zones urbanisées (0,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Histoire

    Antiquité

    Dans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallée de la Bléone et celles de ses affluents, et étaient donc le peuple gaulois qui vivait dans l’actuelle commune de La Robine-sur-Galabre. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachés à la province des Alpes-Maritimes lors de sa création[22].

    Moyen Âge

    La localité de la Robine est citée au XIIIe siècle ; elle doit son nom au sol fait d'un schiste tendre se délitant progressivement ("Roubina" en provençal). Auparavant, le lieu-dit le Bouisset est cité en 813-814 (in Buxeto[23]). La communauté de la Robine comptait 19 feux en 1315, et 168 habitants en 1765[24].

    La seigneurie était aux Barras (XIVe/XVIIe), puis à partir du XVIIIe siècle aux Thoron.

    Ainac est citée au XIIIe siècle (Ainacum) : elle se caractérise par un habitat dispersé, la seigneurie appartenait aux Barras, aux Amalric, puis aux Thomassin.

    Lambert est citée au XIIIe siècle (Lambertum) : Lambert et Ainac formaient une seule paroisse, la seigneurie des Amalric. La communauté comptait 16 feux en 1315, et inhabitée en 1471. En 1765, elle avait 119 habitants[25].

    Tanaron est cité dans les chartes aux alentours de 1200 ; les évêques de Digne en étaient les seigneurs (avec le hameau de Rocherousse) et y avaient un château[26]. En 1315, la communauté comptait 40 feux, chiffre qui chute à 14 en 1471. La population s’établit à 230 en 1765[26].

    Révolution française

    Durant la Révolution, les communes de Tanaron, La Robine et Ainac comptent chacune une société patriotique, créées après la fin de 1792[27], ainsi que celle de Lambert, malgré sa petite taille (environ 80 hab. en 1790)[28].

    Époque contemporaine

    En 1878, une école à classe unique est construite à Pudoyer, village éloigné du chef-lieu de la commune de Tanaron, malgré l'opposition des habitants de Tanaron, qui ne souhaitent pas de concurrence à leur école. Quinze élèves la fréquentent ; mais l'exode rural entraîne sa fermeture dès 1897[29].

    Les communes qui ont formé l’actuelle commune de La Robine-sur-Galabre restent enclavées très longtemps. Ce n’est qu’en 1874 que l’entreprise Trotabas commence les travaux du chemin d'intérêt commun no 7. Ce n’est qu’un chemin muletier, et les tunnels ont tout juste la largeur nécessaire à faire passer un mulet chargé d’un bât, mais il est plus facile à emprunter que les chemins passant dans les hauteurs. Si une passerelle est jetée sur le Bès entre Tanaron et Esclangon, la plupart des ravins, ruisseaux et torrents doivent encore être franchis à gué. De plus, la passerelle est emportée par une crue du Bès en 1890[30]. Le projet de construction de la route nationale 100a, voté en 1881 et réalisé pendant les trois décennies suivantes, est accueilli avec enthousiasme par les habitants : le maire d’Ainac écrit ainsi que « la circulation c’est la civilisation »[31] bien que la route passe à 12 km du village.

    Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée dans la commune, uniquement pour l’autoconsommation. Cette culture a depuis été abandonnée[32].

    La commune est constituée par la fusion en 1973 des communes d’Ainac, de Lambert, de La Robine et de Tanaron[33].

    Héraldique

    Blasonnement :
    Fascé d'or et d'azur de six pièces, à un écureuil rampant de sable, brochant sur le tout.[34]

    Politique et administration

    Municipalité

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945   Oscar Magaud[35]    
             
    mars 2001[36] 2014 Jean-Marie Reymond[37]    
    avril 2014 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Bruno Acciaï[38]   Cadre supérieur

    Intercommunalité

    La Robine-sur-Galabre fait partie :

    Démographie

    La Robine


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].

    En 2018, la commune comptait 293 habitants[Note 3], en diminution de 4,25 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,33 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    16812394126175159173186189
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    157146148153145128131130162
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1261221241059691808183
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    485774146228257309317324
    2013 2018 - - - - - - -
    306293-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    L'histoire démographique de La Robine est marquée par une période d'« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1831 à 1851. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique lent, mais de longue durée. Ce n'est que dans les années 1930 que la commune enregistre la perte de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1851[42]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu'à la fin des années 1960. En 1973, la création de la commune de La Robine-sur-Galabre par fusion de quatre autres constitue un ensemble plus important, démographiquement parlant, qui a cru fortement depuis.

    Ainac

    Évolution démographique
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    106lacune103112104108122121125133
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    136115110104998875847958
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 -
    553535312916131113-
    Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
    (Sources : EHESS[43])

    Ainac connaît est marquée par une période d'« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure des années 1810 à 1866. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. Dès 1906, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1861[44]. Le mouvement de baisse se poursuit jusque dans les années 1960 et la fusion.

    Lambert

    Évolution démographique
    1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831
    16 feuxinhabité119113lacune122103128
    1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
    11512616010691708482
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    9293867085756256
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    4940393433262111
    Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
    (Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[25], EHESS[45])

    L'histoire démographique de Lambert est marquée par la saignée des XIVe et XVe siècles due à la peste noire et à la guerre de Cent Ans, crise qui détruit complètement la communauté.

    Lambert est la seule des quatre communes à ne pas connaître une période d'« étale » où la population serait restée stable. Dès le maximum démographique atteint en 1846, l'exode rural s'amorce de longue durée. En 1901, la commune a définitivement perdu plus de la moitié de sa population[42]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1960. Depuis, la population a crû légèrement.

    Tanaron

    Évolution démographique
    1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831
    40 feux14230234199225222241
    1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
    245266257219205201168158
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    152153148149140121127158
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    60705252261670
    Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
    (Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[26], EHESS[46])

    L'histoire démographique de Tanaron est marquée par la crise des XIVe et XVe siècles due à la peste noire et à la guerre de Cent Ans.

    Tanaron connaît son apogée démographique de 1831 à 1846, puis est touchée par l'exode rural. C'est en 1901 que la commune enregistre la perte de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841[42]. La baisse de population se poursuit, jusqu'à l'abandon complet dans les années 1960.

    Lieux et monuments

    L’église Saint-Pons, au lieu-dit la Paroisse, est construite au XIIe siècle, et succède au XIIIe à l'ancienne église Saint-Vincent[47]. Elle abrite une grande reproduction du tableau de Nicolas Poussin Le Ravissement de saint Paul, gravure plus petite que l’original (90 cm de haut sur 73 contre 148 sur 120 pour l’original)[48].

    Le grand bâtiment proche de la Robine est un logis seigneurial, construit avant 1750, et appelé localement « château ». Il est construit sur une terrasse rectangulaire, avec un pigeonnier à chaque angle. Une de ses fenêtres possède encore un meneau[49].

    À la Robine, la chapelle Saint-Pons, au cimetière, est construite dans un style archaïque campagnard au XVIIe siècle. Elle comporte une nef à deux travées voûtées sous croisées d’ogives. Le chœur est à chevet plat. Les cloches sont logées dans un clocher-mur[50]. Sa restauration dans les années 2000 par l’association Alpes de Lumière a valu à la commune le 1er prix du ministère de la Culture et de la communication en 2009[51].

    À Tanaron, la chapelle Saint-Jean est construite sur une crête aiguë au-dessus de la clue de Barles, assez difficile d’accès[52]. Elle est en cours de restauration selon les méthodes de construction traditionnelles[53]. À proximité, se trouvent des vestiges d’une tour de guet[52]. Le village ancien a presque complètement disparu[54]. La cloche de la chapelle de Pudoyer date de 1603 (actuellement conservée à Digne)[55].

    À Lambert, l’église possède deux ciboires d’argent signés et datant du XVIIe siècle, classés monuments historiques au titre objet[56].

    L’église d’Ainac abrite un tableau de la Sainte Famille, avec saint Jean le Baptiste qui tire la robe de la Vierge Marie[57].

    Parmi les curiosités naturelles, on notera la lame de Facibelle, le Rocher Gassendi et la Clue de Barles, où l'on peut rencontrer la sentinelle, une œuvre Land Art d'Andy Goldsworthy.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    • Maurice Gilly, « La Petite école de Pudoyer, sa naissance difficile et sa fin bien rapide », Annales de Haute-Provence (Digne), no 311, 1990 ; p. 219-226.1 [Pudoyer est un hameau de Tanaron]
    • Pierre Bianco, Le Crime de la Robine, éd. Jean Marie Desbois, 2016 (ISBN 9782918754336), récit d'une histoire vraie survenue à La Robine à la fin du XVIIIe siècle.

    Sources

    Bibliographie

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Roger Brunet, « Cantons de Digne-les-Bains », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
    2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    3. « IGN, Carte topographique de La Robine-sur-Galabre » sur Géoportail (consulté le 7 janvier 2014)..
    4. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 240
    5. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne)., § 20789, p 1105
    6. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne)., § 1047, p 38
    7. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 47.
    8. Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
    9. Fénié & Fénié, op. cit., p. 32
    10. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    11. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 13 août 2012
    12. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
    13. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
    14. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 13 août 2012
    15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
    23. Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p. 396.
    24. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017), p. 192.
    25. Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 179.
    26. Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 202.
    27. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
    28. Alphand, p 295
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    55. Raymond Collier, op. cit., p. 529.
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