La Neuville-sur-Essonne

La Neuville-sur-Essonne est une commune française située dans le département du Loiret, en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Neuville.

La Neuville-sur-Essonne

Le château fort.

Blason
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Loiret
Arrondissement Pithiviers
Intercommunalité Communauté de communes du Pithiverais-Gâtinais
Maire
Mandat
William Riviere
2020-2026
Code postal 45390
Code commune 45225
Démographie
Population
municipale
372 hab. (2018 )
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 11′ 12″ nord, 2° 22′ 35″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 129 m
Superficie 9,19 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Malesherbes
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
La Neuville-sur-Essonne
Géolocalisation sur la carte : Loiret
La Neuville-sur-Essonne
Géolocalisation sur la carte : France
La Neuville-sur-Essonne
Géolocalisation sur la carte : France
La Neuville-sur-Essonne

    Géographie

    Localisation

    Carte de la commune de La Neuville-sur-Essonne et des communes limitrophes.

    La commune de La Neuville-sur-Essonne se trouve dans le quadrant nord du département du Loiret, dans la région agricole du Gâtinais riche[1] et l'aire urbaine de Paris[2]. À vol d'oiseau, elle se situe à 46,9 km d'Orléans[3], préfecture du département, à 9,0 km de Pithiviers[4], sous-préfecture, et à 7,4 km de Puiseaux, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Puiseaux[2].

    Les communes les plus proches sont : Aulnay-la-Rivière (km), Ondreville-sur-Essonne (2,8 km), Grangermont (3,7 km), Estouy (3,7 km), Givraines (4,3 km), Échilleuses (5,5 km), Briarres-sur-Essonne (5,9 km), Yèvre-la-Ville (5,9 km), Manchecourt (6,3 km) et Labrosse (6,4 km)[5].

    Zones nationales d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de La Neuville-sur-Essonne comprend deux ZNIEFF[INPN 1].

    La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 2[Note 1], dénommée « Coteaux de l'Essonne et de la Rimarde », d'une superficie de 1 812 hectares, s'étend sur 17 communes, dont La Neuville-sur-Essonne[6]. Son altitude varie entre 90 et 140 m[INPN 2]. Les coteaux de l'Essonne et de la Rimarde sont un des espaces les plus intéressants du Loiret sur le plan biologique et écologique et géologique, tant pour les habitats naturels et les espèces d'intérêt patrimonial qu'ils abritent que pour le rôle fonctionnel qu'ils jouent. Les éléments singuliers et typiques de la flore sont notamment l'aster amelle (station très localisée), le carex de Haller, le lin de Léon, la violette des rochers ou encore le petit pigamon[INPN 3].

    La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 1[Note 2], dénommée « Pelouse de Saint-Sulpice », d'une superficie de 12 hectares, se situe sur le versant est de la vallée de la Rimarde, au niveau de la confluence avec l'Essonne[DREAL 1]. Son altitude varie entre 95 et 115 m[INPN 4]. le cortège floristique reste remarquable même si certaines espèces sont observées en un petit nombre de pieds. On doit souligner la présence de Polygale du calcaire (Polygala calcarea) et de cardoncelle mou (Carthamus mitissimus) en un nombre important d'individus, et de laîche de Haller (Carex halleriana), Coronille naine (Coronilla minima), lin de léon (Linum leonii), Adonis d'automne (Adonis annua) et Inule hérissée (Inula hirta) [INPN 5].

    Zone Natura 2000

    La commune de La Neuville-sur-Essonne est intégrée depuis 2004 au réseau Natura 2000. Le site « Vallée de l'Essonne et vallons voisins », qui concerne 19 communes du Loiret, est en effet déclaré site d'importance communautaire (SIC) au titre de la directive directive habitats (92/43/CEE)[7] le puis zone spéciale de conservation (ZSC) le [8],[INPN 6].

    Le site, très éclaté, se compose d’une multitude d’îlots plus ou moins isolés, qui se répartissent sur une surface de plus de 60 000 hectares, entre la vallée de la Juine à l’ouest et la vallée de l’Essonne à l’est, dans la petite région naturelle du Pithiverais. Le site lui-même ne couvre qu’une surface de 969 hectares[DREAL 2]. Il s’agit d’un ensemble formé par les coteaux et les vallées qui constituent l’entité la plus étendue et la plus remarquable du Loiret au titre de la flore calcicole. On recense plusieurs espèces végétales en limite de leur aire de répartition (cardoncelle douce, baguenaudier). Les fonds de vallée de la ZSC renferment plusieurs vastes mégaphorbiaies et stations marécageuses[INPN 7]. Outre les espèces thermophiles des pelouses, sont intégrées au site des espèces est-européennes également en limite d’aire de répartition comme l’inule hérissée et les pétasites. De manière complémentaire dans l’intérêt floristique, un très important cortège mycologiques, lichenique et entomologique a été identifié[INPN 7].

    Selon le FSD (Formulaire Standard des Données), le site Natura 2000 est occupé par une diversité d’habitats inscrits a l’annexe 1, dont on retiendra tout particulièrement les pelouses sèches seminaturelles et faciès d’embroussaillement sur calcaire[INPN 7]. La présence de populations d'espèces d'insectes inscrites à l’annexe II de la directive 92/43/CEE comme le lucane cerf-volant (Lucanus cervus) ou l'écaille chinée (Euplagia quadripunctaria) et de poissons comme le chabot commun (Cottus gobio), la bouvière (Rhodeus amarus ) ou la lamproie de Planer (Lampetra planeri) caractérisent le site[INPN 7].

    Le secteur de La Neuville-sur-Essonne comprend plusieurs noyaux du site Natura 2000 situés dans la vallée de l'Essonne où sont présents des éléments de forêt à aulne glutineux et frêne ainsi que des pelouses sèches sur calcaire[DREAL 3],[DREAL 4].

    Urbanisme

    Typologie

    La Neuville-sur-Essonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,3 %), forêts (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,9 %), zones urbanisées (3,7 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques naturels et technologiques

    La commune de la Neuville-sur-Essonne est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement de l'Essonne), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses[15]. Entre 1989 et 2019, deux arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune pour des inondations et coulées de boues[16].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont exposées aux crues de l'Essonne[17]. Le risque d'inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) de la vallée de l'Essonne approuvé le par arrêté inter-préfectoral[18].

    Le territoire de la commune peut également être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités[19].

    Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[20]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[21].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante[22]. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[16].

    Risques technologiques

    La commune est concernée par le risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'un gazoduc[23],[15],[24].

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse de La Neuville acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l'Assemblée Nationale[25] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[26]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[27].

    La commune est orthographiée La Neuville dans l'arrêté de 1801. En 1918, la Chambre de Commerce de Paris émet le souhait « qu'un nom de complément soit donné aux localités qui portent une dénomination identique » afin d'éviter toute confusion dans les transmissions postales et le transport des marchandises. Le gouvernement accueille favorablement cette demande et le le préfet du Loiret invite 82 communes du Loiret ayant des homonymes dans d'autres départements à compléter leur nom. Vingt-trois conseils municipaux refusent. La commune de La Neuville, quant à elle, prend le nom de La Neuville-sur-Essonne à la suite du décret du [28].

    La commune est membre de la Communauté de communes des Terres puiseautines depuis sa création le jusqu'en 2017, un établissement public de coopération intercommunale issu de la transformation en communauté de communes du S.I.Vo.M du secteur d'aménagement de Puiseaux, créé en [29]. Depuis le , la commune est membre de la Communauté de communes du Pithiverais-Gâtinais, issue de la fusion de la communauté de communes du Beaunois, de la communauté de communes des Terres puiseautines étendue à la commune nouvelle Le Malesherbois[30].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse de La Neuville-sur-Essonne était rattachée sur le plan ecclésiastiqueecclésiastique à l'ancien diocèse de Sens[31] et sur le plan judiciaire au bailliage d'Yèvre-le-Châtel[32].

    La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de La Neuville-sur-Essonne est alors incluse dans le canton de Puiseaux, le district de Pithiviers et le département du Loiret[33].

    La recherche d'un équilibre entre la volonté d'organiser une administration dont les cadres permettent l'exécution et le contrôle des lois d'une part, et la volonté d'accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d'autre part, s'étale de 1789 à 1838[34]. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l'action de l'État. La régionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit à la création de régions[35]. L'acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l'autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes[36]. L'acte II intervient en 2003-2006[37], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de La Neuville-sur-Essonne aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom Période Type Évolution du découpage territorial
    DistrictPithiviers1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Pithiviers de 1790 à 1795[38],[33]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance[39].
    CantonPuiseaux1790-1801Administrative et électoraleLe , la municipalité de La Neuville est rattachée au canton de Puiseaux[40]. Les cantons acquièrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    Puiseaux1801-2015Sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 59 à 31[41]. La Neuville est alors rattachée par arrêté du 9 vendémiaire an X () au canton de Puiseaux[42],[38].
    Malesherbes2015-ÉlectoraleLa loi du [43] et ses décrets d'application publiés en février et [44] introduisent un nouveau découpage territorial pour les élections départementales. La commune est alors rattachée au nouveau canton de Malesherbes[44]. Depuis cette réforme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compétence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau découpage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est désormais uniquement une circonscription électorale dédiée à l'élection d'un binôme de conseillers départementaux siégeant au conseil départemental[45].
    ArrondissementPithiviers1801-1926AdministrativeLa Neuville est rattachée à l'arrondissement de Pithiviers par arrêté du 9 vendémiaire an X ()[38],[42].
    Orléans1926-1942Sous la Troisième République, en raison d'un endettement considérable et de l'effort nécessaire pour la reconstruction post-Première Guerre mondiale, la France traverse une crise financière. Pour réduire les dépenses de l’État, Raymond Poincaré fait voter plusieurs décrets-lois réformant en profondeur l’administration française : 106 arrondissements sont ainsi supprimés, dont ceux de Gien et de Pithiviers dans le Loiret par décret du [46]. La Neuville est ainsi transférée de l'arrondissement de Pithiviers à celui d'Orléans[47],[48].
    Pithiviers1942-La loi du rétablit l'arrondissement de Pithiviers[48]. La Neuville est alors à nouveau rattachée à l'arrondissement de Pithiviers[49].
    Circonscription législative5e circonscription2010-ÉlectoraleLors du découpage législatif de 1986, le nombre de circonscriptions législatives passe dans le Loiret de 4 à 5. Un nouveau redécoupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siège de député « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par département varie désormais de 1 à 21[50],[51]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq à six[52]. La réforme n'affecte pas La Neuville-sur-Essonne qui reste rattachée à la cinquième circonscription[53].

    Collectivités de rattachement

    La commune de La Neuville-sur-Essonne est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire[49], à la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivités territoriales.

    Conseil municipal et maire

    Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de La Neuville-sur-Essonne, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours, les électeurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[54], pour un mandat de six ans renouvelable[55]. Il est composé de 11 membres[56]. L'exécutif communal est constitué par le maire, élu par le conseil municipal parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001   Michel Van Nieuwenhuyse    
    avril 2014 mai 2020 Gérard Petit[57]   Retraité d'une entreprise publique
    mai 2020 En cours William Rivière[57],[58]   Ancien ouvrier
    Les données manquantes sont à compléter.

    Agenda 21

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21. Elle a été labellisée « Notre Village Terre d'Avenir » en 2013[59].

    Gestion des déchets

    Au , la commune est membre du SITOMAP de la région Pithiviers, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles[Note 4], des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[60]. Un réseau de huit déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche de la commune est située sur la commune de Puiseaux[61].

    L'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées dans l'outil de traitement appelé BEGEVAL[62], installé à Pithiviers et géré par le syndicat de traitement Beauce Gâtinais Valorisation (BGV) qui regroupe le territoire des trois syndicats de collecte : SMETOM, SITOMAP et SIRTOMRA. Cet outil est composé d’un centre de valorisation matière qui trie les emballages issus de la collecte sélective, les journaux-magazines et les cartons de déchèteries, et d’un centre de valorisation énergétique qui incinère les ordures ménagères résiduelles et le tout-venant incinérable des déchèteries ainsi que les refus du centre de tri[63].

    Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes du Pithiverais-Gâtinais en application de la loi NOTRe du [64].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d'eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[65]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurées par le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable de Neuville-sur-Essonne - Ondreville-sur-Essonne, un syndicat créé en 1959[66],[67],[68]. La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l'exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[69],[70].

    Assainissement

    L'assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[71]. Depuis le , la communauté de communes du Pithiverais-Gâtinais, issue de la fusion de la communauté de communes du Beaunois, de la communauté de communes des Terres puiseautines étendue à la commune nouvelle Le Malesherbois, assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC). Celui-ci a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[72],[73].

    Prix de l'eau

    Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l'ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, électricité, produits de traitement, renouvellement du matériel, analyses, élimination des déchets, etc.)[74]. L'observatoire national des services d'eau et d'assainissement publie la description actualisée des services publics d'eau potable et d'assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[75]. Le prix au m3 est calculé pour une consommation annuelle de 120 m3 (référence INSEE)[76].

    DomaineCommune201020112012201320142015
    Eau potableLa Neuville-sur-EssonneNC[77]NC[78]2,15[79]2,32[80][81][82]
    Loiret1,76[83]1,7[84]1,66[85]1,69[86]
    France1,93[83]1,96[84]2[85]2,03[86]
    AssainissementLa Neuville-sur-EssonneNC[77]NC[78]NC[79]
    Loiret2,07[83]2,19[84]2,25[85]2,38[86]
    France1,73[83]1,82[84]1,85[85]1,89[86]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[87]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[88].

    En 2018, la commune comptait 372 habitants[Note 5], en diminution de 0,8 % par rapport à 2013 (Loiret : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    360329333372458439412420424
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    438451460424428433434398364
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    346342351308331319296270258
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    252236221243248289309363377
    2018 - - - - - - - -
    372--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[89].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Culture

    Théâtre : troupe « Les Minuits », créée en 2002 ; le théâtre des Minuits a ouvert en 2007[90].

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Drouin de Rocheplatte (1767-1852), militaire et personnalité politique française de la Seconde Restauration, est né dans la commune[91].
    • Sergiu Celibidache (1912-1996), musicien et chef d'orchestre roumain, un des plus grands chefs d'orchestre de l'histoire et une véritable légende mondiale, résidait dans la commune. Il est inhumé dans le cimetière du village, à gauche du portail d'entrée en remontant la seconde rangée, avec son épouse Ioana, artiste peintre abstraite.
    • André Ève ( 1931-2015) a réuni toutes ses obtentions dans le dernier jardin qu'il a créé et qui est situé à La Neuville sur Essonne. André Ève a réalisé les plans de cette roseraie contemporaine et a participé à sa plantation. Le concept de cette roseraie est unique au monde car elle réunit toutes les créations d'un obtenteur en les associant aux rosiers parents qui ont été utilisés. Cette roseraie est un des paysages du Grand Jardin Théâtre des Minuits

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée caractérisée par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Centre-Val de Loire

    Inventaire national du patrimoine naturel

    Autres sources

    1. « Zonage en petites régions agricoles », sur http://agreste.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    2. « Fiche communale », sur http://www.insee.fr/ (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre "La Neuville-sur-Essonne" et "Orléans" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre "La Neuville-sur-Essonne" et "Pithiviers" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    5. « Villes les plus proches de La Neuville-sur-Essonne », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    6. « Découpage communal de la ZNIEFF 240030654 - Coteaux de l'Essonne et de la Rimarde », sur le site des zonages du domaine de la Biodiversité, publié par la DREAL Centre. (consulté le ).
    7. Directive habitats.
    8. « Arrêté du 29 novembre 2011 portant désignation du site Natura 2000 vallée de l'Essonne et vallons voisins », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    15. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) du Loiret- Liste des risques par commune », sur http://www.loiret.gouv.fr/ (consulté le ).
    16. « Risques recensés sur la commune de la Neuville-sur-Essonne », sur http://www.georisques.gouv.fr/.
    17. « Plan de Prévention des Risques d'inondation (PPRI) de la vallée de l'Essonne - rapport de présentation », sur http://www.loiret.gouv.fr/.
    18. « Plan de Prévention des Risques d'inondation (PPRI) de la vallée de l'Essonne », sur http://www.loiret.gouv.fr/ (consulté le ).
    19. « La Neuville-sur-Essonne - Recensement des cavités souterraines », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le ).
    20. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Description du phénomène », sur le site « Géorisques » du ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    21. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Carte d'aléa pour le secteur de La Neuville-sur-Essonne », sur le site « Géorisques » du ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    22. Décret no n°2010-1255 du 22 octobre 2010 portant délimitation des zones de sismicité du territoire français
    23. « Cartographie des canalisations de gaz et d'hydrocarbures dans le Loiret », sur http://cartelie.application.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le ).
    24. « Dossir départemental des risques majeurs - le risque itransport de matières dangereuses. », sur http://www.loiret.gouv.fr/ (consulté le ).
    25. Motte 2003, p. 24.
    26. Motte 2003, p. 23.
    27. « Les grands principes de la loi municipale de 1884 », sur le site du sénat, (consulté le ).
    28. Dossier des archives départementales du Loiret coté 15 M 4
    29. « Communautés de communes de la région Centre-Val de Loire », sur Dictionnaire toponymique de la région Centre - Val de Loire (consulté le ).
    30. « Recueil des actes administratifs départementaux -12 décembre 2016 - page 297 - Arrêté préfectoral portant fusion de la Communauté de Communes du Beaunois, de la Communauté de Communes des Terres Puiseautines avec extension du périmètre à la Commune Nouvelle "Le Malesherbois" et création de la Communauté de Communes du Pithiverais-Gâtinais », sur le site de la préfecture de la région Centre-Val de Loire et du Loiret, (consulté le ) p. 297.
    31. « Ancien diocèse de Sens », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
    32. « Bailliages de la région Centre-Val de Loire », sur http://www.chatillon-coligny.fr/ (consulté le ).
    33. Prudhomme 1798, p. 162.
    34. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 3.
    35. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 41-46.
    36. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 61-72.
    37. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 118-138.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Neuville-sur-Essonne », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    39. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.3. : l’œuvre révolutionnaire », sur http://projetbabel.org/, (consulté le ).
    40. Denis Jeanson, « Cantons de la région Centre-Val de Loire », sur Dictionnaire toponymique de la région Centre - Val de Loire (consulté le ), p. 6.
    41. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.4. : le Consulat et l'Empire », sur http://projetbabel.org/, (consulté le ).
    42. « Arrêté du 9 vendémiaire an X portant réduction des justices de paix du département du Loiret - Bulletin des lois de 1801 - page 43 », sur https://gallica.bnf.fr (consulté le ).
    43. « LOI no  2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral », JORF no 0114 du 18 mai 2013 p. 8242, (consulté le ).
    44. « Décret n° 2014-244 du 25 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Loiret », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    45. « Question no 460 de M. Jean-Jacques Cottel », sur http://questions.assemblee-nationale.fr/, (consulté le ).
    46. Masson 1984, p. 395.
    47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    48. Denis Jeanson, « Arrondissements dans la région Centre », sur Dictionnaire toponymique de la région Centre - Val de Loire (consulté le ).
    49. « Rattachements administratifs de la commune de La Neuville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    50. « Législatives 2012 : élections selon des modalités révisées. », sur http://www.vie-publique.fr/ (consulté le ).
    51. « Délimitation des circonscriptions législatives - Loi ratifiant l'ordonnance n° 2009-935 du 29 juillet 2009 portant répartition des sièges et délimitation des circonscriptions pour l'élection des députés », sur le site du sénat (consulté le ).
    52. « Carte du découpage législatif du Loiret », sur http://www.elections-legislatives.fr/ (consulté le ).
    53. « Rattachements dans le Loiret avant et après la réforme de 2010 », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    54. Loi no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51 et son décret d'application no 2013-938 du 18 octobre 2013.
    55. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL (consulté le ).
    56. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
    57. « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    58. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    59. FICHE | Agenda 21 de Territoires - La Neuville-sur-Essonne, consultée le 26 octobre 2017
    60. « SITOMAP de la région Pithiviers - Rapport annuel 2015 », sur www.sitomap.fr (consulté le ), p. 4.
    61. « SIRTOMRA- rapport annuel 2015 », sur http://sirtomra.fr/ (consulté le ), p. 11.
    62. site officiel de BEGEVAL
    63. « SIRTOMRA- rapport annuel 2015 », sur http://sirtomra.fr/ (consulté le ), p. 8.
    64. « Schéma de coopération intercommunale du Loiret », sur http://www.loiret.gouv.fr/, (consulté le ), p. 4.
    65. [PDF]« Les services publics d'eau et d'assainissement. », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    66. « SIAEP de Neuville-sur-Essonne - Ondreville-sur-Essonne », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le ).
    67. « SIAEP de Neuville-sur-Essonne - Ondreville-sur-Essonne », sur http://www.services.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    68. « composition communale des services d'eau potable pour l'année 2016 », sur http://www.services.eaufrance.fr, (consulté le ).
    69. Article L1321-1 du Code général des collectivités territoriales et suivants
    70. AMF, « Loi NOTRe : transfert des compétences « eau et assainissement » aux EPCI à fiscalité propre », sur http://amf83.fr/, (consulté le ).
    71. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
    72. « composition communale des services d'assainissement non collectif pour l'année 2016 », sur http://www.services.eaufrance.fr, (consulté le ).
    73. « CC du Pithiverais-Gâtinais - SPANC », sur http://www.pithiveraisgatinais.fr (consulté le ).
    74. « Note sur la tarification des services de l'eau et de l'assainissement », sur http://www.loiret.gouv.fr/, (consulté le ).
    75. « Observatoire national des services d'eau et d'assainissement », sur http://www.services.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    76. « Prix TTC du service au m³ pour 120 m³ », sur http://www.services.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    77. Prix de l'eau en 2010 à La Neuville-sur-Essonne.
    78. Prix de l'eau en 2011 à La Neuville-sur-Essonne.
    79. Prix de l'eau en 2012 à La Neuville-sur-Essonne.
    80. Prix de l'eau en 2013 à La Neuville-sur-Essonne.
    81. Prix de l'eau en 2014 à La Neuville-sur-Essonne.
    82. Prix de l'eau en 2015 à La Neuville-sur-Essonne.
    83. Prix de l'eau en 2010 dans le Loiret.
    84. Prix de l'eau en 2011 dans le Loiret.
    85. Prix de l'eau en 2012 dans le Loiret.
    86. Prix de l'eau en 2013 dans le Loiret.
    87. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    88. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    89. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    90. Site du théâtre des Minuits
    91. Adolphe Robert, Edgar Bourloton et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français comprenant tous les membres des assemblées françaises et tous les ministres français : depuis le 1er mai 1789 jusqu'au 1er mai 1889, vol. 5, Paris, Bourloton, , 647 p. (lire en ligne), p. 176.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Directive  92/43/CEE du Conseil concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages, 31992L0043, adoptée le 21 mai 1992, JO du 22 juillet 1992, p. 7–50, entrée en vigueur le 10 juin 1992 [consulter en ligne, notice bibliographique]
    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en 120 départements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Collectif, Loiret : un département à l'élégance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • Abbé Patron, Département du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, Comédit, 1991, réédition de 1870, 511 p. (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)
    • Jean-Louis Masson, Provinces, départements, régions : l'organisation administrative de la France, Paris, Fernand Lanore, , 703 p. (ISBN 2-85157-003-X, lire en ligne).

    Article connexe

    Liens externes

    Site officiel

    • Portail des communes de France
    • Portail du Loiret
      Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.