La Marolle-en-Sologne

La Marolle-en-Sologne est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Marolle.

La Marolle-en-Sologne

L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Arrondissement Romorantin-Lanthenay
Intercommunalité Communauté de communes de la Sologne des étangs
Maire
Mandat
Éric Fassot
2020-2026
Code postal 41210
Code commune 41127
Démographie
Population
municipale
340 hab. (2018 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 35′ 06″ nord, 1° 46′ 48″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 136 m
Superficie 25,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Chambord
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
La Marolle-en-Sologne
Géolocalisation sur la carte : Loir-et-Cher
La Marolle-en-Sologne
Géolocalisation sur la carte : France
La Marolle-en-Sologne
Géolocalisation sur la carte : France
La Marolle-en-Sologne

    Localisée au centre-est du département, la commune fait partie de la petite région agricole « la Grande Sologne », vaste étendue de bois et de prés aux récoltes médiocres. Elle est drainée par le Balletan et par divers petits cours d'eau.

    L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Plusieurs espaces naturels d'intérêt sont présents sur la commune : deux sites natura 2000 et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 75 en 1988, à 11 en 2000, puis à 12 en 2010.

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    La commune de Marolle-en-Sologne se trouve au centre-est du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole de la Grande Sologne[1],[2]. À vol d'oiseau, elle se situe à 33,9 km de Blois[3], préfecture du département, à 25 km de Romorantin-Lanthenay[4], sous-préfecture, et à 19,8 km de Chambord, chef-lieu du canton de Chambord dont dépend la commune depuis 2015[5]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lamotte-Beuvron[6].

    Les communes les plus proches sont[7] : Villeny (4,7 km), Montrieux-en-Sologne (5,2 km), Neung-sur-Beuvron (5,9 km), La Ferté-Beauharnais (km), Yvoy-le-Marron (7,7 km), Dhuizon (9,1 km), Chaumont-sur-Tharonne (9,9 km), Ligny-le-Ribault (11 km) (45) et La Ferté-Saint-Cyr (11,2 km).

    Paysages et relief

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage, adoptée le et entrée en vigueur en France le , un atlas des paysages de Loir-et-Cher a été élaboré en 2010 par le CAUE de Loir-et-Cher, en collaboration avec la DIREN Centre (devenue DREAL en 2011), partenaire financier[8]. Les paysages du département s'organisent ainsi en huit grands ensembles et 25 unités de paysage[Note 1],[9]. La commune fait partie de l'unité de paysage de « la Grande Sologne », dans la Sologne[10].

    À l'échelle régionale, le très important taux de boisement de la Sologne en fait une sorte de gigantesque île de verdure au coeur d'un océan de cultures, entre Beauce et Champagne Berrichonne. La Grande Sologne, localisée au sud-est, entre les vallées de la Loire et du Cher, occupe à elle seule un tiers environ du Loir-et-Cher. Elle déborde ses limites en s'étendant sur le Loiret et le Cher, rejoignant la Forêt d'Orléans au nord-est et couvrant la plus grande partie du coude de la Loire jusqu'aux portes de Bourges, au sud[11].

    L'altitude du territoire communal varie de 97 mètres à 136 mètres[12],[13].

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de la Marolle-en-Sologne.

    La commune est drainée par le Balletan (1,857 km) et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 29,56 km de longueur totale[14].

    Le Balletan, d'une longueur totale de 15,5 km, prend sa source dans la commune de Villeny et se jette dans le Beuvron à Montrieux-en-sologne, après avoir traversé 3 communes[15]. Sur le plan piscicole, ce cours d'eau est classé en deuxième catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[16].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5 °C : 3,1 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 706 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    La commune bénéficie d'un climat « océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France définie en 2010. Ce type affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, et en particulier la plus grande partie du département de Loir-et-Cher. Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires et les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée[17].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d'établir cette typologie comportent 6 variables pour les températures et 8 pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[17]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer.

    Sites Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[18]. Des parties du territoire communal sont incluses dans les sites Natura 2000 suivants[19] :

    • une ZSC, la « Sologne », d'une superficie de 346 184 ha[20] ;
    • une ZPS, les « Étangs de Sologne », d'une superficie de 29 624 ha[21].

    Zones nationales d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire. Le territoire communal de Marolle-en-Sologne comprend une ZNIEFF[22] : l'« Étang de Beaumont » (44,07 ha)[23].

    Urbanisme

    Typologie

    La Marolle-en-Sologne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Marolle-en-Sologne.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (98,8 %). La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante : terres arables (22,1 %), zones agricoles hétérogènes (42,8 %), forêts (30,2 %), zones urbanisées (1,2 %), eaux continentales (3,7 %)[14].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d'un établissement public, pour déterminer les partis d'aménagement de l'espace au sein d'un SCoT, un document essentiel d'orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCOT de Grande Sologne, prescrit en juillet 2015[29].

    En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'un plan d'occupation des sols approuvé, un plan local d'urbanisme était en révision[30].

    Habitat et logement

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à la Marolle-en-Sologne en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (19,3 %) supérieure à celle du département (18 %) et à celle de la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,3 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.

    Le logement à la Marolle-en-Sologne en 2016.
    La Marolle-en-Sologne[31] Loir-et-Cher[32] France entière[33]
    Résidences principales (en %) 68,7 74,5 82,3
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 19,3 18 9,6
    Logements vacants (en %) 12,0 7,5 8,1

    Risques majeurs

    Le territoire communal de Marolle-en-Sologne est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques : le risque nucléaire et le transport de matières dangereuses[34],[35].

    Risques naturels

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[34]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[36]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[37].

    Risques technologiques

    Une partie du territoire de la commune peut être concernée par le risque nucléaire (les hameaux Le Gué Billet, Courbanton) . En cas d'accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l'atmosphère de l'iode radioactif. Or la commune se situe partiellement à l'intérieur du périmètre de 20 km du Plan particulier d'intervention de la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux. À ce titre les habitants de la commune, comme tous ceux résidant dans le périmètre proche de 20 km de la centrale ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d'iode stable dont l'ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d'une exposition à de l'iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[38],[39].

    Le risque de transport de marchandises dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d'avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu'à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[40].

    Toponymie

    Le nom viendrait de[style à revoir] materiola, « lieu où l'on prélève le bois d'œuvre », du latin materia, « matériaux » pour un travail et particulièrement le « bois de construction ». -en-Sologne a été ajouté en 1929 pour distinguer ce village d'un autre Marolles (avec un « s ») situé dans le même département.[réf. nécessaire]

    Histoire

    Nouvelle organisation territoriale

    Le décret de l'Assemblée nationale du décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[41], mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () que la paroisse de La Marolle-en-Sologne devient formellement « commune de La Marolle-en-Sologne »[41],[42].

    En 1790, dans le cadre de la création des départements, la municipalité est rattachée au canton de Chaumont et au district de Romorantin[42]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l'élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[43],[44]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[43]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons en Loir-et-Cher de 33 à 24[45]. La Marolle-en-Sologne est alors rattachée au canton de Neung-sur-Beuvron et à l'arrondissement de Blois par arrêté du 5 vendémiaire an X ()[46],[42],[47]. Cette organisation va rester inchangée pendant près de 150 ans.

    Époque contemporaine



    Une gare des tramways de Sologne se situait dans la commune.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Marolle-en-Sologne est membre de la communauté de communes de la Sologne des étangs, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [48].

    Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Romorantin-Lanthenay, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire[6], en tant que circonscriptions administratives[6]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton de Chambord depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[49] et à la Deuxième circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives[50].

    Conseil municipal et maire

    Le conseil municipal de Marolle-en-Sologne, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal[51] avec listes ouvertes et panachage[52]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges au conseil municipal est de 11. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[53].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
        Léopold Barbary    
        Léon Vaslin    
    mars 1999 février 2008 Guy Auger    
    mars 2008 2014 Jean Jacques Delaitre    
    mars 2014 En cours Eric Fassot[54],[55]   Agriculteur exploitant sur moyenne exploitation
    Les données manquantes sont à compléter.

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L'organisation de la distribution de l'eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La compétence eau et assainissement des communes est un service public industriel et commercial (SPIC)[56].

    Alimentation en eau potable

    Le service d'eau potable comporte trois grandes étapes : le captage, la potabilisation et la distribution d'une eau potable conforme aux normes de qualité fixées pour protéger la santé humaine[57]. En 2019, la commune assure elle-même le service en régie[58].

    Assainissement des eaux usées

    En 2019, la commune de Marolle-en-Sologne gère le service d'assainissement collectif en régie directe, c'est-à-dire avec ses propres personnels, avec le statut de régie à autonomie financière[59]. Une station de traitement des eaux usées est en service au sur le territoire communal[60] : « Bourg De Marolle-En-Sologne », un équipement utilisant la technique par infiltration, dont la capacité est de 180 EH, mis en service le [61].

    L'assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[62]. La communauté de communes de la Sologne des étangs assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l'entretien des installations[63].

    Sécurité, justice et secours

    La sécurité de la commune est assurée par la brigade de gendarmerie de Neung-sur-Beuvron qui dépend du groupement de gendarmerie départementale de Loir-et-Cher installé à Blois[64].

    En matière de justice, La Marolle-en-Sologne relève du conseil de prud'hommes de Blois, de la Cour d'appel d'Orléans (juridiction de Blois)[65], de la Cour d'assises de Loir-et-Cher, du tribunal administratif de Blois, du tribunal de commerce de Blois et du tribunal judiciaire de Blois[66].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[68].

    En 2018, la commune comptait 340 habitants[Note 6], en diminution de 16,46 % par rapport à 2013 (Loir-et-Cher : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    267277258270285304310315302
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    306307331390389436470484478
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    469543556520516500462470480
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    481460429428439355380384399
    2017 2018 - - - - - - -
    344340-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[69] puis Insee à partir de 2006[70].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (36,2 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (26,3 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (54,7 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 45,3 % d'hommes (0 à 14 ans = 13,8 %, 15 à 29 ans = 10,3 %, 30 à 44 ans = 24,7 %, 45 à 59 ans = 20,7 %, plus de 60 ans = 30,5 %) ;
    • 54,7 % de femmes (0 à 14 ans = 17,1 %, 15 à 29 ans = 9,5 %, 30 à 44 ans = 14,8 %, 45 à 59 ans = 17,6 %, plus de 60 ans = 41 %).
    Pyramide des âges à La Marolle-en-Sologne en 2007 en pourcentage[71]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    4,8 
    14,4 
    75 à 89 ans
    18,1 
    16,1 
    60 à 74 ans
    18,1 
    20,7 
    45 à 59 ans
    17,6 
    24,7 
    30 à 44 ans
    14,8 
    10,3 
    15 à 29 ans
    9,5 
    13,8 
    0 à 14 ans
    17,1 
    Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2007 en pourcentage[72]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,3 
    75 à 89 ans
    11,5 
    14,8 
    60 à 74 ans
    15,7 
    21,4 
    45 à 59 ans
    20,6 
    20,3 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,2 
    15 à 29 ans
    14,7 
    18,5 
    0 à 14 ans
    16,7 

    Enseignement

    La Marolle-en-Sologne est située dans l'académie d'Orléans-Tours. La commune dispose d'une école élémentaire publique[73].

    Économie

    Secteurs d'activité

    Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à la Marolle-en-Sologne selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[74] :

    Établissements actifs par secteur d'activité au .
    total % com (% dep[75]) 0 salarié 1 à 9 salarié(s) 10 à 19 salariés 20 à 49 salariés 50 salariés ou plus
    Ensemble 41 100,0 (100) 28 10 3 0 0
    Agriculture, sylviculture et pêche 9 22,0 (11,8) 6 3 0 0 0
    Industrie 2 4,9 (6,5) 1 0 1 0 0
    Construction 7 17,1 (10,3) 5 1 1 0 0
    Commerce, transports, services divers 18 43,9 (57,9) 15 2 1 0 0
    dont commerce et réparation automobile 5 12,2 (17,5) 3 1 1 0 0
    Administration publique, enseignement, santé, action sociale 5 12,2 (13,5) 1 4 0 0 0
    Champ : ensemble des activités.

    Le secteur du commerce, transports et services divers est prépondérant sur la commune (18 entreprises sur 41) néanmoins le secteur agricole reste important puisqu'en proportions (22 %), il est plus important qu'au niveau départemental (11,8 %). Sur les 41 entreprises implantées à la Marolle-en-Sologne en 2016, 28 ne font appel à aucun salarié, 10 comptent 1 à 9 salariés et 3 emploient entre 10 et 19 personnes

    Au , la commune est classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également[76]

    Agriculture

    En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture de granivores mixtes[77]. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en 10 ans, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)[78]. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 32 en 1988 à 11 en 2000 puis à 12 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 39 ha en 1988 à 69 ha en 2010[77]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Marolle-en-Sologne, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l'agriculture à la Marolle-en-Sologne (41) entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[77]
    Nombre d'exploitations (u) 32 11 12
    Travail (UTA) 44 14 19
    Surface agricole utilisée (ha) 1 261 727 831
    Cultures[79]
    Terres labourables (ha) 920 514 542
    Céréales (ha) 433 203 212
    dont blé tendre (ha) 33 s 47
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 183 38 64
    Tournesol (ha) 41 s
    Colza et navette (ha) 11 s
    Élevage[77]
    Cheptel (UGBTA[Note 7]) 787 450 629

    .

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Pierre - Centre Bourg.
    • La Ruine - Étang communal - rue des Écoles.
    • La Grotte - Miniature de la grotte de Lourdes. - Route de Montrieux - Centre Bourg.
    • Le château de Villebourgeon.

    Voir aussi

    Bibliographie

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    Articles connexes

    Lien externe

    Notes et références

    Notes

    1. Une unité de paysage est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les normales climatiques sont des produits statistiques calculés sur des périodes de 30 ans, permettant de caractériser le climat sur cette période et servant de référence.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d'une superficie en général limitée caractérisée par la présence d'espèces, d'association d'espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d'espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).

    Références

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