La Chapelle-Erbrée

La Chapelle-Erbrée est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne, peuplée de 700 habitants[Note 1].

Pour les articles homonymes, voir La Chapelle.

La Chapelle-Erbrée

La mairie (style néogothique).
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Joël Travers
2020-2026
Code postal 35500
Code commune 35061
Démographie
Gentilé Capellois
Population
municipale
700 hab. (2018 )
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 08′ 28″ nord, 1° 06′ 02″ ouest
Altitude Min. 77 m
Max. 167 m
Superficie 11,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vitré
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vitré
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
La Chapelle-Erbrée
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
La Chapelle-Erbrée
Géolocalisation sur la carte : France
La Chapelle-Erbrée
Géolocalisation sur la carte : France
La Chapelle-Erbrée
Liens
Site web www.lachapelleerbree.fr

    Géographie

    La Chapelle-Erbrée est située dans les Marches de Bretagne, à la limite orientale du département d'Ille-et-Vilaine avec celui de la Mayenne. La commune est située dans la partie amont du bassin de la Vilaine, laquelle lui sert de limite communale au nord, la séparant de la commune de Saint-M'Hervé ; quelques petits affluents de rive gauche de la Vilaine parcourent le finage communal, notamment dans la partie ouest le ruisseau des Nétumières.

    Le relief est assez vallonné, les altitudes montant jusqu'à 144 mètres à la limite orientale du finage communal et s'abaissant jusqu'à 77 mètres à l'extrême-ouest, dans la vallée de la Vilaine, à proximité du château des Nétumières ; le bourg est vers 130 mètres d'altitude.

    L'étang de Haute-Vilaine, qui sert à la fois d'écrêteur de crue et de réserve d'eau potable, est partagé avec la commune voisine de Saint-M'Hervé.

    La commune présente un paysage de bocage avec un habitat dispersé en écarts formés de hameaux et fermes isolées.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 838 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Launay-Villiers », sur la commune de Launay-Villiers, mise en service en 2001[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 858,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 47 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Chapelle-Erbrée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vitré, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,3 %), prairies (36,7 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), eaux continentales[Note 7] (4,6 %), forêts (2,9 %), zones urbanisées (2,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Capella Etbreœ en 1516, La Chapelle d'Erbrée aux XVIe et XVIIe siècles[21].

    Le nom "Erbrée" est attesté sous les formes Arbraio en 1049; Erbreacensis en 1104; Arbreia en 1197; Erbreia en 1210, Herbreia en 1590[22].

    Selon Albert Dauzat, il s'agit d'un type toponymique gallo-roman basée sur le mot arbor « arbre », suivi du suffixe collectif -ēta[23], qui sert notamment à désigner un ensemble d'arbre appartenant à la même espèce, d'où le suffixe français -aie (chênaie, peupleraie, etc.). Le sens global est donc celui de « lieu planté d'arbres ». Ce nom a dû désigner une plantation artificielle.

    Remarque : si la forme la plus ancienne est correcte, on peut penser à une formation initiale en -ētum qui a donné l'ancien suffixe masculin -ay de même sens (un chênay, etc.), féminisé par la suite. Dans ce cas, Erbrée est identique à Erbray (Loire-Atlantique, Arbreio 1160). Cependant, dans les deux exemples, le seul suffixe véritablement identifié dans les formes anciennes est le suffixe gaulois -acum qui pouvait être utilisé de la même manière, d'où la forme Erbreac[-ensis] en 1104 (et Erbray, Arbraiacum 1123). On peut donc se demander s'il ne s'agit pas de ce suffixe, plutôt que de -ētum.

    Histoire

    Moyen Âge

    Les origines de La Chapelle-Erbrée sont inconnues, mais son nom même semble indiquer que ce fut à l'origine une dépendance de la paroisse d'Erbrée, mentionnée pour les premières fois comme paroisse distincte en 1440 et 1453. Les religieux cisterciens de l'abbaye de Clermont, située près de Laval possédaient dans cette paroisse divers fiefs et dîmes, notamment ceux du Bois-Hersant et de la Vallandière, qu'ils revendirent en 1588 au seigneur des Nétumières, qui en fit don en 1601 aux Augustins de Vitré. Les registres des comptes des trésoriers de la paroisse ont été conservés pour la période 1532-1612 : ils indiquent notamment la grande dévotion des paroissiens à l'égard de saint Blaise, saint Avertin[24] et Notre-Dame[25].

    Deux seigneurs disposaient de prééminences dans cette église : le seigneur des Nétumières (en Erbrée), considéré comme « seigneur fondateur et haut justicier de l'église de La Chapelle-Erbrée et de ladite paroisse », qui disposait notamment du droit de litre, « banc et enfeu dans le chanceau[26] » et les armes de la famille Hay apparaissaient à plusieurs endroits dans l'église. Le seigneur de Bremonfany (en Argentré) avait son banc armorié dans le chœur, du côté de l'Épitre, face à celui des Nétumières[25].

    Époque moderne

    Au XVIIe siècle, deux confréries sont connues dans la paroisse : la confrérie du Saint-Sacrement, citée en 1668, et la confrérie du Rosaire, créée en 1686. L'ancienne église paroissiale, dédiée à saint Ouen, fut en partie détruite au XVIIe siècle, victime du tonnerre. Deux chapelles existaient dans la paroisse : la chapelle Notre-Dame des Besneries, détruite en 1789, et la chapelle de Saint-Aignan, détruite avant le milieu du XIXe siècle[25].

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi La Chapelle-Erbrée en 1778 :

    « La Chapelle-Erbrée, sur une hauteur ; à 9 lieues de Rennes, son évêché et son ressort et à une lieue trois-quart de Vitré, sa subdélégation. On y compte 1200 communiants[27] ; la cure est à l'ordinaire. (...) [La] seigneurie [des Nétumières] a haute, moyenne et basse-justice et appartient à M. Haye des Nétumières[28], qui possède aussi la maison noble de Bremontani[29] [Bremonfany ou Breilmanfany][30], haute, moyenne et basse-justice ; on y connaît encore les Beneteries, la Hurlaye, l'Eglerie, le Plessis, la Queterie, Laufrerie et un grand nombre de villages épars çà et là, dont le plus considérable est celui de la Terrinière [Térinière], auprès duquel est une chapelle. Ce territoire, arrosé par la Vilaine, se termine à une demi-lieue à l'est à la province du Maine : c'est un pays couvert [de bocage] où l'on voit des terres labourées, de bons pâturages, des landes et les bois des Nétumières et de Mondebœuf.[31] »

    Révolution française

    Le , et à nouveau le , par deux fois donc, une trentaine de « brigands » (des chouans) désarment les patriotes et pillent leurs maisons à La Chapelle-Erbrée. Le , et encore le , la commune est à nouveau visitée, et les patriotes désarmés et molestés. Dans un rapport daté du , les autorités d'Ernée écrivent que des paysans d'Argentré, Le Pertre, Mondevert, Erbrée, La Chapelle-Erbrée, Bréal, Saint-M'Hervé, Montautour et Balazé avaient « porté leurs grain aux insurgés pendant leur séjour à Laval »[32].

    La Chapelle-Erbrée fait partie des communes déclarées totalement insurgées en 1793-1794[33]. La colonne ou canton d'Argentré, des chouans membres de la division de Vitré de l'Armée catholique et royale de Rennes et de Fougères, eut pour chef Toussaint du Breil de Pontbriand, secondé par Louis Hubert. Elle était divisée en plusieurs compagnies : compagnie d'Étrelles, compagnie d'Argentré-du-Plessis, compagnie de Saint-M'Hervé, compagnie de La Chapelle-Erbrée (capitaine: Julien Genoueil dit Farreau, lieutenant : Paul Travers, sous-lieutenant : Pierre Jolivet) compagnie du Pertre, compagnie de Vitré.

    Le XIXe siècle

    L'ancienne église est ainsi décrite peu avant la construction de la nouvelle :

    « L'église de la Chapelle-Erbrée est ancienne, mais on ne peut pas préciser l'époque à laquelle elle appartient. C'est une construction misérable, et dont les murs sont en pisé ; au nord-est est une fenêtre longue et étroite qui semble ancienne. On a relégué à la porte un baptistaire [baptistère] en granite rouge, à deux vasques réunies, et portées chacune par un pied en balustre ; il doit être du XVIIe siècle[34]. »

    L'église paroissiale actuelle fut construite à partir de 1841 par l'architecte Charles Langlois[35], sa tour étant achevée en 1843 ; elle fut bénie le par Mgr de Saint-Marc, archevêque de Rennes. Son chœur, en forme d'abside polygonale, fut refait en 1872[25].

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi La Chapelle-Erbrée en 1843 :

    « La Chapelle-Erbrée (sous l'invocation de saint Ouen), commune formée par l'ancienne paroisse du même nom. (...) Principaux villages : la Cailletière, le Bois-Mancel, les Gandonnières, le Grand-Village, le Boissaut, l'Éangerie, la Poupardière. (...) Superficie totale 1198 hectares dont (...) terres labourables 785 ha, prés et pâturages 193 ha, bois 58 ha, vergers et jardins 17 ha, landes et incultes 88 ha (...). Moulin du Bas-Frétier, à eau. (...). On voit sur le tertre de l'Ecotay un monument peut-être druidique, et qui consiste en un carré long formé par un assemblage de pierres brutes placées debout ; on le nomme dans la pays le "Tombeau du prêtre"[36]. L'avoine est, ainsi que le cidre, une des principales productions du pays ; on exporte de l'une et de l'autre sur les marchés de Laval et d'Ernée. On a jadis exploité des ardoisières : on en voit les traces près du Bois-Mancel et de la Blandinière. (...). Géologie : schiste argileux[37] ; granite au nord-ouest ; exploitation de calcaire (...) sur la rive gauche de la Vilaine. On parle le français [en fait le gallo][34]. »

    En 1871, l'architecte rennais Jacques Mellet construisit, à la demande de Jules Richard de Gennes[38] le château du bourg, de style néo-Renaissance, qui fut habité notamment par la fille de Jules Richard de Gennes, la vicomtesse de La Motte Rouge[39] jusqu'à son décès[40].

    La Belle Époque

    L'architecte Henri Mellet construisit en 1905, en style néogothique, la mairie de La Chapelle-Erbrée[40].

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de La Chapelle-Erbrée porte les noms de 30 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[41].

    L'Entre-deux-guerres

    La commune commence à être électrifiée en 1932[42].

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de la Chapelle-Erbrée porte les noms de deux personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale : Armand Planchais[43] et P. Pellier[41].

    L'après Seconde Guerre mondiale

    Jean Bonnan, né le , est mort pour la France le pendant la Guerre d'Algérie[41].

    En 1982, le barrage de Haute-Vilaine a été construit à La Chapelle-Erbrée, il a pour rôle de protéger l’agglomération rennaise contre les crues hivernales. Il assure également une réserve d’eau potable pour les bassins de Rennes et de Vitré. Cette retenue d'eau est équipée d'une plage et d'une base nautique, mais depuis les années 2000, le développement de cyanobactéries entraine des interdictions d'usages[44].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
      1801 Michel Busson[45]    
    1801 1802 Auguste Postel    
    1802 1830 Pierre Busson[46]    
    1830 1833 maire inconnu   Pierre Coutard est adjoint chargé de l'état-civil
    1833 1839 maire inconnu   Julien Favrot est conseiller municipal chargé de l'état-civil
    1840 1864 Joseph Garnier[47]   Cultivateur
    1864 1869 François-Louis Dinonais[48]   Contrôleur de ville
    1869 1871 Pierre Dubois[49]   Cultivateur
    1872 1878 Jean-Marie Baron[50]   Propriétaire
    1878 1893 Félix Julien Constant de Gennes[51]   Célibataire
    1893 après 1903 Jean-Baptiste Chatelais[52]    
             
      mars 2001 Pierre Planchais    
    mars 2001 23 mai 2020 Joël Marquet[53],[54] SE Agriculteur
    23 mai 2020 En cours Joël Travers[55]   Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[57].

    En 2018, la commune comptait 700 habitants[Note 8], en augmentation de 6,87 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    806697750802688725692699715
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    757739728679707702709690635
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    603650618522538514509507551
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    518507405414465450567584601
    2013 2018 - - - - - - -
    655700-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Transports

    La commune est desservie par la ligne de bus n°4 de Vitré Communauté.

    Lieux et monuments

    L'église paroissiale Saint-Ouen.
    • Le château de la Chapelle-Erbrée a été construit par Jacques Mellet en 1871[60].
    • L'église paroissiale Saint-Ouen, reconstruite au milieu et à la fin du XIXe siècle par l'architecte Jacques Mellet[61].

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Launay-Villiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre La Chapelle-Erbrée et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Launay-Villiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre La Chapelle-Erbrée et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « Etymologie et Histoire de La Chapelle-Erbrée », infobretagne (consulté le ).
    22. Site de l'office public de la langue bretonne, KerOfis :
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, 2è édition. Librairie Guénégaud, Paris, 1979, p. 267b.
    24. « Saint Avertin », sur cef.fr (consulté le ).
    25. Amédée Guillotin de Corson, "Pouillé historique de l'archevêché de Rennes", volume 4, 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k75000m/f352.image.r=La%20Chapelle-Erbr%C3%A9e
    26. Grille, balustrade à jour, ordinairement en métal, en pierre ou en bois qui est placée dans une église autour du chœur ou du sanctuaire
    27. Personnes en âge de communier
    28. Marie Paul Hay des Nétumières, né le au château des Rochers-Sévigné, décédé le à Rennes, marquis des Nétumières, marquis du Chastelet (en Balazé), vicomte du Besso, député en Cour par les États de Bretagne sous Louis XVI, marié le au château de Monbouan en Moulins avec Émilie Olympe Hay de Bonteville
    29. Gaston de Carné, « Les Du Vauborel. Le Bremanfany », Revue historique de l'Ouest, 1886, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k67162q/f156.image.r=Breilmonfany?rk=64378;0
    30. Le Breil Monfanil est désormais un écart de la commune d'Argentré-du-Plessis
    31. Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", 1778, consultable https://archive.org/details/dictionnairehist02og
    32. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, cité par Roger Dupuis, De la Révolution à la Chouannerie, Nouvelle bibliothèque scientifique, Flammarion, 1988,[ (ISBN 2-08-211173-3)]
    33. Jean-Baptiste Kléber et Henri Baguenier-Desormeaux, "Kléber en Vendée (1793-1794) / documents publiés, pour la Société d'histoire contemporaine", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111939x/f461.image.r=Saint-Aubin-des-Landes
    34. A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, consultable https://books.google.fr/books?id=DI8DAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiO2P_qloLSAhVC2hoKHTWLAqoQ6AEILTAD#v=onepage&q=La%20Chapelle-Erbr%C3%A9e&f=false
    35. http://www.infobretagne.com/chapelle-erbree.htm
    36. Ce dolmen a disparu
    37. Datant du briovérien
    38. Jules Richard de Gennes, né en 1845, décédé en 1920, archiviste paléographe, maire de Cossé-le-Vivien, conseiller généralde la Mayenne
    39. Marie Constance Richard de Gennes, née le à Laval, décédée le au château du bourg à La Chapelle-Erbrée
    40. http://www.lachapelleerbree.fr/mairie-43-patrimoine.php
    41. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=10306
    42. Journal Ouest-Éclair no 13083 du 1er septembre 1932, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k659023q/f6.image.r=marpir%C3%A9?rk=4678134;4
    43. Armand Planchais, né le à La Chapelle-Erbrée, péri en mer en juin 1940, son corps fut retrouvé rejeté par la mer le sur la plage de Les Hemmes commune de Marck (Pas-de-Calais)
    44. « Baignade interdite au barrage de Haute-Vilaine », Le Journal de Vitré, (lire en ligne).
    45. Michel Busson, né le à La Chapelle-Erbrée, décédé le à la Blandinière en La Chapelle-Erbrée
    46. Pierre Busson, né le à La Chapelle-Erbrée, décédé le à Moissant en La Chapelle-Erbrée
    47. Joseph Marie Garnier, né le à La Chapelle-Erbrée, décédé le au bourg de La Chapelle-Erbrée
    48. François-Louis Dinonais, né vers 1793 à Bourgon (Mayenne), décédé le à Lorgerie en La Chapelle-Erbrée
    49. Pierre Dubois, né le à Mondevert, décédé le à La Chapelle-Erbrée
    50. Jean-Marie Baron, né le au Daudre en La Chapelle-Erbrée, décédé le à la Blandinière en La Chapelle-Erbrée
    51. Félix de Gennes, né le à Vitré, décédé le au bourg de La Chapelle-Erbrée
    52. Jean-Baptiste Auguste Chatelais, né le à La Chapelle-Erbrée
    53. « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Ille-et-Vilaine), no 535, , p. 10-13 (ISSN 1285-7688).
    54. « Municipales à La Chapelle-Erbrée. Troisième mandat pour Joël Marquet », Ouest-France, 3 avril 2014.
    55. Ouest-France, « La Chapelle-Erbrée. Joël Travers a été élu maire », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
    56. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    57. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    58. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    60. Notice no IA35046336, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    61. Notice no IA00130879, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..

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