Erbray

Erbray est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Erbray

Mairie d'Erbray.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes Châteaubriant-Derval
Maire
Mandat
Isabelle Dufourd-Bouchet
2020-2026
Code postal 44110
Code commune 44054
Démographie
Gentilé Erbréens
Population
municipale
3 030 hab. (2018 )
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 39′ 24″ nord, 1° 18′ 59″ ouest
Altitude Min. 41 m
Max. 108 m
Superficie 58,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châteaubriant
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châteaubriant
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Erbray
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Erbray
Géolocalisation sur la carte : France
Erbray
Géolocalisation sur la carte : France
Erbray
Liens
Site web http://www.erbray.fr/

    Géographie

    Situation de la commune d'Erbray dans le département de la Loire-Atlantique

    Erbray est situé à 8 kilomètres au sud-est de Châteaubriant.

    Les communes limitrophes sont Soudan, Juigné-des-Moutiers, Saint-Julien-de-Vouvantes, Petit-Auverné, Moisdon-la-Rivière, Louisfert et Châteaubriant.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 746 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Soudan », sur la commune de Soudan, mise en service en 1994[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 821,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et à 54 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Erbray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteaubriant dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45 %), zones agricoles hétérogènes (23,7 %), prairies (20,5 %), forêts (5,2 %), zones urbanisées (5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Arbraiacum en 1123[21], Arbre en 1141, de Arbreo[22] et Arbreio en 1160.

    Erbray vient, semble-t-il, du latin arboretum (« lieu planté d'arbres »)[23].

    Erbray possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Aèrbraéy (écriture ELG, prononcé [əʁ.bʁə])[24].

    Voir Erbrée (Ille-et-Vilaine).

    En breton, son nom est Ervoreg[22].

    Histoire

    L'histoire d'Erbray est liée à la pierre à chaux. La castine extraite des carrières d'Erbray servit de fondant dans les bas-fourneaux puis hauts-fourneaux de la région. En parallèle, des fours produisirent la chaux nécessaire comme liant dans le mortier servant dans les constructions et pour amender les terres argileuses. De nos jours, la pierre à chaux est toujours exploitée par la MEAC.

    Par ailleurs, la commune d'Erbray a toujours eu une activité agricole importante. Jouxtant Châteaubriant, plusieurs PME s'y sont installées depuis une cinquantaine d'années.

    Les vingt-sept, de la carrière de la Sablière à Châteaubriant, le

    1re Sépulture
    • Pierre Guéguen : 45 ans, né à Quimerc’h (29), maire communiste de Concarneau et conseiller général du Finistère. Sépulture cimetière de Concarneau (29) ;
    • Victor Renelle : 53 ans, de Paris, militant communiste. Son corps a été transféré dans le cimetière parisien du Père Lachaise ;
    • Raymond Tellier : 44 ans, d'Amilly (45), militant communiste. Son corps a été transféré à Amilly (45).

    Politique et administration

    Fernand du Breil de Pontbriand (1848-1916), maire d'Erbray.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
      11 septembre 1800 Pierre Roul    
    24 octobre 1800 2 novembre 1815 Jean Gaultier    
    3 novembre 1815 6 janvier 1824 Louis Colin de la Biochaye    
    10 septembre 1824 26 mai 1837 Jean Rougé[Note 6]    
    27 mai 1837 11 novembre 1848 Pierre Leroy[Note 7]    
    12 novembre 1848 13 août 1865 François Gobbé[Note 8]    
    29 septembre 1870 5 janvier 1878 Eugène Denis[Note 9]    
    6 janvier 1878 janvier 1881 François Gobbé    
     ?  ? Fernand du Breil de Pontbriand   lieutenant des mobiles d'Ille-et-Vilaine,
    conseiller général en 1883,
    député monarchiste de la Loire-Inférieure de 1889 à 1901,
    sénateur de la Loire-Inférieure de 1901 à 1916.
    1941 mars 1983 Michel de Pontbriand RPF sénateur de la Loire-Atlantique
    mars 1983 juin 1995 Raymond Lebossé DVD puis UDF-CDS Conseiller général (1976-2001)
    juin 1995 mars 2008 Jean Poulain DVG Conseiller général (2001-2015)
    mars 2008 2020 Jean-Pierre Juhel[Note 10] DVG Retraité
    2020 En cours Isabelle Dufourd-Bouchet   Aide-soignante
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Erbray fait partie de l'aire urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Châteaubriant. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[25]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 81 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 19 % dans des zones « très peu denses »[26].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2018, la commune comptait 3 030 habitants[Note 11], en augmentation de 2,78 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7811 7301 5021 6272 1201 9921 9702 0872 283
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3012 7002 9702 9732 9763 0023 0972 8972 726
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 6512 5782 5252 0571 9911 9671 9321 8131 832
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 7661 8081 8852 1522 3922 3492 6952 7442 793
    2013 2018 - - - - - - -
    2 9483 030-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,6 %) est en effet inférieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[31],[32],[33]. Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,9 % contre 48,4 % au niveau national et 48,7 % au niveau départemental)[31],[32],[33].

    Pyramide des âges à Erbray en 2013 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    0,3 
    4,9 
    75 à 89 ans
    5,7 
    14,3 
    60 à 74 ans
    13,9 
    21,6 
    45 à 59 ans
    21,9 
    19,7 
    30 à 44 ans
    21,3 
    15,4 
    15 à 29 ans
    14,7 
    23,9 
    0 à 14 ans
    22,3 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Patrimoine et culture locale

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à deux fasces d'or et deux pals de sable brochant sur le tout.
    Commentaires : Armoiries créées le pour la paroisse moyennant une taxe d'enregistrement de 25 livres qualifiée de « droit de bannière ». Délibération municipale le .

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Réélu le 27 décembre 1825 et le 20 mai 1832.
    7. Réélu le 12 septembre 1842 et le 10 janvier 1847.
    8. Réélu le 6 mars 1853, le 14 août 1860 et le 06 mars 1853.
    9. Réélu le 30 mars 1871 et le 8 octobre 1876.
    10. Réélu en 2014.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Soudan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Erbray et Soudan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Soudan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Erbray et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 34.
    22. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    23. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Editions Jean-paul Gisserot (lire en ligne), p. 61.
    24. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    25. « Commune d'Erbray (44054) », Insee (consulté le ).
    26. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Erbray - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    32. « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
    33. « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
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