Ingolsheim

Ingolsheim est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Ingolsheim

Vue de la mairie d'Ingolsheim.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Haguenau-Wissembourg
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Wissembourg
Maire
Mandat
Richard Frey
2020-2026
Code postal 67250
Code commune 67221
Démographie
Gentilé Ingolsheimois(es) [1]
Population
municipale
333 hab. (2018 )
Densité 75 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 30″ nord, 7° 56′ 16″ est
Altitude Min. 146 m
Max. 205 m
Superficie 4,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Wissembourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Wissembourg
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Ingolsheim
Géolocalisation sur la carte : Bas-Rhin
Ingolsheim
Géolocalisation sur la carte : France
Ingolsheim
Géolocalisation sur la carte : France
Ingolsheim
Liens
Site web Le site non officiel de la commune

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace et fait partie du parc naturel régional des Vosges du Nord.

    Ses habitants sont appelés les Ingolsheimois, ou Ingelser en alsacien.

    Géographie

    Ingolsheim est un petit village encore en grande partie agricole, situé entre Soultz-sous-Forêts et Wissembourg, dans le Nord de l'Alsace. Il est traversé par le cours d'eau Bremmelbach.

    Communes limitrophes de Ingolsheim
    Cleebourg Riedseltz
    Drachenbronn-Birlenbach seebach
    Hunspach

    Urbanisme

    Typologie

    Ingolsheim est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Wissembourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,4 %), prairies (10,4 %), zones urbanisées (5,9 %), forêts (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Histoire

    Le village d'Ingolsheim trouve ses origines très tôt, puisque le toponyme « Ingoldeshaha » se retrouve dès 967 dans la charte impériale d'Otton II.

    Le nom muta ensuite plusieurs fois jusqu'à atteindre son nom définitif.

    La Réforme est introduite en 1558 et un simultaneum est en vigueur jusqu'en 1900 (date de construction de l'église catholique).

    La Seconde Guerre mondiale est une rude épreuve pour les habitants, due à la proximité de la ligne Maginot (moins d'km), et notamment l'ouvrage fortifié de Schœnenbourg.

    Les habitants sont évacués à Bessines-sur-Gartempe, dans la Haute-Vienne.

    Héraldique

    Les armes d'Ingolsheim se blasonnent ainsi :
    « D'argent parti de sable, chapé de l'un en l'autre. »[9].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Ingoldeshaha en 967 [10].

    Économie

    Principalement agricole. Les habitants d'Ingolsheim travaillent dans les villes alentour.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Georges Durst    
    1995 2001 Charles Pflug    
    2001 2014 Jeannot Nussbaum    
    2014 En cours
    (au 31 mai 2020)
    Richard Frey [11]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
       
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[13].

    En 2018, la commune comptait 333 habitants[Note 3], en augmentation de 17,25 % par rapport à 2013 (Bas-Rhin : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    222190237325312284254243240
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    228232237240216217199213206
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    208201197184212210205183196
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    204204198199250269290289283
    2018 - - - - - - - -
    333--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Ingolsheim, église protestante.

    Bref historique

    La chapelle mentionnée en 1298, consolidée en 1598, est détruite lors de la guerre de Trente Ans (1618-1648). La nouvelle église, édifiée en 1783, est d'abord affectée au culte protestant, puis aux deux confessions jusqu'en 1901. Située non loin du pont du village, elle est soufflée lors de l'explosion d'une bombe en 1940[16]. Les habitants d'Ingolsheim n'ont pas été témoin du désastre, réfugiés qu'ils étaient alors en Haute-Vienne, autour de Bessines-sur-Gartempes. Seule l'une des deux cloches, pesant 200 kg, fut retrouvée intact sous les décombres. Par la suite, elle allait être hissée dans le clocher du nouveau sanctuaire construit en 1955 seulement, mais à un nouvel emplacement[17]. Cette église réformée de tradition calviniste dépend de la paroisse protestante de Hunspach et fait partie de l'Église protestante réformée d'Alsace et de Lorraine, sous le régime concordataire.

    L'orgue de l'église protestante

    L'instrument a été construit en 1966 par Georges Émile Walther. C'est l'opus 55 de la maison Muhleisen. L'expert chargé du projet était Jean-Daniel Weber (ECAAL) ; l'harmonisation a été réalisée "à plein vent" par Emile Wolf. Il semble que ce soit le premier orgue d'Ingolsheim. Il n'y en avait pas dans l'ancienne église simultanée détruite en 1940.

    C'est un orgue de la série appelée "SEKA". L'instrument « fondateur » avait été commandé par l’Église luthérienne du Pays de Bade, et conçu pour les petites paroisses protestantes comme orgue d’accompagnement. Les SEKA comprenaient plusieurs modèles de 4 à 8 jeux. Le dernier fut posé à la Cité de l'Ill (Strasbourg) en 1979[18].

    La construction de l'église (1900-1901)

    Ingolsheim, église Saint-Michel.

    L'église au bord de la route de Wissembourg à Soultz-sous-Forêts (construite entre 1783, détruite en 1940 par une explosion) servit aux deux confessions : c'était le simultaneum. Cette situation d'usage simultané de l'édifice cultuel n'était pas exempte de frictions malgré la bonne volonté réciproque. Elle réussit cependant à se maintenir jusqu'à la fin du XIXe siècle. À ce moment-là, le chanoine Kelhetter, incita l'abbé Bechthold, curé de Riedseltz, à faire construire une petite église dans son annexe d'Ingolsheim. Il accompagna sa proposition d'une avance de 300 RM pour engager le projet.

    Lorsqu'en , les bâtiments qui cachaient le chœur de l'abbatiale Saints-Pierre-et-Paul de Wissembourg furent démolis, le curé Joseph Bechthold y vit l'occasion unique d'acquérir à peu de frais des briques pour son chantier. Dès le , elles commencèrent à s'entasser sur le terrain de construction à quelques pas de l'école. Dans un carnet de 16 pages intitulé "Verzeichnis der Riedseltzer Bürger, die zum Neubau einer katholischen Kirche in Ingolsheim Materialen angefahen haben, 1900" (archives de la paroisse de Riedseltz), sont répertoriés quelque 489 voyages avec les noms des bénévoles, leur attelage et leur chargement. Nous apprenons ainsi que du au , ils transportèrent 51 466 briques de Wissembourg à Ingolsheim et autres quantités de sable, tuiles et pierres de taille.

    Ingolsheim, église Saint-Michel (intérieur).

    Le conseil de fabrique avait approuvé, le , le projet de l'architecte Steller qui s'élevait à 5 500 RM avec la promesse d'une subvention de 1 500 RM. L'argent était disponible ; les travaux pouvaient commencer. Le maître d'œuvre Bogner de Keffenach débuta les travaux de fondations le  ; furent achevés le et arrosés par 23 bouteilles de bière. Lorsque la construction s'engagea dans sa phase active, l'ambition des promoteurs s'accrut et l'on estima qu'un clocher donnerait plus de majesté à l'ensemble. Cette modification coûtera 3 500 RM supplémentaires dont 1 500 de subvention.

    L'ouvrage avançait. Et déjà il fallait songer aux cérémonies d'inauguration. Elles eurent lieu le en présence du curé-doyen Jean-Baptiste Steffan de Wissembourg, du comte de Bissingen représentant le gouvernement, de 22 ecclésiastiques et de toute la population du village. La Weissenburger Zeitung du mardi se fit l'écho de la manifestation : "Am Donnerstag wurde die neue Kirche im Beisein von 20 Geistlichen und unter grossem Andrang der Gläubigen der Umgegend, besonders aus Riedseltz, feierlich eingeweiht. Nachdem der Weiheakt von Stadtpfarrer Steffan aus Weissenburg vorgenommen war, hielt Diözesanmissionnär Kelhetter die Festpredigt. Kantonnalpfarrer Ludwig von Sulz u. Wald sang hierauf das Hochamt für alle Diejenigen, welche zum Neubau der Kirche beigetragen haben. Dabei gab der Sängerchor von Riedseltz Proben seines Könnens zum Besten und verdiente für seine Leistungen Allgemeine Anerkennung".

    Le , un arrêté ministériel constate officiellement la fin du simultaneum à Ingolsheim. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le clocher de l'église fut endommagé ; lors de sa reconstruction, son aspect initial fut modifié[19].

    Les cloches de l'église Saint-Michel (1902 et 2000)

    La construction de la nouvelle église d'Ingolsheim étant achevée, on procéda dès 1902 à l'installation de deux cloches ; elles ont été coulées par Johann Georg Pfeiffer de Kaiserslautern :

    - la cloche "Sankt Michael" (env. 125 kg) ; parrain : Michael Horner de Schœnenbourg ; marraine : Katharina Kauff d'Ingolsheim.

    - la cloche "Sankt Georg" (env. 105 kg, Fa 4) ; parrain : Philipp Kauff d'Ingolsheim ; marraine : Margaretha Waltz d'Ingolsheim.

    La Première Guerre mondiale éclate en 1914. L'église d'Ingolsheim, comme beaucoup d'autres églises, se voit réquisitionner l'une de ses cloches, "Sankt Michael", le . Une indemnité de 623 M a été versée à la fabrique de la paroisse de Riedseltz-Ingolsheim. La cloche réquisitionnée n'a pas été remplacée après la guerre : durant de longues décennies, la cloche "Sankt Georg" sera seule à accompagner les joies et les peines célébrées dans la petite église Saint-Michel.

    En , un paroissien d'Ingolsheim, avec l'aide du chanoine René Levresse, chancelier de l'archevêché de Strasbourg, consulta les archives relatives à l'église d'Ingolsheim. Ils découvrirent un écrit intéressant et oublié : la déclaration de la réquisition des cloches des églises catholiques de Riedseltz et d'Ingolsheim en 1917. Très vite quelques paroissiens d'Ingolsheim ont l'idée de travailler au projet de remise en place d'une deuxième cloche dans leur église. La maison Voegelé de Strasbourg-Koenigshoffen propose un devis d'un montant de 6 318  () ; cette somme n'étant pas disponible, le projet est momentanément abandonné.

    Lorsque le projet est à nouveau relancé (), la maison Voegelé est en possession d'une cloche neuve invendue qui pourrait convenir au clocher de l'église Saint-Michel ; elle pourrait être cédée et installée pour la somme de 4 701 . Cette cloche était initialement destinée à la paroisse de Matoury (Guyane). Le P. Joseph Plug, missionnaire spiritain originaire d'Alsace, projetait de construire une nouvelle église sur sa paroisse de Matoury ; il passa commande de quatre cloches auprès de la maison Voegelé, en 2000. Peu de temps après, le P. Plug quitta sa paroisse et son successeur renonça au projet de construction. Les cloches venant d'être coulées au Mont Sainte-Odile dans le cadre de l'opération "Cloches 2000", elles restèrent en Alsace et furent mises en vente. L'une d'entre-elles rejoindra le clocher de l'église d'Ingolsheim :

    - la cloche « Saint Pierre » (226 kg, Ré 4). Elle a été coulée en au Mont Sainte-Odile sous la direction de la maison Voegelé de Strasbourg-Koenigshoffen, avec la coopération des fondeurs Herrmann Schmitt (Brockscheid) et Frère Michaël (abbaye de Maria-Laach). Bénédiction le par l'abbé Patrick Koehler, curé de la paroisse de Riedseltz-Ingolsheim.

    Grâce à la ténacité d'une poignée de paroissiens et à la générosité de nombreux donateurs, grâce à l'appui de la fabrique de l'église, de la paroisse protestante, de la commune d'Ingolsheim et du conseiller général Jean-Laurent Vonau, l'église Saint-Michel a retrouvé une deuxième cloche .

    Ferme, 5 rue de Bessines, 1815-1858

    Sur le pignon, les deux petits volets, à l'étage, permettent à la fois d'aérer et d'éclairer le grenier. Ce type d'aménagement est propre aux maisons à un seul étage, ne possédant qu'une fenêtre pour l'unique pièce aménagée en longueur, dans laquelle sont souvent installés, à l'origine, les lits des enfants, directement sous la pente du toit[16].

    Ferme, 1 rue Eckhard, 1752

    La ferme porte la date d'édification sur le linteau de la cave. Contrairement aux traditionnelles maisons à colombage du XVIIIe siècle, la disposition des poutres est loin d'être symétrique. L'arrière de la maison, détruit par l'explosion d'une bombe en 1940, a été réparé, en maçonnerie[16].

    Ingolsheim, vue sur le village (depuis la ligne Maginot).

    Ligne Maginot

    Figées sur les hauteurs à l'ouest du village, les tourelles métalliques en forme de cloches de l'ouvrage de Schœnenbourg, l'une des pièces maîtresses de la ligne Maginot, montent une garde désormais inutile, à l'heure de l'Europe. En réalité, le fort est propriété conjointe, depuis que l'Armée en 1999 a décidé sa cession, des communes de Hunspach (5 ha) et Ingolsheim (18 ha), sur le territoire desquelles se trouve l'ensemble patrimonial classé monument historique. La gestion reste confiée, par bail emphytéotique de 49 ans, à l'Association des Amis de la Ligne Maginot, laquelle œuvrant depuis 1983, a permis le sauvetage du fort de Schœnenbourg, alors que ses vestiges étaient forts convoités par les ferrailleurs. En lui rendant son aspect d'origine au prix d'un travail bénévole impressionnant, l'association a fait de cet ancien ouvrage de guerre, un site touristique exemplaire recevant quelque 40 000 visiteurs par an[17].

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/bas-rhin-67
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Wissembourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
    10. Dans une Charte impériale d'Otton II.
    11. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    16. Le patrimoine des communes du Bas-Rhin, Paris, Flohic, , 1693 p. (ISBN 2-84234-055-8), p. 1271.
    17. Bernard Weigel, Le pays de Wissembourg, Strasbourg, ID L’Édition, rue de Nomeny, Strasbourg, , 112 p. (ISBN 2-913302-90-4), p. 69.
    18. « Orgues d'Alsace » (consulté le ).
    19. René Reiss, "Ingolsheim, discours des neiges d'antan" et "D'Ingelser, de 1800 à 1975".

    Liens externes

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