God Save the Queen

God Save the Queen (en français : Que Dieu protège la Reine ou Que Dieu garde la Reine) est l'hymne national de facto du Royaume-Uni et de la Nouvelle-Zélande. Lorsque le souverain britannique est un homme, on utilise une version alternative qui est en fait le texte original : « God Save the King » (Que Dieu protège le Roi ou Que Dieu garde le Roi, mais autrement appellé Grand Dieu Sauve le Roi/Reine) d'un motet composé sur une citation biblique (Psaume 20, verset 9).

Pour les articles homonymes, voir God Save the Queen (homonymie).

God Save the Queen
Que Dieu protège la Reine

Publication d'une version ancienne dans The Gentleman's Magazine, le 15 octobre 1745.

Hymne de Royaume-Uni (national[1] et royal)
Nouvelle-Zélande (national[2] et royal)
Antigua-et-Barbuda (royal)
Australie (royal)
Barbade (royal)
Belize (royal)
Canada (royal)
Grenade (royal)
Jamaïque (royal)
Bahamas (royal)
Papouasie-Nouvelle-Guinée (royal)
Îles Salomon (royal)
Saint-Christophe-et-Niévès (royal)
Saint-Vincent-et-les-Grenadines (royal)
Sainte-Lucie (royal)
Tuvalu (royal)

Tous les territoires britanniques d'outre-mer
Autre(s) nom(s) God save the King (en)
Que Dieu protège le Roi
(Quand le monarque est un roi)
Paroles Origine incertaine
Musique Jean-Baptiste Lully
XVIIe siècle
Fichier audio
God save the Queen (instrumental)
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Il était par le passé l'hymne national de la majeure partie des pays du Commonwealth ; bien que la plupart d'entre eux aient maintenant leur propre hymne national, plusieurs (dont l'Australie et le Canada) le reconnaissent en tant qu'hymne royal.

Le souverain régnant ne chante pas cet hymne puisqu'il s'agit de prier pour lui, mais le consort le chante.

Historique

Le Royaume-Uni n'a pas d'hymne national officiel, mais le God save the Queen, possédant une longue histoire d'usage dans cette fonction, est utilisé par le gouvernement comme hymne national.

Mélodie

Dans Oxford Companion to Music, Percy Scholes (en) cite un morceau de clavier de John Bull (1619) qui a de fortes similitudes avec l'air moderne, selon le placement des altérations qui, à cette époque et dans certains cas, étaient non écrites et laissées à la discrétion de l'interprète. Il indique également que plusieurs morceaux de Henry Purcell, dont un comportant les notes d'ouverture de l'air moderne, contiennent les mots : « God save the King ».

Dans Les Grotesques de la musique, Hector Berlioz confirme la version selon laquelle la mélodie a été écrite par Jean-Baptiste Lully[3].

Au Royaume-Uni, la première édition définitive de l'air actuel est apparue en 1744 dans Thesaurus Musicus. La chanson serait devenue populaire l'année suivante, après le débarquement de Charles Édouard Stuart, qui marqua la fin des espoirs des Stuart de remonter sur le trône anglais. La maison de Hanovre, victorieuse, adoptera cet air comme hymne royal britannique.

C'est Haendel qui effectua un arrangement[4] de la mélodie composée à l'origine par Jean-Baptiste Lully à l'occasion de l'opération de la fistule anale de Louis XIV[5],[6]. Selon une version alternative, la chanson aurait été importée par l'intermédiaire du roi d'Angleterre Jacques II qui, vivant en exil en France à partir de 1689, aurait entendu l'hymne et décidé de l'adopter lorsqu'il remonterait sur le trône, ce à quoi il ne parvint pas, avant que les partisans de son fils, Jacques François Stuart, entonnent le chant lors de sa dernière tentative de prise du pouvoir en [5].

Texte

Dans les Souvenirs apocryphes[7]de la marquise de Créquy, l'auteur évoque une origine française de l’hymne composé en 1686 pour fêter le rétablissement de Louis XIV après son opération de la fistule anale. L'ancêtre du God save the King serait la chanson Grand Dieu sauve le Roi, écrite par Madame de Brinon, supérieure de la Maison royale de Saint-Louis[8] (future école de Saint-Cyr en faveur des orphelines de nobles) et mise en musique par Jean-Baptiste Lully (Haendel de séjour à Versailles en 1714 aurait noté la musique et l'aurait fait traduire par le pasteur Carrey)[9].

Cette chanson n'est pas sans lien avec un chant latin, que la chapelle royale exécutait depuis le règne de Louis XIII et qui avait pour titres « Domine, salvum fac regem », dont les paroles étaient exactement tirées du dernier verset du psaume XIX de David, « Domine, salvum fac Regem et exaudi nos in die qua invocaverimus te ». Toutefois, c'est le Te Deum qui fonctionnait en tant qu'hymne royal officiel[10].

Si la première exécution est officiellement attribuée à l'année 1745[11], une étude récente trouva une exécution plus ancienne par les royalistes de la maison Stuart en 1688 : « God Save Great James our King ». Le chercheur considère que l'origine peut remonter au règne de Charles II († 1660)[12].

Après la mort d'Henry Carey, son fils demanda qu'on reconnaisse la paternité de son père sur cet hymne.

Adapté en allemand en 1790, en pleine période révolutionnaire, perçu alors comme un hymne royal célébrant la royauté, il a été pour cette raison choisi pour être l'hymne du Royaume de Prusse. Le succès de ce chant s'étendit à l'Autriche-Hongrie, pays où il était chanté quotidiennement par tous les écoliers jusqu'en 1918 sous ce titre : « Gott, schütze unseren Kaiser ! ».

Paroles

Il n'y a pas de version officielle de l'hymne. La monarchie reconnaît aujourd'hui par tradition les premier et troisième couplets du texte ci-dessous comme constituant l'hymne national, et précise que d'autres couplets, « ajoutés au fil des ans, […] sont rarement utilisés »[11].

Paroles en anglais Traduction en français

God save our gracious Queen,
Long live our noble Queen,
God save the Queen!
Send her victorious,
Happy and glorious,
Long to reign over us;
God save the Queen!

O Lord, our God, arise,
Scatter her enemies,
And make them fall!
Confound their politics,
Frustrate their knavish tricks,
On Thee our hopes we fix,
God save us all!

Thy choicest gifts in store
On her be pleased to pour;
Long may she reign;
May she defend our laws,
And ever give us cause
To sing with heart and voice:
God save the Queen!

Que Dieu protège notre gracieuse Reine,
Longue vie à notre noble Reine,
Que Dieu protège la Reine !
Rends-la victorieuse,
Heureuse et glorieuse ;
Que soit long son règne sur nous,
Que Dieu protège la Reine !

Ô Seigneur, notre Dieu, surgis
Disperse ses ennemis
Et fais-les chuter ;
Confonds leurs complots,
Déjoue leurs conspirations de filou !
En Toi, nous mettons notre espoir ;
Que Dieu nous protège tous !

Veuille bien verser sur elle
Tes dons les plus précieux ;
Puisse-t-elle régner longuement ;
Puisse-t-elle défendre nos lois
Et nous donner toujours raison
De chanter avec cœur et à pleine voix :
Que Dieu protège la Reine !

Le Gouvernement du Canada propose le texte suivant pour traduction du troisième couplet :

Parmi tous, Tu choisis les dons

Qu’il Te plaît de lui accorder; Puisse-t-elle régner longuement; Puisse-t-elle défendre nos lois Et nous donner souvent raison De chanter avec cœur et à pleine voix :

Que Dieu protège la Reine [13]!

Un autre couplet, qui en appelle à l'aide de Dieu pour « écraser les Écossais rebelles », est ajouté officieusement vers 1745 en réaction à la rébellion jacobite en Écosse. Comme les autres couplets agrégés au texte au fil du temps, il a été populaire sans jamais avoir été officiel, et n'est « plus chanté aujourd'hui »[14].

God Save the Queen au Canada

God Save the Queen n'a pas de statut légal au Canada, même s'il est considéré comme l'hymne royal, c'est-à-dire doit être joué en présence d'un membre de la famille royale ou comme partie du salut accordé au gouverneur général et aux lieutenants-gouverneurs. La traduction française de l'hymne est due au journaliste et historien Benjamin Sulte. En effet, le premier couplet est chanté en français :

« Dieu protège la Reine
De sa main souveraine !
Vive la Reine !
Qu'un règne glorieux,
Long et victorieux
Rende son peuple heureux.
Vive la Reine ! »

Pourtant, il existe également la tradition de chanter les premiers vers de la première strophe en français, jusqu'à « vive la reine » inclus, puis les autres en anglais, selon la traduction suivante qui peut considérée comme très fidèle à la mélodie originale :

« Dieu sauve notre Reine Notre gracieuse Reine !
Vive la reine !
Rends-la victorieuse,
Heureuse et glorieuse
Que soit long son règne sur nous »

Vive la reine !

Cette tradition appartient notamment à la célébration du Jour du Souvenir, c’est-à-dire le 11 novembre au Canada organisée par la Légion royale canadienne[15].

God save the Queen en Australie

En Australie God save the Queen était l'hymne national de jure jusqu'en 1984, quand Advance Australia Fair fut adopté à la suite d'un plébiscite ayant été tenu en 1977. Le gouvernement Whitlam avait choisi cette dernière comme hymne national en 1974, désirant une chanson qui représente l'identité australienne, non pas celle du Royaume-Uni. Son successeur, Malcolm Fraser restaura néanmoins God Save the Queen pour des occasions royales ou vice-royales ou dans le contexte militaire ou bien d'un toast fidèle au monarque d'Australie, en programmant un sondage, réalisé sous la form de plébiscite conjointement avec le référendum de 1977. On avait le choix d'Advance Australia Fair, Waltzing Matilda ou The Song of Australia pour d'autres événements.

Enfin, le gouvernement Bob Hawke fit adopter le nouvel hymne en avril 1984, gardant God Save the Queen pour toutes occasions royales en tant qu'hymne royal. En revanche, le salut vice-royal se dérive de l'hymne national.

God save the Queen en Nouvelle-Zélande

En Nouvelle-Zélande, God save the Queen a statut égal avec God Defend New Zealand comme hymne national, mais il est moins souvent joué. Il doit être joué en présence d'un membre de la famille royale ou comme partie du salut accordé au gouverneur général et aux lieutenants-gouverneurs. Le texte a été traduit en langue maori en 1860 par Edward Marsh Williams, premier interprète officiel auprès du gouvernement colonial. Sa première strophe est présentée ci-dessous :

Me tohu e t'Atua
To matou Kuini pai:
Kia ora ia
Meinga kia maia ia,
Kia hari nui, kia koa,
Kia kuini tonu ia,
Tau tini noa[16].

Autres versions

Dans la culture populaire

  • Joseph Haydn cite les premières notes de l'hymne dans le mouvement lent (Adagio cantabile) de sa Symphonie numéro 98, écrite pour Londres.
  • Carl Maria von Weber plaça la mélodie à la fin de son ouverture "Jubilee", composée pour le cinquantième anniversaire de l'arrivée sur trône du roi de Saxe ; elle fut créée à Dresde en 1818.
  • Johann Christian Bach, dans son concerto pour harpe en ré majeur God Save the King, présente un thème et variations de l'hymne dans le troisième mouvement de l’œuvre.
  • Niccolò Paganini a composé sur cet hymne une série de variations pour violon, laquelle est restée une pièce majeure du répertoire de l'instrument, fréquemment utilisée comme rappel de concert. Ces variations mettent en valeur de nombreux effets spécifiques (doubles harmoniques, pizzicato de la main gauche, etc.), leur exécution nécessite une très grande virtuosité.
  • Le groupe Queen a enregistré une version instrumentale de l'hymne anglais, sur l'album A Night at the Opera. Il s'agit d'un arrangement instrumental fait par Brian May pour être joué sur sa guitare. L'enregistrement de ce titre sera joué en clôture des concerts du groupe, pendant que les membres saluent le public et chantent les paroles[17]. Cette version a été interprétée par Brian May et son compère Roger Taylor pour le jubilé d'or de la reine Élisabeth II en 2002. Brian May se trouvait sur le toit du palais de Buckingham. Ce passage a été télédiffusé.
  • Une version parodique existe également dans le rugby français[18],[19].
  • Jimi Hendrix au Festival de l'île de Wight 1970.
  • Les Sex Pistols en 1977.
  • On peut aussi citer une chanson royaliste, datée de 1795, sur le fils de Louis XVI, Louis XVII, emprisonné à la prison du Temple et qui y meurt la même année: "Chanson royale sur Louis XVII". Les paroles sont différentes, mais elles sont chantées sur l'air de God save the Queen[20].

Influence sur d'autres hymnes

De nombreux hymnes se chantent sur l'air du God save the Queen, parmi lesquels :

  • L'ancien hymne national suisse, Rufst du, mein Vaterland, soit « Ô monts indépendants » en français, en usage d'environ 1850 à 1961.
  • L'hymne national du Liechtenstein, Oben am jungen Rhein, en usage depuis 1951.
  • L'hymne de l'Empire allemand, Heil dir im Siegerkranz, en usage de 1871 à 1918.
  • L'hymne royal de Norvège, Kongesangen, en usage depuis 1906.
  • L'ancien hymne royal suédois, Bevare Gud vår kung (en) (Que Dieu protège le Roi), en usage entre 1805 à 1893.
  • L'hymne de l'Empire russe, Molitva russkikh (La Prière des Russes), en usage de 1816 à 1833.
  • L'ancien hymne national de facto des États-Unis, My Country, 'Tis of Thee, en usage jusqu'en 1931. Il demeure une chanson patriotique toujours très populaire.

Dans le sport

Le God Save The Queen est utilisé comme hymne national par différentes équipes en sport :

Les autres pays constituants le Royaume-Uni, utilisent un hymne différent (Flower of Scotland pour les écossais et Land of My Fathers pour les gallois). Certaines équipes irlandaises de sports collectifs représentent l'île de l'Irlande (soit l'Irlande du Nord apparentant au Royaume-Uni plus la République d'Irlande), c'est le cas du rugby, du hockey ou encore du cricket. Ils utilisent ainsi un hymne spécialement créé pour cette union : l'Ireland's Call. Mais toutes les équipes ne sont pas réunies, comme en football par exemple, les nord-irlandais chantent ainsi le God Save The Queen[21].

Autres hymnes britanniques

Notes et références

  1. Hymne national de facto sans statut légal.
  2. Hymne national officiel en même temps que God Defend New Zealand : (en) les hymnes de la Nouvelle-Zélande et (en) le protocole d'utilisation des hymnes néo-zélandais sur le site du Ministry of Culture and Heritage
  3. Hector Berlioz, chap. 26 « Grande nouvelle », dans Les Grotesques de la musique, Paris, Bourdilliat et Cie, , 320 p. (lire en ligne)
  4. Celui-ci sera d'ailleurs utilisé par la suite dans l'hymne de couronnement Zadok the Priest. (en) Music in the Social and Behavioral Sciences : An Encyclopedia, SAGE Publications, , 1360 p. (lire en ligne), p. 45-47
  5. Anne Audigier, « Comment la fistule anale de Louis XIV a permis la création de l'hymne britannique "God Save the Queen" ? », sur France Inter.fr, (consulté le ).
  6. Jacques Lamoureux, Le XVIIIe siècle anglais, ou, Le temps des paradoxes, , 337 p. (ISBN 978-2-296-06279-5, lire en ligne), p. 15.
  7. Souvenirs de la marquise de Créquy de 1710 à 1803, t. 1, 256 p. (lire en ligne), chap. 4, p. 130-132
  8. Bien qu'en 1685, à la suite de l'édit de Fontainebleau, tous les chants liturgiques en français fussent interdits, exception faite du cantique de Jean Racine réservé à cette école : Cantique § Texte en langue vulgaire. Denise Launay, La Musique religieuse en France du concile de Trente à 1804, Société musicologie française, Paris 1993, p. 343.
  9. Marc Lefrançois, Histoires insolites des rois et reines de France, City Edition, , p. 73
  10. En fait, le Domine, salvum fac regem n'était autre qu'un petit motet dans la célébration de la messe. Selon la tradition à la cour de Louis XIV, le Te Deum en latin était le véritable hymne royal. Ce chant fut d'ailleurs beaucoup utilisé lors de la guérison de Louis le Grand en 1686 : « Durant toute l'année 1686, Louis XIV se trouve incommodé par une fistule pour laquelle il subit, avec beaucoup de courage, la « grande opération » le . Mais il faut attendre Noël pour une complète guérison. Pendant, les premiers mois de l'année suivant, la France entière résonne de chants de réjouissances. Le Mercure galant n'exagère pas quand il déclare : « J'aurais à remplir un volume de tous les Te Deum qui ont été chantés en actions de grâces pour le rétablissement de la santé du roi. Ainsi je ne vous parlerai seulement de quelques-uns. » Nous de même : signalons les compositions de Ludet, officier ordinaire de la Musique du roi, chez les Augustins déchaussés, de Lorenzani à l'église de Jacobins réformés de la rue Saint-Honoré, de Moreau, de Nivers, de Desmarest à l'église des Pères de l'Oratoire, de Chaperon à la Sainte-Chapelle, de Oudot à l'église Saint-Hippolyte... Le , on se presse à l'église des Feuillants de la rue Saint-Honoré pour entendre le Te Deum de Lully, entonné par cent cinquante exécutants. Cette pièce avait été composée dix ans auparavant pour le baptême du fils aîné du surintendant, Louis, dont l'illustre parrain n'était autre que le roi. Ce jour de , Lully dirige lui-même son œuvre en battant vigoureusement la mesure avec son bâton. » (Catherine Cessac, Marc-Antoine Charpentier, p. 160).
    D'ailleurs, après que l'exécution du Te Deum de Paolo Lorenzani par l'armée de Louis XIV eut provoqué un gros conflit avec les habitants espagnols, le roi Soleil dut renoncer entièrement à l'occupation de la Sicile en 1678 (Paolo Lorenzani § Embarquement vers Paris)
  11. (en) « National Anthem », sur The Royal Household
  12. (en) Ian Bradley, God save the Queen : The Spiritual Heart of the Monarchy, A&C Black, , 336 p. (ISBN 978-1-4411-9367-4, OCLC 842350225, lire en ligne), p. 146(en)
  13. Gouvernement du Canada, « Hymne royal », sur canada.ca, (consulté le )
  14. (en) « Rebellious Scots to crush », sur Scottish Association of the Teachers of History (consulté le )
  15. « God Save the Queen (Bilingual French and English) », sur Youtube, (consulté le )
  16. (en) Mark Derby, « 'Translation and interpreting – te whakamāori ā-tuhi, ā-waha hoki - Treaty of Waitangi, publications and Parliament' : 'God save the Queen' in te reo Māori », sur https://teara.govt.nz/en, (consulté le ).
  17. Il s'agit d'un clin d'œil à l'Angleterre des années 1960 où les salles de cinéma jouaient l'hymne national devant un public debout et immobile par tradition après chaque séance. Les Rolling Stones y font allusion dans leur chanson Why don't we sing this song all together?
  18. « L'une des versions de Les Couilles de mon grand-père (sur l'air de God save the Queen »
  19. « Les Anglais ont le pendant avec La Marseillaise »
  20. « Chants royalistes - Chanson royale, sur Louis XVII 1795 », sur chants.royalistes.free.fr (consulté le )
  21. « Pourquoi l'Irlande du Nord n'a-t-elle pas son propre hymne ? » (consulté le )

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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