Gloria, laus et honor

L'hymne Gloria, laus et honor est un chant liturgique catholique, réservé en particulier à la procession solennelle du dimanche des Rameaux. Depuis le Xe siècle, la tradition bénédictine attribuait l'auteur à Théodulf d'Orléans, prédécesseur de son ordre. De nos jours, la plupart des chercheurs favorisent cette attribution, avec des manuscrits assez anciens et nombreux.


Titre :
Gloria, laus et honor (incipit)

Genre :
hymne

Usage liturgique :
procession du dimanche des Rameaux

Manuscrit le plus ancien :
vers 880 (pontifical utilisé dans la région parisienne)

Partitions les plus anciennes :
chant grégorien - entre 960 et 970
(abbaye territoriale d'Einsiedeln)
chant vieux-romain - 1071(Rome, église Sainte-Cécile-du-Trastevere)

Mention de l'auteur :
entre 960 et 970 (rubrique de chant grégorien (ci-dessus))
fin du XIe siècle (entre 1075 et 1100)
(abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire)

Auteur attribué :
Théodulf d'Orléans († 821)


Image :
Entrée de Jésus à Jérusalem (XIIe siècle, collection de Bayerische Staatsbibliothek)

Texte

L'hymne, formée de distiques élégiaques, s'inspire de l'Évangile selon Matthieu XXI, 1-16, ainsi que du livre des Psaumes 117, 26 et le reste[1],[2]. À l'origine, le texte n'employait pas de refrain, et le verset Gloria, laus et honor ... était la première strophe. Les manuscrits les plus anciens comptaient dix-huit strophes.

latin français

Gloria, laus et honor tibi sit, Rex Christe, Redemptor,
Cui puerile decus prompsit Hosanna pium.

(refrain) Gloire, louange et honneur à Toi, Christ Roi Sauveur.
Pour toi le cortège des enfants chanta Hosanna !

latin français

Israel es tu rex, Davidis et inclyta proles,
Nomine qui in Domini, rex benedicte, venis.

Cœtus in excelsis te laudat cælicus omnis,
et mortalis homo, et cuncta creata simul.

Plebs Hebræa tibi cum palmis obvia venit ;
Cum prece, voto, hymnis, adsumus ecce tibi.

Hi tibi passuro solvebant munia laudis ;
nos tibi regnanti pangimus ecce melos.

Hi placuere tibi, placeat devotio nostra ;
rex bone, rex clemens, cui bona cuncta placent.

1. Tu es le roi d'Israël, tu es le glorieux rejeton de David,
roi béni qui viens au nom du Seigneur.

2. Le chœur céleste en entier te loue au plus haut des cieux ;
à lui se joint l'homme mortel et toute la création.

3. Le peuple hébreu vint au devant de toi avec des palmes,
avec nos prières, nos vœux et nos hymnes, nous voici devant toi.

4. Ceux-ci te payaient leur tribut de louanges, alors que tu allais souffrir ;
Et nous, voici que nous te célébrons par nos chants, maintenant que tu règnes.

5. Ils ont su te plaire, que te plaise aussi notre dévotion :
bon Roi, doux Roi, à qui plaît tout ce qui est bon.

Partition et exécution

Historique

Origine

À la différence de plupart des chants médiévaux, cette hymne compte un certain nombre de manuscrits très anciens. Et ces derniers indiquent que le prototype était assez probablement un texte composé de dix-huit strophes et sans refrain. Il s'agit des seuls quatre documents copiés avant 1000[3]. Les manuscrits tardifs se constituaient, au contraire, de six strophes. Tardivement, la première strophe fut transformée en refrain de chant, devenue version actuelle.

L'attribution de l'auteur dans la publication fut tenue en 1646, dans l’Éditio princeps de Jacques Sirmond, qui contenait plusieurs poèmes de Théodulf d'Orléans († 821) dont la Gloria, laus et honor. Toutefois, il s'agissait d'une publication d'après un manuscrit aujourd'hui perdu[4].

En ce qui concerne le document le plus ancien et sûr, qui reste de nos jours, est le manuscrit 227 de la bibliothèque de l'Arsenal, folios 73r - 74r, Pontifical dit de Poitiers, d'après le lieu présumé de sa réalisation [manuscrit en ligne]. Aujourd'hui, la bibliothèque donne sa date entre 870 et 880[5]. Ce manuscrit contient des textes de trois auteurs : Théodulf d'Orléans, évêque Flavius et Bède le Vénérable († 735). Pontifical dédié à saint Pierre, les chercheurs considéraient qu'il était en usage à l'abbaye Saint-Pierre-des-Fossés, bénédictine[5].

De nos jours, l'hymne Gloria, laus est, par la plupart des chercheurs, attribuée à Théodulf, évêque d'Orléans et 14e supérieur de l'abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire[6]. Il est à noter que, dans les archives, cette attribution était donnée tardivement et singulièrement auprès de l'ordre de saint Benoît. Pour conclure, il vaux mieux trouver un manuscrit plus ancien[7]. Quoi qu'il en soit, cette hymne de qualité avec dix-huit strophes indique que l'auteur doit être l'un des savants de cette époque-là, tel Théodulf d'Orléans.

Livres de chant grégorien les plus anciens

L'hymne se trouve dans le fonds ancien du chant grégorien authentique. Ainsi, elle était copiée vers 965 sur folio 381 du manuscrit Einsiedeln 121 avec rubrique Versus Thiotolfi (Théodulf d'Orléans)[jp 3] . Il s'agit du graduel grégorien le plus ancien, qui est complet, neumé et conservé. La bibliothèque d'État de Bamberg aussi possède un manuscrit ancien, issu de l'abbaye de Saint-Gall et daté entre 900 et 973 avec rubrique Versus Tieotolfi[jp 3]. L'usage en grégorien était établi, au Xe siècle, dans la région suisse[jp 3]. On s'aperçoit que, dans ces manuscrits, l'hymne était chantée sans refrain, tout comme un psaume sans antiennes[jp 3]. Authentique, car, sans refrain, la mélodie respecte le rythme verbal et se varie délicatement d'après le texte (à savoir chant en prose)[jp 3].

Il faut remarquer encore que les transcriptions publiées en 1895 par Dom Joseph Pothier n'employaient pas de quilisma [jp 2] alors que la partition qui est actuellement en usage se caractérise de son irrégularité de ce neume (le quilisma s'employait en général pour le sommet de la mélodie ou les mots les plus importants ; la version actuelle attribue ce neume aux mots moins importants ou aux syllabes non accentuées, hormis Rex dans la cinquième strophe, ce qui ne conforme pas le chant grégorien authentique). Le sujet reste important pour identifier l'origine de cette hymne.

En résumé, cette version était, à l'origine, un chant grégorien authentique et banal, mais sans refrain, même s'il était sans doute un chant de procession. De surcroît, selon Dom Pothier, le double-chœur en chantait en alternance[jp 3]. Puis celui-ci fut déformé et transformé en chant en refrain.

De 18 strophes à 6 strophes

Un autre document parmi les manuscrits les plus anciens, celui de la British Library Add. 19768, indique la transition du prototype à la version actuelle. Copié sans doute au milieu du Xe siècle à Mayence, pour l'abbaye Saint-Alban, l'un des monastères bénédictins les plus importants de l'époque, le texte de ce manuscrit compte dix-huit strophes. Toutefois, le copiste ne écrivit la notation que pour six premières strophes, exactement texte actuel[3]. Dorénavant, la composition originelle tomba dans l'oubli.

Chant vieux-romain

Dans l'optique d'identifier l'origine de cette hymne, un manuscrit reste énigmatique. Il s'agit du dit Graduel de Sainte-Cécile de Transtevere, copié à Rome en 1071 (folio 69v, Gloria laus et honor [manuscrit en ligne]). Manuscrit découvert au milieu du XXe siècle, les chercheurs trouvèrent qu'il s'agissait d'un livre de chant vieux-romain, pratiqué singulièrement au Vatican jusqu'au début du XIIIe siècle. Ce qui reste certain est donc qu'au XIe siècle, l'hymne était chantée au Saint-Siège avec cette version, au dimanche des Rameaux. Le problème, c'est que l'origine du chant vieux-romain est antérieure à celle du chant grégorien qui était pratiqué en Gaulle à partir du VIIIe siècle. Manque de manuscrit plus ancien, on ignore si l'hymne était tardivement ajoutée dans le répertoire du vieux-romain, ou à l'origine dans son fonds ancien. Au contraire des manuscrits du chant grégorien, la rubrique manque du nom de Théodulf d'Orléans.

Le texte comptait huit strophes au lieu de cinq (identiques aux huit premières du manuscrit Pontifical). À la différence du chant grégorien ancien, le manuscrit présente son exécution en refrain. Et le refrain ne se composait que d'un seul verset Gloria, laus et honor tibi sit, Rex Christe, Redemtor. Normalement, le texte du chant vieux-romain était plus long en faveur des célébrations papales, ce qui n'était pas adapté aux paroisses dans l'empire carolingien. Souvent, le compositeur du chant grégorien coupait le texte originel. Cela est exactement le cas de Gloria, laus. Ce texte plus long adaptait à la procession plus solennelle au Vatican.

Quelle que soit l'origine, le manuscrit manifeste qu'au XIe siècle, la pratique de cette hymne était tout à fait dans le rite romain. Il faut que l'auteur fût étroitement lié à Rome et c'était le cas de Théodulf.

Deux manuscrits issus de Fleury

Cette hymne devint d'abord tradition bénédictine. En rendent hommage à leur 14e abbé Théodulf, les moines du monastère de Fleury promurent cette tradition par écriture.

L'attribution de l'auteur à Théodulf d'Orléans dans les écritures apparut plus tardivement que les notations. D'une part, le manuscrit latin 1720 de la bibliothèque nationale de France contient la première strophe de l'hymne [jb 1]. Selon la bibliothèque, ce document date entre 1075 et 1100 et est attribué à l'abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire, dite de Fleury. Le texte se trouve dans le catalogue des abbés de Fleury[8],[jb 1]. Une autre source est un manuscrit copié au XIIe siècle duquel l'auteur était Hugo Floriacensis († sans doute vers 1120), moine bénédictin de la même abbaye. Dans sa Historia ecclesiastica, lui aussi mentionnait le nom de Théodulf et la première strophe de Gloria, laus [jb 2] (bibliothèque nationale de France, manuscrit latin 13701). Or, tous les deux manuscrits ne citaient que la première strophe. Il est évident qu'ils ont la même source[jb 3]. Et le premier manuscrit raconte qu' « il [Théodulf] chanta ces très beaux vers, qu'il avait lui-même composés, qui aujourd'hui [vers 1100] sont récités à travers toute la Gaule par les ecclésiastiques, et qui débutent ainsi : Gloria ... »[jb 4].

Il est par ailleurs à noter que tous les manuscrits qui concernent Théodulf, musicaux et historiques, sont issus des abbayes bénédictines.

Bulle de Boniface VIII pour la canonisation de Louis IX

Hymne célèbre, le pape Boniface VIII fit intituler l'incipit d'un des ses bulles Gloria laus et honor , en faveur de Louis IX. En fait, le Saint-Père avait dénoncé un sermon Reddite quæ sunt Cæsaris Cæsari et quæ sunt Dei Deo à Orvieto le 4 août 1297, en mentionnant la vertue de Louis IX, qui accéda du royaume terrestre de France au royaume éternel de gloire. Puis le 11 août, Boniface VIII déclara, à l'église des Frères Mineurs d'Orvieto, par son seconde sermon, Très saint roi Louis. Aussitôt, la bulle Gloria laus fut rédigée par la chancellerie pontificale[9].

Composition musicale

Dans le contexte musical, l'hymne Gloria, laus et honor avait une particularité. Après que la pratique en monodie avait été établie, il existait peu de composition polyphonique, mais, entre 1400 et 1550 singulièrement, plusieurs compositeurs de la Renaissance prirent ce texte pour leur œuvre, ce qui reste rare dans l'histoire de la musique sacrée. La modification de mélodie se commença, au XVe siècle, dans les livres des franciscains[jp 1]. Puis, ceux qui défigurèrent le chant monodique étaient des musiciens flamands, espagnols, anglais. Il faut remarquer, parmi eux, deux musiciens qui étaient étroitement liés au Vatican. Antonio Zacara da Teramo († 1413), dont l'œuvre reste la plus ancienne, laissa une pièce très particulière dans laquelle le chœur chantait trois textes, Patrem omnipotentem du Credo, Et in terra pax du Gloria et Gloria Laus Honor[10]. Celle-ci se trouve tant dans plusieurs manuscrits italiens que ceux de l'Espagne et de la Pologne. Un manuscrit de Rome contient une œuvre Gloria laus et honor copiée par Ghiselin Danckerts († 1565)[11]. Si le compositeur restait anonyme, l'analyse de l'écriture attribue ces folios 5v et 6 à la main de Danckerts. Il est très probable que cette copie était effectuée pour l'exécution auprès du Vatican. Lorsqu'il fournit ce manuscrit, il était en service à la chapelle Sixtine[12]. Manque d'études, il n'est pas certain que ces œuvres fussent réservées au dimanche des Rameaux.

Dans la liste, Gilles Binchois († 1460) était le compositeur le plus important et celui d'une des compositions les plus anciennes de Gloria, laus. L'absence des œuvres tardives suggèrent qu'il y aurait eu un changement de la liturgie, par exemple celui qui suivit la Contre-Réforme. Il est douteux que Giovanni Pierluigi da Palestrina eût composé son œuvre, malgré la publication de Franz Xaver Haberl effectuée en 1907 dans le cadre du mouvement cécilien.

À partir de la musique baroque, cette hymne connut peu de composition en polyphonie. Elle n'intéressa aucun grand compositeur, à l'exception de Niccolò Antonio Zingarelli († 1837). Toujours pour la procession du dimanche des Rameaux, un peu de maîtres de chapelle composèrent leur œuvre, y compris Esteban Salas, compositeur cubain, afin de remplacer le chant monodique qui reste toujours en usage.

Reforme liturgique de Pie X

Élu pape en 1903, saint Pie X effectua une immense reforme liturgique avec l'Édition Vaticane. Aussi, en 1908, à la suite de la publication de son graduale romanum, l'usage de la Gloria, laus et honor devint-il obligatoire pour le dimanche des Rameaux, au sein de toutes les églises catholiques[13].

Usage liturgique

Parfaitement adaptée à la liturgie du dimanche des Rameaux, cette hymne est toujours réservée à la procession d'acclamation au moment du 1er Évangile, dans la célébration en forme extraordinaire[14]. Le Graduale novum, publication officielle du Vatican, contient cette hymne dans le tome I sorti en 2011, à la page 99[1].

Paraphrase

Tardivement, les fidèles catholiques germanophones effectuaient leur procession en langue allemande. Un exemple se trouve dans un livre de chant sorti à Vienne en 1773, dont l'incipit Lob und Ehre sei dir était différent de la version protestante. En 1810, le prêtre allemand Christoph Bernhard Verspoell aussi publia sa version dans le recueil Gesänge beim Römischkatholischen Gottesdienste (Chant pour la liturgie catholique romaine).

Dans d'autres traditions

Celle-ci fut traduit, et est toujours en usage dans des cérémonies anglicanes sous le titre All Glory, Laud and Honour[15], ainsi que dans les offices luthériens en plusieurs langues, comme en allemand Rhum, Preis und Ehre[16]. L'utilisation pour le dimanche des Rameaux se maintiennent chez ces églises.

Mise en musique

À la Renaissance

Musique baroque

  • Juan García de Salazar (1639 - † 1710) : hymne à 8 voix In Dominica Palmarum, dans le manuscrit 1/34 de la cathédrale de Zamora[27]
  • Esteban Salas (1725 - † 1803) : hymne de la procession du dimanche des Rameaux à 3 voix avec instruments[28]
  • Niccolò Antonio Zingarelli (1752 - † 1837) : hymne à 3 voix et basse continue[29]

Musique classique

  • Diego Llorente y Sola (170... - † 1836) : hymne pour la procession du dimanche des Rameaux à 4 voix, manuscrit 56-19 de la cathédrale de Huesca[30]

Attribution par erreur

Voir aussi

Liens externes

Notices

  • Académie de chant grégorien (Belgique) :

Rite romain avant la réforme tridentine

  • Missale romanum peroptime ordinatu, 1507 [lire en ligne] (folios LX - LXI)
  • Missale Romanum nunc quidem, Apud Juntas, Venise 1558 [lire en ligne] (folios 64r - 64v, voir page suivante en ligne)

Publication de texte

  • Jacques Sirmond, Theodvlfi Avrelianensis episcopi opera, p. 170 - 172 (en 39 strophes, sans présenter la source, vraisemblablement paraphrase) [lire en ligne]

Références bibliographiques

  1. p.  117
  2. p. 115 et 117
  3. p.  116
  • Jean-Paul Bouhot, Les explications catéchistiques attribuées à Théodulfe d'Orléans, dans la Revue d'histoire des textes, tome II, p. 299 - 318, 2007 [lire en ligne]
  1. p. 303 - 306 (texte latin et traduction française de la liste des abbés)
  2. p. 307, note n° 23 (transcription)
  3. p.  307
  4. p.  306

Notes et références

  1. Académie de chant grégorien
  2. Liturgie latine. Mélodies grégoriennes, Solesmes, Abbaye Saint-Pierre, , 136 p. (ISBN 2852742527), pp. 90-91
  3. Henry Parkes, The Making of Liturgy in the Ottonian Church, p. 76, Cambridge University Press 2015 (en)
  4. Enimie Rouquette (Sorbonne Nouvelle Paris 3), Édition critique et commentée de l'œuvre poétique de Théodule d'Orléans, consulté en ligne le 17 septembre 2021 ; spécialiste de l'hymne Gloria, laus, elle présentera, le 2 octobre 2021, dans le colloque Un tombeau de papier pour Théodore d'Orléan, sa présentation L'insertion de l'hymne Gloria, laus et honor dans la liturgie .
  5. Notice Bnf
  6. Par exemple, le Dictionnaire de la Musique de Michel Huglo, p. 476, 1976 .
  7. La bibliothèque nationale de France ne donne pas cette attribution dans la notice de Théodulf d'Orléans, mais uniquement dans celle de Gloria, laus de Gilles Binchois (« Texte de Théodulfe d'Orléans, Analecta hymnica »).
  8. Notice Bnf
  9. Louis Carolus-Barré, Les enquêtes pour la canonisation de saint Louis, 1971
  10. Université d'Oxford
  11. Université d'Oxford
  12. Université d'Oxford
  13. Graduale romanum, 1908, Dominica in Palmis p. 151 - 152
  14. Service national de la pastorale liturgique et sacramentelle (Conférence des évêques de France)
  15. Traduction de John Mason Neale (XIXe siècle) (en)
  16. Therese Bruggisser-Lanker, Musik und Liturgie im Kloster St. Gallen, p. 181, note n° 3 (de)
  17. Notice Bnf
  18. Université d'Oxford
  19. Université d'Oxford
  20. Université d'Oxford
  21. Université d'Oxford
  22. Université d'Oxford
  23. Notice Bnf
  24. Université d'Oxford
  25. Université d'Oxford
  26. Université d'Oxford
  27. Notice Bnf
  28. Notice Bnf
  29. Notice Bnf
  30. Notice Bnf
  31. Ainsi, le site DIAMM (Université d'Oxford) ne donne aucune notice à Palestrina.

Bibliographie

  • À Lendru, Théodulfe, évêque d'Orléans et l'hymne Gloria, laus. La procession des Rameaux, in: La Province du Maine, no 6, 1926, p. 60–72.
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