Garéoult

Garéoult (la désinence « lt » pouvant se prononcer ou pas) est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle fait partie de l'intercommunalité de la communauté d'agglomération de la Provence Verte. Les premiers habitants (gallo-romains) baptisèrent ce village « Gardia Altissima » ce qui signifie « la sentinelle la plus haute »[1].

Garéoult

Mairie de Garéoult.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Provence Verte
Maire
Mandat
Gérard Fabre
2020-2026
Code postal 83136
Code commune 83064
Démographie
Gentilé Garéoultais
Population
municipale
5 310 hab. (2018 )
Densité 337 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 19′ 42″ nord, 6° 02′ 44″ est
Altitude Min. 295 m
Max. 659 m
Superficie 15,75 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Garéoult
(ville isolée)
Aire d'attraction Toulon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Garéoult
(bureau centralisateur)
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Garéoult
Géolocalisation sur la carte : Var
Garéoult
Géolocalisation sur la carte : France
Garéoult
Géolocalisation sur la carte : France
Garéoult
Liens
Site web http://www.gareoult.fr

    Géographie

    Situation

    Garéoult est un gros village de la communauté d'agglomération de la Provence Verte[Note 1], dans le centre Var entre mer et collines, placé au centre d'une plaine préservée, dont l'altitude moyenne est de 320 mètres, qui est traversée par l'Issole affluent du Caramy. Il n'est pas situé au bord même de la rivière, mais un peu à l'écart comme beaucoup de villages provençaux.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Garéoult se situe au sud-est de la montagne de la Loube, dans le prolongement de la chaîne de la Sainte-Baume. Le sol présente des couches sédimentaires calcaires orientées vers le sud, façonnant le paysage actuel des collines sud-provençales.

    Le nord de la commune est une zone collinaire, ceinturée à l'ouest par la barre des Chaberts avec son culmen (659 m), et au nord par le vallon de Cavaillon. Au milieu de ces collines, se trouve le vallon Mourreut. Le sud du territoire communal est représenté par une plaine qui se caractérise par un petit parcellaire fortement planté de vignes.
    Entre les deux, se situe la zone urbanisée de Garéoult.

    Hydrographie

    L'Issole est le principal cours d'eau. Long de 46,4 km, il traverse d'ouest en est, sur près de 4,8 km, le sud de la commune où il reçoit les eaux de deux affluents : le ruisseau du Cendrier[2], le ruisseau de la Source de Trian[3] et le ruisseau de la Pességuière[4].

    La commune bénéficie aussi de la présence de plusieurs sources au nord du village. Ce sont les sources de Saint-Martin, de Saint-Médard et de la Clastre.

    Climat et végétation

    Le climat est de type mésoméditerranéen. Les pluies et vents (mistral) sont parfois violents.

    Dans le secteur septentrional, flanqué sous la barre des Chaberts, se trouve le bois communal de Garéoult, un massif boisé d'environ 700 ha, composé essentiellement de chênes blancs et de pins sylvestres. La zone urbanisée occupe le centre communal. Le secteur méridional est occupé par des vignes sur environ 500 ha, dont la majorité est classée AOP Coteaux-varois-en-provence.

    Accès routiers

    Plusieurs routes donnent l'accès au village de Garéoult :

    • de l'ouest, la route D 64 venant de La Roquebrussanne ;
    • de l'est, la route D 554 reliée à la D 43 à Forcalqueiret ;
    • du sud-est la route D 81 arrivant de Rocbaron ;
    • du sud la route D 268 faisant jonction avec la D 68 ;
    • du sud-ouest la D 554 depuis sa jonction avec la D 5

    Transports

    Routiers

    Six lignes de bus du Réseau Varlib (Réseau de transport du Var) desservent Garéoult qui est ainsi reliée aux principales villes du Var : Toulon, Brignole, Cuers, Saint-Maximin, La Roquebrussane, etc.[5].

    Ferroviaires

    Garéoult est distant de 40 km de la gare de Toulon desservie par des TGV, et de 70 km de la gare TGV d'Aix-en-Provence.

    Aériens

    L'aéroport le plus proche est celui de Toulon-Hyères, situé à 40 km. L'aéroport de Marseille Provence est distant de 90 km et celui de Nice-Côte d'Azur de 130 km.

    Urbanisme

    Typologie

    Garéoult est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Garéoult, une unité urbaine monocommunale[9] de 5 330 habitants en 2017, constituant une ville isolée[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

    La zone urbanisée occupe le secteur central de la commune. Au sud de la zone, se situe le centre-ville avec la mairie, l'église paroissiale, les établissements d'enseignement (école maternelle Chabaud, école élémentaire Pierre-Brossolette, collège Guy-de-Maupassant), la crèche, le siège de la police municipale, le bureau de la Poste, etc. Le nord du centre-ville s'est fortement développé ces dernières décennies, avec la création de très nombreux lots de maisons individuelles.

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme, approuvé le 26 août 2019[14].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (35,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (41,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,1 %), zones urbanisées (31,5 %), cultures permanentes (22,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].

    Toponymie

    Garéoult s'écrit en provençal Gareut selon la norme classique et Garéut selon la norme mistralienne (prononcé [gaˈɾew] ou [gaˈʀew]).

    Histoire

    Antiquité

    90 sépultures ont été découvertes lors de campagnes de fouilles en 1988. Certaines d'entre elles dateraient de l'époque gallo-romaine. D'autres, plus récentes, dateraient du Moyen Âge.

    Moyen Âge

    Le site était occupé à la fin du Moyen Âge comme en atteste son four banal daté antérieur à 1500 ou encore les vestiges découverts lors des fouilles de 1988[17].

    Temps modernes

    • 1789, la municipalité appartenait au royaume de France.
    • le nom porté sur la carte de Cassini de 1781 est Gareoult ou Gar*eoult (la lettre centrale, si elle existe, est peu visible)[18].
    • 1793 (an II), la municipalité de Gareoud se trouvait dans le canton de Gareoud, dans le district de Brignoles, dans le département du Var.
    • 1801, au bulletin des Lois, la commune se nomme Garcoult. Elle se trouve dans le canton de La Roque-Brassane (La Roquebrussanne), dans l'arrondissement de Brignolles (Brignoles), département du Var.
    • 1854 - En août, une épidémie de choléra fait 70 victimes en 25 jours[19].

    Époque contemporaine

    • 1926, Garéoult bascule dans l'arrondissement de Toulon.
    • 1974, Garéoult retourne dans l'arrondissement de Brignolles (Brignoles)[20]

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 avril 1954
    [réf. nécessaire]
    Georges Gueit[21] SFIO Propriétaire
    Président de la délégation municipale
    Élu en 1945, réélu en 1947 et 1953
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1959 1991 Paul Émeric[22],[23] SFIO puis PS
    puis DVG
    Ingénieur
    Conseiller général du canton de La Roquebrussanne (1964 → 1994)
    Suppléant du député Pierre Gaudin (1962 → ?)
    1991 mars 2001 Jean-Louis Bosio[24]   Agent de maîtrise
    mars 2001 février 2005[25] Michel Laffineur RPR puis UMP  
    février 2005[25] en cours Gérard Fabre UMP-LR Capitaine de frégate honoraire
    Conseiller général du canton de La Roquebrussanne (1994 → 2008)
    2e vice-président de la CA de la Provence Verte (2018 → )
    Réélu en 2008, 2014 et 2020

    Budget et fiscalité 2019

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[26] :

    • total des produits de fonctionnement : 5 947 000 , soit 1 092  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 6 291 000 , soit 1 155  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 1 304 000 , soit 239  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 1 336 000 , soit 245  par habitant.
    • endettement : 5 491 000 , soit 1 008  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 12,21 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 22,52 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 95,90 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 780 [27].

    Population et société

    La Maison de Garéoult.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

    En 2018, la commune comptait 5 310 habitants[Note 4], en diminution de 2,07 % par rapport à 2013 (Var : +3,8 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7157827689539911 0519629961 001
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9911 0831 1061 1121 104742684736740
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    798697625564568582672637619
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    6747111 0511 8493 4324 8825 4355 5145 592
    2013 2018 - - - - - - -
    5 4225 310-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Évolution de la pyramide des âges. Recensement de l'INSEE 2012[32] :

    Pyramide des âges en 2012 en nombre d'individus.
    HommesClasse d’âgeFemmes
    139 
    80 et plus
    211 
    254 
    70 à 79
    307 
    509 
    60 à 69
    494 
    399 
    50 à 59
    446 
    376 
    40 à 49
    404 
    224 
    30 à 39
    237 
    234 
    20 à 29
    156 
    349 
    10 à 19
    317 
    204 
    moins de 10
    228 

    Enseignement

    Établissements d'enseignement situés dans l'Académie de Nice:

    • École maternelle et primaire à Garéoult[33].
    • Collège à Garéoult[34].
    • Lycées à Brignoles et Cuers.

    Santé

    Professionnels de santé sur la commune[35] :

    • Infirmiers, sage-femmes,
    • médecins généralistes,
    • dentiste.

    Centres hospitaliers à Brignoles, Draguignan, Toulon[36].

    Cultes

    Culte catholique, diocèse de Fréjus-Toulon[37].

    Économie

    Agriculture

    Le marché du mardi.

    Commerces

    • Commerces de proximité[39].

    Tourisme

    Le Pays de la Provence Verte, dont la commune est membre, a obtenu le label « Pays d’art et d’histoire ». Sur ce territoire, les richesses à découvrir sont liées à la nature, à la culture et aux traditions.

    Culture locale et patrimoine

    Église paroissiale Saint-Étienne

    Intérieur de l'église Saint-Étienne.

    L'église Saint-Étienne, de style roman, a été construite entre 1045 et 1048. Cette église est surmontée d'un campanile en fer forgé provençal de type ornemental construit en 1842[42]. L'église a été détruite en partie puis reconstruite avec les pierres d'origine en 1848.

    'édifice religieux renferme quinze œuvres classées : six statues et bustes, quatre tableaux, deux cloches[43],[44], la chaire à prêcher, un plat à quêter, et l'ensemble autel, retable, tableau : saint Pons, saint Éloi et saint Antoine[45].

    Chapelle Saint-Félix

    Chapelle Saint-Félix.

    L'édifice religieux a été construit en 1885 sur le coteau de Saint-Médard, proche du cimetière. Érigée par les habitants, elle est dédiée à saint Félix, protecteur de Garéoult, qui en par un miracle sauva la population du choléra. La chapelle a été restaurée en 2011[46].

    Tous les 1ers dimanches de septembre une procession a lieu vers cette chapelle.

    Le monument aux morts

    Le monument aux morts de 1921[47],[48],[49],[50].

    Coopérative vinicole La Garéoultaise, actuellement Le Cellier Provençal

    La coopérative vinicole construite au début du XXe siècle, est en bon état de conservation. Elle est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel[51].

    La nécropole Louis Cauvin

    C'est en creusant leur piscine, en 1988 que des Garéoultais résidant dans la rue Louis-Cauvin, ont mis au jour des vestiges anciens. Ils ont fait appel à des archéologues[52]. Grâce aux fouilles qui ont été organisées, 90 sépultures ont été découvertes. Après les avoir étudiées, il s'avérait que les plus anciennes dataient de l'époque gallo-romaine et les plus récentes du Moyen Âge. On peut donc être sûr qu'au Ier siècle il y avait déjà des habitants à l'emplacement actuel du village.

    La nécropole « Louis Cauvin »[53] est un musée où l'on peut voir :

    • une sépulture du Ier siècle de notre ère ;
    • des objets de la vie quotidienne gallo-romaine en terre cuite ;
    • neuf panneaux illustrés qui donnent des explications sur les fouilles et les rites funéraires à travers le temps.

    Le moulin à huile

    Vers 1500, un moulin à huile actionné par des animaux a été construit au centre du village. Le fonctionnement de ce moulin s'est arrêté en 1956 à la suite du gel des oliviers situés sur la commune. Le moulin est resté exactement dans l'état où il était[54].

    Les fontaines

    On trouve neuf fontaines[55] dans le village alimentées par la source Saint Médard. La plus ancienne de ces fontaines, la fontaine des 4-Saisons[56], fut construite avant 1745. Elle a été restaurée en l'an 2000 par le tailleur de pierre du village. Elle possède une forme de poignard pour montrer la puissance du seigneur. Ses quatre visages sculptés en marbre blanc représentent les quatre saisons. Elle donne un vrai style provençal à la place de la mairie, ombragée par des platanes plusieurs fois centenaires.

    Le four banal

    Son nom vient de la taxe, « le ban », que les habitants du village devaient payer au seigneur pour aller faire cuire leurs pains. Le four banal du village a plus de 500 ans[57].

    À l'heure actuelle deux fournées par an sont réalisées, à la Noël et à la Saint-Jean.

    La fresque

    La fresque, au centre du village, réalisée par deux associations d'artistes peintres : Les Craies d'art et l'Association des Arts plastiques de Garéoult[58].

    Patrimoine naturel

    Deux dolines existent à la sortie ouest du village : le Grand Laoucien et le Petit Laoucien[59],[60].

    ZNIEFF

    Garéoult est concernée par trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de 2e génération :

    Montagne de la Loube

    La zone, un espace forestier ayant conservé un aspect sauvage, couvre une superficie de 4 001 ha de six communes. La montagne de la Loube présente 25 km de sites dolomitiques ruiniformes très pittoresques entrecoupés de larges vallons, de ravins (ravin des Orris), de défilés (défilé de l'Amaron)[61].

    Plaine de la Roquebrussanne

    La zone couvre une superficie de 1 641 ha concernant cinq communes : Garéoult, Méounes-lès-Montrieux, Néoules, Rocbaron et La Roquebrussanne. Elle s'étend sur toute une dépression séparée par le plateau d'Agnis, la Loube, les barres de Cuers, entre les villages de La Roquebrussanne, de Garéoult et de Néoules. Issue d'une déchirure au Trias, elle a été colmatée par des alluvions quaternaires. Il s'agit d'une plaine agricole culminant autour de 320 m, soit dans l'étage climatique du mésoméditerranéen[62].

    Ripisylves et annexes de la vallée de l'Issole et du Caramy

    La zone couvre une superficie de 649 ha concernant quinze communes. L’issole et le Caramy prennent tous deux leur source sur les contreforts du Moure d’Agnis. Après avoir contourné la Montagne de la Loube, l’un par le nord , l’autre par le sud, les deux cours d’eau se rejoignent à la retenue de Carcès. Durant leurs trajets respectifs, les deux rivières traversent des territoires essentiellement agricoles[63].

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Ecial, écrivain[64]. Il a écrit plusieurs ouvrages, notamment, pour ce qui est de Garéoult : Garigoule : étude géophysique des environs de Garéoult aux éditions « Les Presses Littéraires », 2002[65].
    • Claude Muras, artiste peintre[66].

    Héraldique

    Blason
    D'argent à la plante de sinople fleurie d’or (site de la commune)[67].
    Détails
    Alias
    Alias du blason de Garéoult
    D'argent à la plante de sinople (D'Hozier et Louis de Bresc).
    La plante représentée est le garou ou sainbois (Daphne gnidium)
    Ce blason a été enregistré avant 1696.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. La Provence verte est une dénomination de l'Office du Tourisme
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Toponimia-signa / Toponymie Signes sud Sainte-Baume : Répertoire toponymique ».
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau du Cendrier (Y5100640) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de la Source de Trian (Y5101300) » (consulté le ).
    4. L'eau dans la commune
    5. Réseau Varlib sur le net
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 de Garéoult », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur insee.fr (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Plan local d'urbanisme
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    17. Four banal
    18. César-François Cassini de Thuryl, « Carte générale de la France : Lorgues (feuillet 155) ».
    19. Panneau d'information sur la chapelle Saint-Félix
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Garéoult », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    21. La fiche biographique de GUEIT Georges, Auguste, Joseph sur le Maitron en ligne
    22. La fiche biographique de Paul Emeric sur le site du Who's Who
    23. Espace souvenirs de Paul Émeric, avis paru dans Var-Matin le 16 novembre 2013.
    24. « Garéoult : l'ancien maire Jean-Louis Bosio s'est éteint », Var-Matin, (lire en ligne).
    25. Une élection municipale partielle est organisée les 20 et 27 février 2005 après la mise en minorité de Michel Laffineur, ce dernier est battu à l'issue du second tour avec 39,2% des voix contre 46,7% pour Gérard Fabre (UMP) et 14,2% pour Bernard Fontaine (PS). [PDF]
    26. Les comptes de la commune
    27. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. Recensement de l'INSEE en 2012 - .
    33. École élémentaire
    34. Professionnels de santé
    35. Hôpitaux et cliniques
    36. Garéoult (Paroisses du Plateau de l'Issole)
    37. Le terroir
    38. Commerces de proximité
    39. Hébergements
    40. Rstauration
    41. Le campanile de l'église Saint Étienne
    42. Notice no PM83000327, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1511
    43. Notice no PM83000328, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1606
    44. Liste des œuvres classées dans la base Palissy
    45. L'histoire de la Chapelle Saint Félix
    46. Le monument aux morts de la commune
    47. Conflits commémorés : 1914-18 ; 1939-45 ; Indochine (46-54)
    48. Historique, selon l'historien Jean Gavot
    49. Monuments aux morts du Var : Garéoult
    50. Notice no IA83001341, base Mérimée, ministère français de la Culture Enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
    51. La nécropole gallo romaine et médiévale de la rue Louis Cauvin à Gareoult
    52. Nécropole Louis Cauvin
    53. Le moulin
    54. les 9 fontaines datent du XIXe siècle, à l’exception de celle des quatre saisons
    55. La fontaine des Quatre-saisons
    56. Fête du pain, journée du four banal
    57. Les fresques dans le village
    58. Le Grand et le Petit Laoucien
    59. Un phénomène naturel exceptionnel : les lacs du Laoucien, par P. COURBON (Spéléo-Club de Sanary)
    60. ZNIEFF 930012482 - Montagne de la Loube sur le site de l’INPN..
    61. ZNIEFF 930020279 - Plaine de la Roquebrussanne sur le site de l’INPN..
    62. ZNIEFF 930020255 - Ripisylves et annexes de la vallée de L'Issole et du Caramy sur le site de l’INPN..
    63. Louis Ecial : pseudonyme individuel
    64. Garigoule étude géophysique des environs de Garéoult Var
    65. Claude Muras, artiste peintre
    66. Val d'Issole : Garéoult , Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
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