Ganac

Ganac est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie.

Ganac

Le village depuis la route de Micou.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Foix
Intercommunalité Communauté d'agglomération Pays Foix-Varilhes
Maire
Mandat
Pierre Ville
2020-2026
Code postal 09000
Code commune 09130
Démographie
Gentilé Ganacois
Population
municipale
731 hab. (2018 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 56′ 52″ nord, 1° 33′ 49″ est
Altitude Min. 420 m
Max. 1 606 m
Superficie 20,19 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Foix
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Foix
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Ganac
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Ganac
Géolocalisation sur la carte : France
Ganac
Géolocalisation sur la carte : France
Ganac

    Ses habitants sont appelés les Ganacois et/ ou les Granoutaïres (référence aux grenouilles en occitan, qui sont l'emblème de la commune).[réf. nécessaire]

    Géographie

    Localisation

    Commune des Pyrénées située dans l'aire urbaine de Foix dans la vallée de la Barguillière, à km à l'ouest de Foix, au pied du Prat d'Albis. Ganac fait partie du Parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.

    Accès

    Le village se trouve sur la RD 21 qui est l'axe principal qui dessert la commune entre Foix (depuis l'avenue Lakanal puis l'avenue de Cadirac) et Brassac. Le chemin de Malet dessert le hameau de Becq avant de rejoindre la D 21.

    Hydrographie

    Les ruisseaux de Couers, du Calmil, de Camp Andrieu, de Lacassagne, de Ganac, de Becq, de l'Escaudogats et l'Arget sont les principaux cours d'eau parcourant la commune.

    Communes limitrophes

    Vue du hameau de Lacassagne depuis le Pape.
    Carte de la commune de Ganac et des proches communes.

    Hameaux et lieux-dits

    La fontaine du hameau de Lacassagne.

    Les principaux hameaux sont Becq, Bourrut, Carrigas, la Bounague, Lacassagne, Soulié, la Tour, le Bernet, Majoural, Micou, les Reillous, le village et Pey Jouan...

    Certains lieux-dits étaient autrefois des fermes ou des métairies : Malet, le Taussol, Camp-Arnaud, le Château, Montagnères, la Citadelle, Fringuet, Ardigna, la Plaine, le Bernet.

    Le Calmill, la Fruitière, le Moulin de la nation étaient des fruitières.

    La Rochelle, le moulin de Sault, le Martinet de Tourie possédaient des moulins.

    Plusieurs hameaux ou lieux dits possédaient des martinets, clouteries et des forges.

    Le hameau la Forge possédait l'usine des "frères Chausson", une forge, en activité de 1810 jusqu'aux années 1950.

    Géologie et relief

    La commune s'étage sur les pentes du massif de l'Arize, depuis la rivière Arget (420 m) jusqu'à la crête, le point culminant se trouvant à 1 606 m, un peu au-dessus du Bout de Touron (1 490 m), véritable belvédère sur la Barguillière, Foix et la vallée de l'Ariège.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 111 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3]. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7],[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cadarcet », sur la commune de Cadarcet, mise en service en 2000[9]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,8 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 37 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,3 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Ganac est une commune rurale[Note 3],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Foix, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[19] et 12 319 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Foix, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,8 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %), prairies (3,8 %), zones urbanisées (0,8 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    • D'après Lucien Goron, le nom de Ganac viendrait d'un fundi gallo-romain, Gannus.[25]
    • Certains noms de hameaux pourraient venir du nom de défricheurs médiévaux : Becq (un Ramon Becq vivait à Ganac en 1390) et Peyjouan.

    Histoire

    Moyen Age

    En 1111, la villa de Ganac est donnée à l'abbaye Saint-Volusien. Le 8 September 1331, Gaston II, comte de Foix, fait donation à Guillaume de Fresencs de tous ses droits sur Ganac. En 1351, Raymond d'Albi, chevalier et sénéchal du comté de Foix, était coseigneur de Ganac et vassal du comte de Foix. En 1390, le monastère des Salenques obtient une partie de la seigneurie de Ganac. Ainsi, La seigneurie de Ganac est partagée entre seigneurs laïcs et seigneurs issus du clergé. Au milieu du XVe siècle, trois seigneurs se partagent le territoire de Ganac : l'abbaye Saint Volusien, le monastère des Salenques et Savary de Mauléon, héritier de la famille d'Albi ou Albis. Parmi les seigneurs laïcs, plusieurs familles se succèdent jusqu'à la Révolution Française : les familles d'Albis, de Mauléon, de Sers ou Seyre, de Villemur et d'Hautpoul.

    Temps modernes

    À partir de 1636, un seul seigneur demeure à Ganac, Soulan de Sers. Il transmet les terres de Ganac à son gendre Roger de Villemur, époux de sa fille Françoise. Ce couple a une fille, Claire de Villemur, dame de Ganac qui s'unit à la famille d'Hautpoul en épousant, le 10 mai 1694 à Perpignan, Hyacinthe d'Hautpoul[26]. Ce dernier, seigneur de Roquevert et de Saint Just, devient baron de Ganac.

    Pierre Marie Gabriel Hyacinthe d'Hautpoul, né le 31 août 1767 au château de Seyre est le dernier seigneur de Ganac. Il portait les titres de marquis d'Hautpoul, baron de Ganac, Montoulieu, de Prayols et de Saint-Just et seigneur de Seyre et de Roquefort. Le 29 septembre 1795, il épouse Gabrielle de Varagnes de Bélesta et il décède le 7 avril 1807 à Toulouse.

    Après l'autorisation le 28 août 1792 par l’Assemblée nationale législative des visites domiciliaires, le château est pillé le 23 septembre 1792[27].

    Il est acheté en 1808 par Jean Ruffié, puis dès 1868, passe dans les mains de la famille Becq-Lapanton.

    XIXe siècle

    • Vie industrielle : Ganac est une commune qui a été dynamisée par le travail du fer. En 1772, cinq martinets alimentaient 16 boutiques à clous, dont 13 clouteries à Ganac qui employaient 150 personnes en 1864.
    • société de secours mutuel : En 1854 est créée une société de secours mutuel, réservée aux hommes, la société Saint-Jean-Baptiste. Ses rôles étaient d'aider les sociétaires malades, blessés ou infirmes, de participer aux frais funéraires et parfois, distribuer des pensions de retraite.
    • Agriculture et élevage : l'Etat a financé la création de fruitières pour développer la production laitière et fabriquer des fromages. En 1876, la fruitière du Calmil, à 1150 mètres, entre en fonctionnement. Elle devait jouer le rôle d'une fruitière-école mais ce fut un échec en raison de difficultés dans le déplacement des animaux et d'un manque de débouchés pour les fromages produits. L'agrandissement des domaines, la diversification de la production autour du beurre et le jumelage avec une fruitière d' hiver au village, n' ont pas empêché la transformation de l' établissement en ferme d'élevage dès 1886.

    XXe siècle

    42 Ganacois ont perdu la vie pendant la Première Guerre Mondiale.

    Le 31 juillet 1944, une trentaine de miliciens entreprit une expédition contre un maquis dans la région du Prat d'Albis. Ils rentrèrent bredouilles mais ils incendièrent complètement le refuge forestier de la Trabinade et la maison forestière du Calmil. Pour ce dernier bâtiment, l'administration des Eaux et Forêts estimait le montant des dégâts à 63 000 francs 1939.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2008 En cours Pierre Ville PS Retraité
    mars 1974 2008 Maurice Pagès    
    1971 1974 Alexis Bize  
    1953 1971 Amand Donnat  
    1947 1953 Louis Payan  
    1947 1953 Cyrille Marrot  
    1944 1944 Gabriel Durand  
    1935 1944 Ferdinand Nougué  
    1920 1935 Ernest Nougué  
    1913 1920 Osmin Rheuil  
    1876 1913 Séverin Izard  
    1874 1876 Jean-Baptiste Becq  
    1871 1874 Clément Izard  
    1871 1871 Séverin Izard  
    1870 1871 Clément Izard  
    1870 1870 Pierre Becq  
    1848 1870 Laurent Izard  
    1846 1848 Jean Baptiste Soula  
    1835 1846 Laurent Izard  
    1830 1835 Jean Baptiste Soula  
    1828 1830 Laurent Izard  
    1821 1828 Jean Baptiste Soula  
    1816 1821 Raymond Sans  
    1815 1816 Jean Séguéla  
    1806 1815 Jean Baptiste Izard  
    1801 1806 Raymond Nougué  
    1800 1801 Pierre Soula  
    1799 1800 Jérôme Séguéla  
    1798 1799 Jean Pierre Séguéla  
    1798 1798 Pierre Soula  
    1793 1798 Jean Baptiste Izard  
    1792 1793 Pierre Soula  
    Carte Cassini XVIII°s
    Territoire de Ganac au début du XX° s.

    Démographie

    En 1390, Ganac comptait 33.5 feux, soit environ 151 habitants.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29]. En 2018, la commune comptait 731 habitants[Note 5], en augmentation de 5,48 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0181 0351 1961 2781 3881 4711 4221 4611 407
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3071 3761 3791 4031 4371 3351 2211 0861 022
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    992969831704653589519439489
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    437434373496579653668670672
    2013 2018 - - - - - - -
    693731-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Vie locale

    Enseignement

    Ganac a compté jusqu'à cinq écoles, deux à Becq, deux à Ganac et une à Micou.

    Depuis les années 1980, la commune de Ganac est intégrée au sein d'un RPI (regroupement pédagogique intercommunal) qui comprend également les communes de Brassac et Saint Pierre de Rivière. Une nouvelle école, à Ganac, inaugurée en janvier 2008, accueille deux classes : cm1 et cm2.

    Équipements

    • Salle des fêtes.
    • Aire de jeux pour les enfants devant la salle des fêtes.
    • Boîte à lire inaugurée en 2016 face à la mairie[32].
    • terrain de sport (basket ball et handball)
    • terrain d'atterrissage pour parapentes au lieu-dit le pont de la forge. Le Comité départemental de Vol libre a son siège à la mairie, le village se trouvant à proximité du site du Prat d'Albis.
    • Sentiers de randonnées (carte détaillée devant la mairie au village).
    • Boulodrome devant la salle des fêtes.
    • Maison de la chasse.

    Associations

    • Comité des fêtes
    • ACCA
    • Attelages d'Ariège
    • Les Bomberos de Ganac : banda
    • Club informatique
    • Comité départemental de Vol libre : parapente.
    • Country in Ariège
    • Ganac détente sports loisirs : club lecture, club tricot, peinture...
    • Société Saint-Jean-Baptiste.

    Festivités

    • juin, feu de la Saint-Jean
    • fin juillet, fête locale

    Économie

    • épicerie-bar au village.
    • gîtes.
    • éleveurs.

    Arboriculture

    La capelle de Micou[33] est une pomme locale, recensée et protégée par les pomologues[34] . Elle arrive à maturité entre les mois de décembre et mai.

    Lieux et monuments

    Galerie

    Personnalités liées à la commune

    • Famille d'Hautpoul, branche de Seyre qui a fourni les derniers barons de Ganac.
    • Daniel Soula, (1906-2001), né à Ganac au hameau du Vernet, instituteur, député de l'Ariège (SFIO) du 3 mai 1936 au 31 mai 1942.
    • Jean Saurel, (1924-2020), né à Aubervilliers, docteur en sciences physiques, universitaire, président de Paris XIII, recteur de l'académie de Créteil. Originaire de Ganac, membre de la société Saint-Jean Baptiste, Jean Saurel est enterré dans le cimetière de la commune.
    • Claudius de Cap Blanc Jean-Claude Lagarde, artiste, sculpteur né en 1953. A vécu à Ganac à Cap Blanc, grange au dessus du hameau de Micou.
    • Veronica Antonelli (1974), artiste lyrique soprano, ayant vécu de l'âge de 8 ans à 15 ans au lieu-dit la Martine.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Cartes

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Cadarcet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Ganac et Cadarcet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Cadarcet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Ganac et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Foix », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. Lucien Goron, « Un type de vallée prépyrénéenne : la Barguillère (Pyrénées Ariégeoises) », Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest. Sud-Ouest Européen, vol. 2, no 3, , p. 251–316 (DOI 10.3406/rgpso.1931.4019, lire en ligne, consulté le )
    26. J Villain, « La France moderne », sur Gallica, BNF
    27. Damien Franchini, D’une révolution à l’autre : Les mouvements populaires ariègeois (1789-1848), Université Toulouse Jean Jaurès, 2018 - mémoire m2 histoire et civilisations modernes et contemporaines (lire en ligne), pp 19-20
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. « Ganac. La boîte à lire inaugurée », sur ladepeche.fr (consulté le )
    33. « GUIDE DES POMMES - GUIDE OF APPLES - DE MICOU », sur pomologie.com (consulté le )
    34. « La pomologue a du jus », sur ladepeche.fr (consulté le )
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