Esquièze-Sère

Esquièze-Sère est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Sère.

Esquièze-Sère

Le Bastan en limites d'Esquièze-Sère (à gauche) et de Luz-Saint-Sauveur.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Argelès-Gazost
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves
Maire
Mandat
Patrice Vuillaume
2020-2026
Code postal 65120
Code commune 65168
Démographie
Gentilé Esquiézois
Population
municipale
404 hab. (2018 )
Densité 266 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 52′ 36″ nord, 0° 00′ 02″ ouest
Altitude Min. 659 m
Max. 1 126 m
Superficie 1,52 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Luz-Saint-Sauveur
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée des Gaves
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Esquièze-Sère
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Esquièze-Sère
Géolocalisation sur la carte : France
Esquièze-Sère
Géolocalisation sur la carte : France
Esquièze-Sère
    Vue du village sous le Soum de Moustayou.

    Ses habitants sont appelés les Esquiézois.

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Esquièze-Sère se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 40 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à 16 km d'Argelès-Gazost[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Luz-Saint-Sauveur (0,5 km), Esterre (0,7 km), Sassis (1,3 km), Viella (1,3 km), Vizos (1,9 km), Sazos (2,1 km), Viey (2,2 km), Saligos (2,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Esquièze-Sère fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays Toy, qui s'étend sur 43 302 hectares des gorges de Pierrefitte au col du Tourmalet et au cirque de Gavarnie[5],[6].

    Esquièze-Sère est limitrophe de quatre autres communes.

    Carte de la commune d'Esquièze-Sère et des proches communes.
    Communes limitrophes d’Esquièze-Sère[7]
    Saligos
    Sassis Esterre
    Luz-Saint-Sauveur

    Hydrographie

    Le Gave de Pau traverse la commune du sud au nord et forme une partie de la limite ouest avec la commune de Sassis.
    Le Bastan, affluent droit du gave de Gavarnie, traverse les terres de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 246 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Barèges Ville », sur la commune de Barèges, mise en service en 1944[13]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 8,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 235,3 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 34 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 12,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[19].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc National des Pyrénées[Note 4]. Ce parc national, créé en 1967, abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[22],[23],[24].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « gaves de Pau et de Cauterets (et gorge de Cauterets) »[26], d'une superficie de 482 ha, sont un site est localisé sur deux domaines biogéographiques : 42 % pour le domaine atlantique et 58 % pour le domaine alpin. Il sconstituent des réseaux linéaires sélectionnés pour leurs capacités d'accueil du saumon Salmo salar[27].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[28] : le « cours moyen du Gave de Pau (Gave de Luz) et ruisseau de Bastan » (109 ha), couvrant 15 communes du département[29] et le « versant sud du Soum d´Arrouy, du Gave au pic de Barbe » (4 507 ha), couvrant 9 communes du département[30] et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[28] : les « vallées de Barèges et de Luz » (22 843 ha), couvrant 24 communes du département[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Esquièze-Sère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[32],[33],[34]. Elle appartient à l'unité urbaine de Luz-Saint-Sauveur, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[35] et 2 263 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[36],[37]. La commune est en outre hors attraction des villes[38],[39].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33,6 %), zones urbanisées (29,1 %), zones agricoles hétérogènes (22,5 %), forêts (13,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %)[40].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route départementale D918 et par la route départementale D921 (ancienne N21).

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Esquièze-Sère à côté de Luz-Saint-Sauveur
    Le lavoir en 2016.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[41] qui rapporte les dénominations historiques des villages :

    Esquièze

    Dénominations historiques :

    • Ezii Guilhermi de Squisa, latin et gascon (XIIe siècle, cartulaire de Bigorre) ;
    • De Squisa, (XIIe s., cartulaires Bigorre ; 1379, procuration Tarbes) ;
    • De-Squiza, (1313, Debita regi Navarre) ;
    • De Esquisa, (1342, pouillé de Tarbes) ;
    • de-Squiza, (1429, censier de Bigorre) ;
    • Esquieses, (1614, Guillaume Mauran) ;
    • Esquiése, (Larcher, pouillé de Tarbes).

    Nom occitan : Esquiesa.

    Sère

    Dénominations historiques :

    • Bernardus de Cera, latin (1037 ou v. 1040, Livre vert Bénac) ;
    • Cera, latin (XIIe siècle, cartulaire de Bigorre) ;
    • De Sera, (1313, Debita regi Navarre ; 1342, pouillé de Tarbes) ;
    • de Serra, (1342, pouillé de Tarbes) ;
    • Sera, (1429, censier de Bigorre) ;
    • Sere en Barège, (1736-1789, registres paroissiaux) ;
    • Sere en Barège, (1760, Larcher, pouillé de Tarbes) ;
    • Sere, (1790, Département 1 et 2) ;
    • Sère-en-Barège, (1806, Laboulinière).

    Étymologie : du latin cella (= ermitage, petit monastère).

    Nom occitan : Cèra.

    Histoire

    En 1801, Louis-François Ramond relève la culture du froment à Esquièze-Sère[42].

    Les communes d'Esquièze et de Sère-Barèges fusionnent en 1846 sous le nom d'Esquièze-Sère[43].

    Politique et administration

    La mairie en 2018.

    Intercommunalité

    Esquièze-Sère fait partie de la communauté de communes du Pays Toy, créée en avril 1997, qui réunit quinze communes.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2001 avril 2014 Jean-Daniel Morigny    
    avril 2014 en cours Patrice Vuillaume    

    Services publics

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].

    En 2018, la commune comptait 404 habitants[Note 9], en augmentation de 3,59 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    176172194200194207357384413
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    395409433394420413411375358
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    358414417345438411378405562
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    487465503443500464438383398
    2018 - - - - - - - -
    404--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Population et société

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2019[49].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Jean-Baptiste de Sère fait l'objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1914[50].
    • L'église Saint-Nicolas d'Esquièze fait l'objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis 1979[51].
    • La fontaine de la place de l'Arole.
    • La grande maison blanche de la place de l'Arole construite en 1818 par Bernard Verges. Elle eut un rôle majeur dans le commerce de mules avec l'Espagne.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent à une tour de sable sur une terrasse de sinople, accostée de deux sapins du même, surmontée d'une croisette aussi de sable accostée de deux soleils du même.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Esquièze-Sère », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Esquièze-Sère et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Esquièze-Sère et Argelès-Gazost », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches d'Esquièze-Sère », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Hautes-Pyrénées de plaines en vallées, Éditions de Plaines en Vallées, janvier 2007 (ISBN 2-9528222-0-4)
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Barèges Ville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Esquièze-Sère et Barèges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Barèges Ville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Esquièze-Sère et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    28. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Esquièze-Sère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    42. Louis-François Ramond - Voyages au Mont-Perdu et dans la partie adjacente des Hautes-Pyrénées - Lire en ligne
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Esquièze-Sère », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
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    46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    49. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    50. « Église de Sère », notice no PA00095371, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 22 juin 2012.
    51. « Église d'Esquièze », notice no PA00095370, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 22 juin 2012.
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