Diffembach-lès-Hellimer

Diffembach-lès-Hellimer est une commune française située dans le département de la Moselle et le bassin de vie de la Moselle-est, en région Grand Est.

Ne doit pas être confondu avec Dieffenbach ou Tieffenbach.

Diffembach-lès-Hellimer

L'orgue Verschneider
de l'église Saint-François-de-Sales.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Forbach-Boulay-Moselle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint-Avold Synergie
Maire
Mandat
Suzanne Busdon
2020-2026
Code postal 57660
Code commune 57178
Démographie
Gentilé Diffembachois et Diffembachoises
Population
municipale
349 hab. (2018 )
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 00′ 12″ nord, 6° 50′ 33″ est
Altitude Min. 216 m
Max. 265 m
Superficie 5,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Sarralbe
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Diffembach-lès-Hellimer
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Diffembach-lès-Hellimer
Géolocalisation sur la carte : France
Diffembach-lès-Hellimer
Géolocalisation sur la carte : France
Diffembach-lès-Hellimer

    Géographie

    • Situé sur la route départementale 674 (anciennement route nationale 74) entre les communes de Saint-Jean-Rohrbach à l'est (4,8 km) et Hellimer à l'ouest (0,8 km), Diffembach est un petit village rural.
    • Très centré dans l'est mosellan, il est distant de 22 km de Sarreguemines, 24 km de Forbach, 23 km de Saint-Avold, 20 km de Morhange, 27 km de Dieuze et 22 km de Sarralbe.
    • Il s'étire sur près de 1,4 km et comporte sept rues : rue Principale, rue des Vergers, rue de la Forêt, impasse Sainte-Marguerite, rue de l’Église, impasse des Jardins, impasse des Noyers. Son ban est traversé par les ruisseaux Sainte-Marguerite au sud-ouest et Schnappbach au nord-est. On y trouve également deux étangs privés.
    Communes limitrophes de Diffembach-lès-Hellimer
    Leyviller Saint-Jean-Rohrbach
    Hilsprich
    Hellimer Petit-Tenquin

    Urbanisme

    Typologie

    Diffembach-lès-Hellimer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,2 %), prairies (37,3 %), forêts (7,1 %), zones urbanisées (6,4 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    • Son nom est d'origine germanique et fait allusion à un « cours d'eau profond » (en allemand : tiefen bach ; en francique : dieffen bach).
    • Successivement : Diffenbach (1320) Tiefenbach (1509), Tiefenbach et Tiffenbach (1681), Tiffembach (1703)[8], Diffembach (1750) Diffembach-les-Hellimer (1801).
    • Pendant les annexions allemandes (1871 à 1918 et 1940 à 1944), le village était nommé : Diefenbach bei Hellmer.
    • Hellmer-Difebach en francique lorrain.

    Histoire

    • Diffembach est un petit bourg qui se développe autour d'une ferme fortifiée dont on fait état dans des écrits épiscopaux du XIIIe siècle comme étant partie intégrante de la seigneurie de Hellimer, elle-même au sein de la châtellenie d'Albestroff. Bailliage de Dieuze, possession de la principauté épiscopale de Metz.
    • En 1571, un traité partagea la seigneurie de Hellimer pour un quart à l'évêque de Metz, qui restait suzerain des voués, et trois quarts au duc de Lorraine qui devint celui des seigneurs. Cela eut pour conséquence de partager chaque village en deux parties. Diffembach et Ackerbach, qui étaient partie de cette seigneurie furent ainsi en majorité sous l'autorité de l'évêché et pour une moindre part possession du duché de Lorraine, alors que seule une petite partie de Hellimer relevait de l'évêché et le reste appartenait à la Lorraine.
    • De 1618 à 1648 (guerre de Trente Ans), toute la région Lorraine est ainsi devenue une très complexe mosaïque de territoires appartenant à des fiefs qui dépendent du Saint Empire, du duché de Lorraine et des trois évêchés. La famine, la peste et les raids militaires meurtriers conduisant à d'incessants changements d'autorité, aboutissent à un dépeuplement rapide. Ce fut particulièrement vrai pour Diffembach et Hellimer lors de l'attaque de la châtellenie d'Albestroff et de ses dépendances en . Les régiments de Suédois du duc de Weimar et les troupes de la garnison de Saverne furent particulièrement meurtriers. Selon le témoignage du châtelain d'Albestroff, rescapé de l'attaque, datant de , il ne restait plus que 11 foyers sur 300 à Albestroff, 7 sur 80 à Hellimer, et 4 sur 45 à Diffembach[9]. Quelques années plus tard, en 1642, ce sont les troupes de Louis XIII qui prennent le château de Hellimer et causent encore des pertes. De nombreux villages de la région sont alors déserts. Ce n'est que dans le dernier quart du XVIIe siècle que le village, comme beaucoup d'autres dans la région, fut repeuplé par une vague d'immigrants venus des Ardennes, de Belgique, de Sarre, du Tyrol et de Bavière.
    • De 1630 jusqu'à la Révolution, Diffembach fait partie du fief de la famille Du Gaillard, barons du Saint Empire, puis comtes lorrains de Hellimer[10].
    • En 1765, Diffembach est rattaché à Hellimer alors érigée en comté[11].
    • En 1766, La mort de Stanislas Leszczynski, roi de Pologne et dernier duc de Lorraine conduit au rattachement définitif des territoires à la France.
    • En 1789, Jean Mennel, alors maire du village, et Claude Jager furent nommés députés représentants du tiers-état de la commune aux États généraux[12].
    • En 1792, à l'avènement de la République, le village est officiellement une commune, ainsi qu'en atteste l'existence d'un registre d'état civil indépendant et compte alors 334 habitants.
    • De 1811 à 1813, une vague de regroupements administratifs est opérée sur tout le département, et c'est ainsi que le village fut à nouveau rattaché à Hellimer en 1811[13], avant de redevenir indépendant en 1836[14].
    • En 1846, la population du village est à son apogée et compte 635 habitants[15].
    • En 1871, après la défaite de Sedan, Diffembach-lès-Hellimer passa sous juridiction allemande et fut intégré dans le Landkreis de Mörschingen.
    • 1914-1918, après la Première Guerre mondiale, son attachement à la France lui vaut une citation à l'ordre de la Croix de guerre 1914-1918. Cette dernière est exposée en mairie.
    • 1939-1945, la Seconde Guerre mondiale arrive vite et le village se retrouve à nouveau sous juridiction allemande après l'annexion de l'Alsace-Moselle. Nombreux sont ceux qui ont alors été contraints de partir, et c'est principalement en Charente que les Diffembachois ont émigré. Le village est finalement libéré le par le 212e bataillon de la sixième armée américaine.
    • Diffembach est également un des nombreux village de l'Est qui a eu l'honneur d'accueillir une visite du général de Gaulle après la guerre.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs depuis la Révolution[16]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1789 1798 Jean Mennel (1759-1812)   Député aux États Généraux pour Diffembach en 1789
    1798 1799 Christophe Bour (1767-1848)    
    1799 1803 Jean Mennel (1759-1812)    
    1803 1811 Michel Grosse   Conseiller de l'arrondissement de Sarreguemines (1803-1835)
    1811 1836 aucun[17]    
    1836 1839 Jean Michel Walter    
    1839 1841 Jean Scherer    
    1841 1844 Joseph Bise (1810-1877)   Juge de paix du canton de Grostenquin
    1844 1846 Michel Dam    
    1846 1868 Joseph Bise (1810-1877)   Président du conseil de fabrique de la paroisse (1855-1864)
    1868 1872 Nicolas Walter    
    1872 1877 Jean Sadler   Démissionné pour malversations au Conseil de Fabrique
    1877 1878 Nicolas Salomon    
    1878 1879 Louis Detzen (père)    
    1879 1883 Nicolas Walter    
    1883 1886 Jean Michel Mennel (1832-1912)    
    1886 1888 Pierre Streiff    
    1888 1915 Michel Kessler    
    1915 1919 Auguste Houpert (1867-1932)    
    1919 1935 Joseph Mennel    
    1935 1937 Louis Detzen (fils) (1876-1945)   Déporté 39-45 à Sachsenhausen
      1937 Jules Mennel    
    1937 1941 Julien Mennel    
    1941 1944 aucun[17]    
    1946 1959 René-Michel Houpert (1902-1970)   Président du conseil de fabrique de la paroisse (1948-1962)
    1959 1971 Pierre-Jules Mennel (1916-1985)   Chevalier Légion d'honneur, Croix de guerre 1939-1945, croix du combattant, déporté 1939-1945, médaille de la Résistance
    1971 1983 Hubert Beaucour   Ancien élève de l'école militaire de Saint-Cyr
    1983 2001 Pierre-Hubert Mennel    
    2001 en cours Gaston Risse    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

    En 2018, la commune comptait 349 habitants[Note 2], en diminution de 10,97 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1836 1841 1861 1866 1871 1875
    334325365563586551551564543
    1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921 1926
    521479448428403401385320307
    1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
    320304270287301303319347333
    1999 2006 2011 2016 2018 - - - -
    312355381357349----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    • Un Dictionnaire du département de la Moselle datant de 1817 fait état d'une population de « 437 habitants, 66 maisons, 382 ha dont 26 de forêts ».

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Fontaine en grès le long de la route départementale 674 dont le corps date de 1864. Elle comportait à l'origine trois bacs mais elle n'en a aujourd'hui plus qu'un seul.
    • Une maison d'architecture typiquement lorraine a été intégralement démontée et reconstruite à l'Écomusée de Mulhouse en 1982.

    Édifices religieux

    Sa construction a eu lieu de 1836 à 1840.

    le , érection du premier chemin de croix. Il sera remplacé à deux reprises : en 1859 et en 1896 (chemin de croix toujours en place).

    En 1887, le conseil de fabrique décide de nombreux travaux dont le principal est la réfection complète du dallage de l'église (dallage actuel).

    En 1893, les vitraux sont en très mauvais état et sont changés. Les vitraux actuels datent quant à eux des années 1954-1956.

    En 1968, l'ancien clocher devenu dangereux est remplacé par un nouveau. Il aura connu des réparations en 1877, 1906 et 1925.

    En 1977-78, l'église a été fermée pour cause de péril, Les plafonds en plâtre, trop dégradés par l'humidité, étaient en train de tomber. La fermeture a permis la réfection de tout le toit de l'édifice.

    L'orgue, qui date de 1871, est un magnifique instrument à deux claviers et pédalier de 20 jeux, de facture des frères Verschneider de Puttelange. Il est le seul instrument de cette facture à comporter encore sa bombarde d'origine. En 1904, des travaux d'aménagement sont réalisés sur l'instrument (relevage et changement d'un jeu du récitatif). Il est entretenu de façon régulière par M. Dillenseger, facteur d'orgues à Wingen-sur-Moder. Il a fait l'objet de plusieurs concerts et même d'un enregistrement[22]. L'instrument est actuellement sous les mains de M. Christian Jean Joseph Bour, compositeur et organiste de la paroisse depuis 1986.

    La paroisse

    En ce milieu de XIXe siècle, cela fait déjà bien longtemps que les habitants de Diffembach aspirent à disposer de leur propre église. Les premières démarches en ce sens datent des années 1760. Elles resteront infructueuses pendant près de 80 ans. L'église est en construction depuis 1836 lorsque les habitants, par leur représentant, M. le maire Walter, font savoir à l'évêque leur agacement quant à la lenteur des dernières démarches et sur la constante épreuve que représente l'obligation de se rendre à Hellimer pour assister aux offices, mariages et enterrements concernant le village, d'autant plus que le chemin menant de Diffembach à l'église de Hellimer est alors plus un bourbier qu'un vrai chemin. C'est en 1841 que l'affaire en est à son comble. Le maire Walter organise une réunion au cours de laquelle est décidé d'envoyer une délégation auprès de l'évêque avec un ultimatum "très peu catholique" : "...Si dans un délai de trois mois, Diffembach ne devait pas recevoir son titre de paroisse, tous les villageois se convertiraient à la religion protestante, qui elle, ne faisait pas de simagrées...". L'évêque finit par acquiescer et la paroisse vit ainsi le jour. Cependant, il faudra encore attendre quatre années l'ordonnance royale autorisant la création officielle de la paroisse[23].

    • Bénédiction de l'église par le vicaire général Beauvallet, représentant de Jacques-François Besson, évêque de Metz.
    • Réception de la relique de Saint François de Sales.
    • Bénédiction de la seconde cloche.
    • Ordonnance royale autorisant la création de la paroisse.
    • Nomination officielle par l'évêque de Jean Gerold comme premier prêtre desservant.
    • Arrêté préfectoral autorisant la création du conseil de fabrique.
    • Élection du premier conseil de fabrique :
    président : Joseph Mennel
    trésorier : Pierre Sinstein
    secrétaire : Jean Gerold, prêtre desservant
    Michel Dam, maire
    membres : Nicolas Koenig, Jean Michel Mann et Jean Gérard Mann.
    • Une nouvelle relique du saint est reçue, «... à cause de la moisissure dont la (précédente) sainte relique était atteinte... »[24]"

    Édifices civils

    L’ancienne école des garçons.
    • L'ancienne école des garçons

    Elle a été détruite en 1987, pour permettre la construction de la nouvelle mairie et du foyer communal.

    • L'ancienne école des filles

    Elle se situait dans l'ancien presbytère à côté de l'église. Le bâtiment appartenant à la commune, il a été réaménagé à la fin des années 1980 pour y intégrer des logements locatifs, ainsi qu'une salle paroissiale où ont lieu les messes de semaine et les répétitions de la chorale pendant les mois d'hiver.

    • La laiterie artisanale de Diffembach

    Située juste en face de l'église, elle ne fonctionnait plus depuis plusieurs décennies. Le bâtiment a servi pendant un temps de "petit troquet" avec jeu de quilles, de local pour le matériel des pompiers, avant d'être laissé à l'abandon puis détruit en pour être remplacé par un local commercial (boulanger et coiffeur).

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules à la fasce ondée d'argent, accompagnée de trois alérions du même.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Mémoires de la société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, édition 1862, p. 103.
    9. Archives départementales de Meurthe et Moselle, Archives de l'évêché.
    10. Dictionnaire de la Noblesse-François Alexandre Aubert De La Chesnaye-Desbois, Seconde Édition, tome VII, p. 12-13.
    11. Ordonnance ducale datée du 2 août 1765.
    12. Archives départementales de Meurthe et Moselle, Cahier de doléances des bailliage des généralités de Metz, Bailliage de Dieuze, Cahier du tiers état.
    13. Décret impérial daté du 16 avril 1811.
    14. Ordonnance royale datée du 8 septembre 1836.
    15. Recensement de 1846, dans Mémoire de mon village, no 7, Michel Mann Édition, 1990.
    16. Liste résultant d'informations collectées dans les registres d'état civil de la commune.
    17. Annexé à Hellimer
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. Les orgues de Moselle aux éditions K 617
    23. M. Mann, Mémoire de mon village - Diffembach-les-Hellimer, 1990
    24. Registre des délibérations du Conseil de la Fabrique de Diffembach, Vol I 1841-1903
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