Morhange (Moselle)

Morhange est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est. Ses habitants sont appelés les Morhangeois et sont au nombre de 3 484 en 2015.

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Morhange
Rode

Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Forbach-Boulay-Moselle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint-Avold Synergie
Maire
Mandat
Christian Stinco
2020-2026
Code postal 57340
Code commune 57483
Démographie
Gentilé Morhangeois
Population
municipale
3 426 hab. (2018 )
Densité 223 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 55′ 31″ nord, 6° 38′ 45″ est
Altitude Min. 221 m
Max. 305 m
Superficie 15,38 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Morhange
(ville-centre)
Aire d'attraction Morhange
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Sarralbe
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Morhange
Rode
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Morhange
Rode
Géolocalisation sur la carte : France
Morhange
Rode
Géolocalisation sur la carte : France
Morhange
Rode
Liens
Site web morhange.fr

    Historiquement et culturellement située en Lorraine, Morhange est le chef-lieu d'un comté et d'un archiprêtré à l'Époque moderne. Cette petite ville a ensuite été le siège d'un district, d'un canton et d'une communauté de communes.

    Géographie

    Localisation

    La commune se situe au cœur du département de la Moselle, département frontalier du Luxembourg et de l’Allemagne, à 39,4 km de Metz[1], à 43,1 km de Nancy[2], à 36,5 km de Sarrebourg[3], à 36,7 km de Sarreguemines[4] et à 34,7 km de Forbach[5].

    Communes limitrophes de Morhange
    Harprich Vallerange
    Baronville Racrange
    Achain Pévange, Riche Conthil

    Hydrographie

    La rivière la Rotte, 23,4 km[6] qui est un affluent droit de la Nied donc un sous-affluent du Rhin par la Sarre et la Moselle, prend sa source au nord du territoire morhangeois. Le ruisseau le Betz, 4,9 km, affluent de la Rotte, traverse l'étang de la Mutche.

    Géologie et relief

    La ville s’est développée essentiellement en longueur, le long d’un axe principal qui s’étire au pied d’un vaste plateau de terres agricoles et de bois. Les pentes de ce plateau, avec souvent une forte déclivité, sont exposées plein sud et ont longtemps été couvertes de cultures et surtout de vergers ; elles ont été en partie urbanisées, essentiellement sous forme de maisons individuelles édifiées sur des terrains escarpés autour des quelques voies routières qui grimpent sur les hauteurs.

    Au nord sur le plateau se trouvent la gare SNCF, la zone industrielle et les équipements de loisirs de l’étang de la Mutche et du site de la Claire-Forêt, ainsi que d’anciens terrains de manœuvres militaires.

    Au sud s’étend une vaste plaine parsemée de petits villages, jusqu’aux hauteurs boisées en direction de Dieuze et du Parc naturel régional de Lorraine.

    Voies de communication et transports

    Reliée facilement par la route aux principales villes du département et de la région, la commune est également desservie par une gare ferroviaire, sur la ligne Metz – Strasbourg, située à l'extérieur de la ville et accessible par un service de navette communale.

    Morhange bénéficie aussi de la proximité de la gare TGV à Louvigny et de celle de l’aéroport régional.

    Urbanisme

    Typologie

    Morhange est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Morhange, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[10] et 4 050 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Morhange, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (61,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,9 %), zones urbanisées (17,8 %), prairies (17 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,6 %), forêts (4,9 %), eaux continentales[Note 3] (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].

    Toponymie

    • D'un nom de personne germanique Moricho[17] suivi du suffixe -ing/-ingen francisé en -ange.
    • Morichinga (816 et 902)[18], Morhangia (1245), Morchenges et Morehenges (1252), Mœrchinga/Moerchinga (1280), Morhanges (1329), Morchingen (1403), Meurichingen (1410), Mörchlingen (1460), Morangia (1508 environ)[19] Morhanges alias Morchingen (1594), Morchingen (XVIIe siècle), Merchingen (1645), Merchinge (XVIIe siècle), Morehange à la haute tour (1756), Morhange à la haute tour (1779)[20].
    • Annexions de 1871-1918 et 1940-1944 : Mörchingen.
    • En allemand : Moerchingen[20]. En francique lorrain : Märchinge.

    Histoire

    L'endroit comprend un site antique sur la hauteur puis un camp romain. Au Moyen Âge, Morhange appartient à une seigneurie puissante de la Maison de Salm puis dépendant du duché de Lorraine.

    Ancien chef-lieu d'une seigneurie du bailliage d'Allemagne, érigée plus tard en comté. La coutume de Lorraine y était suivie. Morhange était également le chef-lieu d'un archiprêtré de l'archidiaconé de Marsal, qui comprenait 42 paroisses.

    Le château fort et la ville, dévastés et incendiés aux XIVe siècle-XVe siècle, furent reconstruits au pied de la colline. La bourgade a été occupée par le duc de Lorraine. Ce fut le lieu d'une bataille en 1641.

    La ville devient française en 1680. Elle est rendue à la Lorraine en 1747, puis confisquée par la France en 1792.

    Elle fut chef-lieu de district, de 1790 à 1795.
    Le canton de Morhange, supprimé en 1802, comprenait les communes de[20] : Baronville, Brulange, Destry, Einchwiller, Harprich, Landroff, Morhange, Racrange, Rode, Suisse-Basse, Suisse-Haute et Vallerange.

    Elle absorbe la commune de Rode (Rhode), le .

    Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Morhange est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. Morhange (Mörchingen en allemand) s'anime alors avec les troupes allemandes qui stationnent dans le bourg (construction de vastes casernes). Les collines alentour furent truffées de petits ouvrages militaires fortifiés, qui constituèrent la fameuse Muraille de Morhange.

    Seigneurs de Morhange

    Le terre de Morhange est longtemps possession de la maison de Salm[21]. À la mort de Jacques de Salm en 1474, elle passe, avec la seigneurie de Puttelange et la moitié du comté de Salm-en-Vosges, dans la famille des Rhingraves[22].

    En 1742 ou 1743, Eléonore-Henriette de Poitiers, veuve de Maximilien Bleickard achète le comté de Morhange qui passe ainsi dans la famille de Helmstadt[23]. Leur fils, Maximilien-Auguste Bleickard, comte d'Helmstatt (1728-1802), épouse en 1747 Henriette-Louise de Montmorency-Laval, cousine de Louis-Joseph de Montmorency-Laval, évêque de Metz de 1760 à 1801. Il est élu député de la noblesse du bailliage de Sarreguemines aux états généraux.

    Première Guerre mondiale

    Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les hommes de Morhange sont contraints, comme tous les habitants de l’Empire allemand, de s'engager sous les armes. Dès le début de la guerre, la ville, adossée à des collines fortifiées par des ouvrages militaires légers, acquiert le surnom de « muraille de Morhange ». La bataille de Morhange a lieu les et . C'est un épisode de la bataille des Frontières. Les troupes françaises sont confrontées à un échec retentissant et sont décimées par l’artillerie allemande. Les armées françaises sont contraintes au repli. Au cours de la guerre, beaucoup de jeunes Morhangeois tombent sous l’uniforme allemand, sur le Front de l’Est, mais aussi à l’Ouest, en particulier en France et dans les Flandres. Sujets loyaux du Kaiser, les Mosellans accueillent cependant avec joie la fin des hostilités et la paix, enfin retrouvée. Morhange redevient française après la signature de l’armistice de 1918. Les casernes sont alors occupées par une importante garnison, comptant jusqu'à trois régiments et un commandant de place ayant le grade de général.

    Seconde Guerre mondiale

    La Seconde Guerre mondiale et le drame plus tragique de la seconde annexion par le Troisième Reich marquent longtemps les esprits. Une partie de la population est alors expulsée. De plus, les bombardements américains n'épargnent pas les civils. La commune est libérée le , six mois jour pour jour après le débarquement de Normandie[24], après de durs combats.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1953 mars 1971 Alfred Chaty   Vétérinaire
    mars 1971 mars 1977 Pierre Saunal   Chef d'entreprise
    mars 1977 juin 1993
    (décès)
    Daniel Sudan UDR puis RPR Pharmacien.Conseiller général du canton de Grostenquin (1970 → 1993)
    1993 mars 2001 Norbert Massfelder DVD Enseignant
    mars 2001 mai 2020 Jacques Idoux DVD Pharmacien biologiste
    mai 2020 En cours Christian Stinco Sans Etiquette Directeur d'établissement médico-social

    Intercommunalité

    Siège de la communauté de communes du Centre mosellan de 1997 à 2016, la commune fait partie de l'Agglo Saint-Avold Centre mosellan depuis 2017, renommée par la suite Saint-Avold Synergie.

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Morhange s'appellent des Morhangeois(e)(s)[25].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2018, la commune comptait 3 426 habitants[Note 4], en diminution de 1,81 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    1 1811 2691 0911 2581 2801 2001 2601 2481 172
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    1 0621 1091 0413 6907 6037 0847 0392 6484 034
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    2 6314 2494 6101 9805 0474 7864 4784 7244 674
    1990 1999 2006 2007 2008 2013 2018 - -
    4 4604 0503 8963 8673 8383 4893 426--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    L’union des commerçants, à l’initiative de l’artiste Paul Schnebelen, expose avec l’aide de bénévoles, tous les ans pour les fêtes de Noël, un village d’automates de plus en plus grand (étapes de la construction d’un cheval de bois, « la pâtisserie », sapin de noël mécanique, etc.) ainsi qu’un village médiéval. Un défilé d’« objets roulants non identifiés » est organisé pour la Saint-Nicolas (en 2008 saint Nicolas arrive en soucoupe volante).

    L'UCAME l'Union des Commerçants et Artisans - Morhange et Environs s'occupe de la majorité des manifestations de la ville (fête de la musique, happy retro day, la brocante).

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Traces d’une canalisation romaine.
    • Traces de trois châteaux détruits aux XVIIIe siècle et XIXe siècle :
      • vieux château, ou « château d’en haut », construit au XIIIe siècle pour Henri IV, comte de Salm. Détruit, on en utilisa les pierres pour la construction de l’église en 1749 ;
      • château bas, ou « château d’en bas », château édifié fin XVIe siècle par les Rhingraves de Salm, tombé progressivement en ruine. Il ne fut plus remis en état ;
      • château neuf, construit en 1768-1769 en face du château des Rhingraves. Aménagé en hôpital à la Révolution.
    • Maison dite du Bailli, 10 rue Saint-Pierre, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [30].
    • Moulin de Rode.
    • Plan d’eau de la Mutche (activités nautiques).
    • Croix de franchise, dont l'origine remonte à 1345.
    • Casernes.
    • Ancien tribunal.
    • Ancien hôpital Sainte-Barbara.
    • Cimetière israélite, rue des Jardins créé en 1850.
    • Cimetière militaire allemand du Hellenwald.

    Édifices religieux

    • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, reconstruite XVe siècle, entièrement restaurée en 1889 : longue nef de 7 travées, à gauche du chœur ; Vierge à l’Enfant XIVe siècle, statue de sainte Barbe XVe siècle, retable XVe siècle aux armes des maisons de Salm et de Joinville-Bonney, cloche hosanna de 1501, chaire offerte par le duc de Bade. L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul est classée au titre des monuments historiques par arrêté du [31].
    • Chapelle de Rode.
    • Église luthérienne, rue de Montmorency construite entre 1893 et 1895, désaffectée en 2003.
    • Salle du Royaume, avenue du Parc Clémenceau.
    • Ancienne synagogue détruite, rue de l'église. Une plaque commémorative marque la rue où était située l'ancienne synagogue, construite en 1864 et détruite au cours de la Seconde Guerre mondiale.

    Personnalités liées à la commune

    • Christophe de Brem (1670-1747), garde-scel du tabellionnage de Morhange de 1691 à 1716, procureur d'office, « receveur et intéressé dans les fermes des domaines de Morhange » (1721), conseiller-secrétaire des commandements et finances de Son Altesse Royale au bailliage d'Allemagne (1730) , né et mort à Morhange. Il est anobli par le duc Léopold Ie 19 octobre 1725 (« d'azur à trois annelets d'or posés 2 et 1, au chef d'argent chargé de deux étoiles d'azur »)[32].
    • Annemarie von Gabain (1901-1993), turcologue allemande, née à Morhange.
    • Hans-Joachim Kahler (1908-2000), général allemand de la Seconde Guerre mondiale, né à Morhange.
    • Kurt Fett (1910-1980), officier supérieur allemand, membre de la Communauté européenne de défense (1951-1955), né à Morhange.
    • Hamid Aït Amara (1935-2009), universitaire algérien, juriste, économiste, sociologue, né à Morhange.
    • Hélène Zannier (1972-), députée de la 7ème circonscription de la Moselle, directrice générale des services de la ville de Morhange.

    Héraldique

    Blason
    D'azur au monde croiseté d'or, cintré et cerclé de sable.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Distance orthodromique de Morhange à Metz sur le site Lion1906 de Lionel Delavrre, consulté le 20 octobre 2013
    2. Distance orthodromique de Morhange à Nancy sur le site Lion1906 de Lionel Delavrre, consulté le 20 octobre 2013
    3. Distance orthodromique de Morhange à Sarrebourg sur le site Lion1906 de Lionel Delavrre, consulté le 20 octobre 2013
    4. Distance orthodromique de Morhange à Sarreguemines sur le site Lion1906 de Lionel Delavrre, consulté le 20 octobre 2013
    5. Distance orthodromique de Morhange à Forbach sur le site Lion1906 de Lionel Delavrre, consulté le 20 octobre 2013
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau la Rotte (A9710300) » (consulté le ).
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 de Morhange », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Morhange », sur insee.fr (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes
    18. Burkhard Dietz, Helmut Gabel, Ulrich Tiedau - Griff nach dem Westen: die „Westforschung“ (2003)
    19. Visible sur la Carte "Ducatus Lotharingie" http://bmn-renaissance.nancy.fr/viewer/show/1907#page/n0/mode/1up
    20. Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
    21. Léon Maujean, « Histoire des seigneurs et de la ville de Morhange. Première partie: la Maison de Salm », Annuaire de la Société d’Histoire et d’archéologie de la Lorraine, 1924, p. 1-147. Numérisé sur gallica.
    22. Léon Maujean, « Histoire des seigneurs et de la ville de Morhange. Deuxième partie : les Rhingraves, 1475-1724 », Annuaire de la Société d’Histoire et d’archéologie de la Lorraine,1926, p. 417-477. Numérisé sur gallica. Léon Maujean, « Histoire de Morhange... » [2e partie (suite)], A.S.H.A.L., 1929, p. 151-257.
    23. Léon Maujean, « Histoire de Morhange, III La famille d’Helmstadt », Annuaire de la Société d’Histoire et d’archéologie de la Lorraine, 39, 1930, p. 395-398 (fin de 1742 à la Révolution).
    24. 1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994 (p. 15)
    25. « Moselle> Morhange (57340) », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Maison dite du Bailli », notice no PA00125539, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. « Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul », notice no PA00106924, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. Organe des Sociétés savantes de la Moselle, « Une alliance des Choumert : les de Brem », Les Cahiers lorrains, , p. 12 (lire en ligne)
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