Dammartin-sur-Tigeaux

Dammartin-sur-Tigeaux est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Dammartin.

Dammartin-sur-Tigeaux

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Angélique Mercier
2020-2026
Code postal 77163
Code commune 77154
Démographie
Gentilé Dammartinois
Population
municipale
1 101 hab. (2018 )
Densité 122 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 12″ nord, 2° 55′ 14″ est
Altitude Min. 50 m
Max. 133 m
Superficie 9,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontenay-Trésigny
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Dammartin-sur-Tigeaux
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Dammartin-sur-Tigeaux
Géolocalisation sur la carte : France
Dammartin-sur-Tigeaux
Géolocalisation sur la carte : France
Dammartin-sur-Tigeaux
Liens
Site web dammartinsurtigeaux.net

    Géographie

    Localisation

    Le village est situé à environ 11 km à l'ouest de Pommeuse[Carte 1].

    La vallée du Grand Morin marque la limite nord-est de la commune.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Dammartin-sur-Tigeaux
    Voulangis Tigeaux Guérard
    Villeneuve-le-Comte
    Mortcerf

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Dammartin-sur-Tigeaux.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

    • la rivière le Grand Morin, longue de 118,16 km[2], affluent en rive gauche de la Marne ;
      • le ru de Binel, 2,97 km[3], affluent du Grand Morin ;
        • le ru de la Forêt, 3,18 km[4], affluent du ru de Binel ;
          • le ru de l'Étang, 3,90 km[5], affluent du ru de la Forêt.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 8,96 km[6].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].

    La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[9].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,2 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 705 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -2,9 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,4 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[12]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 29 km à vol d'oiseau[13], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[14] à 11,6 °C pour 1991-2020[15].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Dammartin-sur-Tigeaux comprend un ZNIEFF de type 2[Note 2],[16],[Carte 2], la « Forêt de Crécy » (6 897,74 ha), couvrant 17 communes du département[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Dammartin-sur-Tigeaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[18],[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 26 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés[23] dont Moulin de Coude, moulin de Prémol, Croix Saint-Martin, Saint Avoye.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (49,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,9% ), forêts (44,4% ), zones urbanisées (5,5% ), zones agricoles hétérogènes (3% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[24].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[25],[26],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT du Bassin de vie de Coulommiers, approuvé le et porté par le syndicat intercommunal d’étude et de programmation (SIEP) de Coulommiers[27].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[28]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 436 dont 95,5 % de maisons et 4,5 % d'appartements[Note 6].

    Parmi ces logements, 90,1 % étaient des résidences principales, 4 % des résidences secondaires et 5,9 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 89,7 % contre 7,9 % de locataires et 2,4 % logés gratuitement[29].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les lignes d’autocars Darche-Gros02313839.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Donus Martinus en 1197[30] ; Dompnus Martinus in Bria en 1220[31] ; Dammartin vers 1222[32] ; Parochia de Donnomartino en 1228[33] ; Dant Martin en 1269[34] ; Dampmartin en Brie en 1311[35] ; Dampmartin en 1325[36] ; Domnomartinum in Bria en 1513[37] ; Aumartin en Brie en 1657[38] ; Dammartin Saint Gobert en 1753[39] ; Dammartin en l'an IX ; Dammartin-en-Brie (Carte service vicinal)[40].

    L'hagiotoponyme caché « Dammartin » viendrait de Domnus Martinus, le nom latin de saint Martin de Tours, qui évangélisa la région au IVe siècle.

    Tigeaux est une des communes voisines.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune était intégrée depuis 1926 à l'arrondissement de Provins du département de Seine-et-Marne.

    Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle intègre le l'arrondissement de Meaux[41].

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rozay-en-Brie[42]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Fontenay-Trésigny..

    Intercommunalité

    La commune a adhéré en 2005 à la petite communauté de communes de la Brie des moulins créée en 1997.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), cette intercommunalité fusionne le au sein de la communauté de communes du Pays de Coulommiers.

    Toutefois, celle-ci souhaitant elle-même sa fusion avec la communauté de communes du Pays fertois afin d'augmenter les ressources de cette la nouvelle structure, qui prendrait le statut de communauté d'agglomération et bénéficierait à ce titre de dotations plus élevées de l'État, tout en ayant une possibilité de négociation plus équilibrée avec Val d'Europe Agglomération et la communauté d'agglomération du pays de Meaux[43],[44].

    Cette fusion intervient le et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[45]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    17 mai 1896 15 mai 1904 Eugène Houbé[46]    
    1904 1908 Louis Paul Picard    
    1908 1922 Odile Tapret    
    1922 1933 Victor Guenard    
    1933 1935 Alfred Haccard    
    1935 1944 Roger Grangier    
    1944 1947 Alphonse Courteaux    
    1947 1966 Gabriel Colin    
    1966 1976 René Guibert    
    1976 1986 Raymond Maltère    
    mars 1986 aout 2013 Raoul Laverie   Décédé en fonction
    2014 novembre 2015[47],[48] Francis Beltran UMP Démissionnaire
    février 2016[49] juillet 2020 Bernard Lemoine SE Agriculteur
    juillet 2020 en cours Angélique Mercier    

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [50],[51].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Dammartin-sur-Tigeaux est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [52],[53],[54].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[55]. La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[52],[56].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [52],[57],[58].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Meaux[59].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[61].

    En 2018, la commune comptait 1 101 habitants[Note 7], en augmentation de 14,09 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    500469486509535556553512508
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    502510521478499454730484467
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    462513442391402385351442459
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    4244084765005937318138891 026
    2018 - - - - - - - -
    1 101--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[62].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Police - Gendarmerie

    Dammartin-sur-Tigeaux dépend[Quand ?] de la brigade territoriale autonome de la gendarmerie nationale de Mortcerf.

    Sapeurs-Pompiers

    Dammartin-sur-Tigeaux dépend[Quand ?] du centre d'intervention et de secours de Faremoutiers.

    Manifestation culturelles et festivités

    La 6e édition du Dam’Fest, festival de rock, a lieu dans le village le [63].

    Économie

    Exploitations agricoles.

    Agriculture

    Dammartin-sur-Tigeaux est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[64].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[65]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 79 ha en 1988 à 113 ha en 2010[64]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Dammartin-sur-Tigeaux, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Dammartin-sur-Tigeaux entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[64],[Note 9]
    Nombre d’exploitations (u) 4 4 4
    Travail (UTA) 4 5 10
    Surface agricole utilisée (ha) 315 419 451
    Cultures[66]
    Terres labourables (ha) 313 414 423
    Céréales (ha) 217 269 257
    dont blé tendre (ha) 137 s 189
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 57 63
    Tournesol (ha) s s
    Colza et navette (ha) s s 73
    Élevage[64]
    Cheptel (UGBTA[Note 10]) 5 15 44

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Martin.

    Lieux et monuments

    Aujourd'hui, il est surtout célèbre chez les ésotéristes grâce à l'alchimiste Fulcanelli, qui en parle dans Les Demeures philosophales, paru en 1930. Pour l'anecdote, la ville y est appelée Dammartin-sous-Tigeaux. L'auteur voit dans ce monument « la figuration saisissante de l'incendie et de l'inondation immenses » qui se produiront lors du Jugement Dernier.
    • Randonnées : sentiers de grande randonnée GR 1 et GR 14, vallée du Grand Morin.
    • Café associatif et culturel : Le Café Asso est un espace de vie sociale situé au cœur du village (Accueil de tout visiteur, animations, repas à thèmes, expositions artistiques, accueil de randonneurs, organisation d'ateliers...etc) tenu par une équipe de bénévoles.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Parti : au 1er de gueules à la gerbe de blé d'or senestrée d'un demi-obélisque d'argent mouvant de la partition, au 2e de sinople à la fontaine d'argent jaillissant d'azur ; au chef d'argent chargé d'une fleur de lys d'azur accostée de deux biches de sable.
    Détails
    Création de Jean-Claude Molinier adoptée par la municipalité en 1994.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Dammartin-sur-Tigeaux, » sur Géoportail (consulté le 30 mai 2020)..
    2. « Zones ZNIEFF de Dammartin-sur-Tigeaux » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
    3. « Dammartin-sur-Tigeaux - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    5. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Plan séisme consulté le 12 mars 2020 ».
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Grand Morin (F65-0400) ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Binel (F6582000) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Forêt (F6533100) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de l'Étang (F6582150) ».
    6. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 6 septembre 2019
    7. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    8. « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    9. site officiel du Syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Dammartin-sur-Tigeaux et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Dammartin-sur-Tigeaux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF la « Forêt de Crécy » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Site territoires-fr.fr consulté le 12 mars 2020 sous le code commune 77154.
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    25. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consulté le ).
    26. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    27. [PDF]« Le SCOT du bassin de vie de Coulommiers - Note d'enjeux », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    29. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 30 mai 2020
    30. Bibl. nat., ms. nouv. acq. Lat. 928, p. 71.
    31. Du Plessis, II, p. 111.
    32. Livre des vassaux.
    33. Bibl. nat., ms. Lat. 10944, fol. 115.
    34. Bibl. nat., ms. nouv. acq. Lat. 928, p. 109.
    35. Arch. nat., JJ 46, fol. 72.
    36. Longnon, II, 235.
    37. Longnon, Pouillés de Sens, p. 481.
    38. Archives nationales, Y 195, fol. 65.
    39. Archives de la Seine-et-Marne, E 1641.
    40. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 178.
    41. « Arrêté du 30 décembre 2016 du préfet de la région d'Île-de-France portant modification des limites territoriales des arrondissements du département de Seine-et-Marne », Recueil des actes administratifs de la préfecture d'Île-de-France, no spécial IDF-001-2017-01, , p. 11-23 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    43. Sébastien Roselé, « Pays de Coulommiers. Franck Riester veut fusionner avec le Pays fertois », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (www.leparisien.fr/coulommiers-77120/pays-de-coulommiers-franck-riester-veut-fusionner-avec-le-pays-fertois-28-03-2017-6803919.php, consulté le ).
    44. « La Ferté-sous-Jouarre : le Pays fertois dit « oui » au Pays de Coulommiers », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (www.leparisien.fr/la-ferte-sous-jouarre-77260/la-ferte-sous-jouarre-le-pays-fertois-dit-oui-au-pays-de-coulommiers-04-04-2017-6823560.php, consulté le ).
    45. « Les maires de Dammartin-sur-Tigeaux », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    46. « Cote 19800035/108/13645 », base Léonore, ministère français de la Culture.
    47. « Dammartin-sur-Tigeaux s'apprête à élire un nouveau maire », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « On revotera les dimanches 24 et 31 janvier à Dammartin-sur-Tigeaux. Cette décision de la préfecture fait suite à la démission de trois conseillers municipaux depuis les élections de mars 2014. À tout ceci s'ajoute le fait que Francis Beltran a rendu son écharpe de maire le 16 novembre dernier tout en restant dans le conseil municipal. (...) Josiane Eberhardt fut le maire par intérim les six mois qui ont précédé les élections de mars 2014, à la suite du décès du premier magistrat, Raoul Laverie ».
    48. Thomas Baron, « Josiane Eberhardt : « Je ne peux plus laisser dire ça » : Josiane Eberhardt, membre de l’ancienne équipe municipale, a souhaité réagir aux attaques de Francis Beltran, qui a récemment démissionné de son poste de maire », Le Pays Briard, (lire en ligne, consulté le ) « Josiane Eberhardt, première adjointe durant deux mandats et édile du village durant quelques mois après le décès de Raoul Lavérie ».
    49. « Dammartin-sur-Tigeaux : Bernard Lemoine est le nouveau maire », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Bernard Lemoine, un agriculteur de 59 ans, a été élu maire de Dammartin-sur-Tigeaux à l'unanimité par les quinze conseillers municipaux ».
    50. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le ).
    51. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    52. « Commune de Dammartin-sur-Tigeaux - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    53. « CA Coulommiers Pays de Brie (CACPB) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    54. « CA Coulommiers Pays de Brie (CACPB) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    55. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
    56. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    57. « SMAEP de Crécy-la-Chapelle et environs - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    58. « SMAEP de Crécy-la-Chapelle et environs - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    59. « Schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours de Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.fr, (consulté le ).
    60. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    61. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    62. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    63. Sébastien Roselé, « Dammartin-sur-Tigeaux : Dam Fest, cinq groupes de rock pour 9 € : Ce samedi 30 juin, depuis l’après-midi jusqu’à la nuit, le Dam’Fest, est de retour pour sa sixième édition à Dammartin-sur-Tigeaux », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
    64. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Dammartin-sur-Tigeaux », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    65. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    66. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Dammartin-sur-Tigeaux », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
    67. « Obélisque de Villeneuve-le-Comte », notice no PA00087324, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    • Portail de Seine-et-Marne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.