Criquetot-l'Esneval

Criquetot-l'Esneval est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Criquetot-l'Esneval

La mairie.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Le Havre Seine Métropole
Maire
Mandat
Alain Fleuret
2020-2026
Code postal 76280
Code commune 76196
Démographie
Gentilé Criquetotais
Population
municipale
2 561 hab. (2018 )
Densité 190 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 40″ nord, 0° 16′ 01″ est
Altitude Min. 94 m
Max. 136 m
Superficie 13,47 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Criquetot-l'Esneval
(ville isolée)
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Octeville-sur-Mer
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Criquetot-l'Esneval
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Criquetot-l'Esneval
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Criquetot-l'Esneval
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Criquetot-l'Esneval
Liens
Site web https://www.criquetot-lesneval.net/

    Géographie

    Commune de Seine-Maritime au nord-est du Havre, Criquetot-l'Esneval est située dans le pays de Caux.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 994 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 73 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Criquetot-l'Esneval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Criquetot-l'Esneval, une unité urbaine monocommunale[17] de 2 567 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,8 %), prairies (14,5 %), zones urbanisées (8,8 %), zones agricoles hétérogènes (2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Criketot en 1195[24].

    Il s'agit d'un type toponymique médiéval issu de l'ancien scandinave et composé des éléments kirkja « église »[24] (cf. anglais dialectal kirk et norvégien kirke) et topt, toft « emplacement, terrain »[24] (cf. scandinave moderne toft).

    Homonymie avec Criquetot-le-Mauconduit, Criquetot-sur-Ouville et Criquetot-sur-Longueville[24], équivalents du nom commun féroïen kirkjutoft et islandais kirkjutótt et des noms de lieux anglais Kirketoftes, Cockerington, Lincolnshire, Kirketoftes XIIIe siècle et Kirketoftes, f.n., YWR. Kirketoftes, Kyrketoftes en 1365).

    L'appellatif kirkja se retrouve également dans les nombreux Criquebeuf (en composition avec le norrois de l'est *bóð, variante de l'ouest búð « baraque, village ») et dans Yvecrique et la Crique[24].

    Le déterminant complémentaire -L’Esneval se réfère à la famille seigneuriale du même nom[24]: les barons d’Esneval, dont le manoir se situait à Pavilly, au bord de l’Esne (Esne-val).

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de La Hauteur[25].

    Histoire

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    Le bourg de Criquetot-l’Esneval se trouve au point de rencontre de routes d’importances diverses : chemin de grande communication no 139 de Lillebonne à Antifer, no 39 de Tancarville à Étretat, no 79 d’Octeville à Fécamp. Ces voies ont toutes et, en particulier la dernière citée, des origines fort anciennes. La voie romaine joignant Harfleur à Fécamp passait non loin du tumulus situé au centre du bourg et ce seul fait permet de supposer comment est né le village et comment il a grandi.

    Origines : la présence de l’homme à Criquetot-l’Esneval remonte à la Préhistoire ; la trouvaille de haches en pierre polie entre le manoir de Mondeville et la ferme de l’Écluse, de haches en bronze dans cette même partie de la commune, indique d’une manière certaine le passage d’humains et, probablement, leur séjour sur le territoire. Récolte de souvenirs d’un passé fort ancien, au voisinage des sentiers gaulois, remplacés, bien plus tard, par les voies romaines citées plus haut[26].

    La région où se trouve Criquetot était une zone de passage des échanges entre ce qui est l’Angleterre et le Sud de la Gaule, avec une industrie du bronze sur les rives de la Seine à Sandouville. L’étain venait par mer dans les ports d’Étretat et d’Yport, puis gagnait la Seine par portage au travers du plateau. Le village de Criquetot se trouvait bien près de l’un de ces sentiers et a pu être un lieu étape ou de refuge pour les marchands, et point de surveillance, vu l’altitude du lieu.

    L’occupation romaine de la Gaule a laissé sa marque à Criquetot, dont le plus ancien monument, appelé « chasteau » est la motte de terre toujours visible dans le jardin de monsieur Golain, du journal de Criquetot. Cette butte de terre de construction artificielle constituait l’un des nombreux postes de surveillance militaire, destinés à protéger les voies de communication[26].

    Criquetot est le centre de la baronnie jusqu’au XVIe siècle. Louis XI édifie le marché du village en 1476, Charles IX séjourne en 1563 au camp d’Azelonde, venant assiéger le Havre alors occupé par les Anglais. La région est un important foyer protestant durant le XVIe siècle. De 1606 à 1654, le patronage de Criquetot est aux mains de Claude de Prunelé. Maximilien Dastron est le dernier seigneur de Criquetot-l’Esneval, seul héritier des terres de ses aïeux, de 1762 à 1789, date à laquelle il dut partir à la Révolution, pour mourir à Rouen en 1806[26].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        Léon Acher    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 décembre 1956 Marcel Edouard   Décédé en fonction
    décembre 1956 mars 1959 Georges Leseigneur    
    mars 1959 décembre 1966 Paul Edouard   Fils de Marcel Edouard
    Décédé en fonction
    janvier 1967 juin 1973 Georges Chedru RI Agriculteur
    Député de la 5e circonscription de la Seine-Maritime (1966 → 1973)
    Conseiller général du canton de Criquetot-l'Esneval (1945 → 1973)
    Démissionnaore
    juin 1973 mars 1977 Raymond Decultot    
    mars 1977 2005[27] Charles Spriet DVD-UDF[28] Démissionnaire
    2005 En cours
    (au 10 août 2020)
    Alain Fleuret DVD Retraité
    Vice-président de la CC du canton de Criquetot-l'Esneval (2014 → 2019)
    Vice-président de la CU Le Havre Seine Métropole (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[29],[30],[31]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

    En 2018, la commune comptait 2 561 habitants[Note 7], en augmentation de 5,61 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4421 6601 7821 3281 4921 4981 4551 3761 380
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4801 4831 5461 4971 4461 3881 4071 4241 414
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3641 3671 3601 3231 2951 2871 3111 4151 347
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 2891 2531 3861 6631 9792 1492 2022 3372 523
    2018 - - - - - - - -
    2 561--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame de Criquetot-l'Esneval.
    • Manoir de l'Écluse et colombier[35],[36].
    • Le manoir d'Alezonde ou Azelonde a été détruit[37].
    • L'ancienne gare de Criquetot-l'Esneval.
    • La motte féodale.
    • L'ancienne gendarmerie impériale.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Criquetot-l'Esneval et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Criquetot-l'Esneval et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Criquetot-l'Esneval », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 64.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. « Histoire de la commune, Patrimoine », sur criquetot-lesneval.net (consulté le ).
    27. « Un nouveau maire à ... », Carnet, Association départementale des maires 76 (consulté le ) : « Elu municipal à Criquetot-l'Esneval depuis 1977, Alain Fleuret a été élu maire en remplacement de Charles Spriet, qui avait récememment démissionné de sa fonction. ».
    28. Annuaire des Mairies de Seine Maritime (76)
    29. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Alain Fleuret élu au premier tour : Les Criquetotais et Criquetotaises ont renouvelé leur confiance au maire sortant. », Le Côte d’Albâtre, (lire en ligne).
    30. « Municipales 2020 : à Criquetot-l’Esneval, le maire sortant Alain Fleuret brigue un 4e mandat », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Alain Fleuret brigue un 4e mandat à la tête de la mairie de Criquetot et un 8e mandat en tant qu’élu. Maire depuis 2005, Alain Fleuret mène la liste « Continuons à dynamiser Criquetot » avec une équipe renouvelée ».
    31. « Criquetot-l'Esneval. Alain Fleuret maire pour la quatrième fois », Le Courrier cauchois, (lire en ligne, consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. « Manoir de l'Écluse », notice no PA00101122, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Serge Rouverand (préf. Philippe Manneville), Colombiers en Seine-Maritime, Darnétal, Petit à petit, , 130 p. (ISBN 2-914401-54-X), p. 57.
    37. « Manoir d'Alezonde », notice no PA00100612, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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