Creysse (Dordogne)

Creysse est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Creysse.

Creysse

Gabarre sur la Dordogne à Creysse.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération Bergeracoise
Maire
Mandat
Frédéric Delmarès
2020-2026
Code postal 24100
Code commune 24145
Démographie
Gentilé Creyssois
Population
municipale
1 748 hab. (2018 )
Densité 159 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 15″ nord, 0° 33′ 47″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 126 m
Superficie 11,02 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bergerac (banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bergerac-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Creysse
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Creysse
Géolocalisation sur la carte : France
Creysse
Géolocalisation sur la carte : France
Creysse

    Géographie

    Généralités

    Le Caudeau en limites de Creysse (à gauche) et Lembras.

    En Bergeracois, dans l'unité urbaine de Bergerac, la commune de Creysse prolonge la ville de Bergerac à l'est. Elle est située en rive droite de la Dordogne qui matérialise sa limite sud. Au nord, le territoire communal est limité par le Caudeau, un petit affluent de la Dordogne.

    Les hauteurs de la commune comprises entre les vallées de ces deux cours d'eau sont essentiellement composées de terrains calcaires éocènes[1]. La vallée de la Dordogne est recouverte d'alluvions holocènes[1]. L'altitude minimale se situe au sud-ouest, là où la Dordogne quitte la commune et entre sur celle de Bergerac. L'altitude maximale, avec 126 mètres, est atteinte au nord, à proximité du château d'eau au lieu-dit la Borde.

    Le bourg de Creysse, traversé par la route départementale (RD) 660, est situé, en distances orthodromiques, six kilomètres et demi kilomètres à l'est du centre-ville de Bergerac et quatorze kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Lalinde.

    La commune est également desservie par la RD 32 ainsi que, depuis 2010, par la route nationale 21 (déviation est de Bergerac)[2].

    L'essentiel de la ville est constitué par le bourg s'étirant dans la petite vallée coincée entre la Dordogne au sud et la colline calcaire au nord. Une forêt composée d'acacias, de châtaigniers et de chênes constitue une bonne partie du paysage de la commune. De larges quartiers pavillonnaires et HLM de plain-pied sont situés sur la colline qui culmine en moyenne à 80 mètres au-dessus de la vallée de la Dordogne. L'ouest de la ville est parcouru de vignes appartenant au vignoble de Pécharmant, pas loin de son château, le château de Tiregand. En marge, en direction de Bergerac, se situe une zone commerciale et industrielle très active, surtout depuis la mise en service du contournement est de Bergerac.

    Communes limitrophes

    Carte de Creysse et des communes avoisinantes.

    Creysse est limitrophe de six autres communes dont Mouleydier au sud-est sur 350 mètres.

    Au nord-est, le territoire de Lamonzie-Montastruc n'est distant que de 120 mètres

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 827 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Creysse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[17] et 64 145 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (25,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,5 %), zones urbanisées (17,7 %), cultures permanentes (11,9 %), prairies (10,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,6 %), terres arables (4,5 %), eaux continentales[Note 6] (3,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2008 pour la Dordogne centre concernant donc la zone basse du territoire de Creysse[23],[24].

    De plus, la commune est incluse dans le territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac  composé de 22 communes : 15 en Dordogne et 7 en Gironde  dont la validation a fait l'objet en décembre 2014 d'un arrêté du préfet de la région Midi-Pyrénées, responsable du bassin Adour-Garonne[25],[26].

    Un autre plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2015 pour le Caudeau et ses rives, impactant le nord de la commune bordé par ce cours d'eau[27],[28].

    Toponymie

    Le nom du lieu apparait simultanément sous deux formes différentes en l'an 1107 : Creysse et Croicha[29]. La graphie évolue pour Crossia en 1197 dans la cartulaire de l'abbaye de La Sauve-Majeure[29], Crayscha dans un pouillé[29] au XIIIe siècle[30] puis Creyscha en 1382[29].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Creisse[31].

    En occitan, la commune porte le nom de Creissa[32].

    Histoire

    De nombreux gisements préhistoriques ont été mis au jour sur le territoire communal[30], notamment significatifs d'une occupation humaine à l'Acheuléen (Barbas I[33]), au Châtelperronien (site de plein-air de Canaule II[34]), et au Solutréen (Grateloup[35]).

    Un prieuré dépendant de l'abbaye de La Sauve-Majeure est mentionné à Creysse[36].

    En 1575, les Huguenots s'emparent des reliques de saint Front, les transportent au château de Tiregand puis les jettent dans la Dordogne[37].

    L'église actuelle porte la date de 1741[36].

    À la fin de la Seconde Guerre mondiale, lors de leur retraite, les Allemands ont laissé sur place des milliers de Russes qu'ils avaient déportés ou faits prisonniers. De janvier à août 1945, un campement de Creysse, le « camp de Bikini », a accueilli 1 550 d'entre eux, avant leur retour en URSS[38].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Creysse est rattachée au canton de Bergerac qui dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[39]. En 1973, ce canton est scindé en deux et Creysse est alors rattachée au canton de Bergerac-2[39].

    Lors de l'importante réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014 et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton[40].

    Intercommunalité

    En 2002, Creysse intègre dès sa création la communauté de communes des Trois Vallées du Bergeracois. Cette structure intercommunale fusionne avec deux autres pour former au la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[41],[42].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1848 1865 Daniel Pelain    
             
    1977 2000 Bernard Roger Delmarès PS[43]  
    mars 2001 mars 2008 Jean Iragne PCF  
    mars 2008[44]
    (réélu en mai 2020[45])
    En cours Frédéric Delmarès PS[46] Pisciculteur
    Président de la communauté d'agglomération bergeracoise depuis 2017

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Creysse relève[47] :

    Jumelages

    Panneau de jumelage.

    Démographie

    Les habitants de Creysse se nomment les Creyssois[48].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].

    En 2018, la commune comptait 1 748 habitants[Note 7], en diminution de 1,8 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    619695689702874886843854869
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    873845838749778973940895826
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7947827407556896226441 7301 864
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    2 1472 1711 7971 8972 3362 2601 8811 8541 756
    2018 - - - - - - - -
    1 748--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    AOC

    La commune de Creysse est l'une des quatre communes (avec Bergerac, Lembras et Saint-Sauveur) où est cultivé le vignoble qui produit l'AOC pécharmant[52].

    Emploi

    En 2015[53], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 791 personnes, soit 45,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (134) a augmenté par rapport à 2010 (115) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 16,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 306 établissements[54], dont 202 au niveau des commerces, transports ou services, trente-huit dans la construction, trente-deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, vingt-cinq dans l'industrie, et neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[55].

    Entreprises

    Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « MVJP » (travaux d'isolation) située à Creysse se classe en 32e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 3 606 k€[56].

    Un hypermarché est installé depuis 2009, ce qui dynamise la commune et amène beaucoup d'entrepreneurs[réf. nécessaire].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    La Dordogne et ses berges sont protégées à plusieurs titres :

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, p. 19, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501-4761-5).
    2. [PDF] Vivre en Périgord n° 26, p. 5, juillet 2010.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Bergerac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Creysse et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Bergerac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
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    31. « Creisse » sur Géoportail (consulté le 3 septembre 2018)..
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    34. François Bachellerie, Quelle unité pour le Châtelperronien? Apport de l'analyse taphonomique et techno-économique des industries lithiques de trois gisements aquitains de plein air : le Basté, Bidart (Pyrénées-Atlantiques) et Canaule II (Dordogne) (thèse de doctorat en préhistoire), Université Bordeaux I, (lire en ligne), p. 321.
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    57. « Domaine du château de Tiregand », notice no PA24000040, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 3 septembre 2018.
    58. FR7200660 - La Dordogne : SIC sur le site de l'INPN, consulté le 3 septembre 2018.
    59. [PDF] Arrêté préfectoral de la Dordogne no 911909 portant conservation du biotope du saumon, de la Grande Alose "Alosa Alosa", alose Feinte "Alosa fallax", lamproie fluviatile "Lampetra fluviatillis", lamproie Marine "Petromyzon Marinus" constitué par l'ensemble du cours de la Rivière Dordogne dans le Département sur le site de l'INPN, consulté le 3 septembre 2018.
    60. [PDF] La Dordogne (Identifiant national : 720020014) sur le site de l'INPN, consulté le 3 septembre 2018.
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