Cressonsacq
Cressonsacq est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Cressonsacquois et les Cressonsacquoises.
Cressonsacq | |||||
L'église Saint-Martin. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Plateau Picard | ||||
Maire Mandat |
Hubert Doisy 2020-2026 |
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Code postal | 60190 | ||||
Code commune | 60177 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cressonsacquois, Cressonsacquoises | ||||
Population municipale |
443 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 68 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 27′ 29″ nord, 2° 34′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 81 m Max. 130 m |
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Superficie | 6,53 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Estrées-Saint-Denis | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation
Cressonsacq est une commune située à 68 km au nord de Paris, 35 km à l'est de Beauvais, 19 km à l'ouest de Compiègne et à 52 km au sud d'Amiens[1].
Topographie et géologie
Établie sur le plateau picard, la commune de Cressonsacq s'étend entre 81 et 130 mètres d'altitude. Le point le plus bas se situe entre le bourg et Grandvillers-aux-Bois à l'est, tandis que le point culminant se trouve au sud dans le bois de Cressonsacq. Le topographie révèle quelques vallées sèches dont la pente s'oriente vers l'est vers le nord tel le Fond de Belleval, la Vallée, la Fosse Notre-Dame ou le Fond d'Eraine ainsi que la butte de Caucremont s'étalant autour de 100 mètres. Le village s'étend entre 90 et 100 mètres au-dessus du niveau de la mer.[2]. La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].
Hydrographie
La commune de Cressonsacq n'est traversée par aucun cours d'eau. Il subsiste trois mares dans le village, ainsi qu'un château d'eau. La présence de vallons témoigne de ruissellements, s'orientant à l'est vers le bassin versant de l'Aronde[2]. Les zones les plus basses du territoire sont situées au-dessus de plusieurs nappes phréatiques sous-affleurantes[4].
Voies de communications et transports
La commune est traversée par 3 routes départementales : la D 36, la D 37 et la D 152. La route départementale 37, de Breuil-le-Sec à Neufvy-sur-Aronde est le principal axe de circulation permettant d'accéder à l'agglomération de Clermont, la plus proche. Elle traverse la commune d'est en ouest par la rue Saint-Remy. La route départementale 36, reliant Saint-Just-en-Chaussée à Jaux près de Compiègne traverse le village d'ouest en est par la rue Neuve et la rue du Jeu-d'Arc. Enfin, la D 152 de Le Ployron à Blincourt ne fait que longer la limite orientale de la commune. La rue du Moulin, ancienne route vers Eraine se termine en impasse au sud de la commune[2].
La gare SNCF la plus proche est celle d'Estrées-Saint-Denis à 6 km à l'est sur la ligne d'Amiens à Compiègne[1].
La commune est desservie par le réseau ATRIOM du Compiégnois du conseil général de l'Oise par la ligne 47 reliant Compiègne à Saint-Just-en-Chaussée, et par plusieurs lignes de transports scolaires vers les établissements de l'agglomération de Clermont ainsi que vers les collèges d'Estrées-Saint-Denis et de Saint-Just-en-Chaussée[5].
Une navette de regroupement pédagogique intercommunal relie le village au groupe scolaire de Bailleul-le-Soc, avec les communes de Rouvillers et Grandvillers-aux-Bois[6],[7].
La commune fait partie d'un dispositif de transport solidaire autonome "Le rezo pouce" autostop volontaire" sécurisant et d'un rézo senior pour les ainés, organisé par la communauté de communes du Plateau Picard.
L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 33 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 50 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[14] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 33 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels
Hormis les espaces bâtis couvrant 26 hectares sur 4 % de la surface communale, le territoire comprend 83 % d'espaces cultivés sur 547 hectares ainsi que 3 hectares de vergers et de prairies. Les espaces boisés représentés par les bois de Cressonsacq au sud et de Trois-Etots à l'ouest couvrent 7 % du terroir sur 46 hectares[21],[2]. Ce dernier constitue une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[22]
Urbanisme
Typologie
Cressonsacq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[23],[24],[25]. La commune est en outre hors attraction des villes[26],[27].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,5 %), forêts (6,3 %), zones urbanisées (5,2 %)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[29].
Histoire
Un prieuré Saint-Martin existait à Cressonsacq et dépendait de l'ordre de Cluny[30].
La lignée des premiers seigneurs de Cressonsacq s'éteignit au début du XIVe Siècle[31]. Elle portait « vairé au lion de gueules armé et couronné d'or »[32].
En 1422[33], le village, implanté alors près du Bois du Cernoy, fut totalement détruit et les Anglais démantelèrent l'important château[34]. En 1429, la forteresse fut restaurée et les villageois, délaissant les ruines de leurs anciennes maisons, s'installèrent près de celle-ci[35],[36].
Le 11 juin 1940, a lieu le massacre du bois d'Eraine durant la bataille de France. Les Allemands massacrent la totalité des Africains de la 4e division d'infanterie coloniale et du 24e régiment de tirailleurs sénégalais fait prisonniers.
Politique et administration
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].
En 2018, la commune comptait 443 habitants[Note 6], en diminution de 1,12 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (14 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (54,1 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 54,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 26,3 %, 15 à 29 ans = 15,9 %, 30 à 44 ans = 23,7 %, 45 à 59 ans = 19 %, plus de 60 ans = 15,1 %) ;
- 45,9 % de femmes (0 à 14 ans = 19,8 %, 15 à 29 ans = 19,8 %, 30 à 44 ans = 24,9 %, 45 à 59 ans = 22,8 %, plus de 60 ans = 12,7 %).
Enseignement
En matière d'enseignement primaire, les enfants sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal associant les communes de Bailleul-le-Soc, Cressonsacq, Rouvillers et Grandvillers-aux-Bois dans lequel chaque village conserve son école.
En janvier 2019, 150 élèves fréquentent le regroupement. Une cantine a été créée ainsi qu'une bibliothèque, une salle informatique et une salle d'accueil périscolaire[45].
Héraldique
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Les armes de Cressonsacq se blasonnent ainsi : de vair au lion de gueules armé lampassée et couronnée d’or. |
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Lieux et monuments
Cressonsacq compte trois monuments classés ou inscrits à l'inventaire des monuments historiques :
- Les ruines du donjon du château.
- Le calvaire.
- L'église Saint-Martin et le monument aux morts.
- Église Saint-Martin (XVe et XVIIe siècles)[46],[47] : bâtiment carré avec chœur en saillie qui était la chapelle seigneuriale, à laquelle fut greffée une nef. Un pèlerinage avait lieu le jour de la Saint-Blaise, le 3 février. Le prêtre passait un fil rouge trempé dans l'eau bénite du cou des pèlerins, contre les maux de gorge. Bien que différente, cette tradition est perpétuée par une exposition de peintures le premier dimanche de février. L'édifice a été restauré au début des années 1990, entre 1990 et 1994[48]. L'église fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1949[49].
- Vestiges de l'ancien château (XIVe siècle) : le château, pris puis démantelé par les Anglais en 1422, fut restauré en 1429 et démoli après la Révolution. Il a conservé les ruines de son donjon datant de 1203. Il ne subsiste qu'une des quatre tours d'angle, visible derrière l'ancien cimetière entourant l'église. La forteresse, de plan carré, était entourée de douves, dont quelques traces sont encore facilement repérables de nos jours. Ces vestiges font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1949[50].
- Calvaire, près de la route de Clermont : il fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1949[51].
- Monument du 10 juin 1940, érigé en hommage aux 8 officiers français avec leurs tirailleurs. Il se situe près du bois d'Eraine
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 6 semptembre 2016)..
- « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Cressosacq », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
- « Transports en commun à Cressonsacq (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
- « Navette de regroupement pédagogique intercommunal 1er car », sur Oise mobilité (consulté le ).
- « Navette de regroupement pédagogique intercommunal 2e car », sur Oise mobilité (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Cressonsacq et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Cressonsacq et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Cressonsacq », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Bois de Trois-Etots et de Pronleroy, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- (page 199) Armand Rendu, Emile Coüard, Ernest Roussel, Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790, Oise : H 1718 à H 2649, Archives départementales de l'Oise, 1897
- Société archéologique de Rambouillet, 1876.
- (page 349) Paul André Roger, Archives historiques et ecclésiastiques de la Picardie et de l'Artois, Amiens, 1842
- (page 382) L. Douët-d'Arcq, La chronique d'Enguerran de Monstrelet en deux livres avec pièces justificatives (1400-1444), éd. Société de l'Histoire de France, Paris, 1862.
- (page 100) Louis Graves, Notice archéologique sur le département de l'Oise, 1839
- (page 331) Badin et Quantin, Géographie départementale classique et administrative de la France, vol. 10, Département de l'Oise, 1847
- Auguste Moutié, Chevreuse ... Châtelains, barons et ducs, 1876.
- « Les MAIRES de CRESSONSACQ Depuis 1789 », Mairie de Cressonsacq (consulté le ).
- « Cressonsacq », Cartes de France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Cressonsacq en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Sylvie Molines, « Terminée la cantine à la salle des fêtes : Les élèves disposent désormais d'une salle de restauration. Mais aussi d'un périscolaire », Courrier picard, édition Oise, , p. 12.
- Présentation rapide par quelques photos descriptives sur le site municipal
- Photos sur 40000clochers.com
- Page spécifique du site municipal officiel présentant le contexte des travaux de restauration
- « église Saint-Martin », notice no PA00135568, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château », notice no PA00114668, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Calvaire », notice no PA00114667, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- (page 553) Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, Mémoires, vol. 7, Beauvais, 1870
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