Coulon (Deux-Sèvres)

Coulon est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine. C'est un haut lieu touristique du Marais poitevin, la capitale de la « Venise verte », c'est-à-dire sa partie orientale également connue sous le nom de « marais mouillé », par opposition au « marais desséché ».

Pour les articles homonymes, voir Coulon.

Coulon

Le quai Louis-Tardy,
embarcadère pour le marais poitevin.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Niort
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Niortais
Maire
Mandat
Anne-Sophie Guichet
2020-2024
Code postal 79510
Code commune 79100
Démographie
Population
municipale
2 262 hab. (2018 )
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 19′ 27″ nord, 0° 35′ 02″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 81 m
Superficie 29,79 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Coulon
(ville isolée)
Aire d'attraction Niort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Frontenay-Rohan-Rohan
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
Coulon
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Coulon
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Coulon
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Coulon
Liens
Site web ville-coulon.fr

    Géographie

    L'angélique est à la base de confiseries et pâtisseries régionales[réf. nécessaire].

    Au cœur du « marais mouillé », arrosée par la Sèvre niortaise, entourée de conches et de rigoles – plus larges – ainsi que de terres inondables plusieurs mois par an, la localité en partage la flore (peupliers, frênes, iris sauvages, angéliques) et la faune (vaches, moutons, ragondins, etc.). Commune de la communauté d'agglomération du Niortais.

    Les marais de la commune de Coulon, situés entre le Canal du Grand Coin et la rive droite de la Sèvre Niortaise, sont très peu utilisés par les barques des touristes : les embarcadères proposant des tours en barque depuis le centre bourg naviguent dans les conches et rigoles des Marais de Magné et Sansais.

    Coulon fait partie de l’agglomération de Niort, et touche la commune de Magné.

    Urbanisme

    Typologie

    Coulon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Coulon, une unité urbaine monocommunale[4] de 2 263 habitants en 2017, constituant une ville isolée[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Niort, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Colunus en 869[9], Colonna en 989, Colongia en 944, Colums en 1154, Coluns en 1156[9].

    Histoire

    Âge du bronze et Âge du fer

    Les recherches archéologiques témoignent de l'ancienneté du peuplement avant l'occupation romaine. Elles ont notamment permis de découvrir, successivement :

    • deux pirogues celtiques (au lieu-dit Gué de la Grange en 1868[10]) ;
    • un crochet à viande (au lieu-dit Thorigné en 1880[11]) ;
    • un cimetière, des sarcophages gallo-romains et quatre petits bronzes de Constantin (au lieu-dit Gué de la Grange en 1883[10]) ;
    • un important village néolithique (au lieu-dit Coteau de Montigné fouillé par Jean Pierre Pautreau en 1978-1980[12]) ;
    • des sarcophages mérovingiens (au sud de l'église en 1969[10]) ;
    • un char funéraire datant de l'âge du bronze (découvert lors d'un nettoyage d'un fossé en 1984, des fouilles en 1985 ont permis de situer l'abattage d'arbres entre 1036 et 1000 avant J.-C[13]) ;
    • une ferme gallo-romaine (au lieu-dit les Grands Champs, fouilles réalisées par l'INRAP fin 2011[14]).

    Période romaine

    Une voie romaine, allant de Saintes à Angers[15], coupait la Sèvre Niortaise au Gué de la Grange à 1 km environ du bourg actuel[16], d'ou le nom de la RD 123 « Route de Gué Romain ».

    On ne sait pas si un pont a été construit, mais lors des fouilles de 1868, on trouvait 2 pilotis distants de 50 mètres (un moulin ou une sorte d'écluse ?[17]).

    Le Moyen Âge et les Chrétiens

    On retrouve à Ste Maigrine un pilier qui proviendrait d'une ancienne chapelle[18] détruite vers la Révolution. Deux autres chapelles existaient à Nozière et Sainte Catherine. L'église de la Sainte Trinité située dans le bourg de Coulon a été fondée vers 830, puis reconstruite au XIe siècle en style roman.

    Plusieurs batailles et invasions ont eu lieu :

    vers 730 : bataille de Benet avec un camp retranché sur la butte de Champ Moireau (Camp des Maures)[19] ;

    vers 843 : invasions normandes[20] ;

    vers 1242 : bataille de St Louis contre les Barons Poitevins[21].

    Puis les guerres de Religion : de nombreux protestants se sont cachés dans les roselières du Marais.

    Aménagement du Marais Mouillé

    Les premiers aménagements du marais mouillé de Coulon ont commencé avec Napoléon Ier qui prend en 1808 un décret d'aménagement de la Sèvre Niortaise: elle a été redressé au niveau du bourg. Puis avec Louis-Philippe Ier qui ordonne de creuser de nombreux canaux dans le marais mouillé dont l'ouverture de la Rigole de la rive droite, dont la section du Mazeau à la Sèvre, au-dessous de Coulon, a été achevée en 1859.

    Politique et administration

    Un arrêté préfectoral du 26 février 1973 effectif au 1er mars 1973 associa Sansais à la commune de Coulon qui prit alors le nom de Coulon-Sansais mais un arrêté préfectoral du 1er décembre 1980 effectif le 1er janvier 1981 défit cette association et chacune des deux communes reprit son administration et son nom.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[22]
    Période Identité Étiquette Qualité
    André Chatelet    

    (décès)
    Louis Tardy    
    Pierre Valaud   Premier adjoint, maire ad interim
    André Cramois
    Gendre de Louis Tardy
      Conseiller d’État
    Maurice Moinard PS  
    Pierre Rousseau[23]   Retraité du secteur bancaire
    Jacques Rousseau    
    Michel Grasset DVG  

    (décès)
    Albert Cheminet DVG  
    Michel Simon DVG Directeur de la Niortaise des Eaux
    7e vice-président de la CA du Niortais (2014 → )
    Réélu en 2014[24]
    En cours Anne-Sophie Guichet DVD [25]

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[26].

    Démographie

    À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Coulon, cela correspond à 2004, 2009, 2014[27], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, etc.) sont des estimations légales.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3928751 4181 5071 4801 6011 6521 7311 755
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8141 7751 8101 7521 7401 7771 7491 7851 753
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6481 6421 5831 4061 4441 4711 4701 4561 403
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 4081 4611 9751 6601 8702 0742 1802 2112 250
    2018 - - - - - - - -
    2 262--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Promenade en barque au départ de Coulon.

    Coulon a longtemps vécu avant tout de l'élevage et d'une agriculture à cycle court. Aujourd'hui la localité s'appuie principalement sur le tourisme, comme en témoignent hôtels, restaurants et chambres d'hôtes qui accueillent plusieurs mois par an un grand nombre de visiteurs, seuls ou en groupes. C'est le principal point de départ de la région pour les traditionnelles promenades en barques plates – localement dénommées « batais » –, avec ou sans batelier-guide, mais on peut également la découvrir en louant des bicyclettes ou en empruntant un petit train.

    Le village a fait partie de l'association « Les Plus Beaux Villages de France » jusqu'en janvier 2009. Depuis le 14 octobre 2015, Coulon est devenue une « Petite cité de caractère ».

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La Maison du Marais poitevin sur la place de la Coutume.
    L'église de la Sainte-Trinité.
    • Maison du Marais poitevin : ancienne résidence des percepteurs du droit coutumier (d'où son nom précédent de « Maison de la Coutume ») qui prélevaient des taxes sur les marchandises transportées sur la Sèvre niortaise par les bateliers, afin d'entretenir les voies d'eau. Cette maison accueille aujourd'hui un écomusée. Le musée, boutique, et accueil sont gérés par une association, les locaux ont été rachetés par le département en 2020[30]. Sur la façade nord de cette maison, on y trouve une fenêtre à meneaux, ainsi qu'un pigeonnier.
    • Port et place de la Coutume avec sa libellule (œuvre de Brigitte Belaud). Cette place doit son nom aux droits instaurés dès le XIVe siècle et payés pour toute marchandise passant sur la Sèvre. Le droit de "Grande Coutume" sont perçus pour les marchandises allant en montant et descendant entre Niort et Marans. La "Petite Coutume" (ou droit de quai, « le rivage » levé dans chacun des nombreux petits ports des différents villages maraîchins) pour les transports entre Coulon et La Garette. Les droits de coutume sont supprimés en 1802 et remplacés par les droits de navigation.
    • Centre socioculturel du Marais (ancienne maison-auberge sur le port de la Coutume)
    • Église de la Sainte-Trinité : fondée en 830 par les moines de Charroux, l'église a été plusieurs fois reconstruite[31], à l'époque carolingienne, puis à l'époque romane. Restaurée au XVe siècle après la guerre de Cent Ans, elle a été incendiée en 1569. Au moment de la révocation de l'Édit de Nantes, 158 protestants y ont abjuré leur foi. Les autres se sont réfugiés dans le marais ou ont choisi l'émigration. Pendant la Révolution elle a été utilisée comme grange à foin, puis partiellement reconstruite au XIXe siècle. La façade sud de l'église (à droite sur la photo ci-contre) est dotée d'une sorte de "tour de guet" dont l'usage n'est pas connu et non pas d'une chaire extérieure comme décrit trop souvent (l'abbé Loth, qui fut curé de Coulon de 1912 à 1929, dans ses bulletins paroissiaux, comme dans ses autres écrits, qui bien sûr connaissait bien son église et son histoire n'a jamais mentionné l'existence d'un "prêchoir extérieur"[32]) D'autres arguments viennent en contradiction de l'utilisation en tant que prêchoir : au pied de cette tour se trouvait avant, l'ancien cimetière et le jardin de la cure.

    Une litre funèbre du XVIIe siècle est peinte au dessus de la porte de la façade sud, masquée pendant la révolution, et restaurée en 1990. Cette église fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [33].

    • Quai Louis-Tardy avec les différents embarcadères et leurs barques traditionnelles
    • Ruelle du Faisan (faisant partie d'une douzaine de venelles piétonnes, "passage à brouettes" avec puits, pompes à main et passages à travers les maisons)
    • Place de la Péchoire, du nom de la "pescherie" qui dépendait du moulin de Payré situé sur la Sèvre au sud de la Place. L'anciens cours[pas clair] de la Sèvre passais par cette place avant le comblement et le redressement de la Sèvre pour le lit actuel en 1808
    • Logis de Glandes (des écrits du XVIIIe siècle parlent d'une seigneurie de Glandes). Actuellement on y retrouve plusieurs bâtiments dont un pigeonier[Quoi ?]. Certaines pièces architecturales "anciennes" peuvent être observés (meurtrière, linteau sculpté...)
    • Château de la Perrine
    • Logis de Maurepas (avec un pigeonnier visible depuis la route ou le chemin de halage)
    • La "Maison aux volets bleus": visible depuis la route des bords de la Sèvre Niortaise à Coulon, mais la maison est sur une parcelle de la commune de Sansais.
    • Sites mégalithique : deux sites ont été fouillés à Montigné en 1978 et aux Grands Champs en 2011 (sur un troisième site a été retrouvée une roue de char funéraire en bronze au Champ du Maréchal, maintenant exposée dans le musée du Donjon a Niort[34] et sur un quatrième à Thorigné a été retrouvé un crochet à viande)
    • Les bords de la Sèvre Niortaise: le chemin de halage rive droite a été réhabilité pour la pratique du vélo entre Coulon, Magné et le centre ville de Niort.
    • Ecole Publique de Coulon (construite en 1934[35])
    • La Sotterie, avec une écluse, différents barrages (point de rencontre de plusieurs canaux). Mais aussi on y trouve une auberge et de multiples petites maisonnettes servant de résidence secondaires avec un accès à une conche depuis le jardin.
    • Le pont d'Irleau (pont des révérences) avant la construction de ce pont en 1929, il avait été construit une passerelle métallique en 1888. Cette ancienne passerelle métallique a été démontée pour être reconstruite quelques centaines de mètres plus en aval, entre la commune du Mazeau et Irleau.
    • Ancienne laiterie (rénovée par le parc du Marais Poitevin) qui est maintenant occupée par une conserverie et une brasserie. Durant l'été s'y déroule diverses animations.

    Personnalités liées à la commune

    Sports

    Marathon

    Coulon est le lieu de départ et d'arrivée du « Maraisthon », événement sportif annuel au mois de juin, qui comporte plusieurs courses pédestres, dont un marathon dans le Marais poitevin[36].

    Rallye du Marais

    Tous les derniers week-end de Juin, se déroule en fin de soirée un défilé déguisé d'équipages en canoë sur la Sèvre Niortaise. Ses équipes vont ensuite parcourir toute la nuit les conches du marais entre Coulon, Sansais et Magné à la recherche d'indices tout en résolvant des énigmes. Cette épreuve est unique en France ; organisée par le club du Canoë-Kayak Niortais, cette manifestation existe depuis 1973[37].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Étienne Clouzot, Les marais de la Sèvre Niortaise et du Lay du Xe à la fin du XVIe siècle, H. Champion, 1804, 282 p.
    • Perceau, Louis, 1883-1942., Contes du Marais poitevin, La Crèche, la Geste, dl 2017, 176 p. (ISBN 978-2-36746-691-0 et 2367466912, OCLC 1018394357, lire en ligne), récits sur Coulon et ses environs au début du XXe siècle, (ce sont les Contes de la Pigouille).

    Filmographie

    • Coulon, Venise verte, film documentaire de Cristian Renazeau, 2006 (DVD)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Coulon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Niort », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Page 649, (ISBN 2600028838).
    10. « Histoire - Ville de Coulon », sur www.ville-coulon.fr (consulté le ).
    11. Gaetan Brossard, « Sainte Macrine – Sainte Colombe – Sainte Pezenne (2/4) | geneablog79 » (consulté le ).
    12. Jean-Pierre PAUTREAU, « Le Coteau de Montigné à Coulon », Groupe Vendéen d'études Préhistoriques, (lire en ligne).
    13. Jacques Briard, « J.-P. Pautreau 1036 avant J.-C. Coulon », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 92, no 4, , p. 420–420 (lire en ligne, consulté le ).
    14. « Coulon (79), ferme gauloise et vestiges carolingiens au bout des truelles - Archéologie poitevine », sur adane.canalblog.com, (consulté le ).
    15. Maurice Marsac, « Découverte aérienne d'une voie antique au Nord-Est du Golfe des Pictons », Norois, vol. 97, no 1, , p. 169–174 (DOI 10.3406/noroi.1978.3683, lire en ligne, consulté le ).
    16. Tabaries de Grandsaignes, Les deux Pirogues monoxyles (lire en ligne), p. 770.
    17. Edmond Roy, Description d'armes et d'objets divers trouvés dans la Sèvre Niortaise.
    18. « Sainte Maigrine », sur histoirecoulon.jimdofree.com.
    19. « Histoire de la commune », sur www.mairie-benet.fr (consulté le ).
    20. « 853 - Invasion des normands », sur histoirecoulon.jimdofree.com.
    21. « 1242 - Les barons poitevins contre Saint Louis », sur histoirecoulon.jimdofree.com.
    22. Liste des maires de Coulon de 1794 à aujourd'hui
    23. « Décès d’un ancien maire de Coulon (79), M. Pierre Rousseau : le devoir accompli », Actualités Coulon Marais Poitevin, (lire en ligne).
    24. « Michel Simon réélu », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    25. « Anne-Sophie Guichet élue maire », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    26. Site des villes et villages fleuris, consulté le 6 février 2021.
    27. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « https://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/commune/coulon/le-departement-rachete-la-maison-du-marais-poitevin-a-coulon-pour-700-000 », sur lanouvellerepublique.fr (consulté le ).
    31. Notice no IA79001187, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. Jean-Louis GIBAULT, « Recherche réalisée par Messieurs Jacky CARRIO,Jean-Louis GIBAULT et Madame Maryse COURSAUD, auteurs d'un livre paru sur COULON ».
    33. Notice no PA00101223, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Bulletin de la Société préhistorique française ».
    35. « L'Ecole publique de Coulon », sur histoirecoulon.jimdofree.com.
    36. « Le Rallye du Marais | Canoë Kayak Niortais » (consulté le ).
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