Cléon-d'Andran
Cléon-d'Andran est une commune française, dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Cléon-d'Andran | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Montélimar-Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Fermin Carrera 2020-2026 |
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Code postal | 26450 | ||||
Code commune | 26095 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cléonnais, Cléonnaises | ||||
Population municipale |
879 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 86 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 36′ 43″ nord, 4° 56′ 11″ est | ||||
Altitude | Min. 165 m Max. 222 m |
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Superficie | 10,25 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Montélimar (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Dieulefit | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Village circulaire typique des villages fortifiés, il est situé au cœur de la plaine des Andrans dont il est le centre commercial.
Géographie
Localisation
Cléon-d'Andran est situé à 20 km à l'est de Montélimar.
Marsanne | Roynac | Roynac Puy-Saint-Martin |
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Marsanne | N | Puy-Saint-Martin | ||
O Cléon-d'Andran E | ||||
S | ||||
Saint-Gervais-sur-Roubion | La Bégude-de-Mazenc | Charols |
Hydrographie
La commune est arrosée :
- au nord, par le ruisseau l'Ancelle ;
- au sud, par le ruisseau le Roubion.
Voies de communication et transports
Cléon-d'Andran est le nœud routier de la plaine des Andrans.
Urbanisme
Typologie
Cléon-d'Andran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,5 %), zones urbanisées (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %), forêts (0,4 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site Géoportail (carte IGN)[9] :
- Arbrepin
- Bec de Jus
- Bramefaim
- Chalaye
- Champrond
- Château de Genas
- Fragène
- la Commanderie
- la Condamine
- l'Argelas
- le Bûchelier
- le Moulin
- les Andrans
- les Aubes
- les Blaches
- les Brignes
- les Eygrettes
- Miomeye
- Mollans
- Riosset
- Sérina
- Serre Fournier
Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :
- Andran est un quartier attesté[10] :
- en 1391 : Andrans (choix de documents, 214) ;
- en 1480 : in Andrancio (archives de la Drôme, E 384) ;
- en 1446 : in Andrancii (inventaire de la chambre des comptes) ;
- au XVIe siècle : ce quartier n'est qu'une forêt ;
- en 1891 : Andran, quartier des communes de Cléon-d'Andran, de Bonlieu, de La Laupie et de Saint-Gervais.
Toponymie
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[11] :
- 956 : villa de Clovo (cartulaire de Saint-Chaffre, 6).
- 1217 : Cleus (cartulaire de Saint-Chaffre, 40).
- 1219 : villa de Cliuvo (cartulaire de Saint-Chaffre, 41).
- 1266 : Clivum (cartulaire de Saint-Chaffre, 44).
- 1332 : Cleou ((Gall. christ., XVI, 130).
- 1336 : Clivo on Andrans (cartulaire de Montélimar, 43).
- 1381 : villa de Clivo (Valbonnais, II, 162).
- 1391 : Cliau d'Andrans (choix de documents, 278).
- 1399 : Cliau d'Andrans (choix de documents, 214).
- XVIe siècle : mention du prieuré : prior de Clivo d'Andrans (pouillé de Valence).
- 1467 : Cleu en Andrans (archives de la Drôme, E 2500).
- 1480 : Clivum in Andrancio (archives de la Drôme, E 384).
- 1509 : mention de l'église Saint-Sauveur : ecclesia Sancti Salvatoris Clivi de Andrancio (visites épiscopales de Valence).
- 1540 : mention du prieuré : prioratus Clivi d'Andaures (pouillé de Valence).
- 1549 : Claudandrans (rôle de décimes).
- 1549 : mention de la paroisse : cura Clivi d'Andrans (rôle de décimes).
- 1598 : Cluy en Odrans (Lacroix, L'arrondissement de Montélimar, II, 351).
- 1610 : Clion (archives de la Drôme, E 6215).
- 1621 : Cléon (archives de la Drôme, E 6220).
- 1636 : Cleu d'Endran (archives de la Drôme, E 6241).
- 1650 : le Cliou d'Andrans (Planel, notaire à Crest).
- 1788 : Cléou Dandran (alman. du Dauphiné).
- 1891 : Cléon-d'Andran, commune du canton de Marsanne.
Étymologie
D'après Albert Dauzat et Charles Rostaing (ces deux anciens chercheurs sont aujourd'hui fortement critiqués)[12] :
- Cléon : le nom de Cléon serait une mauvaise graphie pour Cléou (du latin clivus « pente »).
- Andran : Andran pourrait être l'ancien nom du village dérivé d'un nom de personne Anteran, variante de Antheron (cf. La Roque-d'Anthéron).
Autres sources :
Histoire
Antiquité : les Gallo-romains
La plaine des Andrans semble avoir été habitée par les Gallo-Romains comme en atteste la découverte en 1868 par Joseph Chalons d'une urne contenant 7 000 médailles lenticulaires en argent[15] ainsi que d'une pierre tumulaire datée de la fin du IIe siècle ou du début du IIIe siècle[16].
Ancienne villa romaine[1].
Du Moyen Âge à la Révolution
La seigneurie[11] :
- Au point de vue féodal, Cléon-d'Andran était une terre (ou seigneurie) des Adhémar.
- Possession de l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem (les Hospitaliers[1]).
- 1269 : la terre passe aux comtes de Valentinois.
- (un acte de 1269 mentionne la cession par cet ordre du fief de Cléon d'Andran à Aimard de Poitiers, comte de Valentinois[réf. nécessaire]).
- 1295 : elle est cédée aux Taulignan.
- 1533 : passe aux Urre [Eurre].
- 1679 : vendue aux Sillol.
- Vers 1714 : elle passe (par héritage) aux Marsanne (les Marsanne-Fontjuliane[13]).
- 1782 : elle est vendue aux Moutiers, derniers seigneurs (cédée le à Antoine Moutier[13]).
François-Alexandre Aubert de la Chesnaye-Desbois a étudié ces familles[17].
1523 : Le seigneur Germain d'Urre, chevalier et capitaine, seigneur des Baumettes, acquiert « les château, lieu, district et mandement de Cléon-d'Andran, avec toute juridiction, et domaine, maisons, forts, prés, vignes à Cléon et Roynac, hommes, femmes, bois, devés, fours, fournages, moulins, moutures, hommages, bans, pâturages, herbages, glandages, eaux, rivières, chemins, directes, lods, douzains, treizains, cinquains, tâches, censes, services, corvées, chevalages et autres droits seigneuriaux, moyennant le prix de 3 000 écus d'or au soleil ». Selon le marquis de Genas, ce serait ce même Germain d'Urre qui introduisit le vingtain à coup de bâton[18].
1606 : La querelle du vingtain :
Une longue querelle judiciaire opposa d'une part le marquis de Genas et la famille de Sillol, et d'autre part (et ce, pendant près de deux siècles), la commune de Cléon-d'Andran à la même famille à propos du vingtain, un ancien impôt auquel il prétendait exonérer, tout comme les habitants de la commune. Cette taxe consistait pour les habitants d'un lieu ou d'un village à payer la vingtième partie des grains, à une personne (généralement noble) en échange de sa protection et sous la condition expresse qu'il entretiendrait à ses dépens les murs et les portes du bourg.
Selon André Lacroix, Pierre d'Urre-Mollans, ayant obtenu des lettres dites de fendis de la chancellerie de Dauphiné, le 11 avril 1606, pour obliger « les manants et habitants de Cléon » à lui reconnaître de nouveau le vingtain accoutumé des grains et du vin, fit assigner les récalcitrants devant son juge ordinaire. Les consuls, prenant fait et cause pour eux, et peu rassurés sur l'impartialité d'un magistrat nommé et révocable par le seigneur lui-même, portèrent la cause au parlement de Grenoble, dans l'espoir que la cour exigerait communication des titres anciens où le vingtain se trouvait stipulé. Mais Pierre d'Urre se contenta de répondre « même avec serment, pardevant le sieur conseiller et commissaire en cette partie député », qu'il n'avait aucune reconnaissance de ce genre et basait sa demande sur une simple possession longtemps incontestée. le 12 mai 1607, un arrêt d'appointement débouta les habitants de Cléon de leur opposition et maintint Pierre d'Urre en la jouissance du vingtain des grains et du vin, à la forme de l'acte de 1467 et des reconnaissances de 1538 et 1539[14].
Un arrêt du Grand Conseil, confirmatif de ceux du Parlement du Dauphiné, confirmera, en 1787, le bien-fondé de cet impôt[14].
1617 et 1621 : les troupes protestantes du seigneur d'Urre (seigneur du lieu) stationnent au village et le rançonnent[réf. nécessaire].
1649 : les troupes du régiment des chevau-légers viennent s'installer à Cléon[réf. nécessaire].
1660 (démographie) : 40 chefs de famille[11].
1679 (7 septembre) : Jacques d'Urre vend à Alexandre de Sillol, seigneur de Saint-Vincent-de-Barrès, « la terre de Cléon, avec ses droits et revenus, four, moulins, grange, vingtain, pigeonnier, faculté de dériver l'eau du Roubion, suivant l'arrêt du Parlement de Grenoble, du 23 décembre 1513 » et ce, moyennant 52 000 livres et 100 louis d'or d'épingles[13].
Avant 1790, Cléon-d'Andran était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à saint Sauveur, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Augustin (dépendant de l'abbaye de Saint-Thiers de Saou) à laquelle il fut uni au XVIIe siècle. Le prieur prenait la dîme et l'évêque diocésain nommait à la cure[11].
Les Hospitaliers
Le village semble avoir accueilli les dépendances d'une petite commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem située à Manas[19].
De la Révolution à nos jours
En 1790, Cléon-d'Andran fait partie du canton de Marsanne[11].
1799 (démographie) : 431 habitants[11].
1885 : décision du conseil municipal de démolir les deux portes d'entrée du village, trop étroites[20].
1943 : les 21 février, 8 et 10 mars, à la suite d'une dénonciation[21], les nazis, accompagnés de miliciens, effectuent trois rafles de villageois et de juifs cachés dans le village, dont Robert Rothschild. Quinze hommes sont arrêtés et déportés. Seuls trois reviendront[22].
1944 : du 21 au 30 août, lors de la bataille de Montélimar, Cléon-d'Andran, comme les villages alentour, verra s'affronter la 6th U.S. Infantry Division (soutenue pour partie par la 45th U.S. Infantry Division) dans un plan audacieux imaginé par le colonel F.F.I. André Zeller, et différents éléments de la 19e armée allemande, dont le 11e Panzer-Division et la 19e D.I positionnée sur l'axe Cléon / Marsanne[23].
Politique et administration
Liste des maires
Rattachements administratifs et électoraux
La commune est comprise dans l'arrondissement de Die, dans le canton de Crest.
Elle est également une commune adhérente de la communauté d'agglomération de Montélimar Agglomération qui comprend vingt-sept communes et dont le siège est situé à Montélimar.
Auparavant, la commune était rattachée à la communauté de communes du Val de Drôme en Biovallée.
Jumelages
Wasenberg |
- Wasenberg (Allemagne)
Jumelée depuis 1967 avec Wasenberg, devenue depuis la réforme administrative de 1974 une section de la commune de Willingshausen (Hesse). Échange annuel en juillet à Cléon et en août à Wasenberg. Une association gère ces rencontres : « Amicale Wasenberg-Cléon »[26].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2018, la commune comptait 879 habitants[Note 3], en diminution de 0,34 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,05 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Grenoble.
- Les élèves commencent leur scolarité à Cléon-d'Andran, à l'école maternelle et primaire du village, qui compte 4 classes pour 89 enfants[31].
- Ils continuent ensuite, toujours sur la commune, au collège Olivier de Serres, qui en 2020 accueille 524 élèves répartis dans 20 divisions : 5 classes de 6ème, 5 classes de 5ème, 5 classes de 4ème, et 5 classes de 3ème [32].
Santé
- Une maison médicale regroupe plusieurs médecins, infirmiers et orthophonistes[réf. nécessaire].
- Une pharmacie[réf. nécessaire].
- Un cabinet dentaire[réf. nécessaire].
- Un kinésithérapeute[réf. nécessaire].
Manifestations culturelles et festivités
Loisirs
- Pêche et chasse[1].
- Un boulodrome[34].
Sports
La commune est équipée d'un gymnase et d'un terrain de football [34].
Cultes
La paroisse catholique dépend du diocèse de Valence, doyenné de Cléon-d'Andran[35].
Économie
Agriculture
En 1992 : céréales, porcins, ovins[1].
Commerce et artisanat
Cléon-d'Andran, en tant que nœud routier de la plaine des Andrans, dispose d'un nombre important de commerces et d'artisans qui en fait l'un des villages français ayant le taux de commerce par habitant le plus élevé [36].
- La biscuiterie Cro' Deli Drôme est réputée pour ses pognes et ses biscuits d'apéritifs.
- La brasserie Markus s'installe en 2020.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Tracé de l'enceinte circulaire constituée d'une muraille doublée d'un fossé en eau comblé au XIXe siècle[réf. nécessaire].
- Château de Genas (XVIIe siècle) est classé monument historique (ISMH) ainsi que son parc. Il possède une « façade décor » de style italien avec un escalier à double révolution. Ouvert au public lors des Journées internationales du Patrimoine. Diverses manifestations théâtrales et musicales pendant l'été. Il est situé à 900 m à la sortie du village sur la route de Marsanne[réf. nécessaire].
- Maisons anciennes, porches médiévaux, fenêtre Renaissance[1].
- Fontaine des Éléphants[1].
- Fermes fortes à cours intérieures[1].
- Église Saint-Sauveur (romane), doté d'un clocher de type savoyard[1] à la suite d'une décision du conseil municipal de 1898 de remplacer l'ancien clocher qui menaçait de s'écrouler[16].
Personnalités liées à la commune
Héraldique, logotype et devise
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Cléon-d'Andran possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
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Annexes
Bibliographie
- 2001 : Cléon d'Andran, un siècle de vie rurale en Drôme Provençale (2001), retraçant la vie de la commune de 1900 à 2000 en images.
- 2004 : Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éd. Créaphis, 2004, 192 pages.
- 2006 : 1800-1900, Chronique d'un siècle, canton de Marsanne, faits et méfaits divers, 2006.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Cléon-d'Andran sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2007.
- Ressource relative à la géographie :
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), p. Cléon-d'Andran.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 7 (Andran).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 91 (Cléon-d'Andran).
- Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, 1979, page 196, (ISBN 2-85023-076-6).
- Société d'archéologie et de statistique de la Drôme Valence, Bulletin, (lire en ligne).
- André Lacroix, L'arrondissement de Montélimar : géographie, histoire & statistique, Librairies Combier et Nivoche, (lire en ligne).
- Adolphe, baron de Coston, Étymologies des noms de lieu du département de la Drome : avec l'indication des familles qui les ont possédés à titre de fief, Chez A. Aubrey, (lire en ligne).
- Jean-Claude Chalon, Cléon d'Andran, retour vers le passé, Comité des fêtes de Cléon d'Andran, (ISBN 2-9510786-0-9).
- François-Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de la France, l'explication de leurs armes et l'état des grandes terres du royaume : On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique et historique des maisons souveraines de l'Europe et une notice des familles étrangères, les plus anciennes, les plus nobles et les plus illustrés, Schlesinger frères, (lire en ligne).
- François-Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse, , 956 p. (lire en ligne), p. 712.
- Benoît Beaucage, « Une énigme des hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem : le déficit chronique des commanderies du moyen Rhône, au prieuré de Provence, en 1338 », Provence historique, no Fascicule 120, tome 30, , p. 137-164 (lire en ligne).
- Jean-Claude Chalon, Cléon d'Andran, retour vers le passé, Comité des fêtes de Cléon d'Andran, (ISBN 2-9510786-0-9).
- Gilbert Sauvan, Le clairon de la liberté, (ISBN 978-2-95301-380-1).
- « Musée de la résistance en ligne », sur museedelaresistanceenligne.org (consulté le ).
- « Musée de la résistance en ligne », sur museedelaresistanceenligne.org (consulté le ).
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- Site de la mairie de Cléon d'Andran, « Le maire et son équipe », sur mairie-cleon-andran.fr.
- jumelage
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- école maternelle et primaire de Cléon-d'Andran
- collège Olivier de Serres
- http://www.artdutemps-drome.com/ l'Art du temps
- équipement sportifs
- paroisse de Cléon-d'Andran
- « cadre de vie », sur e-territoires.
- piscine
- https://www.ledauphine.com/societe/2021/02/09/cleon-d-andran-deces-de-gilbert-sauvan-figure-de-la-resistance-et-de-la-politique
- https://www.peuple-libre.fr/actualite-6675-gilbert-sauvan-le-poete-du-departement
- https://data.bnf.fr/fr/14135306/gilbert_sauvan/
- http://www.e-tribune.fr/index.php/montelimar/15360-gilbert-sauvan-son-centenaire-en-son-et-images
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