Chéraute

Chéraute est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Chéraute

La mairie de Chéraute.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Christelle Mange
2020-2026
Code postal 64130
Code commune 64188
Démographie
Gentilé Sohütar
Population
municipale
1 085 hab. (2018 )
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 13′ 57″ nord, 0° 52′ 02″ ouest
Altitude Min. 127 m
Max. 558 m
Superficie 35,26 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mauléon-Licharre
(banlieue)
Aire d'attraction Mauléon-Licharre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Chéraute
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Chéraute
Géolocalisation sur la carte : France
Chéraute
Géolocalisation sur la carte : France
Chéraute
Liens
Site web www.cheraute.fr

    Le gentilé est Sohütar[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Chéraute se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 57 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 29 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Viodos-Abense-de-Bas (1,5 km), Berrogain-Laruns (1,5 km), Mauléon-Licharre (1,7 km), Garindein (3,9 km), Espès-Undurein (4,1 km), Moncayolle-Larrory-Mendibieu (4,2 km), Roquiague (5,1 km), Gotein-Libarrenx (5,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Chéraute fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[8]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule, et Basse-Soule, dont fait partie la commune.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Chéraute.

    La commune est drainée par le Saison, le Lausset, le Lausset, un bras du Lausset, le Gaillan, le lacherreca, le ruisseau Aiguette, le ruisseau Ascania, le ruisseau d'Aguerre, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 45 km de longueur totale[10],[Carte 1].

    Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[11].

    Le Lausset, d'une longueur totale de 39,3 km, prend sa source dans la commune de Sauguis-Saint-Étienne et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Narp, après avoir traversé 14 communes[12].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[14].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[15]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[13]

    • Moyenne annuelle de température : 13,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 434 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[18]et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[19],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[20]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 40 km[21], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[22], à 13,4 °C pour 1981-2010[23], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[24].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[26],[Carte 2] :

    • « le Saison (cours d'eau) », d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[27] ;
    • « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche », d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[28] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 7]est recensée sur la commune[29],[Carte 3] : le « Lausset amont et zones tourbeuses associées » (190,06 ha), couvrant 11 communes du département[30] et deux ZNIEFF de type 2[Note 8],[29],[Carte 4] :

    • le « bassin versant du Lausset et du Joos : bois, landes et zones tourbeuses » (19 519,13 ha), couvrant 23 communes du département[31] ;
    • le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Chéraute est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[33],[34],[35]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mauléon-Licharre, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[36] et 6 314 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[37],[38].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39],[40].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,6 %), zones agricoles hétérogènes (30,3 %), prairies (18,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,3 %), zones urbanisées (1,5 %), terres arables (0,7 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

    Lieux-dits et hameaux

    11 quartiers composent la commune de Chéraute[42] :

    • Aranbeltz ;
    • Arballa ;
    • Barragarri (Barragarry sur les cartes IGN) ;
    • Debata ;
    • Ekhibegia ;
    • Gañeko ibarra ;
    • Hoki (Hoquy sur les cartes IGN) ;
    • Kharrika ;
    • Narbuna ;
    • Peko ibarra ;
    • Sühastoki.

    Toponymie

    Un lavoir.
    L'église Saint-Barthélemy.
    Monument aux morts (sur le mur de l'église de Chéraute).
    Stèle à l'entrée de l'enceinte de l'église de Chéraute.

    Attestations anciennes

    Le toponyme Chéraute apparaît sous les formes Cheraltus (1224[43], titres de Barcelone[44]), Xeraute (1383[43], contrats de Luntz[45]), Xerauta (1496[43], contrats d'Ohix[46]), Sent-Barthelemi de Chéraute (1612[43], insinuations du diocèse d'Oloron[47]).

    Autres toponymes

    Aphezberro est attesté sous les formes Aspesberro, lo bordar d'Apezberro et Apesbero (respectivement 1476[43] et 1479[43] pour les deux dernières formes, contrats d'Ohix[46]).

    Les Arambeaux , ancien hameau de la commune (du basque Haranbeltz), est mentionné sous la forme L'Arambeus en 1475 (contrats d'Ohix[46]).

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Sohüta[1].

    Histoire

    Chéraute est une ancienne baronnie vassale de la vicomté de Soule[43].

    Héraldique

    Les armes de Chéraute se blasonnent ainsi :

    Écartelé aux 1 et 4 d'or au pin de sinople terrassé du même et un loup de gueules passant derrière le tronc de l'arbre ;
    aux 2 et 3 de gueules au lion d'or ;
    sur le tout de sable au lion regardant d'argent[48].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2001 Michel Béguerie    
    2001 2008 Pierre-Dominique Aguer DVD  
    2008 2010 Laurent Etcheto    
    2010 En cours Christelle Mange DIV  

    Intercommunalité

    Chéraute appartient à huit structures intercommunales[49] :

    • la communauté de communes de Soule-Xiberoa ;
    • le SIGOM ;
    • le syndicat à vocation scolaire Gaztelaïa ;
    • le syndicat AEP du Pays de Soule ;
    • le syndicat d'assainissement du Pays de Soule ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
    • le syndicat mixte forestier des chênaies des vallées basques et béarnaises.

    Chéraute accueille le siège du syndicat à vocation scolaire Gaztelaïa.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[51].

    En 2018, la commune comptait 1 085 habitants[Note 11], en diminution de 1,36 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2571 2801 3301 4941 5271 5501 5201 5071 530
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2261 2121 2501 1681 1661 1791 1031 1251 116
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1001 1201 0591 0129919799981 008987
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 0541 0471 1911 1731 1931 1041 1631 1061 099
    2018 - - - - - - - -
    1 085--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose de deux écoles : l'école primaire privée Eperra Ikastola et l'école primaire publique Gaztelaia[54]. L'école primaire privée propose un enseignement basque par immersion et l'école primaire publique un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[55].

    Économie

    L'activité est tournée vers l'agriculture (élevage et pâturages) et l'artisanat (manufacture d'espadrilles). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Des fortifications protohistoriques, inscrites aux monuments historiques en 1983, sont présentes au lieu-dit Castelgayha.
    La famille des Bela-Chéraute possédait le château du XVIIe siècle qui se dresse sur le territoire de la commune.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Barthélemy, dont les origines remontent à la fin du Moyen Âge, a été agrandie à la fin du XIXe siècle et son clocher et son porche ont été reconstruits au début du XXe siècle.

    La chapelle trinitaire de Notre-Dame de Hoquy a été construite par l'abbé Dominique Espaïn en 1936[56].

    Événements sportifs

    La commune se situe sur le trajet de la 16e étape du Tour de France 2007, qui a eu lieu le 25 juillet 2007. Le parcours de 218 kilomètres reliait Orthez à Gourette - col d'Aubisque.

    Équipements

    La commune dispose de deux écoles primaires, d'une ikastola et d'un lycée (lycée du pays de Soule).

    Personnalités liées à la commune

    • Jon Mirande, (Paris, 1925-1972) est un écrivain basque, né au sein d'une famille souletine qui émigra à la capitale française à la recherche de travail. Son père, Jean Mirande, était originaire de Garindein et sa mère, Marie d'Ayphasorho, de Chéraute.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Chéraute » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Chéraute », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Chéraute », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Chéraute », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de Chéraute », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Chéraute et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Chéraute et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Chéraute et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Chéraute », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
    8. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
    9. Carte IGN sous Géoportail
    10. « Fiche communale de Chéraute », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    11. Sandre, « le Saison ».
    12. Sandre, « le Lausset ».
    13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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    23. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    27. « site Natura 2000 FR7200790 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    54. {{http://www.mintzaira.fr/fr/services-en-basque/ecoles.html?tx_ecoles_pi1[commune]=71&tx_ecoles_pi1[cdc]=0&tx_ecoles_pi1[province]=0&tx_ecoles_pi1[category]=16&tx_ecoles_pi1[type]=0&tx_ecoles_pi1[education_mode]=0&tx_ecoles_pi1[submit]=Rechercher&id=183&L=0}}.
    55. Panneau d'information à l'entrée de l'église

    Voir aussi

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