Berrogain-Laruns

Berrogain-Laruns est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Laruns.

Berrogain-Laruns

L’église de Berrogain.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Thierry Perrot
2020-2026
Code postal 64130
Code commune 64115
Démographie
Gentilé Berrogaintar
Population
municipale
159 hab. (2018 )
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 14′ 45″ nord, 0° 51′ 48″ ouest
Altitude Min. 117 m
Max. 290 m
Superficie 2,68 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mauléon-Licharre
(banlieue)
Aire d'attraction Mauléon-Licharre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Berrogain-Laruns
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Berrogain-Laruns
Géolocalisation sur la carte : France
Berrogain-Laruns
Géolocalisation sur la carte : France
Berrogain-Laruns

    Le gentilé est Berrogaintar[1],[2].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Berrogain-Laruns se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

    Elle se situe à 55 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 30 km d'Oloron-Sainte-Marie[5], sous-préfecture, et à km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[3].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Viodos-Abense-de-Bas (1,4 km), Chéraute (1,5 km), Moncayolle-Larrory-Mendibieu (2,7 km), Espès-Undurein (2,8 km), Mauléon-Licharre (2,9 km), Garindein (5,2 km), Arrast-Larrebieu (5,5 km), Ainharp (5,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Berrogain-Laruns fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[10],[11]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[12]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule et Basse-Soule, dont fait partie la commune.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Berrogain-Laruns.

    La commune est drainée par le Saison et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[14],[Carte 1].

    Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[15].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[17].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[18]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[16]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 359 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[19] complétée par des études régionales[20] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gladie », sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein, mise en service en 1986[21]et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[22],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de précipitations de 1 293,3 mm pour la période 1981-2010[23]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 39 km[24], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[25], à 13,4 °C pour 1981-2010[26], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[27].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[29], d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[30],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[31],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Berrogain-Laruns est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[33],[34],[35]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mauléon-Licharre, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[36] et 6 314 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[37],[38].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39],[40].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,2 %), zones agricoles hétérogènes (24,1 %), forêts (23,3 %), terres arables (1,7 %), zones urbanisées (0,7 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    Trois quartiers composent la commune de Berrogain-Laruns[42] :

    Berrogain
    • Berrogaine
    Laruns
    • Larüntze
    • Zibiri

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la route départementale 2.

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Berrogain apparaît sous les formes Berroganh (1466[43], contrats d'Ohix[44]), Berroganhe (1508[43], titres de Bayonne[45]), berrogayn et berroguainh (1690[1].
    Berrogaine provient du basque berro, broussaille, et gaine, hauteur. Jean-Baptiste Orpustan[1] confirme l’étymologie « haut des broussailles »

    Le toponyme Laruns apparaît sous les graphies laruns (1096[1]), leruntz (1303[1]), Laruntz (1383[43], contrats de Luntz[46] et 1396[1]), Leruntz (1386[43], notaires de Navarrenx[47]) et laruns (1690[1]).
    Laruns pourrait provenir du basque larre, lande. Jean-Baptitste Orpustan propose, quant à lui, un composé plus ancien *laharr-un-tz, « lieu de ronceraie »[1].

    Autres toponymes

    Goynex est une ferme de la commune, mentionnée en 1520[43] dans la coutume de Soule[48]) et 1863, dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Berrogaine-Larüntze[2].

    Histoire

    Paul Raymond[43] note que « la deguerie[49] de Laruns, dépendance de la Barhoue, formait un des sept vics de la Soule ».

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2008 Jean-Baptiste Gonzalez DVG[50]  
    2008 2014 Thierry Perrot    

    Intercommunalité

    Berrogain-Laruns appartient à six structures intercommunales[51] :

    • la communauté de communes de Soule-Xiberoa ;
    • le SIGOM ;
    • le syndicat AEP du Pays de Soule ;
    • le syndicat d'assainissement du Pays de Soule ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[53].

    En 2018, la commune comptait 159 habitants[Note 10], en diminution de 4,22 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    148154139176196229208180183
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    183172143150169149142152141
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    15015812811711211110785131
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    126116139128142136112109105
    2013 2018 - - - - - - -
    166159-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (maïs et élevage). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Un gaztelu zahar (place forte protohistorique) se dresse à 279 m, au lieu-dit Larleta.

    Patrimoine religieux

    Chapelle de Laruns et son cimetière attenant

    La commune compte deux chapelles, l'une à Berrogain et l'autre à Laruns. L'une d'entre elles possède un clocher trinitaire.

    Événements sportifs

    La commune se situe sur le trajet de la 16e étape du Tour de France 2007 qui eut lieu le 25 juillet. Le parcours de 218 kilomètres reliait Orthez à Gourette - col d'Aubisque.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Berrogain-Laruns » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Berrogain-Laruns », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Berrogain-Laruns », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux (monographie), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », [éd. revue et corrigée] (1re éd. ), 244 p., 21 cm (ISBN 2867813964 et 9782867813962, OCLC 72757865, notice BnF no FRBNF40190262, présentation en ligne).
    2. Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
    3. « Métadonnées de la commune de Berrogain-Laruns », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Berrogain-Laruns et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Berrogain-Laruns et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. Stephan Georg, « Distance entre Berrogain-Laruns et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    7. « Communes les plus proches de Berrogain-Laruns », sur www.villorama.com (consulté le ).
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
    9. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    10. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    11. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    12. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
    13. Carte IGN sous Géoportail
    14. « Fiche communale de Berrogain-Laruns », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    15. Sandre, « le Saison ».
    16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    17. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    18. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    19. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    20. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    21. « Station Météo-France Saint-Gladie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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    24. « Orthodromie entre Berrogain-Laruns et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    26. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    29. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Berrogain-Laruns », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « site Natura 2000 FR7200790 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    40. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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    43. Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    44. Titres de Bayonne - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques et de la mairie de Bayonne
    45. Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    46. Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    47. Coutume de Soule de 1520, imprimée à Pau en 1760
    48. La deguerie ou degairie rassemblait plusieurs paroisses. Elles se réunissaient en assemblée générale ou Igourbe qui désignait chaque année par tirage au sort un degan. Philippe Veyrin, Les Basques, page 156 - Arthaud, 20 décembre 1975 (ISBN 2700300386).
    49. « Annuaire des Mairies des Pyrénées-Atlantiques », sur Annuaire des Mairies et Institutions de France, 2006-2007 (consulté le ).
    50. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    53. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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