Ainharp

Ainharp est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Ainharp

La mairie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Jean-Pierre Arhanchiague
2020-2026
Code postal 64130
Code commune 64012
Démographie
Gentilé Ainharbear
Population
municipale
139 hab. (2018 )
Densité 9,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 15′ 41″ nord, 0° 55′ 45″ ouest
Altitude Min. 129 m
Max. 426 m
Superficie 14,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mauléon-Licharre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Ainharp
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Ainharp
Géolocalisation sur la carte : France
Ainharp
Géolocalisation sur la carte : France
Ainharp

    Le gentilé est Ainharbear[1],[2].

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Ainharp se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

    Elle se situe à 61 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 39 km d'Oloron-Sainte-Marie[5], sous-préfecture, et à km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[3].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Espès-Undurein (4,1 km), Lohitzun-Oyhercq (4,2 km), Viodos-Abense-de-Bas (4,5 km), Mauléon-Licharre (5,4 km), Charritte-de-Bas (5,4 km), Berrogain-Laruns (5,6 km), Chéraute (6,0 km), Garindein (6,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Ainharp fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[10],[11]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[12]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule et Basse-Soule, dont fait partie la commune.

    Voies de communications et transports

    La commune est desservie par les routes départementales 75, 242 et 344.

    Lieux-dits et hameaux

    Huit quartiers composent la commune d'Ainharp[14] :

    • Arroaga
    • Elizatea
    • Esteka
    • Estekaxiloa
    • Lagardoi
    • Leizeagamendi (Leiziagamendi sur les cartes IGN)
    • Palazenea
    • Lanbaraxiloa.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier d'Ainharp.

    La commune est drainée par le Lafaure, le Borlaas, le ruisseau Quihilliri et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13,24 km de longueur totale[15],[16].

    Le Lafaure, d'une longueur totale de 16,7 km, prend sa source dans la commune de Lohitzun-Oyhercq et s'écoule du sud vers le nord. Il longe la commune sur une frange nord-ouest et en constitue la limite séparative, puis se jette dans le Saison à Espiute, après avoir traversé 5 communes[17].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[20]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[18]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 377 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[21] complétée par des études régionales[22] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[23]et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[24],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[25]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 43 km[26], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[27], à 13,4 °C pour 1981-2010[28], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[29].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[31],[Carte 1] :

    • « la Bidouze (cours d'eau) », d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[32] ;
    • « le Saison (cours d'eau) », d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[33].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[34],[Carte 2] : les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[35].

    Urbanisme

    Typologie

    Ainharp est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[36],[37],[38].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39],[40].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (52,3 %), forêts (30,5 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Ainharp apparaît sous les formes Ayharp (1472[42], notaires de Labastide-Villefranche[43]), Ainharp (1479[44]), l'Espitau d'Anharp et Aynharp (1479[42] pour ces deux formes, contrats d'Ohix[45]), Aignharp (1608[42], insinuations du diocèse d'Oloron[46]) et Ayharp (1690[44]).

    Étymologie

    Jean-Baptiste Orpustan propose deux lectures étymologiques, soit « bas des bruyères » à partir d'ilharr bruyère ») et -be (pour behere : « bas ») ou « hauteur au bas des rochers » (de gain, « haut » et har, « rocher ») que justifierait la position haute de ce village, sur la rive gauche du Saison.

    Autres toponymes

    Carricaburu, ferme d’Ainharp, est indiqué sous la graphie Carricaburue en 1479[42] (contrats d'Ohix[45]).

    Habiague est une autre ferme de la commune, dont la référence est également présente dans les contrats d’Ohix (1476[42]).

    L'hydronyme Lafaure apparaît sous les formes la Phaura en 1538[42] (réformation de Béarn[47]) et la Phaure et 1863[42].

    Lambare est mentionné sous la forme lo bedat de Lambarre (1476[42], contrats d'Ohix[45]).

    Le chemin Mercadieu, mentionné dans le dictionnaire de 1863[42], est indiqué en 1479[42] dans les contrats d’Ohix[45] sous les graphies lo cami Mercadieu et le cami deu Mercat. Il s’étendait sur Ainharp et Espès-Undurein.

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Ainharbe[2].

    Histoire

    Paul Raymond[42] note que la commune était un ancien prieuré du diocèse d'Oloron et qu'on y trouvait un hôpital pour les pèlerins : Benta.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1774 1807 Bernard Aguerreberry    
    1807 1820 Armand Oyhenburu    
    1820 1848 Jean Etchart    
    1848 1852 Martin Salamendy    
    1852 1854 Jean Etchart    
    1854 1855 Alexandre Bente    
    1855 1858 Pierre Mercabide    
    1858 1871 Bernard Etchart    
    1871 1874 - Echeberry    
    1874 1880 Marc Iratchet    
    1880 1884 Marc Barneche    
    1884 1885 Joseph Armagnague    
    1885 1888 Roch Guiresse    
    1888 1892 Marc Barneche    
    1892 1908 St Jean Etchart    
    1908 1929 Francois Barneche    
    1929 1950 Jean Guiresse    
    1950 1959 François Elissiry    
    1959 1971 Jean-Pierre Aguer    
    1971 1983 Jean Lascaray    
    1983 En cours Jean-Pierre Arhanchiague UMP puis LR Retraité agricole

    Source : mairie d'Ainharp 2011.

    Intercommunalité

    Ainharp appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale et du syndicat intercommunal de la Vallée[48].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].

    En 2018, la commune comptait 139 habitants[Note 10], en augmentation de 0,72 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    402341456340411433408416390
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    381400385345333304292294267
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    272270294278267254266255221
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    208194186181161142148145144
    2018 - - - - - - - -
    139--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire publique[53].

    Économie

    L'activité est essentiellement agricole (maïs et élevage). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture et patrimoine

    Patrimoine religieux

    La commune possède une église dont l'origine remonte au XIe siècle et un clocher-calvaire du XVIIe siècle. Son cimetière arbore des stèles discoïdales datant de l'époque du clocher.
    Le village se situe sur un chemin secondaire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle[54] qui passait sur la grand-route des Ports de Cize, du prieuré de Saint-Palais à celui de Saint-Michel-le-Vieux, et disposait d'un hospice de pèlerins, Benta, tout comme L'Hôpital-Saint-Blaise, Osserain, Pagolle, Roquiague, Haux, Larrau et Ordiarp.

    Équipements

    La commune dispose d'une école primaire[55].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[30].
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Ainharp », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    2. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Ainharp », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
    2. Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
    3. « Métadonnées de la commune d'Ainharp », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Ainharp et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Ainharp et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. Stephan Georg, « Distance entre Ainharp et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    7. « Communes les plus proches d'Ainharp », sur www.villorama.com (consulté le ).
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
    9. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    10. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    11. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    12. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
    13. Carte IGN sous Géoportail
    14. « Fiche communale d'Ainharp », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    15. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
    16. Sandre, « le Lafaure ».
    17. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    18. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    19. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    20. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    21. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    22. « Station Météo-France Aicirits - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    23. « Orthodromie entre Ainharp et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    25. « Orthodromie entre Ainharp et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    26. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    27. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    28. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    29. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    30. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Ainharp », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « site Natura 2000 FR7200790 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Ainharp », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    34. « ZNIEFF les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    35. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    37. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    38. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Mauléon-Licharre », sur insee.fr (consulté le ).
    39. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    40. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    41. Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque - Paul Raymond
    42. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    43. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux (monographie), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », [éd. revue et corrigée] (1re éd. ), 244 p., 21 cm (ISBN 2867813964 et 9782867813962, OCLC 72757865, notice BnF no FRBNF40190262, présentation en ligne).
    44. Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    45. Insinuations du diocèse d'Oloron, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrits du xviie siècle..
    46. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle »..
    47. Comersis, « Liste des groupements d'Ainharp ».
    48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    52. Philippe Veyrin, Les Basques, page 110 - Arthaud, 20 décembre 1975 (ISBN 978-2-7003-0038-3).
    53. Site de l'école primaireIntsauspia

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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