Chelle-Spou
Chelle-Spou est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.
Chelle-Spou | |||||
Vue du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hautes-Pyrénées | ||||
Arrondissement | Bagnères-de-Bigorre | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses | ||||
Maire Mandat |
Noël Abadie 2020-2026 |
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Code postal | 65130 | ||||
Code commune | 65143 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chespouais | ||||
Population municipale |
116 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 25 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 08′ 15″ nord, 0° 14′ 35″ est | ||||
Altitude | Min. 279 m Max. 491 m |
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Superficie | 4,58 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Tarbes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Chespouais.
Géographie
Localisation
La commune de Chelle-Spou se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 17 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, à 11 km de Bagnères-de-Bigorre[3], sous-préfecture, et à 5 km de Tournay[4], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tournay[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Artiguemy (1,1 km), Gourgue (1,8 km), Ricaud (2,2 km), Cieutat (2,7 km), Poumarous (3,0 km), Lanespède (3,9 km), Mauvezin (4,1 km), Ozon (4,2 km).
Sur le plan historique et culturel, Chelle-Spou fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[6].
Hydrographie
L'Arros, affluent de rive droite de l’Adour, traverse la commune du sud au nord et forme la limite est avec les communes de Ricaud et Gourgue.
Le ruisseau de l'Espierra affluent de rive gauche de l’Arros, traverse la commune d’ouest en est et forme une partie de la limite sud avec la commune d’Artiguemy.
Le ruisseau de l’Arriou Darré, affluent de rive gauche de l’Arros, traverse la commune d’ouest en est au sud du hameau de Spou et forme une partie de la limite ouest avec la commune de Cieutat.
Le ruisseau de Gascorre, affluent de rive gauche de l’ Arros, traverse la commune d’ouest en est et forme la limite nord avec la commune d’ Ozon.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tournay », sur la commune de Tournay, mise en service en 1970[13]et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 998,7 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 22 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 12,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 2[Note 4] sont recensées sur la commune[20] :
Urbanisme
Typologie
Chelle-Spou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[27],[28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (54,7 %), forêts (37,8 %), prairies (7,4 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Logement
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 67[30].
Parmi ces logements, 76.2 % sont des résidences principales, 19.0 % des résidences secondaires 4.8 % des logements vacants.
Voies de communication et transports
Cette commune est desservie par la route départementale D 120.
Toponymie
On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[31] qui rapporte les dénominations historiques du village :
- Chelle-Spou est désignée sous les noms de Chelle-Dessus, puis de Chelle en 1790 et en 1801, de Chelle-Spou en 1806.
Chelle
Dénominations historiques :
- A Siela, (v. 1200-1230, cartulaire de Bigorre) ;
- Sila, (1256, contrat mariage Esquivat) ;
- Augerius de Filie, … en Auger d’Essiela ; Gastonus de Filie, … Gasto d’Essiela, (1283, procès Bigorre) ;
- Esfiele, (1285, Montre Bigorre) ;
- Gasto d’Effiele, (1285, Balencie, procès Bigorre) ;
- de Schela, (1300, enquête Bigorre) ;
- De Shela, (1313, Debita regi Navarre) ;
- De Xella Superiori, latin (1342, pouillé de Tarbes) ;
- de Xella Superiore, latin (1379, procuration Tarbes) ;
- Chelle-Dessus, (1770-1791, registres paroissiaux) ;
- Chelle-Dessus, (1790, Département 1) ;
- Chelle Dessus, (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).
Nom occitan : Shèla.
Spou
Dénominations historiques :
- de-Spor, (1313, Debita regi Navarre) ;
- de Spaone, latin (1313, Debita regi Navarre) ;
- de-Spoos, (1429, censier de Bigorre) ;
- Espou, (1745-1787, registres paroissiaux) ;
- Espou, (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).
Étymologie : du gascon espon ; du latin sponda (= versant, talus, limite, talus faisant limite).
Nom occitan : Espon.
Histoire
Le village est formé de Chelle-Dessus et de Spou, une ancienne baronnie en Arroustang.
Les d'Asson d'Argelès résidèrent au château de Chelle rasé au XVIIIe siècle.
Cadastre napoléonien de Chelle-Spou
Le plan cadastral napoléonien de Chelle-Spou est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[32].
Politique et administration
Liste des maires
Historique administratif
Sénéchaussée de Toulouse, pays de Nébouzan, viguerie de Mauvezin, canton de Bagnères puis de Bourg (1790), de Lannemezan (depuis 1801). Chelle-Spou est désignée sous les noms de Chelle-Dessus, puis de Chelle en 1790 et en 1801, de Chelle-Spou en 1806[33].
Intercommunalité
Chelle-Spou appartient à la communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses créée en janvier 2017 et qui réunit 57 communes.
Services publics
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36]. En 2018, la commune comptait 116 habitants[Note 7], en stagnation par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
Commencé après 1836, l'exode rural a particulièrement frappé Chelle-Spou jusqu'à la fin du XXe siècle où il s'est stabilisé.
Population et société
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[39].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église de l'Assomption de Chelle-Spou.
Personnalités liées à la commune
Général Minvielle[réf. nécessaire].
Héraldique
Blasonnement :
Parti : au premier d'azur à l'échelle à six échelons d'argent posée en bande et accompagnée en chef d'une étoile d'or, au second de gueules à la tour ronde d'argent maçonnée, ouverte et ajourée de sable. |
L'église en 2014. L'église en 2019.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Chelle-Spou sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Chelle-Spou », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Chelle-Spou et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Chelle-Spou et Bagnères-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Chelle-Spou et Tournay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Chelle-Spou », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Tournay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Chelle-Spou et Tournay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Tournay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chelle-Spou et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Chelle-Spou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Baronnies » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « cours de l'Arros » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « plateau et vallons des Coustalats » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Insee : Rapport statistique communal pour la ville de Chelle-Spou
- Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Chelle-Spou en 1830
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées
- « Liste des juridictions compétentes pour Chelle-Spou », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2017 et 2018.
- « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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