Chartres-de-Bretagne

Chartres-de-Bretagne est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.

Pour les articles homonymes, voir Chartres.

Chartres-de-Bretagne

L'église Notre-Dame

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Philippe Bonnin (DVG)
2020-2026
Code postal 35131
Code commune 35066
Démographie
Gentilé Chartrains
Population
municipale
8 023 hab. (2018 en augmentation de 8,49 % par rapport à 2013)
Densité 794 hab./km2
Population
agglomération
395 710 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 02′ 22″ nord, 1° 42′ 14″ ouest
Altitude Min. 16 m
Max. 50 m
Superficie 10,1 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rennes
(banlieue)
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bruz
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Chartres-de-Bretagne
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Chartres-de-Bretagne
Géolocalisation sur la carte : France
Chartres-de-Bretagne
Géolocalisation sur la carte : France
Chartres-de-Bretagne
Liens
Site web www.ville-chartresdebretagne.fr

    Avec 8 023 habitants, elle fait partie des communes les plus peuplées de Rennes Métropole.

    Géographie

    Chartres-de-Bretagne se situe à 5 kilomètres au sud-sud-ouest du centre de Rennes, la préfecture départementale et régionale.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Chartres-de-Bretagne
    Saint-Jacques-de-la-Lande
    Bruz Noyal-Châtillon-sur-Seiche
    Pont-Péan

    Géologie

    Située en plein cœur du bassin rennais, sur une structure de type « graben » issue d'un effondrement miocène, Chartres-de-Bretagne est une des rares communes bretonnes possédant des terrains calcaires, notamment des faluns.

    Ceci en fait un site particulier du point de vue écologique, en Ille-et-Vilaine les plantes calcicoles sont rares et essentiellement concentrées à cet endroit.

    Il y eut aussi présence de fours à chaux, ce qui là encore est unique en Haute-Bretagne. Les véhicules qui drainaient cette activité ont apporté des semences de plantes calcicoles plus méridionales comme les orchidées de Lormandière. Les fours à chaux représentent aujourd'hui une richesse écologique et pour le patrimoine industriel des XIXe et XXe siècles.

    Enfin, les argiles produites par l'altération de la roche-mère font de Chartres-de-Bretagne un très ancien site de poteries et plus tardivement de briques, activités qui ont cessé dans les années 1920.

    Un forage profond, piloté par le BRGM a été entrepris de juillet à septembre 2010 sur le territoire de la commune. Ce forage de 675 mètres visait deux objectifs :

    • améliorer la connaissance géologique du bassin rennais, le plus profond du Massif armoricain,
    • estimer le potentiel du bassin en matière de ressources en eau et de production d'énergie par géothermie.

    Le BRGM a réalisé le suivi technique et scientifique de ce projet[1].

    Hydrographie

    L’étang de Lormandière.

    La Seiche constitue la frontière sud de la commune tandis qu’un de ses affluents, le ruisseau d’Orson, constitue une partie de la frontière est.

    L’étang de Lormandière se situe au nord-ouest de la commune, entre le campus de Ker Lann (Bruz) et l’Usine PSA de Rennes (Chartres-de-Bretagne).

    Transports

    Chartres-de-Bretagne est desservie par la voie express Rennes - Nantes (route nationale 137). La ville est aussi reliée à Rennes par la départementale D 837, à Noyal Châtillon-sur-Seiche par la départementale D 34, à Pont-Péan par la départementale D 837 et à Bruz par la départementale D 44.

    Elle est desservie par les bus du réseau service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) de Rennes Métropole. Il y a les lignes 72, 91 et 172ex. Le quartier de la Croix aux Potiers est aussi desservi par la ligne 59.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 714 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 12,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Chartres-de-Bretagne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rennes, une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes[16] et 357 327 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (54 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (27,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (26,6 %), zones agricoles hétérogènes (21,8 %), terres arables (15,4 %), prairies (8,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente une comparaison de quelques indicateurs chiffrés du logement pour Chartres-de-Bretagne et l'ensemble de l'Ille-et-Vilaine en 2017[I 1],[I 2].

    Le logement à Chartres-de-Bretagne en 2017
    Chartres-de-Bretagne Ille-et-Vilaine
    Parc immobilier total (en nombre d'habitations) 3 993 546 440
    Part des résidences principales (en %) 93,6 86,2
    Part des résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,9 6,9
    Part des logements vacants (en %) 5,5 6,9
    Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) 57,2 59,8

    Morphologie urbaine

    Chartres-de-Bretagne dispose d'un plan local d'urbanisme intercommunal approuvé par délibération du conseil métropolitain du 19 décembre 2019[23]. Il divise l'espace des 43 communes de Rennes Métropole en zones urbaines, agricoles ou naturelles.

    Toponymie

    Chartres-de-Bretagne vient de la tribu gauloise des Carnutes, initialement habitants des alentours de Chartres (Eure-et-Loir) qui se serait installée sur le site[24],[25]. Plusieurs formes anciennes sont attestées : Cartres (1152), Chartres (1170)[26]. En 1920, le nom de la commune de Chartres a été modifié en Chartres-de-Bretagne. Le nom breton de la commune, donné par l'Office public de la langue bretonne, est Karnod [26]. La commune se nomme Chartr en gallo[27],[28].

    Histoire

    Moyen-Âge

    L’histoire de Chartres de Bretagne a été marqué par la présence, dès le Moyen Âge, d'artisans potiers.

    Au XIIe et au XIIIe siècle, la paroisse s’appelait Fontenay et avait vraisemblablement pour église l’antique chapelle du château de ce nom.

    Le château de Fontenay que desservait une ancienne voie romaine était l'une des plus anciennes et importantes seigneuries du pays de Rennes, il était muni de deux tours et possédait un jeu de paume, un mail et une motte[29]. La puissante famille Fontenay y a accueilli des dignitaires de hauts rangs comme Le duc de Bretagne François III en 1552, le roi Henri IV en 1598, Louis XIII en 1626...

    Chartres était une métairie possédée par l'abbaye de Saint-Mélaine. Les Bénédictins y avaient toutefois une église ou chapelle, dont la possession leur fut confirmée en 1158 par Josse, archevêque de Tours, en 1170 par Étienne, évêque de Rennes, et en 1185 par le pape Lucius III (cartulaire de l'abbaye de Saint-Melaine).

    Le culte paroissial fut transféré vers la fin du XIIIe siècle ou au début du XIVe siècle, dans la chapelle de la Retenue ou de la métairie de Chartres (démolie vers 1860) qui dépendait de l'abbaye de Saint-Melaine de Rennes.

    Le XIXe siècle

    Louis- Marie Berger, instituteur normalien relate qu'entre 1848 et 1855 le nombre de ses élèves progresse pour atteindre la soixantaine, mais en 1861 il n'en a plus qu'environ 25 en raison de l'extension de l'exploitation des carrières à chaux, du développement des activités de briquetterie, de poterie et de la reprise de l'extraction du minerai argentifère à Pont-Péan ; les élèves de onze, douze ans, abandonnent la classe pour les chantiers. « L'appât du gain, écrit l'instituteur, se substitue à l'amour des études »[30]

    Vers 1860, le village de la Poterie, non loin de Fontenay, devint le centre paroissial et communal, et reçut dès lors le nom de Chartres.

    Le monument aux morts

    Le monument aux morts de Chartres-de-Bretagne situé sur la sortie face sud de l'église, sculpté par Emmanuel Guérin, a été inauguré le et porte les noms[31] des soldats Chartrains sous l'épitaphe « Souvenir à nos Héros Morts pour la Patrie » durant la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale, la guerre d'Algérie et la guerre d'Indochine.

    D'autre part, une plaque commémorative est apposée dans l'église Notre-Dame-de-l'Assomption, sur le bras ouest du transept pour honorer les soldats Chartrains[32] sous l'épitaphe « Aux morts pour la France » lors de la Première Guerre mondiale. Mais aussi concernant ce conflit, un Livre d'or du Ministère des pensions est établi pour la commune de Chartres[33] suivant la Loi du 25 octobre 1919. La liste de ces enfants de Chartres-de-Bretagne morts pour la France apparaît sur le site de Mémorialgenweb[34].

    Économie

    Depuis 1960, une usine Citroën, puis PSA (construction automobile, voir l'article la concernant) est installée sur la commune au lieu-dit La Janais. L'usine qui deviendra le premier employeur de la région est inaugurée par le Général De Gaulle en 1961.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Chartres-de-Bretagne appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Bruz depuis sa création en 1982. Précédemment, la commune a appartenu aux cantons suivants : Rennes-Sud-Ouest (1833-1973) et Rennes-VIII (1973-1982).

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Mustapha Laabid (LREM). Sous la IIIe République, elle appartenait à la deuxième circonscription de Rennes, de 1958 à 1986 à la 2e circonscription (Rennes-Sud) et de 1986 à 2010 à la 4e circonscription (Redon).

    Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

    Intercommunalité

    La commune appartient à Rennes Métropole depuis sa création le . Chartres-de-Bretagne faisait alors partie des 27 communes fondatrices du District urbain de l'agglomération rennaise qui a pris sa dénomination actuelle le .

    Chartres-de-Bretagne fait aussi partie du Pays de Rennes.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[35].

    Conseil municipal actuel

    Les 29 sièges composant le conseil municipal ont été pourvus le lors du premier tour de scrutin. Actuellement, il est réparti comme suit :

    GroupeEffectifStatut
    « Chartres éco-responsable et solidaire » (DVG)29majorité

    Il est à noter que Chartres-de-Bretagne est l'une des rares communes de la métropole rennaise où aucune opposition n'est présente au conseil municipal.

    Liste des maires

    Mairie de Chartres-de-Bretagne.

    Depuis 1921, seuls quatre maires se sont succédé à la tête de la commune : Antoine Chatel, qui a succédé à son père en 1956, est resté premier édile pendant quatre décennies, ce qui en fait le maire à la plus longue longévité.

    En mars 2020, Philippe Bonnin est réélu maire pour la quatrième fois avec 100 % des voix.

    Liste des maires successifs[36]
    Période Identité Étiquette Qualité
    décembre 1919[37]  ? M. Joubaire   Chevalier du Mérite agricole
    1921 1947 Antoine Dubos   Propriétaire
    1947 1956 Antoine Chatel père
    (1899-1964)
       
    Antoine Chatel fils[38]
    (1931-2010)
    Centre droit Maire honoraire
    Vice-président du district de Rennes
    Chevalier de l'Ordre national du Mérite
    En cours
    (au 29 mai 2020)
    Philippe Bonnin
    (1954- )
    PS puis
    DVG[39],[40]
    Cadre d'entreprise, ingénieur
    Conseiller général (2004 → 2015) puis départemental de Bruz (2015 → 2021)
    Vice-président du conseil général (2008 → 2015)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[46].

    En 2018, la commune comptait 8 023 habitants[Note 6], en augmentation de 8,49 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    719757810620737757768770780
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    7487918678468759459521 0561 070
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9849018457187717637648951 005
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 7701 5793 1004 8695 5436 4676 8896 9487 006
    2013 2018 - - - - - - -
    7 3958 023-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Chartres-de-Bretagne dispose de deux écoles maternelles, l'école de Brocéliande et l'école de Sainte-Marie. Elle dispose aussi de deux écoles primaires, l'école Auditoire et l'école Sainte-Marie. Il y a le collège de Fontenay pour l'enseignement secondaire.

    Culture et patrimoine

    Monuments historiques

    Deux monuments historiques sont présents sur la commune :

    • les fours à chaux, situés entre la rue du Callouët et la rue des Fours à chaux, inscrits monument historique par arrêté du 21 mai 1987[49] ;
    • le château de Fontenay, édifié du XIIe siècle, dont il ne reste que sa chapelle édifiée en trois périodes : XIIe, XIVe et XVIe-XVIIe siècle. Celle-ci est inscrite monument historique par arrêté du 11 avril 1975[50].


    Vue de l'intérieur de la chapelle de l'ancien château de Fontenay en Chartres-de-Bretagne.

    La commune compte 24 monuments simplement inventoriés dont :


    • l'église Notre-Dame (1868 – 1873 – milieu du XXe siècle), œuvre de l'architecte Arthur Regnault[51]. La flèche est érigée en 1886-1887 ;
    • la chapelle Notre-Dame-des-Potiers ou Notre-Dame-de-Bon-Secours (XIXe siècle)[52] ;
    • la croix de l'ancien cimetière (XVIe siècle) ;
    • l'ancien presbytère (1733), situé au lieu-dit la Retenue ;
    • la ferme-manoir de la Marionnais construite en 1650[53] ;
    • le château du Marais (XVIIIe-XIXe siècle)[54] ;
    • la ferme des Peupliers (mentionnée dès le XVe siècle[55] ;
    • la ferme du moulin du bois (début XVe siècle)[56] ;
    • le manoir de la Conterie ;
    • le manoir d'Orson ;
    • le manoir de la Retenue (mentionné pour la première fois en 1418)[57].
    La marionnais.
    Le château du Marais.




    Patrimoine naturel

    Le site de Lormandière, espace naturel sensible du département d’Ille-et-Vilaine[58].

    Dans le sud de la commune se trouve « Le parc des Loisirs ». Son contour, souvent pratiqué par les coureurs, mesure un kilomètre. Dans ce parc, paisible, très fleuri, nous pouvons pratiquer quelques jeux réalisés par des structures en bois. Il contient également deux lacs, le "Grand" et le "Petit". Le petit se trouve juste à côté d'une structure de jeux pour enfants. Quant au grand, il se trouve près d'un terrain de cross appelé par les habitants : Les Bosses.

    Personnalités liées à la commune

    • Paul Le Guen a résidé dans la commune quand il était entraîneur de l'équipe du Stade rennais football club.
    • Steven Moreira, joueur du Stade rennais, est le parrain de l'école de foot de l'Espérance Chartres-de-Bretagne.
    • Emmanuel Guérin (1884-1967), est un sculpteur français ayant construit le mémorial de Chartres de Bretagne[59] devant l'église Notre-Dame
    • Henri Renault (1889-1918), né le 9 décembre 1889 au Bourg de Chartres de Bretagne, aviateur mort pour la France lorsque son SPAD VII a été abattu par erreur le 8 mai 1918 à la suite d'un tir ami australien à Bray Dunes (entre Bailleul et Hazebrouck) Nord.Henri est inhumé au cimetière britannique de la Kreule près d'Hazebrouck (Nord)
    • Fonseca Armindo a grandi dans la commune, il est coureur cycliste français, membre de l'équipe Fortuneo-Vital Concept. Sa famille habite toujours Chartres-de-Bretagne.
    • René Ruello est propriétaire d'une maison dans la commune depuis une trentaine d'années. C'est un homme d'affaires et l'ancien président du Stade Rennais Football Club.

    Héraldique

    Les armes de Chartres-de-Bretagne se blasonnent ainsi :

    Écartelé, au premier et au quatrième d’argent aux trois jumelles en bande de gueules, au deuxième de sinople à un pot d’or, au troisième de sinople à une roue dentée d’argent.

    Sports

    L'Espérance Chartres-de-Bretagne est une fédération de clubs sportifs et culturels. L'Espérance a été créée en 1941 par Antoine Châtel, Albert Launay et Constant Mérel[60].

    Chartres-de-Bretagne a un complexe sportif Rémy-Berranger composé d'une piste d'athlétisme, de quatre terrains de football, dont un stabilisé, d'une salle de gymnastique, d'une salle de basket, d'une salle de judo, de tennis, de musculation. Une « Section Foot » est organisée le jeudi de 15 h à 16 h 30 pour les jeunes collégiens.

    Une seconde salle « la Halle des sports » - située derrière le collège de Fontenay - accueille le handball, le badminton et le twirling bâton. Cette halle est également utilisée par le collège de Fontenay les jours d'école et son AS le mercredi après-midi. À cette halle des sports se trouve accolée une salle de tennis de table.

    Les sports qu'accueillent l'Espérance Chartres-de-Bretagne sont :

    • Aïkido : Espérance Chartres-de-Bretagne Aïkido
    • Athlétisme : Espérance Chartres-de-Bretagne Athlétisme. Joue pour le Stade rennais (athlétisme) lors des compétitions d'athlétisme.
    • Badminton : Espérance Chartres-de-Bretagne Badminton
    • Basket-ball : Espérance Chartres-de-Bretagne Basket-ball. Le club comporte cinq équipes de Seniors Masculine et deux équipes Seniors Féminines
    • Cercle celtique
    • Chorale. La Chorale se situe au Diapason.
    • Cinéma: Le Cinéma Espérance se situe à quelques mètres de la piscine de la Conterie, piscine la plus chaude de Bretagne.
    • Cyclotourisme
    • Fitness-musculation : Pour faire de la musculation, il faut évidemment avoir au moins 17 ans
    • Football : Le club a atteint pour la première fois de son histoire en 2017 le nombre de 426 licences réparties comme suit : 4 équipes seniors, 1 équipe vétérans, 1 équipe U19, 2 équipes U17, 2 équipes U15, 3 équipes U13, 7 équipes U10/U11 et 60 U6/U7/U8/U9. Le club a de nouveau été labellisé par la FFF avec le label jeunes excellence F.F.F. (2017/2020). le projet club déployé depuis 2014 s'appuie en outre sur des valeurs éducatives fortes qui sont intégrées dans les objectifs majeurs du club.
    • Graines de talents: Ouvert de 9 mois à 4 ans, cela consiste à bouger ses muscles et apprendre les réflexes, cela s'appelle la motricité.
    • Gymnastique dynamique et plaisir
    • Gymnastique sportive
    • Handball: Espérance Chartres-de-Bretagne Handball (club créé en 1974 et qui a atteint le niveau régional).
    • Hatha yoga
    • Judo : Espérance Chartres-de-Bretagne Judo
    • Karaté
    • Les petits polyglottes
    • Natation. Se situe à la piscine de la Conterie.
    • Pétanque
    • Plongée subaquatique (Plongée)
    • Qi gong
    • Base Jump
    • Tennis : Espérance Chartres-de-Bretagne Tennis
    • Tennis de table: Espérance Chartres-de-Bretagne Tennis de table
    • Triathlon
    • Twirling bâton : elle comporte trois épreuves :
      • La danse : la danse : recherche du beau, de l'esthétique, de l'harmonie tout en maniant le bâton
      • La gymnastique : recherche du risque, de la virtuosité par des mouvements gymniques adaptés au Twirling
      • Le maniement du bâton : développement de la dextérité.
        • Comporte aussi le théâtre et une activité Arts Plastiques et de musique. Le théâtre se déroule parfois au Diapason
        • Actuellement[Quand ?], il comprend cinq équipes de jeunes dont trois en entente et trois équipes de seniors dont deux en entente.

    Les équipes de jeunes sont notamment encadrées par des seniors lors des matchs et les entraînements sont assurés par un entraîneur diplômé.

    École de handball labellisée

    Son école de handball est labellisée école de hand - école de la vie par la Fédération Française de Handball depuis la saison 2009 / 2010. Après le Label simple la 1re année et le Label de bronze pour les 2 saisons suivantes, le club vient d'obtenir le Label d'argent.

    Depuis le début des années 2000, plusieurs équipes féminines se sont constituées en parallèle des équipes masculines. Plusieurs titres départementaux ont été gagnés par les jeunes filles de l'Espérance : saison 2007 / 2008 en F-16, saison 2008 / 2009 en F-14 et F-18, saison 2009 / 2010 en F-18, saison 2011 / 2012 en F-18 et saison 2012 / 2013 en F-18. En senior féminine, vainqueur de la Coupe du Conseil Général en 2011 et finaliste en 2012, demi-finaliste de la Coupe de Bretagne en 2013. En juin 2013, vainqueur du tournoi qualificatif pour accéder au championnat Honneur Régional.

    Pour la saison 2013 / 2014, le club a conclu une entente avec l'équipe voisine de la JA Bruz. Ce qui a permis d'engager une équipe 1 dans le championnat Honneur Régional et une équipe 2 dans le Pré-régional. Une entente a également été conclue au niveau des jeunes filles (F-17) avec Rennes Métropole Handball, afin d'offrir à ses plus jeunes joueuses la possibilités d'évoluer au plus haut niveau régional. Une équipe F-16 / -14 est engagée dans le championnat départementale d'excellence et le club accueille les plus jeunes dans son équipe mixte. Le club référencé handball féminin accueille des jeunes filles de tout le canton, voire au-delà.

    L'équipe masculine senior - qui avait à deux époques différentes évolué au niveau régional - a été reconstituée au début de la saison 2011 / 2012 par d'anciens joueurs formés au club et revenus au pays. Ils ont profité de l'émulation créée autour des féminines. Vainqueurs de leur championnat de promotion d'honneur en 2012 puis en 2013, l'équipe évolue en excellence départementale. Finaliste de la Coupe du Conseil Général et 1/4 finaliste de la Coupe de Bretagne en 2013.

    Une équipe G-16 est engagée dans le championnat départementale et le club accueille les plus jeunes dans son équipe mixte.

    Pour la saison 2013 / 2014, le club a conclu 2 équipes d'entente avec le club voisin de la JA Bruz chez les M-14 et M-12 / 10 ainsi qu'un partenariat pour l'accueil du mini hand.

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Vidéo explicative sur le site Dailymotion.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Rennes-Saint-Jacques - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Chartres-de-Bretagne et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Rennes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Un Plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) pour 43 communes, sur metropole.rennes.fr
    24. « Etymologie et Histoire de Chartres-de-bretagne », infobretagne (consulté le ).
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    27. Noms de lieudits et de personnes à Rennes (35), Bèrtran Ôbrée et Mathieu Guitton, Chubri, p. 16.
    28. « Fiche descriptive de la ville de Chartres-de-Bretagne », sur Geobreizh (consulté le ).
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    30. Filbert Nicolas, "Instituteurs entre politique et religion", éditions Apogée, 1993, (ISBN 2-909275-11-6).
    31. Mémorialgenweb
    32. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    33. http://www.francegenweb.org/mairesgenweb/resultcommune.php?id=23033 source partielle
    34. Les élections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Éclair du 11 décembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
    35. « Décès d’Antoine Chatel, maire de Chartres-de-Bretagne pendant 39 ans », Ouest-France, (lire en ligne).
    36. Glen Recourt, « Chartres-de-Bretagne. Philippe Bonnin, Macron-compatible ? « On me l’a souvent dit » », sur Ouest-France, (consulté le ).
    37. « Résultats des élections législatives 2017 », sur Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    38. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    39. http://www.net1901.org/association/COMITE-DU-JUMELAGE-CHARTRES-DE-BRETAGNE-SAINT-ANTHEME,209939.html
    40. La commune de Călăraşi avec laquelle Chartres de Bretagne est jumelée depuis 2000 n'est pas le chef-lieu du département homonyme, mais un petit village au bord du Danube près de Bechet et Dabuleni dans le Judet de Dolj.
    41. Site officiel du comité de jumelage Chartres-de-Bretagne-Hassmersheim (France-Allemagne)
    42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    46. Notice no PA00090524, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. Notice no PA00090523, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. Notice no IA00008057, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. Notice no IA00131032, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « Ferme-Manoir De La Marionnais A Chartres-De-Bretagne », sur Fondation du patrimoine (consulté le ).
    51. « Château du Marais (Chartres-de-Bretagne) - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.bzh (consulté le ).
    52. « Manoir de Pont Péan puis ferme des Peupliers (Chartres-de-Bretagne) - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.bzh (consulté le ).
    53. « Moulin et ferme, le Moulin du Bois (Chartres-de-Bretagne) - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.bzh (consulté le ).
    54. « Manoir dit de la Retenue, la Retenue (Chartres-de-Bretagne) - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.region-bretagne.fr (consulté le ).
    55. Fiche de l’ENS de la Lormandière sur le site du conseil général d'Ille-et-Vilaine.
    56. mémorial de Chartres de Bretagne
    57. Historique club

    Bibliographie

    • Chartres en Bretagne, ouvrage collectif publié en 1996 présente une synthèse assez complète sur la commune.
    • Chaque semaine, le journal intitulé Chartres Hebdo informe les habitants des évènements à venir sur la commune. Des rencontres sportives aux informations culturelles et numéros d'urgences.
    • Chaque mois, la municipalité édite Le Chartrain, journal d'informations municipales. Le Chartrain comporte 12 pages avec les rubriques suivantes : actualités de la commune, informations municipales et intercommunales, culture, enfance jeunesse, afin de tout saisir de la vie de la commune.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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