Charlieu
Charlieu est une commune française située dans le département de la Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Charlieu | |||||
![]() L'abbaye Saint-Fortuné. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Loire | ||||
Arrondissement | Roanne | ||||
Intercommunalité | Charlieu-Belmont Communauté (siège) |
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Maire Mandat |
Bruno Berthelier 2020-2026 |
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Code postal | 42190 | ||||
Code commune | 42052 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Charliendin [1] | ||||
Population municipale |
3 681 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 549 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 09′ 36″ nord, 4° 10′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 268 m Max. 378 m |
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Superficie | 6,7 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Charlieu (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Roanne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Charlieu (bureau centralisateur) |
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Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.ville-charlieu.fr | ||||
C'est le chef-lieu du canton du Charlieu.
Géographie
Localisation et distances
Charlieu se situe à l'extrême nord du département de la Loire, limitrophe de celui de Saône-et-Loire, à une quinzaine de kilomètres au nord-est de Roanne (distant d'environ vingt minutes en voiture). La commune est à la limite entre le Roannais et le Brionnais.
Charlieu se situe à 82 kilomètres au nord de Saint-Étienne (1 h 30 en voiture), à 67 km au nord-ouest de Lyon (1 h 30 en voiture), à 52 kilomètres à l'ouest - sud-ouest Mâcon (1 h 15 en voiture).
Topographie
La vallée où est situé Charlieu s'appela autrefois la Vallée Noire parce que dit un ancien auteur elle était couverte de forêt épaisse ce n'était pas seulement la vallée qu'il en était couverte mais aussi les collines environnantes.[2]
Le coteau de Saint-Nizier quant à lui faisait exception car depuis le Moyen Âge il n'a pas cessé de porter la vigne[2].
La vallée dans laquelle se trouve Charlieu été autrefois entrecoupé de marais formé par les débordements et les irrégularités du cours du Sornin.
Vers la fin du Moyen Âge les marais sont asséchées et la rivière resserrée dans le cours que l'on connaît aujourd'hui laissant place à de vertes pâtures, principalement utilisées par de nombreux troupeaux de vaches.
La rivière du Sornin a porté suivant les temps des noms latins très différents d'après les auteurs de la Gallia Christiana il y aurait été appelé Somnus, Somna ou Sonna, (nom qui aurait été donné aussi quelquefois à la ville) puis encore Surna et Scorvinus.
Dans la charte de fondation de l'abbaye, qui et de 876, il est dénommé Scorvinus; au XIVe siècle en 1369 et 1373 et au commencement de XVe en 1412, il est dénommé Sorneyn et au XVIe siècle en 1558, Sornain qui resta jusqu'à nos jours on ne subissant qu'une déformation orthographique.
Le pont de pierre porte ce nom dés l’année 1432, une rue qui venait y aboutir en avait pris le nom de Victus Pontis de Petra. Le pont fut réparé sous le règne d'Henri VI, puis et élargie sous le règne de Louis-Philippe, il et réparé en 1733 et complètement refait entre 2010 et 2013.
La terre de Tigny appartenait vers le milieu du XIIIe siècle aux moines de Charlieu après un acquisition auprès d'un bourgeois de Brun[3].
Quand au pont de Tigny, il est mentionné dans des titres de 1370 mais il est bien plus ancien car son origine est romaine.
Entre l'embouchure du Chandonnois et la route actuelle de Roanne et sur la rive gauche du Sornin se trouvait autrefois une Maladerie appelée Saint-Marie-Madelaine disparue de nos jours[4].
En 1484 Les Hauteurs de Rougefert était couvertes de vignes et tout le plateau de la Goutte-du-Charbe (anciennement Esgrcay) et du Château du Mont était couvert de forets.
Le Château du Mont n'existait plus en 1503 mais fut rebâtis en 1594, il abritas une garnison Royaliste.
La Grange Jobin viens du nom d'un bourgeois de la fin du VIe siècle.
Les Brosses était couvertes de bois au XVIe siècle, en 1528 s'y trouvais une Maison avec grange, prés, terres et étangs, appartenant a un bourgeois de Charlieu, M. Seurre, Il décidât d'hypothéquer sa propriété pour la construction de l’église de Saint-Philibert dans le même siècle.
Le Ruisseau de Saint-Nicolas était de grande importance pour la ville de Charlieu se trouvant au nord de la ville il permettait de fluctuer les eaux et de remplir les douves de Charlieu.
Avant de s'appeler Saint-Nicolas le Ruisseau porte le nom de Boart en 1432 puis Somplain en 1440, dénomination qui lui est encore donné dans un acte authentique de 1783 contenant un traité entre les moines et Monsieur de La Ronziére au sujet de son cours.
Le nom Saint-Nicolas qui a prévalu viens de la chapelle dédiée à ce saint qui fut construite près de ses rives.[5]
La chapelle quant à elle était tombée en ruine dans les années 1754.
Les eaux de Saint-Nicolas se mêlant à celle du ruisseau de Bonnard avant d'arriver près des murs de la ville faisaient tourner un moulin qui était appelé Copier construit au début du XVe siècle en 1630.
Devise
- « Qu'un Charlieu, qu'un soleil »
Hydrographie
La commune et le bourg sont traversés par le Sornin qui se jette en rive droite dans la Loire, 3 kilomètres plus à l'ouest. La commune est également traversé par le Bezo qui se jette dans le Sornin, dans la commune à l'est du bourg.
Communes limitrophes
Toponymie
La première mention du bourg de Charlieu date de 827 sous le nom Carus Locus (le « lieu de Charles »), un toponyme classique désignant les terres du fisc carolingien.
La ville pendant la Révolution était nommée « Challier ».
Histoire
L'abbaye de Charlieu, fondée par Ratbert, évêque de Valence (859-880), dépendait de l'abbaye de Cluny en 932. En 946, le monastère était sous le vocable de Saint Étienne. Il fut réduit en prieuré par le pape Pascal II en 1100.
Ville prospère, elle est peuplée de marchands et d'artisans, tisserands bien souvent. Au XIIe siècle, ses bourgeois édifient une église paroissiale, dédiée à saint Philibert.
En 1210, Philippe Auguste acquiert Charlieu et constitue là une enclave du domaine royal et la fait tout naturellement fortifier aussitôt[6].
Au XVe siècle, Charlieu joue un rôle important durant le conflit entre les Armagnacs et les Bourguignons. C'est aussi l'époque où, le trafic routier se détournant, l'essor de la ville s'essouffle. Il reprend avec l'implantation du tissage de la soie en 1827.
De cette riche histoire, la ville a conservé des maisons en pierre jaune, tirée de la carrière de Saint-Denis-de-Cabanne (XIIIe siècle), de pittoresques maisons à pans de bois en encorbellements (XIVe au XVe siècle) ou de style Renaissance et classique.
Politique et administration
Liste des maires
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Jumelages
Eningen unter Achalm (Allemagne) depuis 1968
Calne (Royaume-Uni) depuis 1970
Population
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[8]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[9].
En 2018, la commune comptait 3 681 habitants[Note 1], en diminution de 0,59 % par rapport à 2013 (Loire : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramides des âges
En 2013, la population de 3 703 habitants, comprenait 1 704 hommes et 1 999 femmes :
Économie et emploi
Catégories socioprofessionnelles des ménages, selon la personne de référence, en 2013 (INSEE)[13] :
Catégorie socio-professionnelle | Nombre de ménages | % | Population des ménages | % |
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Ensemble | 1 895 | 100,00% | 3 524 | 100,00% |
Agriculteurs exploitants | 0 | 0,% | 0 | 0 % |
Artisans, commerçants, chefs d'entreprise | 85 | 4,5% | 226 | 6,4% |
Cadres et professions intellectuelles supérieures | 100 | 5,3% | 256 | 7,3% |
Professions intermédiaires | 160 | 8,5% | 416 | 11,8% |
Employés | 321 | 16,9% | 577 | 16,4% |
Ouvriers | 428 | 22,6% | 874 | 24,8% |
Retraités | 700 | 36,9% | 996 | 28,3% |
Autres personnes sans activité professionnelle | 100 | 5,3% | 180 | 5,1 % |
Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2014 :
Total | % | 0 salarié | 1 à 9 salarié(s) | 10 à 19 salariés | 20 à 49 salariés | 50 salariés ou + | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Ensemble | 1707 | 100,0 | 500 | 277 | 282 | 530 | 110 |
Agriculture, sylviculture et pêche | 5 | 0,3 | 5 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Industrie | 432 | 25,3 | 71 | 66 | 79 | 106 | 110 |
Construction | 77 | 4,5 | 62 | 15 | 0 | 0 | 0 |
Commerce, transport, service divers | 487 | 28,5 | 295 | 130 | 0 | 62 | 0 |
dont commerce et réparation automobile | 156 | 9,1 | 126 | 30 | 0 | 0 | 0 |
Administration publique, enseignement, santé, action sociale | 706 | 41,4 | 75 | 66 | 203 | 362 | 0 |
Urbanisme
Typologie
Charlieu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Charlieu, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[17] et 9 324 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roanne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 88 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (58,6 %), zones urbanisées (26,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,5 %), forêts (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Espaces verts et fleurissement
En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[24].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine culturel
- Abbaye Saint-Fortuné : abbaye bénédictine fondée en 872 par l’évêque de Valence puis rattachée à l'abbaye de Cluny vers 930. L'église du IXe siècle tombant en ruines, sa travée est reprise dans un édifice du XIe siècle. Elle présente des portails romans du XIe et du XIIe siècle, en ouest et nord avec le Christ en majesté, et un narthex du XIIe siècle. Le cloître est du XVe siècle et l'hôtel et la chapelle du prieur sont du XVIe siècle, construits sur une base romane.
- Couvent des Cordeliers : ancien couvent de franciscains arrivés à Saint-Nizier sous Charlieu en 1250, le couvent fut édifié à partir de 1280. De style gothique, il subsiste encore aujourd'hui le cloître du XIVe siècle, l'église, la bibliothèque, ainsi qu'une chapelle.
- Église Saint-Philibert : la première mention de l'église date de 1238, l'avant chœur est du début du XVe siècle ; la nef et les bas-côtés datent de la fin du XIVe et du début du XVe siècle. Les chapelles adossées aux bas-côtés sont de la fin du XVe et du début du XVIe siècle. Les deux dernières travées sont achevées en 1864. Certains vitraux datant de 1866 et 1867 ont été réalisés par Émile Thibaud[25].
- Petit séminaire Saint-Gildas : actif de 1906 à 1973, où Jules Monchanin et Jules Saliège étaient parmi les prêtres encadrants.
Musées
- Musée de la Soierie : depuis un siècle et demi, la ville de Charlieu est réputée pour ses exceptionnelles étoffes de soie. En 1992, un musée de la Soierie s’est installé dans l’ancien Hôtel-Dieu de Charlieu, beau bâtiment du XVIIIe siècle[26]. Il bénéficie du label « musée contrôlé » décerné par le ministère de la Culture. Du métier à tisser en bois au métier à jet d’air, le musée présente l’évolution technologique et l’activité des tisseurs du Charluais depuis le début du XIXe siècle, au moyen de matériel en fonctionnement, ainsi que de nombreux vêtements et accessoires de soie. Le fleuron de la production des entreprises locales pour la haute couture et l’ameublement haut de gamme, est exposé au musée qui organise aussi, régulièrement des stages « Découverte des étoffes anciennes » . Un atelier intégré à l’établissement produit des objets originaux destinés à la boutique.
- Musée Hospitalier : créé en 1995, dans l’ancien Hôtel-Dieu, beau bâtiment du XVIIIe siècle[27]. La maternité d’alors a fonctionné jusqu’en 1976 et l’hôpital jusqu’en 1981. Reconstitutions de salles de la fin du XIXe siècle aux années 1950 : l’apothicairerie (classée monument historique) avec ses boiseries, ses tiroirs à plantes et son ensemble de pots en faïence du XVIIIe siècle à décor bleu, les salles d’opérations, d’examens et de soins, la lingerie et la grande salle des malades avec ses alignements de lits. La dimension religieuse est également évoquée par la présence de la chapelle avec son magnifique retable en bois doré (classé monument historique).
Événement culturel
- Fête de la Corporation des Tisserands[28],[29] : attestée depuis plus de 400 ans, la corporation (anticipation de ce que seront les syndicats) fête sa patronne Notre-Dame de Septembre le deuxième dimanche de septembre. Elle demeure la seule en France à vendre aux enchères des charges royales de roi, reine, dauphin, dauphine (enfants de moins de 6 ans). Une procession se déroule dans la ville avant la messe solennelle. Elle comporte : la bannière de la corporation, un brancard avec une Vierge en argent, et un modèle réduit de métier à tisser portés par les syndics de la corporation. Les royautés président cette procession dans un carrosse royal. Leurs costumes sont confectionnés sur mesure dans un style choisi par les parents. Toute leur cour est également costumée : parents, grands-parents, frères et sœurs, parrains, marraines, dans le style de l'époque choisie. Pendant la messe on distribue le pain bénit. Tout le monde peut adhérer à la corporation, en achetant le jour de la fête une brioche qui est alors une cotisation appelée groue.
Gastronomie
- L'andouille de Charlieu est la spécialité gastronomique locale. Elle est à base de cœur et de viande de porc, parfois de panse, qui ont mariné dans du vin rouge, avec sel, poivre et épices, puis embossés dans un cæcum avant d'être passés à l'étuve pendant 5 à 6 jours[30].
- L'abbaye Saint-Fortuné.
- L'église Saint-Philibert.
- Les fêtes de la soierie.
- L'apothicairerie du musée Hospitalier.
- Andouilles de Charlieu.
Sports
- Amicale laïque de Charlieu : association sportive regroupant 12 sections : basket, boules, course sur route, haltérophilie, pétanque, tennis de table, musculation, judo, gymnastique, tarot, philatélie et patrimoine, retraités.
- Stade Charliendin (construit en 1928) : football.
Personnalités liées à la commune
- Michel Servet (1511-1553), médecin et théologien espagnol, il vécut probablement à Charlieu en 1542. Le collège de la commune porte son nom.
- François Laurent Michelet de Rochemont (1756-1828), homme politique, né à Charlieu.
- Pierre-Adrien Chabal-Dussurgey[31] (1819-1902), dessinateur et directeur de la Manufacture de tapisserie de Beauvais, né à Charlieu.
- Paul Gerbay (1835-1891), pharmacien, homme politique, président du tribunal de commerce de Roanne et maire de Saint-Nizier-sous-Charlieu, né à Charlieu.
- Armand Charnay (1844-1915), peintre, né à Charlieu.
- Jean Morel (1854-1927), pharmacien, homme politique (dont ministre des Colonies) et maire de Charlieu pendant 23 ans.
- Marie-Simone Capony (1894-2007), doyenne des Français du 12 août 2006 au 15 septembre 2007, née à Charlieu.
- Maurice Tissandier (1917-2009), chirurgien et homme politique, né à Charlieu.
- Albert Fleury[32] (1923-2006), poète, lauréat du prix de l'Académie du Vernet en 1956 pour son roman Passage d'Angeline, né à Charlieu.
- Henri Villecourt (né en 1938), joueur de basket-ball, il participa au championnat d'Europe de 1959 et aux Jeux olympiques d'été de 1960, né à Charlieu.
- Maurice Depaix (né en 1939), homme politique, né à Charlieu.
- Georges Pralus (1940-2014), chef cuisinier et inventeur de la cuisine sous vide, né à Charlieu.
- Joëlle Bergeron (née en 1949), femme politique, née à Charlieu.
- Jean-Marc Ferreri (né en 1962), footballeur et commentateur sportif, né à Charlieu.
- Thierry Brigaud, (né en 1963), médecin et ancien président de Médecins du monde, né à Charlieu.
- Emmanuel Prost (né en 1968), écrivain d'origine charliendine installé dans le nord de la France.
- Éric Aupol (né en 1969), photographe, né à Charlieu.
Héraldique
![]() |
Les armoiries de Charlieu se blasonnent ainsi : |
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Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Références
- https://www.habitants.fr/loire-42
- Papire Masson, Descriptio Pluminum Gallice
- Livre: Histoire de la ville de Charlieu, depuis son origine jusqu'en 1789. Front Cover · J.-B. Desevelinges. Durand, 1856 - Charlieu (Loire) - Histoire - Page numéro 298 .
- Denombrement des fonds et revenus de la ville fournis par les consuls en 1610
- Mémoire de pièces pour le prieur contre Monsieur de tigny de 1776
- José Federico Finó, Forteresses de la France médiévale. Construction - Attaque - Défense, 3e éd. rev., Paris, Picard, 1977, p. 111.
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Commune de Charlieu - Dossier complet », sur Insee (consulté le ).
- INSEE, dossier complet consacré à la commune de Charlieu http://www.insee.fr/fr/themes/dossier_complet.asp?codgeo=COM-42052
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Charlieu », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- « 42052 - Charlieu — GeneaWiki », sur fr.geneawiki.com (consulté le ).
- Au sujet de ce musée, lire : « Le musée de la soierie à Charlieu », article de Danièle Miguet, conservateur en chef des musées de Charlieu, paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 122 de juillet 2000, pages 7 à 10.
- Au sujet de ce musée, lire : « Le musée hospitalier de Charlieu », article de Danièle Miguet, conservateur en chef des musées de Charlieu, et Jacques Poisat paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 121 de mars 2000, pages 8 à 11.
- e-Obs Technologies, « Ville de Charlieu », sur www.ville-charlieu.fr (consulté le ).
- « Exposition virtuelle sur le Patrimoine Culturel Immatériel - organisée par la FEMS », sur www.fems-pci.fr (consulté le ).
- Les charcuteries de terroir par Laurence Bérard et Philippe Marchenay, CNRS, Association Porc Montagne, 2011, p.32.
- « Musée d'Orsay: Notice d'Artiste », sur www.musee-orsay.fr (consulté le ).
- « Albert Fleury (auteur de Passage d'Angeline) - Babelio », sur Babelio (consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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