Chérac

Chérac est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Chérac

L'hôtel de ville de Chérac.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saintes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saintes
Maire
Mandat
Jean-Paul Compain
2020-2026
Code postal 17610
Code commune 17100
Démographie
Gentilé Chéracais
Population
municipale
1 113 hab. (2018 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 15″ nord, 0° 26′ 11″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 95 m
Superficie 29,88 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaniers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Chérac
Géolocalisation sur la carte : Charente-Maritime
Chérac
Géolocalisation sur la carte : France
Chérac
Géolocalisation sur la carte : France
Chérac
Liens
Site web www.cherac.fr

    Ses habitants sont appelés les Chéracais et les Chéracaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    La commune de Chérac se situe dans le centre-est du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine, dans l'ancienne province de Saintonge. Appartenant au Midi de la France — on parle plus précisément de « Midi atlantique »[2], au cœur de l'arc atlantique, elle est partie intégrante du Grand Sud-Ouest français, et est parfois également incluse dans un Grand Ouest aux contours plus flous.

    Elle est traversée par la N 141 Cognac-Saintes, route Centre-Europe Atlantique, et le bourg se trouve à 11 km de Cognac, 15 km de Pons et 18 km de Saintes.

    La D 24 dite route basse de Saintes, qui lui est parallèle plus au sud et longe la Charente, se trouve dans la zone inondable du fleuve appelée localement prée. Cette partie de la vallée, où le fleuve déborde lors des crues hivernales et où la route basse est coupée, offre un spectacle saisissant lors de ces fréquentes inondations.

    Trois départementales relient respectivement Saint-Sauvant à Cognac, Burie à Cognac et Dompierre-sur-Charente à Saint-Bris-des-Bois ce qui forme un réseau de voies sur la commune.

    Chérac est une des étapes d'un sentier de grande randonnée balisé, le GR 360.

    Lieux-dits et hameaux

    Chez Landart, Le Treuil, les Justices, Montlambert, le Grand Maine Garnier, la Garellerie, le Pérou, Mongaugé, Le Boulas, Chez Gatineau, la Brunette, chez Taillasson.

    Communes limitrophes

    Limitée au sud par la Charente, Chérac l'est au nord par la via Agrippa ou chemin des Romains. Celui-ci est en partie conservé et en partie recouvert par un chemin rural.

    Salignac, Brives, Montils et Rouffiac sont situées au sud, sur la rive gauche de la Charente de l'autre côté du fleuve. Dompierre et Saint-Sauvant sont situés à l'ouest. Au nord, Saint-Césaire et Saint-Sulpice-de-Cognac sont séparés de Chérac par la ligne droite du chemin des Romains, puis Louzac-Saint-André par le Ri-Bellot, un affluent de l'Antenne. Louzac-Saint-André et Saint-Laurent-de-Cognac forment à l'est la limite entre les départements de Charente et Charente-Maritime.

    Géologie et relief

    Chérac est située sur un plateau de calcaire fin qui date du Tithonien (anciennement nommé étage Portlandien). Elle est dans le bassin versant du fleuve Charente, sur sa rive droite qui descend en pente douce du nord-ouest vers le sud-est.

    Hydrographie

    Chérac est située en bordure de la Charente, sur sa rive droite.

    Utilisation des sols

    La partie sud, entre la Charente et la N 141 est en grande partie une vallée inondable.

    La commune est très boisée, avec 712 ha de bois répartis en plusieurs massifs au nord de la N 141.

    Chérac est situé en Borderies, cru classé du vignoble d'appellation Cognac et les vignes se répartissent sur les coteaux calcaires.

    Urbanisme

    Typologie

    Chérac est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (46 %), forêts (25,2 %), terres arables (14,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %), zones urbanisées (1,1 %), prairies (0,4 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Carrius, propriétaire gallo-romain aurait donné son nom à Chérac.

    Histoire

    Toutes les rives de la Charente et de ses affluents sur cette zone sont considérées comme des habitats des Néandertaliens. Saint-Césaire, où a été retrouvée le fossile surnommé « Pierrette », est tout proche.

    Une station néolithique au lieu-dit Chez Landart a livré des lames, des grattoirs et des flèches.

    Le toponyme de la rue du Port et du lieu-dit le Magasin, pourrait correspondre à un port gabarier comme il en a existé le long du fleuve Charente en Gaule, bien avant la présence romaine, et jusqu'au XIXe siècle.

    Au-dessus de Chez Landart, une butte ou motte pourrait être l'emplacement d'un castrum construit en 1024 sous Guillaume Taillefert Comte d'Angoulême, la forteresse de Franchebourg.

    C'est dans la commune de Chérac que le premier cas avéré de vigne phylloxérée a été identifié en 1872, ainsi qu'aux portes de Cognac, dans l'ancienne commune de Crouin. Trois ans plus tard, la vigne de la Saintonge était entièrement ravagée par le phylloxéra[9].

    Héraldique

    Blasonnement :
    De sinople à la trangle ondée d’argent accompagnée en chef d’une fleur de tilleul accostée de deux grappes de raisin, le tout d’or et en pointe de deux épis courbés d’or, les tiges passées en sautoir, accostés de deux arbres de sable ; à l’écusson d’azur à la mitre d’argent accompagnée de trois fleurs de lys d’or brochant en abîme sur la trangle.

    Administration

    Chérac est une commune créée en 1793, dans le canton de Dompierre, le district de Saintes et le département de la Charente-Inférieure. En 1801 Chérac passe dans le canton de Burie et reste dans l'arrondissement de Saintes et en 1941 la Charente-Inférieure devient la Charente-Maritime.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2014 Jacky Marfille    
    2014 en cours Jean-Paul Compain SE Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Région

    À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

    Intercommunalité

    Jusqu'à la fin de l'année 2012, la commune de Chérac faisait partie de la Communauté de communes Vignobles et Vals boisés du Pays Buriaud qui comprenait dix communes ; cette dernière a fusionné avec la Communauté d'agglomération de Saintes le 1er janvier 2013[10].

    Depuis janvier 2013, Chérac fait donc partie de la Communauté d'agglomération de Saintes dont le siège administratif est situé à Saintes.

    Fiscalité

    La fiscalité est d'un taux de 7,44 % pour la taxe d'habitation, 13,62 % sur le foncier bâti, 34,96 % sur le non bâti et 14,52 % de taxe professionnelle, et comme la communauté de communes prélève sur l'ensemble des quatre taxes, respectivement 1,67 %, 3,25 %, 8,06 % et 3,07 % cela donne au total et avant que s'y ajoutent le département et la région, 9,11 % pour la taxe d'habitation, 16,87 % sur le foncier bâti, 43,04 % sur le non bâti et 17,59 % de taxe professionnelle (chiffres 2007).

    Démographie

    Évolution démographique


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[12].

    En 2018, la commune comptait 1 113 habitants[Note 3], en augmentation de 1,18 % par rapport à 2013 (Charente-Maritime : +2,13 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7151 8021 6021 9171 8221 8631 7291 7151 712
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6751 6721 7161 6411 5151 3221 2871 2781 230
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1771 1761 1251 0491 001974950923915
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    9228798139461 0451 0061 0271 0301 033
    2013 2018 - - - - - - -
    1 1001 113-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[14].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (23,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (28,1 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51 % contre 48,4 % au niveau national et 48,2 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 51 % d'hommes (0 à 14 ans = 17,8 %, 15 à 29 ans = 13,7 %, 30 à 44 ans = 20,9 %, 45 à 59 ans = 24,9 %, plus de 60 ans = 22,8 %) ;
    • 49 % de femmes (0 à 14 ans = 15 %, 15 à 29 ans = 13,4 %, 30 à 44 ans = 21,7 %, 45 à 59 ans = 25,9 %, plus de 60 ans = 23,9 %).
    Pyramide des âges à Chérac en 2007 en pourcentage[15]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,8 
    9,3 
    75 à 89 ans
    9,5 
    13,1 
    60 à 74 ans
    12,6 
    24,9 
    45 à 59 ans
    25,9 
    20,9 
    30 à 44 ans
    21,7 
    13,7 
    15 à 29 ans
    13,4 
    17,8 
    0 à 14 ans
    15,0 
    Pyramide des âges du département de la Charente-Maritime en 2007 en pourcentage[16]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,5 
    8,6 
    75 à 89 ans
    11,9 
    16,4 
    60 à 74 ans
    17,1 
    21,3 
    45 à 59 ans
    21,1 
    19,1 
    30 à 44 ans
    18,5 
    16,8 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,3 
    0 à 14 ans
    15,1 

    Économie

    La viticulture demeure encore un secteur majeur de l'économie de la commune. Ses vignes ont le privilège d'être classées en terroir des Borderies dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[17]. De nombreux producteurs pratiquent la vente au détail du cognac, pineau et vin de pays charentais, et même la liqueur de cassis. À leurs côtés, trois distilleries d'eaux-de-vie sont encore en activité dont une emploie plus d'une trentaine de personnes. Un courtier en vins et un transporteur complètent cette économie viticole encore très active.

    Divers commerces de proximité ou de première nécessité sont présents dans le bourg de Chérac où se trouvent notamment une boulangerie, une boucherie, un snack-bar-épicerie, un buraliste en tabac ainsi que quelques services (office notarial, pharmacie, salon de coiffure, garages, installateur d'antennes TV, ébénisterie...) qui complètent le secteur tertiaire.

    Commune résidentielle située dans l'aire urbaine de Cognac, Chérac accueille également des entreprises du bâtiment (maçonneries, plâtrier-carreleur, plomberie-chauffagiste, peintre, plaquiste, etc.).

    Le touriste trouve des chambres d'hôtes dans cinq lieux.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    École primaire située place de la Mairie.

    Santé

    Il y a une pharmacie et une maison de retraite privée.

    L'hôpital est à Saintes.

    Sports

    • Tennis
    • Foot
    • Gymnastique volontaire
    • badminton

    Cultes

    Messes à 9 h 30 les 2e et 4e dimanches du mois.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Gervais et Saint-Protais de la fin du XIIe siècle à nef unique de trois travées avec un transept dont les deux bras ont comporté une absidiole mais dont il ne reste que celle du bras nord. Elle possède deux chapelles latérales, une chapelle de la Vierge et une chapelle Saint-Joseph sous le clocher. Le portail roman est abrité par un auvant ou ballet.

    Patrimoine civil

    La mairie, construite en 1905, a été rénovée en 1991.

    Le logis du Chay a contenu une importante cheminée en pierre richement sculptée dont le médaillon central représentait une marquise Ferrary du Chay; vers 1910-1912 elle fut "cédée à l'antiquaire Grenon lors d'une vente de succession et transportée au musée de Liège" (lettre du maire de Chérac du 4/06/1994 - arch.pers.). Cette cheminée est identique à celle, également "sculptée en calcaire du troisième quart du XVIIe siècle d'après un dessin de Jean Lepautre" du Metropolitan Museum à New-York, qui fut offerte à ce musée par la Hearst Foundation en 1956 et mise en réserve à cette époque; vers 1987 elle fut "découverte" sur une photographie ancienne par le décorateur Henri Samuel (1904-1996), qui la fit placer dans sa period room dite "Chambre d'apparat Louis -XIV" (galeries Wrighstman).

    Le château de Dion[18].

    Le moulin à vent de Chez Landart dit moulin du père Nattier, restauré, porte d'inscrit la date de 1792.

    La Maison de la Gaieté, ancien cabaret aux façades décorées d'un million de fragments de vaisselle par ses propriétaires, Ismaël et Guy Villéger, entre 1937 et 1952, est un exemple d'art populaire ou "art naif" qui faillit être démoli et reste en péril [19].

    Patrimoine environnemental

    Le GR 4 qui va de Royan à Grasse et le circuit de randonnée permettent de découvrir la campagne et les bois.

    La berge de la Charente et sa vallée font partie de deux zones Natura 2000, la Moyenne vallée de la Charente et Seugne et Coran l'une pour 46 espèces d'oiseaux, canards chipeau, colvert, pillet, souchet (Anas strepera, Anas platyrhynchos, Anas acuta, Anas clypeata) des limicoles, bécassines des marais (Gallinago gallinago (, Chevalier guignette (Actitis hypoleucos) et autres.

    L'autre zone Natura 2000 est pour des mammifères, la loutre (Lutra lutra), le vison d'Europe (Mustela lutreola)et de nombreuses chauves-souris (grand murin (Myotis myotis), grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersi), petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et vespertilion à oreilles échancrées (Myotis emarginatus) mais aussi les poissons, alose feinte (Alosa fallax), grande alose (Alosa alosa), lamproie de Planer (Lampetra planeri), lamproie de rivière (Lampetra fluviatilis), lamproie marine (Petromyzon marinus) et saumon atlantique (Salmo salar), ainsi que la cistude d'Europe (Emys orbicularis) et de nombreux invertébrés.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    Stuart Greespan, Sous le signe du Roi-Soleil ("L'Objet d'art" n°3-janvier 1988, pp 38 à 43); la cheminée siècle identique à celle du logis du Chay est reproduite en couleurs page 43.

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. Louis Papy, Le midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. Jean COMBES et Michel LUC (ouvrage collectif sous la direction de), La Charente de la Préhistoire à nos jours, éditions Bordessoules, Collection Hexagone - L'Histoire de France par les documents, 1986, p.274
    10. La carte intercommunale de la Charente-Maritime en 2013
    11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    15. « Évolution et structure de la population à Chérac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    16. « Résultats du recensement de la population de la Charente-Maritime en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    17. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
    18. Notice no PA17000097, base Mérimée, ministère français de la Culture
    19. Séverine Joubert, « la Maison de la gaieté », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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