Château de Verteuil (Charente)

Le château de Verteuil est un monument historique en Charente (France). Sa construction remonte à 1080 ; il a été largement modifié depuis, bien qu'il reste des murs du XIIe siècle. Le château a toujours appartenu à la famille La Rochefoucauld. Pendant la guerre de Cent Ans (1337–1453), le château fut occupé à plusieurs reprises par les Anglais. Il a été démoli en 1442, mais fut rapidement reconstruit en utilisant les pierres d'origine. Durant les guerres de Religion aux XVIe et XVIIe siècles, le château était une place forte pour les Huguenots : il a été partiellement démoli par les troupes royales en 1650. Un autre château fut rebâti, mais a subi d'importants dégâts lors d'un incendie en 1793, pendant la Révolution française. Le château a été rénové dans le style romantique après la restauration des Bourbon en 1815, et a été considérablement modifié depuis. Pendant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), le château abrita des troupes françaises et des réfugiés d'Alsace-Lorraine arrivés en 1940. Pendant plusieurs mois, il fut partiellement occupé par des unités allemandes. En 1944, des résistants du maquis s'y cachent. Le château a été classé monument historique le , et a obtenu sa pleine protection le .

Pour l’article homonyme, voir Château de Verteuil (Lot-et-Garonne).

Château de Verteuil

Vue du sud-est
Début construction XIe siècle
Propriétaire initial Guillaume de La Rochefoucauld
Protection  Classé MH (2017)[1]
Site web www.reception-charente-parc-chateau.com
Coordonnées 45° 58′ 58″ nord, 0° 13′ 50″ est [2]
Pays France
Région historique Angoumois
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Commune Verteuil-sur-Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente

Le château actuel, conçu sur un plan triangulaire, possède cinq tours coniques et une tour de guet coiffée de toits d'ardoise. Les archéologues ont découvert des traces des bâtiments plus anciens sur le site, datant du XIe siècle. L'architecte Frantz Jourdain a rénové l'intérieur de la tour du XIVe siècle comme bibliothèque pour la famille Rochefoucault en 1893.

Les tapisseries dites de la Chasse à la licorne, installées dans la chambre principale, ont été redécouvertes en 1850 ; elles ont ensuite été vendues à John D. Rockefeller, Jr. en 1923.

Emplacement

Le château a une position stratégique : il domine le village de Verteuil-sur-Charente et la vallée de la Charente. Dans le passé, il contrôlait la route de Limoges à La Rochelle, sur le passage entre les cours de France et d'Espagne[3]. Le mot Verteuil était souvent utilisé au Moyen Âge pour désigner une place fortifiée. Jean Froissart (c.1337–1405) l'a décrit comme « un meult fort chasteau en Poictou sur les marches du Limousin et de la Saintonge » (un château fort du Poitou aux frontières du Limousin de la Saintonge)[4]. Le château, à quelques dizaines de kilomètres au nord d'Angoulême - de ce fait en Angoumois -, fut plus tard utilisé comme demeure fortifiée de la famille La Rochefoucauld[5].

Historique

Première époque

Le château est mentionné en 1080 comme la propriété du seigneur de La Rochefoucauld[6]. Depuis lors, le château a presque toujours appartenu à un membre de la famille[3]. Le premier siège réussi est mentionné en 1135, quand le comte Vulgrin II d'Angoulême (c.1089–1140) le prend à Aymar II de la Rochefoucauld[4],[7]. Les hostilités se poursuivent entre leur descendants, William VI d'Angoulême (qui meurt en 1179) et Guy IV de la Rochefoucauld, mais cessent en 1170 quand ils assistent tous les deux à la consécration de l'église Saint-Amant-de-Boixe[8]. Le roi Louis VII (1120-1180) et la reine Aliénor d'Aquitaine (1122-1204) auraient séjourné à Verteuil en 1137. La mère d'Aliénor était une La Rochefoucauld, et en raison de l'instabilité du pays, le jeune couple n'est resté que dans des endroits sûrs et bien fortifiés au cours de leur voyage de Bordeaux et Paris[8].

Vue du sud-est, la Charente au premier plan.

Le roi Philippe VI (1293-1350) séjourna au château en 1332. En raison des hostilités franco-anglaises, le château jouait à l'époque un rôle de plus en plus important[8]. Durant la guerre de Cent Ans, par le traité de Brétigny en 1360, il est remis aux Anglais qui ne peuvent entrer en sa possession qu'un an plus tard. Le château fut cédé à contrecœur à Édouard III d'Angleterre par le régent en Guyenne, Jean Chandos, le . Le roi Édouard III avait amené le frère du gardien au château et menacé de le décapiter à moins d'une capitulation immédiate[9]. Les troupes françaises commandées par le duc de Bouillon et Geoffroy III de la Rochefoucauld assiégèrent le château en 1380, mais il ne céda que cinq ans plus tard, après un siège qui l'endommage[9]. Les Anglais le regagnèrent ensuite, et finalement, en 1442, le roi Charles VII (1403-1461) le reconquiert pour de bon[10].

Les La Rochefoucauld, qui avaient joué un rôle majeur dans la lutte contre les Anglais, commencent maintenant à ravager Angoulême pendant la révolte de la Praguerie. Charles VII revient, et cette fois détruit le château, en y mettant en partie le feu[10]. Cependant les pierres sont récupérées et le château reconstruit sur l'emplacement du château féodal édifié au XIe siècle.

En 1446, Guillaume de La Rochefoucauld obtient le pardon du roi, ainsi que le droit de reconstruire une défense : une muraille et deux tours de défense, afin qu'il redevienne un bâtiment protecteur pour les villageois de Verteuil. Sous ce prétexte, ils en font un des châteaux les mieux défendus en France[10] Les murs sont restaurés et renforcés en utilisant les dernières techniques architecturales[11]. La châtellenie de Verteuil fut érigée en baronnie au XVe siècle; elle s'étendait alors sur 16 paroisses et elle comprenait 62 fiefs dans sa mouvance[12].

François Ier de La Rochefoucauld (mort en 1541) était le parrain du roi François Ier (1494-1547), qui visita Verteuil en 1516[11]. Anne de Polignac, veuve de François II de la Rochefoucauld, y reçoit l'empereur Charles Quint (1500-1558) le . Sa tante maternelle était l'épouse de l'historien Philippe de Commines[13]. Elle apporte de nombreuses améliorations au château et fait construire la célèbre bibliothèque[11]. En 1558, Henri II (1515-1559) séjourne à Verteuil avec son fils, Charles, duc d'Orléans (1550-1574) et sa fille Elisabeth (1545-1568), la future femme de Philippe II d'Espagne (1527-1598)[14].

Guerres de Religion et dynastie des Bourbon

François VI, duc de La Rochefoucauld, écrivain (1613–1680)

François III de La Rochefoucauld (1521–1572) devient le beau-frère du protestant Louis, Prince de Condé (1530-1569), et organise en 1560 une rencontre à Verteuil entre Condé et le cardinal Georges d'Armagnac (c. 1501–1585), légat du pape Pie IV, dans le but d'empêcher de nouveaux conflits. Deux ans plus tard, François III se rallie aux protestants. En 1567, le sixième synode national de l'Église réformée de France se tient au château, et l'année suivante celui-ci devient un point de ralliement pour les troupes huguenotes qui viennent à l'aide de La Rochelle, assiégée par les catholiques[15]. Le château est visité par le futur Henri IV (1553-1610), Catherine de Médicis (1519-1589) et sa fille, Marguerite (1553-1615), ainsi que par Louis XIII (1601-1643), Anne d'Autriche (1601-1666) et la reine-mère Marie de Médicis (1575-1642)[6].

En 1650, François VI, duc de La Rochefoucauld (1613-1680), rassemble plus de 2000 chevaliers qu'il conduit à Bordeaux pour aider les nobles de la seconde Fronde[16]. Peu après, Charles de La Porte, maréchal de France et duc de la Meilleraye (1602-1664) attaque et prend le château avec les troupes royales. Il détruit l'Orangerie et démolit partiellement le château. Les murs de l'aile nord sont gravement abîmées, les tours démantelées, le pont-levis enlevé et le fossé profond qui défendait le nord-ouest du château est partiellement rempli. Le château reste habitable, et en 1651, y séjourna le prince de Conti, mais il fut forcé de se retirer par le régiment des gardes de la Reine. Ceux-ci installèrent une garnison de 150 hommes au village de Verteuil[17].

François VI est exilé par Louis XIV (1638-1715) après la révolte[3]. En 1652, François VI revient au château de Verteuil, où il passe la majeure partie de son temps à écrire ses Mémoires, jusqu'en 1659. Son retour en grâce en 1662 est suivi de la publication de ses Maximes en 1665[17]. François meurt à Paris en 1680 mais est enterré dans la chapelle franciscaine de Verteuil, fondée en 1470 par son ancêtre, Jean, seizième seigneur de La Rochefoucauld, et treizième seigneur de Verteuil. Tous les successeurs de Jean ont été enterrés dans cette chapelle jusqu'au début de la Terreur en 1793[18].

Il y a eu quelques visiteurs distingués à Verteuil pendant le règne de Louis XV (1710-1774). Elisabeth Farnèse (1692-1766), la seconde femme de Philippe V d'Espagne (1683-1746), passa quelque temps à Verteuil. L'agronomiste anglais Arthur Young, dans son compte-rendu de voyage en France en 1787, donne une description détaillée et flatteuse de Verteuil, louant les améliorations agricoles et la vie de la population[19].

Vue du parc

Révolution française

Au moment du déclenchement de la Révolution française (1789-1799), les relations entre la famille de La Rochefoucauld et les habitants de Verteuil sont excellentes. Selon le marquis d'Amodio, rien ne serait arrivé au château s'il n'y avait eu le comité de salut public de Ruffec et le député de la Convention Gilbert Romme, à qui l'on attribue l'autodafé de la plupart des archives de Verteuil, ainsi que de trente portraits[20]. Un incendie accidentel en 1793 détruit la grande galerie qui relie la chapelle à la tour nord, et la face ouest de la grande tour central a été gravement endommagée. Le feu s'est propagé le long des toits et des tourelles de l'aile nord-ouest, et la partie supérieure de la tour nord a également été brûlée. La chapelle a été saccagée et les flammes ont détruit sa façade et une partie de son mur nord. La crypte n'a pas été endommagée. La plupart des sols et cheminées du château ainsi que toutes les portes, fenêtres et boiseries ont été irrémédiablement détruits[21].

Période récente

Le château en 2012.
La façade nord-est avec l'entrée principale et les ailes attenantes au début du XXe siècle.

Après la Révolution, Hippolyte de La Rochefoucauld (1804–1863), qui a été ministre plénipotentiaire en Allemagne et à Florence, racheta le château. Il fut rénové au début du XIXe siècle[6]. Les travaux furent entrepris par les La Villéon dans le style romantique, à la mode à l'époque de la Restauration des Bourbons après 1815. Des ornements de fenêtres et de fausses meurtrières furent ajoutés, ainsi que deux tours sur la façade sud. Ils ajoutèrent également une flamboyante balustrade et des lucarnes, et ont apporté des modifications à une partie de la chapelle[21].

Pendant le Second Empire (1852–1870), de nouveaux changements ont été apportés, principalement à l'intérieur. Hippolyte de La Rochefoucauld y apporte une belle collection de mobilier et une paire de chandeliers de verre de style vénitien quand il s'y retire pour sa retraite. Il a restauré le grand escalier de pierre. Influencé par Eugène Viollet-le-Duc, il décide de transformer la large tour est en bibliothèque[21]. Il bouche les anciennes ouvertures des vieux murs et y perce de larges fenêtres. Il commande une copie de la statue de l'auteur des Maximes par Didier Début, placé sur la face de l'Hôtel de Ville de Paris[22]. Son fils Aimery et son petit-fils Gabriel continuèrent les travaux. À noter que ces derniers étaient des amis de Marcel Proust et ont inspiré certains de ses personnages[réf. nécessaire].

Pendant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), le château abrita des troupes françaises et des réfugiés d'Alsace-Lorraine arrivés en 1940. Pendant plusieurs mois, il fut partiellement occupé par des unités allemandes. En 1944, des résistants du maquis s'y cachèrent[23]. Des découvertes archéologiques extrêmement intéressantes ont été faites depuis la guerre[6]. Les recherches entamées par le comte Gabriel de la Rochefoucauld, interrompues pendant la guerre, ont permis de découvrir des parties enterrées du château, datant du XIIe et XIIIe siècle, y compris la pièce qui abritait le mécanisme du pont-levis. Un escalier du XIIe siècle fut découvert, qui mène à la basse chapelle en très bon état, datant du XIe siècle, dont l'existence était inconnue avant 1958. D'autres traces de fondations de bâtiments ont été retrouvées[24].

Le château a été classé monument historique le  : ce classement concerne uniquement les façades, les toits, et les charpentes [6]. Le site a été classé complètement le . On pense que le château, la cour intérieure et le terrain attenant au nord peuvent contenir des vestiges archéologiques[6].

Le château, meublé et habité, demeuré propriété familiale de la famille de La Rochefoucauld, appartient à Anne, Marquise de Amodio (née comtesse de La Rochefoucauld) qui fut fondatrice en 1958 de l'association de défense du patrimoine Vieilles maisons françaises, jusqu'à sa mort en 1980. Il appartient maintenant au comte Sixte de La Rochefoucauld-Estissac[25].

Depuis , le château est officiellement en vente, le processus de transmission aux héritiers de la famille étant devenu trop difficile. Il appartenait aux La Rochefoucauld depuis près d'un millénaire[26]. La vente a été signée le 5 juillet 2021.

Architecture

Extérieur

Vue arrière du sud, avec les murailles et la tour de la bibliothèque au premier plan

Le château actuel avec ses cinq tours coniques et sa tour de guet coiffées de toits d'ardoises a commencé à être construit au XVe siècle, et a été modifié et agrandi plusieurs fois depuis. Un parc fut aménagé au XIXe siècle, à travers lequel une large allée amenait les visiteurs jusqu'à la porte principale. Cette porte est celle de la tour centrale carrée au toit pyramidal. Ce donjon carré est la principale partie restante de la structure médiévale. Le bâtiment actuel est conçu sur un plan triangulaire. La grande tour à l'extrémité du triangle est la guérite médiévale, dont les ailes s'étendent de chaque côté. Un tour isolée, transformée maintenant en bibliothèque, sépare la muraille à l'est[6]. Toutes les toitures sont en ardoise ; elles sont à poivrières pour les tours, à deux pans pour les bâtiments, pyramidale pour le pavillon d'entrée et en voûte pour la chapelle.

Les bâtiments du sud-est sont à peine affectés par la restauration du XIXe siècle, à l'exception de la chapelle. Les murs de la tour du XIIe siècle ont en majorité survécu, en partie reconstruits au XVe siècle, et il y a des traces d'une chapelle romane[6]. Le parc a été repensé au XIXe siècle, entouré de murs en pierre sèche avec plusieurs entrées. Ceux-ci ont depuis été supprimés, tout comme les jardins luxuriants du XVIIIe siècle. Quelques traces subsistent sous forme de buis, quelques allées, des bassins à deux terrasses et de la rocaille[6].

Intérieur

Un inventaire est réalisé en 1728 après la mort du duc François VIII. [27]La bibliothèque contient 1069 ouvrages[28] La chambre à coucher principale contient un lit élégant aux somptueux ornements de velours violet brodé d'or et d'agent, des fauteuils rembourrés du même velours, un grand tapis turc dans une alcôve, une table en noyer et d'autres objets.[27] L'architecte Frantz Jourdain rénove l'intérieur de la tour du XIVe siècle et la transforme en bibliothèque pour la famille de La Rochefoucauld en 1893. Il la conçoit comme une "chapelle intellectuelle" afin d'exposer les souvenirs du célèbre auteur. Adrien Karbowsky contribue à la décoration de la pièce en y peignant sur les murs.[29] Le fils d'Hippolyte, le comte Aimery de La Rochefoucauld, continue de faire la collection de souvenirs de ses ancêtres, en transformant le château en une espèce de musée de famille. Il redécore la chapelle et y ajoute des vitraux. [22]

Les tapisseries de la Chasse à la Licorne

Sept tapisseries de la Chasse à la Licorne ont été mentionnées en 1680 dans un inventaire des possessions parisiennes du duc François VI.[27] Brodées autour de thèmes symboliques, les tapisseries semblent avoir été faites à l'occasion d'un mariage, probablement celui d'Anne de Bretagne (1477-1514) avec Louis XII (1462-1515). Les blasons royaux de Louis et d'Anne auraient jadis décoré le ciel dans la plupart des tapisseries.[30]

L'inventaire de 1728 mentionne cinq tapisseries de la Chasse à la Licorne, suspendues dans la chambre à coucher principale du château. Les tapisseries qui ont alors un peu plus de deux cent ans, sont dans un état d'usure avancé. Deux autres tapisseries sont mentionnées dans "un hall inférieur près de la chapelle, servant actuellement de lieu de stockage pour des meubles". Elles sont décrites comme "deux tapisseries de la Licorne, déchirées en plusieurs endroits".[27]

Pendant la Révolution Française, le Comité de Surveillance de Ruffec décide que les vieilles tapisseries du château pouvaient être préservées, car elles ne portent aucun insigne royal.[31] Il semble que les insignes aient été découpés pour que les tapisseries ne soient pas détruites par la foule lorsque le château a été pillé en 1793.[30] Elles ont été prises par des paysans qui les utilisaient pour protéger leurs pommes de terre du gel et pour couvrir leurs arbres en espalier.[31]

Le comte Hippolyte redécouvre les tapisseries de la Licorne dans les années 1850, utilisés par un paysan comme protection pour ses légumes dans sa grange. Après avoir été restaurées, elles sont accrochées dans un salon du château en 1856.[31] Xavier Barbier de Montault voit les tapisseries à Verteuil dans les années 1880 et déclare que bien qu'elles soient « quelque peu restaurées, [elles] sont d'une fraîcheur et d'une grâce incomparables ».[32]

En 1923, les tapisseries sont vendues à John D. Rockefeller Jr. et expédiées à New York. En 1937, il les offre au Cloisters Museum où elles sont aujourd’hui visibles dans les galeries médiévales.[33]

Lieu de tournage

Notes et références

  1. « Château de Verteuil », notice no PA00104534, base Mérimée, ministère français de la Culture
  2. Coordonnées prises sur Géoportail
  3. Le Cadre, Parc et château de Verteuil.
  4. Marquis de Amodio 1958, p. 1.
  5. Cavallo 1998, p. 9.
  6. Château de Verteuil, base Mérimée.
  7. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 34-35
  8. Marquis de Amodio 1958, p. 2.
  9. Marquis de Amodio 1958, p. 3.
  10. Marquis de Amodio 1958, p. 4.
  11. Marquis de Amodio 1958, p. 5.
  12. Martin-Buchey 1914-1917, p. 399.
  13. Fleury 1886, p. 3.
  14. Marquis de Amodio 1958, p. 6.
  15. Marquis de Amodio 1958, p. 7.
  16. Marquis de Amodio 1958, p. 11.
  17. Marquis de Amodio 1958, p. 12.
  18. Marquis de Amodio 1958, p. 13.
  19. Marquis de Amodio 1958, p. 14.
  20. Marquis de Amodio 1958, p. 16.
  21. Marquis de Amodio 1958, p. 17.
  22. Marquis de Amodio 1958, p. 18.
  23. Marquis de Amodio 1958, p. 19.
  24. Marquis de Amodio 1958, p. 19–20.
  25. « Un cognac made in Château de Verteuil », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
  26. Claire Bommelaer, « L’adieu de la famille La Rochefoucauld à mille ans d’histoire », sur Le Figaro, (consulté le ).
  27. Freeman, 1976, p. 220.
  28. Fleury 1886, p. 2.
  29. Clausen 1987, p. 26.
  30. Cavallo 1998, p. 10.
  31. Freeman, 1976, p. 223.
  32. Freeman, 1976, p. 224.
  33. Freeman, 1976, p. 225.

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • « Château de Verteuil-sur-Charente », notice no PA00104534, base Mérimée, ministère français de la Culture
  • Marquis de Amodio, Le Château de Verteuil, Société archéologique et historique de la Charente, , 20 p. (lire en ligne [PDF])
  • Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne)
  • (en) Adolph S. Cavallo, The Unicorn Tapestries at the Metropolitan Museum of Art, Metropolitan Museum of Art, (ISBN 978-0-87099-868-3, lire en ligne)
  • Paul de Fleury, Inventaire des meubles existants dans les châteaux de La Rochefoucauld, de Verteuil et de La Terne à la mort de Francois VIII de La Rochefoucauld (1728) : publié d'après l'original des archives départementales de la Charente, Imprimerie G. Chasseignac, , 138 p. (lire en ligne)
  • Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p.
  • Jean-Hippolyte Michon, Statistique monumentale de la Charente, Derache, (lire en ligne), p. 230
  • Société archéologique et historique de la Charente, Bulletins et mémoires,
  • (en) Meredith L. Clausen, Frantz Jourdain and the Samaritaine, Art Nouveau Theory and Criticism, E. J. Brill, (ISBN 9004078797, lire en ligne), p. 26-27
  • (en) Margaret Beam Freeman, The Unicorn Tapestries, New York, Metropolitan Museum of Arts, Cloisters, (lire en ligne)
  • « Le Cadre », sur Réception parc château de Verteuil (consulté le )

Liens externes

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