Catenay

Catenay est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Catenay

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes inter-Caux-Vexin
Maire
Mandat
Norbert Cajot
2020-2026
Code postal 76116
Code commune 76163
Démographie
Gentilé Castenais, Castenaises
Population
municipale
678 hab. (2018 )
Densité 115 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 47″ nord, 1° 19′ 33″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 170 m
Superficie 5,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Mesnil-Esnard
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Catenay
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Catenay
Géolocalisation sur la carte : France
Catenay
Géolocalisation sur la carte : France
Catenay
Liens
Site web https://www.catenay.fr/

    Géographie

    Catenay se situe à km au sud de Buchy, à 20 km au nord-est de Rouen et à 120 km au nord-ouest de Paris. Au sud du territoire communal coule le Crevon, rivière de 16,6 km, qui prend sa source à Saint-Germain-des-Essourts et se jette dans l'Andelle à Vascoeuil. L'Andelle est un affluent de la Seine.

    Le village se situe sur le plateau et regroupe la plupart des habitants. Un quart des habitants vivent au Clos Réjoui où 80 maisons ont été édifiées dans la vallée du Crevon depuis 1975. C'est le seul hameau de la commune si l'on excepte les écarts de Montlambert (château) et de Bourceville (ferme)[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 864 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 901,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 16 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Catenay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,3 %), prairies (11,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), zones urbanisées (6,8 %), forêts (3,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Casteneit à la fin du XIIe siècle[22], Castenai au XIIIe siècle, Castenay au XVIe siècle, puis Catenay à la fin du XVIIe siècle[23].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale qui représente l'ancien normand castenei, équivalente de l'ancien français chastaignei, chastegnei (avant le XVIe siècle) « châtaigneraie » et qui correspond aux toponymes français Châtenoy, Châtenay[22]. Les noms communs chastaignei, chastegnei sont issus du bas latin castanetum[22], le suffixe collectif -etum servant à désigner une plantation d'arbres appartenant à la même espèce, forme féminine -eta, devenue -aie : châtaigneraie, chênaie, hêtraie.

    Remarque : la graphie de l'ancien suffixe -ei originelle a ensuite été réinterprétée en -ai, puis -ay, comme c'est souvent le cas.

    Histoire

    Moyen Âge et Époque moderne

    Vers 1180, le seigneur Renaud de Castenai, donna au prieuré Saint-Lô de Rouen, le droit de patronage sur l'église Notre-Dame de Castenai, c'est-à-dire le droit de nommer les curés de la paroisse et tous les autres privilèges dont il pouvait jouir lui-même, avec les deux parts de dîmes, la grange et le presbytère. Cette donation fut faite avec l'assentiment de son frère Gautier de Castenai, qui a cette époque, bénéficiait de la cure et avec l'approbation de monseigneur Rotrou de Warwick, archevêque de Rouen, qui la ratifia par une charte de confirmation[23].

    Un domaine seigneurial émergea de ce cadre religieux sans s'y superposer. Appartenant à ce même Renaud de Castenai au XIIe siècle, puis à ses descendants au début du XIIIe siècle, il fut sans que la date soit connue, en partie rattaché à la seigneurie de Blainville et en partie à celle de Fontaine-Châtel. Catenay n'eut donc pas de seigneurs particuliers mais dépendit de plus vastes ensembles seigneuriaux[24].

    Une nouvelle église Notre-Dame fut édifiée à la fin du XVe siècle.

    L'existence d'une école, réservée aux garçons et tenue par le curé, fut attestée pour la première fois en 1715 lors de la visite pastorale de monseigneur Claude-Maur d'Aubigné, archevêque de Rouen[25].

    Époque contemporaine

    Le décret du 14 décembre 1789 de l'Assemblée nationale constituante créa 44000 municipalités en France, sur le territoire de chaque paroisse, ville, bourg ou communauté de campagne[26]. Catenay devint une municipalité. La première élection municipale eut lieu au début de l'année 1790.

    Le décret du 10 brumaire an II (31 octobre 1793) de la Convention nationale attribua à toutes les municipalités, qu'elles aient été nommées ville, bourg ou village, le nom de « commune », dans une intention d'égalisation.

    L'inauguration de la mairie-école eut lieu en 1860. La construction fut entièrement financée par le legs de Jacques-Philippe Guillard, ancien maire de la commune, décédé en 1854. La mairie-école a été édifiée à l'emplacement de sa maison qui fut détruite, ce qui explique sa localisation à l'entrée du village[27].

    La nouvelle église Notre-Dame, qui sera plus tard dédiée à Saint-Clair, fut construite de 1876 à 1878 à l'emplacement de l'ancienne église en ruine.

    L'électrification du village fut réalisée en 1926.

    Dans les années 1930, la commune comptait une dizaine d'exploitations agricoles, trois commerces (deux cafés-épiceries et une épicerie) et plusieurs artisans (un charron, un coiffeur, un cordonnier et un menuisier).

    La seconde guerre mondiale débuta en septembre 1939. En mai 1940, après avoir vu passer et affluer des réfugiés, nombre d'habitants prirent avec eux les chemins de l'exode dans un climat de panique jusqu'à ce que les unités allemandes, des chars arrivant à travers champs par l'Épinay (hameau de Saint-Aignan-sur-Ry), traversèrent Catenay le 8 juin 1940[28]. En août 1944, des mouvements de troupes allemandes en tous sens firent craindre le pire jusqu'à ce que les premières unités de la 4e Division blindée canadienne, arrivant par Blainville-Crevon le 31 août 1944, traversèrent la commune après le départ des derniers soldats allemands. Catenay était libéré[29].

    Le dernier commerce de la commune, l'Auberge des Trois Vallées, cessa son activité en 1981.

    La salle polyvalente de la Châtaigneraie fut inaugurée le 5 mai 1990.

    L'école élémentaire Jacques-Philippe Guillard fut inaugurée le 25 mars 2000.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
      1792 Jean-Charles Alexandre   Propriétaire
    1792 1800 Jean Guérout   Charpentier
    1800 1808 Jacques-Philippe Roussel   Cultivateur
    1808 1816 Pierre-Marin Couturier   Cultivateur
    1816 1826 Louis Soubanel   Propriétaire
    1826 1845 Jacques Fongueuse   Cultivateur
    1845 1846 Augustin Farin   Cultivateur
    1846 1854 Jacques-Philippe Guillard   Rentier
    1854 1871 Pierre Duval   Cultivateur
    1871 1874 Hector Le Breton   Rentier
    1874 1884 Pierre Duval   Cultivateur
    1884 1893 Pierre Julien   Cultivateur
    1893 1904 Augustin Fongueuse   Cultivateur
    1904 1908 Clovis Valentin   Boucher
    1908 1921 Émile Roussel   Cultivateur
    1921 1963 Alfred Roberge   Cultivateur
    1963 1971 Henri Dufour   Cultivateur
    1971 1983 Frans Donckele   Agriculteur
    1983 2014 Brigitte Langlois   Conseillère en économie sociale et familiale
    2014 En cours Norbert Cajot   Retraité

    Rattachements administratifs

    Catenay se situe dans l'arrondissement de Rouen depuis 1801 en Seine-Maritime. Auparavant, la commune était rattachée au district de Gournay de 1793 à 1801[30].

    La commune se situe dans le canton du Mesnil-Esnard depuis le redécoupage cantonal de 2014 en France. Auparavant, elle était rattachée au canton de Ry de 1793 à 1801, puis au canton de Buchy de 1801 à 2014[30].

    Catenay est membre de la communauté de communes Inter-Caux-Vexin depuis le , à la suite de la loi no 2015-991 du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe). Auparavant, la commune était membre de la communauté de communes du Moulin d'Écalles (CCME) de 2002 au 31 décembre 2016.

    Jumelage

     Lubień (gmina) (Pologne)

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

    En 2018, la commune comptait 678 habitants[Note 7], en diminution de 2,02 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    450381386377410391363387374
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    356384406340318278255270260
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    263291260228231263299263273
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    278270330550632651719697684
    2018 - - - - - - - -
    678--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Catenay est situé dans l'Académie de Normandie et dans la circonscription du premier degré de Neufchâtel-en-Bray.

    Le 4 juillet 1975 est créé le syndicat intercommunal à vocation scolaire (SIVOS) des Trois Vallées regroupant les communes voisines de Boissay, Catenay, Ernemont-sur-Buchy, Saint-Aignan-sur-Ry et Saint-Germain-des-Essourts. Elles sont représentées chacune par deux délégués titulaires et deux délégués suppléants tous issus des conseils municipaux. Un président ainsi que quatre vice-présidents y sont élus[34]. Le SIVOS permet de mutualiser les moyens des cinq communes en assurant la gestion du personnel non enseignant, ainsi que les dépenses de fonctionnement et d’investissement des écoles, de la restauration scolaire et de l’accueil périscolaire. En 2020, le SIVOS regroupait 211 élèves répartis sur 9 classes de primaire.

    L'école élémentaire Jacques-Philippe Guillard de Catenay est composée de deux classes.

    Clubs sportifs

    • Croquet : Croquet Club le Castagnier
    • Cyclisme : Vélo Club de Catenay[35]
    • Gymnastique : Association Sportive et Culturelle de Catenay (ASCC)[36]
    • Pétanque : Association Sportive et Culturelle de Catenay (ASCC)[36]
    • Tennis : Association Sportive et Culturelle de Catenay (ASCC)[36]

    Chemins de randonnées

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Clair (1876)

    L'église de style néogothique est construite selon un plan en croix latine et orientée vers l'est. La façade ouest correspond au clocher. Il sert à la fois d'entrée et de porche au rez-de-chaussée, et de base à la flèche polygonale en ardoise[39].

    Quatre bas-reliefs en albâtre datant de la fin du XVe siècle, classés à l'inventaire des monuments historiques en 1908, sont conservés dans l'église. Ils représentent l'Adoration des mages, l'Assomption, le Couronnement de la Vierge et l'Annonciation[40].

    Avant la construction de l'église actuelle, plusieurs édifices se sont succédé. Une première église a été construite à la fin du XIIe siècle, avant d'être détruite et remplacée par un autre édifice en 1481. Son clocher fut édifié en 1486 et son chœur fut reconstruit en 1750. Étant à l'état de ruine au XIXe siècle, une nouvelle église est édifiée par l'architecte Delphir Isidore Marical entre 1876 et 1878 et fut bénie par monseigneur Henri de Bonnechose, archevêque de Rouen, le 15 mai 1878[39],[41].

    Saint-Clair, prêtre bénédictin, naquit à Rochester en Angleterre vers 845 dans une famille noble. Il quitta l'Angleterre pour échapper à un mariage que sa famille voulut lui imposer. Il traversa la Manche et s'établit dans le Cotentin. Il fut ordonné prêtre à Coutances en 870 par l'évêque de la ville. Il mourut martyr à Saint-Clair-sur-Epte en 884, après avoir refusé d'épouser une femme, qui le fit décapiter par deux mercenaires. Saint-Clair est fêté le 18 juillet.

    Manifestations culturelles et festivités

    Héraldique

    Les armes de la commune de Catenay se blasonnent ainsi :

    D'or à la branche de châtaignier feuillée de trois pièces de sinople et fruitée de trois bogues de tenné accolées deux et une.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Charles Brisson, Répertoire des monuments historiques, des objets mobiliers et des sites et monuments naturels dans le département de la Seine-Maritime, Études Normandes, 1966, 52 p.

    François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, A. et J. Picard, 1979, 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1), (OCLC 6403150)

    Léonce de Glanville, Histoire du Prieuré de Saint-Lô de Rouen : ses prieurs, ses privilèges, ses revenus, d'après les documents authentiques tirés des archives de la Seine-Inférieure et mis en ordre, tome II, Imprimerie Espérance Cagniard, 1891, 516 p.

    Pierre Molkhou, Catenay, une force humaniste, Histoires et Municipalités, 2020, 36 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Pierre Molkhou, Catenay, une force humaniste, Histoire et Municipalités, , 36 p., p. 3.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Catenay et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Catenay et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. François de Beaurepaire, Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 57.
    23. Léonce de Glanville, Histoire du Prieuré de Saint-Lô de Rouen : ses prieurs, ses privilèges, ses revenus, d'après les documents authentiques tirés des archives de la Seine-Inférieure et mis en ordre, tome II, Imprimerie Espérance Cagniard, , 516 p., p. 62 et 63.
    24. Pierre Molkhou, Catenay, une force humaniste, Histoire et Municipalités, , 36 p., p. 6.
    25. Pierre Molkhou, Catenay, une force humaniste, Histoire et Municipalités, , 36 p., p. 10.
    26. « Une démocratie locale émancipée : des élus disponibles, légitimes et respectés », sur senat.fr (consulté le ).
    27. Pierre Molkhou, Catenay, une force humaniste, Histoire et Municipalités, , 36 p., p. 15.
    28. Pierre Molkhou, Catenay, une force humaniste, Histoire et Municipalités, , 36 p., p. 23.
    29. Pierre Molkhou, Catenay, une force humaniste, Histoire et Municipalités, , 36 p., p. 24.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « SIVOS des 3 Vallées », sur catenay.fr (consulté le ).
    35. « Vélo Club de Catenay », sur veloclubdecatenay.asso-web.com (consulté le ).
    36. « Association Sportive et Culturelle de Catenay », sur asccatenay.fr/ (consulté le ).
    37. « Circuit des Châteaux », sur normandie-caux-vexin.com (consulté le ).
    38. « Circuit du Crevon », sur normandie-caux-vexin.com (consulté le ).
    39. « Église Saint-Clair », sur patrimoine-religieux.fr (consulté le ).
    40. Charles Brisson, Répertoire des monuments historiques, des objets mobiliers et des sites et monuments naturels dans le département de la Seine-Maritime, Études Normandes, , 52 p., p. 13.
    41. Pierre Molkhou, Catenay, une force humaniste, Histoire et Municipalités, , 36 p., p. 17.
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