Cappy

Cappy est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Cappy (homonymie).

Cappy

L'église Saint-Nicolas, sur le côté de la place.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC du Pays du Coquelicot
Maire
Mandat
Gérard Legrand
2020-2026
Code postal 80340
Code commune 80172
Démographie
Gentilé Capytois
Population
municipale
544 hab. (2018 )
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 55′ 44″ nord, 2° 45′ 32″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 96 m
Superficie 11,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Albert
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Cappy
Géolocalisation sur la carte : Somme
Cappy
Géolocalisation sur la carte : France
Cappy
Géolocalisation sur la carte : France
Cappy

    Les habitants de Cappy sont appelés les Cappitois et les Cappitoises.

    Géographie

    Description

    Paysage sur la commune.

    Le village est situé sur les berges de la Somme, entre Amiens et Péronne, de part et d'autre du canal de la Somme. Un hameau se trouve à Froissy.

    Il est facilement accessible par l'ancienne route nationale 29 (actuelle RD 1029) et les autoroutes A1 et A29.

    En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 38 (Albert - Bray-sur-Somme - Péronne)[1].

    Le sol est très accidenté : le relief est très accidenté suivant une ligne qui va du sud au nord. Le sol est calcaire, argileux, siliceux, tourbeux, suivant les lieux[2].

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le fleuve côtier picard la Somme traverse des étangs assez importants et produit à sa sortie une chute peu importante[2].

    Le canal de la Somme longe le fleuve. Une écluse est installée sur le canal[2].

    Dans les années 1890, on notait que les puits étaient peu profonds. L'eau qu'ils fournissaient était alors de bonne qualité[2].

    Environnement

    Une partie du territoire communal est compris dans le site Natura 2000 "Moyenne vallée de la Somme"[3],[4].

    Urbanisme

    Typologie

    Cappy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].

    La commune de Cappy a un habitat groupé autour de son église et sa mairie en bordure de la Somme. Un pont-levis permet le passage des bateaux sur le canal de la Somme.

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,7 %), forêts (10,1 %), zones agricoles hétérogènes (6 %), eaux continentales[Note 2] (4,4 %), zones urbanisées (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %), zones humides intérieures (0,5 %), prairies (0,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Le lieu est mentionné dès 877 par Capiacum ou Capriacum. On retrouve la même forme en 1191 et 1269, puis Cappi à partir du XIIIe siècle[12].

    Selon une autre source, l'étymologie de Cappy viendrait de Caput Loci et indiquerait que, très tôt, il exista à Cappy une forteresse pour défendre le passage de la Somme[2].

    Histoire

    Moyen Âge

    Le , le roi Charles le Chauve, fonda l'abbaye Saint-Corneille de Compiègne et lui octroya la terre de Cappy où fut édifié un prieuré, le prieuré Saint-Médard, créé au sein même de la forteresse préexistante. C'est le berceau du bourg de Cappy.

    En 1045, Robert, seigneur de Péronne est aussi seigneur de Cappy.

    Le , Ratbod, évêque de Noyon, ayant reçu l'église de Cappy des mains de Robert de Péronne, la donne à l'abbaye de Cluny. L'abbé de Cluny concéda au prieuré Saint-Martin-des-Champs de Paris qui y fonda un prieuré.

    En 1092, Eudes, fils de Robert, « très chrétien prince de Péronne, héritier et successeur des « princes » pervers et superbes qui, abusant de la patience de Dieu, s'étaient emparés des biens de l'Église après les invasions des Vikings, apprit, en visitant Cappy, qu'un territoire de cette paroisse se nommait par tradition Les Champs de saint Corneille. Eudes se rendit à la basilique de Compiègne, et prit connaissance des chartes de dotation. Il reconnut l'usurpation de ses aïeux, et obtint leur absolution rétrospective en restituant aux chanoines une partie de l'aleu donné par Charles le Chauve, que le chapitre lui rendit à son tour, moyennant un cens perpétuel de douze sols par an. Eudes, sa femme Lucie, les châtelains Eudes II de Ham, Effroi III et Roricon d'Encre, souscrivirent cet acte passé à Péronne, avec plusieurs membres du chapitre de la collégiale Saint-Fursy, le doyen André, le trésorier Étienne, le chancelier Gillain, le chantre Foulques[13].

    Durant la guerre de Cent Ans, le village a été fortifié pour protéger le gué sur la Somme, l'un des quatre situés entre Bray et Cappy[14].

    En 1228, Cappy bénéficie d'une charte communale[15] et s'engage par écrit à servir le roi envers et contre tous. Le sceau de la commune nous est connu par un document de 1228 déposé aux Archives nationales (n° 5 754).

    En 1269, Jean d'Athies est seigneur de Cappy et bailli d'Amiens.

    En 1360, Charles, comte de Dammartin, seigneur de Cappy, fait prisonnier par les Anglais à la bataille de Poitiers en 1356, échangea sa seigneurie de Cappy avec le connétable de Fiennes.

    Époque moderne

    Au XVIe siècle, Cappy est encore un lieu entouré de remparts et de fossés[16].

    La famille d'Estournel de Suzanne acquiert la baronnie de Cappy en 1660[16] et le droit d'établir un péage sur les ponts et chaussées permettant de franchir la Somme[17].

    Cappy a possédé un prieuré avec cinq moines et un prieur, ainsi qu'un hôpital annexé d'une chapelle Saint-Étienne[16].

    XIXe siècle

    En 1865, furent construites les écoles de Cappy.

    A la fin du XIXe siècle, le port fluvial de Cappy connut une certaine activité avec le transport de phosphate de la carrière d'Éclusier-Vaux[18].

    Première Guerre mondiale

    Cappy a énormément souffert lors de la Première Guerre mondiale[19]. En 1915, le village servait de cantonnement à l'armée française[20].

    Un cimetière militaire français y était aménagé dès 1915[21],[22].

    Entre Amiens (alors capitale de l’arrière-front) et la petite ville de Péronne (contrôlée par les Allemands), Cappy se situait sur la ligne des combats de la bataille de la Somme[23]. Afin de protéger la Somme, l'armée française y fit navigier des petites canonnières[24],[25] et le Génie construisit un nouveau pont levant[26],[27],[28].

    C'est de Cappy, alors occupé par les Allemands que décolla le le Baron Manfred von Richthofen pour ce qui allait être son dernier vol, puisqu'il sera abattu vraisemblablement par un tir venant du sol et non pas par Arthur Roy Brown, as de l'aviation canadien, qui avait pourtant revendiqué avoir abattu le "Baron Rouge" et son Fokker Dr.I.

    Afin de faciliter son effort logistique, l'armée française a installé une voie de chemin de fer militaire[29], dont une partie subsiste et constitue le Chemin de fer Froissy-Dompierre

    Le village fut très largement détruit pendant la Guerre[30],[31],[32],[33],[34],[35], excepté le clocher de l'église[36], et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [37].

    Le village fut reconstruit pendant l'entre-deux-guerres.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bray-sur-Somme[38]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton d'Albert.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, créée fin 2001 sous le nom de communauté de communes de la région d'Albert - Acheux en Amiénois et Bray-sur-Somme.

    Politique locale

    A la suite de dissensions au sein du conseil municipal concernant notamment l'acquisition d'une propriété jouxtant la mairie[39], cinq conseillers municipaux (dont le premier maire-adjoint) ont démissionné depuis les élections municipales de 2014, entraînant l'organisation d'élections partielles le [40] au terme desquelles la maire sortante, Noëlle Delebassée, a été réélue.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[41]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1989   Fernand Adriaenssens    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1989 2008 Didier Degrendel DVG[42] Exploitant agricole
    mars 2008 juillet 2020[43] Noëlle Delebassée    
    juillet 2020[44] En cours
    (au 5 juillet 2020)
    Gérard Legrand   Retraité de la fonction publique

    Distinctions et labels

    La commune a été récompensée en 2019 de ses efforts en matière de fleurissement par le 1er prix des communes de 300 à 1 000 habitants de la Somme au Concours des villes et villages fleuris[45].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[47].

    En 2018, la commune comptait 544 habitants[Note 3], en augmentation de 4,02 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9007811 0011 0421 0691 0801 1161 1531 110
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0871 1571 1431 1361 1681 009965973962
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    953920805471596561557518580
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    569549513510484485536544551
    2013 2018 - - - - - - -
    523544-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Pour l'année scolaire 2018-2019, la commune abrite une école primaire publique (maternelle et élémentaire) qui dépend de l'académie d'Amiens[49].

    Économie

    L'activité dominante de la commune, outre l'agriculture, est le tourisme. Cappy est une base de départ pour le tourisme fluvial[50],[51],[52]. Gîtes touristiques et campings sont présents dans la commune. On compte aussi un restaurant., labellisé « bistro de Pays »[53]

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Nicolas[54],[55],[56], érigée dans le bas-village. Son clocher à tourelles et contreforts date de 1654.  Classé MH (1913), il fut partiellement reconstruit dans les années 1920, après avoir subi des dégradations lors de la bataille de la Somme en 1916. L'église, elle, possède une nef romane.
    Son origine est au hameau de Froissy.
    Cappy et le tracé du chemin de fer Froissy-Dompierre (en rouge).

    Personnalités liées à la commune

    • René Carpentier, né en 1909, est un habitant du village fusillé par les Allemands en 1942. Une plaque sur le mur d'une maison de la place de l'église rappelle cet événement.

    Héraldique

    Blason
    Inconnu.
    Détails
    La commune de Cappy a, pour ses armoiries, repris le motif figurant sur un sceau rond de 1228 conservé aux Archives nationales. Sur ce sceau, le maïeur, revêtu d'une cotte de mailles, la hache d'arme sur l'épaule, se tient sur un pont crénelé, surmonté à ses extrémités de deux tourelles. Cappy s'était vu octroyer, au début du XIIIe siècle, une charte de franchises[58].
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, tome 1, Amiens, 1865, Société des antiquaires de Picardie, reprise, Paris 1990, Res Universis, Le Livre d'histoire-Lorisse.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Les horaires des lignes » Lignes du réseau Trans'80 », sur trans80.hautsdefrance.fr.
    2. Notice géographique et historique sur la commune de Cappy, rédigée par Monsieur Morvillé, instituteur, 189?, Archives départementales de la Somme.
    3. « Natura 2000, Moyenne vallée de la Somme », sur http://moyennevalleedelasomme.n2000.fr (consulté le ).
    4. « FR2200357 - Moyenne vallée de la Somme », INPN Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, tome 1, Amiens, 1865, Société des antiquaires de Picardie, reprise, Paris 1990, Res Universis, Le Livre d'histoire-Lorisse
    13. Chanoine Morel, Cartulaire de l'abbaye de Saint-Corneille de Compiègne, 1904, t. Ier, nº I, p. 1-6, et nº XVIII, p. 44-46.
    14. Hector Josse, « Histoire de la ville de Bray-sur-Somme : Destinée de la ville pendant les guerres du XIVe au XVIIIe siècle. », Mémoires de la société des Antiquaires de Picardie, t. XXVII, , p. 268-304 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    15. Bertrand Le Boudec et Hélène Izembart, Direction régionale de l'environnement de Picardie, Atlas des paysages de la Somme, vol. 1 : Une approche thématique, Amiens, Direction régionale de l'environnement Picardie, , 228 p. (ISBN 978-2-11-097199-9, lire en ligne [PDF]), p. 34-35.
    16. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 234 (ASIN B000WR15W8).
    17. « Arrêt du conseil d'Etat qui confirme le marquis d'Estourmel dans un droit de péage sur les ponts et chaussées situés sur la Somme, dans le village de Cappy, proche Péronne », Extrait des registres du Conseil d'État, Imprimerie royale, (consulté le ) lire en ligne sur Gallica.
    18. http://recherche.archives.somme.fr/ark:/58483/a011261413544xahelB/1/1
    19. Oswald Macqueron, « Cartes postales : A) Guerre 1914-1916 : Bataille de la Somme : [Cappy] installation d'une ligne téléphonique souterraine dans un village. - [Carte postale] LL., n°839. B) Cappy : vue prise sur le canal côté sud-ouest. - [Carte postale] P. D., n°111. Plaque Lumière. Coll. "La Picardie illustrée". C) Cappy, par Bray-sur-Somme : église. - [Carte postale] L. Caron, éd., Amiens. D) Cappy : le pont sur le canal et le village. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    20. Lieutenant Pompée, Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Une ferme : cantonnement », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    21. Cliché Lieutenant Pompée, Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Le cimetière militaire », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    22. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Cimetière militaire », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    23. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy (près). Poste d'observation du général Bonnier, commandant la 16e division d'infanterie coloniale », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    24. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Le canal de la Somme et canonnière », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    25. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Le canal de la Somme et canonnière », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    26. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Sur le canal. Nouveau pont levant en bois construit par le génie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    27. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Sur le canal : nouveau pont levant en bois construit par le génie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    28. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Canal de la Somme et nouveau pont levant en bois construit par le génie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    29. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Pont sur le canal de la Somme ; soldats transportant des rails (VAL 446/074) », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    30. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Un coin du village et pont sur le canal de la Somme (VAL 446/072) », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    31. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Un coin du village », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    32. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Un coin du village et pont sur le canal de la Somme », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    33. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. Le château », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    34. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. La mairie et école de garçons (VAL 446/106) », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    35. Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. L'église et ses abords (On y voit la voie ferrée militaire) », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    36. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    37. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Emmanuelle Bobineau, « Le projet qui sème la zizanie au conseil municipal de Cappy : Quatre conseillers dont le premier adjoint ont démissionné récemment. Le projet d’achat d’une propriété est au coeur des tensions alors que des élections complémentaires sont prévues en mars », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    40. Vincent Hery, « Élections municipales complémentaires à Cappy: six candidats élus : Les électeurs étaient appelés aux urnes, dimanche 17 mars, après plusieurs démissions au conseil municipal », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    41. « Les maires de Cappy », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    42. Annuaire des Mairies de Somme, Cannes, EIP/Editions Céline, 2006/2007, 274 p. (ISBN 978-2-35258-180-2 et 2-35258-180-X, lire en ligne), p. 71, disponible sur Google books.
    43. Vincent Hery, « Noëlle Delebassée, maire de Cappy, s’exprime une dernière fois avant de quitter ses fonctions : Maire depuis 2008, elle ne sera pas candidate aux élections municipales », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    44. Vincent Hery, « Gérard Legrand, nouveau maire de Cappy », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Membre du conseil municipal depuis 2014, il a occupé la fonction de deuxième adjoint depuis mars 2019 et les élections complémentaires. La liste de l’équipe sortante a remporté 14 des quinze sièges du conseil ».
    45. « Le fleurissement des villages et maisons récompensés à Millencourt », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    49. L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
    50. « Les plaisanciers se la coulent douce à Cappy : La halte nautique de Cappy accueille l’été, et parfois à l’année, de nombreux plaisanciers qui découvrent la région par voie fluviale. Rencontre avec ces touristes pas comme les autres… », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Le port de plaisance de Cappy accueille une quinzaine de bateaux quotidiennement ».
    51. Vincent Hery, « Le port de Cappy libéré, délivré (provisoirement)… du myriophylle : La plante invasive a pris ses aises dans le canal de la Somme, rendant la navigation quasiment impossible pour des plaisanciers pris au piège et mécontents », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    52. Vincent Hery, « Pour le président des Amis du fleuve Somme, basés à Cappy, «le canal n’est pas assez fréquenté» : Benoît Lamotte veut renforcer la notoriété de la navigation fluviale sur la Somme », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    53. Emmanuelle Bobineau, « Le Graal de Cappy espère attirer une nouvelle clientèle grâce au label Bistrots de pays : Le restaurant rejoint le club très fermé des Bistrots de pays. Il a appris la bonne nouvelle le 13 décembre », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    54. Oswald Macqueron, « Aquarelle :Église de Cappy, d'après nature, 16 juin 1874. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    55. Oswald Macqueron, « Aquarelles : A) Chapiteaux de l'église de Cappy, d'après nature, 16 juin 1874. B) Fonts baptismaux de l'église de Cappy, d'après nature, 14 juin 1874 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    56. Cliché Lieutenant Pompée, Section photographique de l'armée, « Photo : Cappy. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 33, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    57. « Opération au port contre le myriophylle », Courrier picard, , p. 2.
    58. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=3155
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