Boulange

Boulange est une commune française située dans le canton de Fontoy et le département de la Moselle, en région Grand Est.

Ne doit pas être confondu avec Bullange.

Boulange

Église paroissiale Notre-Dame-de-la-Nativité.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Thionville
Intercommunalité Communauté de communes du Pays-Haut Val d'Alzette
Maire
Mandat
Antoine Falchi
2020-2026
Code postal 57655
Code commune 57096
Démographie
Gentilé Boulangeois
Population
municipale
2 485 hab. (2018 )
Densité 194 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 57″ nord, 5° 57′ 12″ est
Altitude Min. 285 m
Max. 384 m
Superficie 12,78 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Boulange
(ville isolée)
Aire d'attraction Luxembourg , Metz, Thionville
Élections
Départementales Canton d'Algrange
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Boulange
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Boulange
Géolocalisation sur la carte : France
Boulange
Géolocalisation sur la carte : France
Boulange

    Ses habitants sont appelés les Boulangeois[1].

    Géographie

    La commune est composée de Boulange et Bassompierre.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Boulange est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Boulange, une unité urbaine monocommunale[5] de 2 494 habitants en 2017, constituant une ville isolée[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg, Metz et Thionville.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,7 %), prairies (15,1 %), forêts (12,5 %), zones urbanisées (6,7 %), zones agricoles hétérogènes (2 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Boulange

    • D'un nom de personne germanique Bollo[10] suivi du suffixe -ing francisé en -ange.
    • Bollingen (789-790)[11], Bolling (1178), Boulenges (1290), Bulingen (1350)[11], Boulainge (XVe siècle), Boullenge (1429), Bolenge (1436), Bollinga (D. Cal. not. Lorr.)[12], Bolingen (XVIIIe siècle ; pouillé de Trèves), Boulange (1793).
    • En allemand : Bollingen[12].
    • Le nom Bollinger est issu de Bolling, et désignait autrefois les habitants du village.
    • Partage une toponymie similaire avec les localités de Bollingen (Suisse), Bollingen (Bade-Wurtemberg) et Bollingen (Basse-Saxe).

    Bassompierre

    • Le nom a pour origine le doublet germanique beta-stein "pierre de prière"[10](probablement un mégalithe). Ou bien un nom de personne germanique Basso/Beczo suivi du latin petra "pierre"[13].
    • Bazompetra en 1133, Bassompetra en 1138, Betstein[10] et Betsteyn[13] en 1570, Basompier en 1636.
    • En allemand : Betstein[12]. En francique lorrain : Betsteen[14], Bettsteen et Betschden. En lorrain roman : Besompierre[12].

    Histoire

    Village du duché de Bar, dans la prévôté de Sancy. Était paroisse du diocèse de Trèves (doy. de Luxembourg). En 1817, Boulange village de l’ancienne province du Barrois où le Conroy prend sa source avait pour annexe Bassompierre, le moulin de petite Moyeuvre. À cette époque il y avait 391 habitants répartis dans 72 maisons. Bassompierre avait 157 habitants répartis dans 26 maisons.

    En 1871, Adolphe Thiers souhaitait donner de l'espace à la place-forte de Belfort devant rester française. Les Allemands, qui n'ignoraient pas la grande valeur minière du sous-sol, acceptèrent à condition de récupérer à leur profit des communes en déplaçant vers l'ouest la frontière prévue lors des préliminaires de paix signés à Versailles le 26 février 1871. Les communes de Rédange, Thil, Villerupt, Aumetz, Boulange, Lommerange, Sainte-Marie-aux-Chênes, Vionville devenaient donc allemandes. Mais Villerupt et Thil restèrent françaises grâce à la jovialité du normand Augustin Pouyer-Quertier qui plaisait au chancelier Bismarck. En ce qui concerne Boulange, citons cette anecdote lors de la délimination de la frontière : ''Sur la limite des communes de Beuvillers de Boulange, là où passera la frontière définitive, tout le monde est présent au rendez-vous, excepté le maire de Boulange, un rentier (M. Simon), solide gaillard, qui finit par apparaître, de loin, se dandinant, interpellé par le commissaire allemand, qui le presse. Le maire ralentit encore. L’Allemand enfle la voix. " Ah ça ! dit le rentier en arrivant, croyez-vous que je sois si pressé de devenir Prussien ?.,. Excusez-moi, mon capitaine (en parlant au Français Laussedat), de vous avoir fait attendre, mais je suis bien sûr que vous ne m’en voulez pas, Vous."''[15].).

    Boulange (Bollingen pendant l'annexion) avait une mine de fer qui fut fermée en 1969. À l'époque d'avant-guerre, Boulange comptait 35 associations. Boulange a également signé un pacte d'amitié avec la ville de Riom où de nombreux Boulangeois sont allés pour fuir l'occupation allemande.

    En 1940, l’abbé Annéser, curé de Boulange, se réfugie dans la ville de Riom et la ville de Volvic en zone libre avec environ 900 de ses paroissiens.

    Dans les années 50, il y avait à Boulange : 10 cafés, 1 cinéma, 3 boulangeries, 4 magasins de cycles, 1 fabrique de limonade, 2 cordonneries, 1 économat, 1 CMDP (Caisse Mutuelle de Prêts et Dépôts), 1 Sanal, 4 merceries, 2 boucheries, 1 quincaillerie, 3 salons de coiffure, 1 droguerie, 2 laiteries, 4 épiceries, 1 pompes funèbres, 1 atelier de ferronnerie, 1 menuiserie, 1 primeur, 1 compagnie de transport en commun.

    Bassompierre

    Commune indépendante jusqu’en 1812, Bassompierre est aujourd’hui rattachée à la commune de Boulange. Le roi Stanislas Leszczyński et Louis XV ordonnèrent en 1766 que Bassompierre s’appellerait Saint-Menge[12] ; mais le village a aujourd'hui repris son ancien nom.

    Village de Lorraine ou du Barrois non mouvant, frontière du pays de Luxembourg ; chef-lieu de la baronnie et prévôté dû même nom. Depuis un certain temps les seigneurs de ce lieu portent le titre de marquis ; George Africain de Bassompierre, marquis de Remonville, seigneur du Châlelet, Baudricourt, etc., grand écuyer de Lorraine, mort en 1632, ayant épousé en 1610, Henriette de Tornielle, fille de Charles-Emmanuel de Tornielle, grand’maitre et chef des finances de Lorraine, dont il eut Anne - François de Bassompierre, celui-ci et ses successeurs ont hérité et pris le titre de marquis de Bassompierre et de Remonville. M. le marquis de Bassompierre est seul seigneur de ce village qui en lui-même est peu considérable, n’ayant que onze ou douze habitants, il est à une demi-lieue de Sancy et sous la juridiction du prévôt, recette et bailliage de Briey, cour souveraine de Nancy. Depuis longtemps les seigneurs de Bassompierre ont fait figure en Lorraine ; dès l’an 1387, Simon, seigneur de Bassompierre est nommé de la part du duc de Bar avec quelques autres seigneurs, pour juger les différens qui pourront survenir entre les sujets du Barrois et ceux du Luxembourg. En 1490, la ville de Metz était en guerre avec Hanus Arantz et Arnoud Arantz son frère, et avec Arnoud de Fénétrange. En même temps, George de Bassompierre et Perrin de Landre, demandèrent à la cité de Metz plusieurs hommes et femmes qu’ils prétendaient être de condition servile et leur appartenir, que ceux de Metz refusaient de leur livrer. Sur la fin de septembre de cette année, le seigneur de Bassompierre envoya défier on déclarer la guerre à la ville de Metz, et peu de jours après un nommé Jean de Saint-Mihiel, à la tête de vingt-six soldats qui étaient du parti du même seigneur de Bassompierre, envoyèrent aussi défier la ville de Metz. Le dernier d’octobre, ceux de Metz marchèrent contre la forteresse de Bassompierre, mais ils revinrent dès le lendemain. Le quatrième jour de novembre, trente-sept nouveaux ennemis soutenus par le seigneur de Bassompierre, vinrent encore défier la ville de Metz. On commença bientôt les hostilités, et les gens de Bassompierre enlevèrent les chevaux et autres bétail de quelques villages. On les poursuivit jusque près de Bassompierre, mais on ne put les atteindre.

    Le château de Bassompierre est à présent en mauvais état ou même en ruine (1750). On peut voir la généalogie de la maison de Bassompierre, dans le P. Anselme et dans Moréri. Cette maison a fondé les Minimes de Nancy en 1592, et on voit dans l’église de ces religieux, les mausolées de Christophe de Bassompierre, grand’maitre d’hôtel et des finances de la Lorraine et de Louise de Rendeval sa femme, fondateur et fondatrice de cette maison. Ces mausolées sont en marbre et d’un travail exquis. Les deux personnages sont en bronze. le reste du mausolée en marbre noir. On y voit aussi le mausolée de François de Bassompierre, qui est simplement en pierre. La maison de Bassompierre est originaire d’Allemagne et établie en Lorraine au XIVe siècle. Elle porte d’argent au chevron de gueules de trois pièces. La maison de Bassompierre dans les commencements, s’attacha aux ducs de Bourgogne, mais Charles-le-Hardi dernier duc de Bourgogne, ayant manqué de parole à Simon de Bassompierre, ce seigneur passa au service du duc René II."

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[16]
    Période Identité Étiquette Qualité
    22 Fructidor de l'an VII
    (mardi 8 septembre 1799)
    dimanche 5 avril 1801 Louis Thomas    
    15 Germinal de l'an IX
    (dimanche 5 avril 1801)
    1er janvier 1810 Jacques Cailloux    
    1er janvier 1810 23 septembre 1815 Jean-Michel Adam    
    23 septembre 1815 23 juin 1816 Nicolas Mouraux    
    23 juin 1816 2 octobre 1830 Georges Mouraux    
    2 octobre 1830 26 novembre 1837 Nicolas Legendre    
    26 novembre 1837 29 juillet 1852 Pierre Schmitte    
    29 juillet 1852 17 septembre 1865 Jean-Pierre Simon    
    17 septembre 1865 18 mai 1871 Jean-Pierre Mouraux    
    18 mai 1871 15 janvier 1872 Pierre Mouraux    
    15 janvier 1872 16 novembre 1876 Jean-Pierre Simon    
    16 novembre 1876 15 juillet 1880 Nicolas Schmitte    
    15 juillet 1880 2 aout 1891 François Mouraux    
    19 septembre 1897 6 septembre 1908 Jules Simon    
    6 septembre 1908 2 septembre 1916 Auguste Collin    
    2 septembre 1916 28 novembre 1918 Hermann    
    28 novembre 1918 17 mai 1925 Georges Collin    
    17 mai 1925 16 mai 1929 Louis Poeury   Conseiller général
    16 mai 1929 11 juin 1930 François Protsch    
    11 juin 1930 18 mai 1935 Albert Zieg    
    18 mai 1935 7 octobre 1945 Georges Collin    
    7 octobre 1945 30 octobre 1947 Charles Stef    
    30 octobre 1947 21 mars 1959 Jean Brandenbourger    
    21 mars 1959 19 septembre 1963 Roland Krier    
    19 septembre 1963 18 mars 1968 Raymond Orlandini    
    18 mars 1968 16 avril 1978 Georges Alexandre    
    16 avril 1978 24 mars 1989 Denis Kiefer PS  
    24 mars 1989 23 mars 2001 Gérard Ignaczak    
    23 mars 2001 30 mars 2014 Jacky Aliventi PS Ancien tailleur
    Conseiller général du canton de Fontoy (2004 → 2015)
    30 mars 2014 En cours Gaëtan Cotica PS Retraité

    Jumelages

    Boulange n'est jumelée avec aucune commune[17].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

    En 2018, la commune comptait 2 485 habitants[Note 2], en diminution de 1,07 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    336320324498532509484455433
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    3973533813783888301 2041 7571 230
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    1 9542 3081 8191 5172 0222 5282 1961 9411 839
    1990 1999 2006 2011 2016 2018 - - -
    1 7571 7762 2052 3072 4952 485---
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Boulange compte deux écoles, l'école maternelle du Château et l'école élémentaire Victor-Hugo. Cette dernière a été totalement rénovée et dispose d'infrastructures permettant l'accueil des personnes handicapées.

    Cultes

    • 2007-2015 Yan Campione (curé)
    • 2015 à aujourd'hui Maxime Vecchio

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Vestiges gallo-romains.
    • Ancien château des Bassompierre rasé sur ordre du cardinal de Richelieu en 1635.

    Édifices religieux

    Chapelle Saint-Luc de Bassompierre.
    • Église paroissiale Notre-Dame-de-la-Nativité, sa première pierre fut posée en 1931, elle se trouve a l'emplacement même de ses devancières (datant de 1084 et 1756).
    • Chapelle Saint-Luc de Bassompierre datant de 1133 et agrandie en 1764 (c'est cette même année que Mgr Laval, évêque de Metz y fit sceller la pierre de marbre du maître-autel), date de sa dernière modification. On peut remarquer en regardant son chœur qu'il s'agit d'une ancienne construction purement romane.
    • Chapelle Saint-Quirin, où se trouvait une relique du saint envoyé par le pape au curé de Boulange (l'abbé Jean-Louis Robert) en 1774. Elle fut détruite durant le mandat de M. Brandenbourger en 1949, l'automobile a eu raison d'elle (il fallait agrandir la route afin que les voitures puissent circuler). Aujourd'hui se trouve une croix a son emplacement.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    De gueules au dextrochère de carnation vêtu d'azur, mouvant d'un nuage d'argent tenant une épée d'argent garnie d'or, accostée de deux cailloux du même, le tout chargé d'une étoile à six rais d'or.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Cotica Gaëtan, Boulange, une page d'histoire, novembre 2012

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Moselle > Boulange (57655) », sur le site habitants.fr de David Malescourt (consulté le ).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Boulange », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Alain Simmer - Le Pays-Haut (Longwy), n°1 2009
    11. Beiträge zur Geschichte der deutschen Sprache und Literatur-Max Niemeyer(1970)
    12. Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l’ancien département de la Moselle, 1868.
    13. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre.
    14. Zesummegestallt vum Henri Leyder-Lëtzebuerger Marienkalender-iwwerschaft 3/2011.
    15. Extrait du livre "La délimitation de la frontière franco-allemande" par le capitaine devenu colonel Aimé Laussedat, éditions Delagrave, Paris 1902
    16. Cotica Gaëtan, Boulange, une page d'histoire, novembre 2012
    17. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    • Portail de la Moselle
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.