Bonchamp-lès-Laval

Bonchamp-lès-Laval est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région des Pays de la Loire, peuplée de 6 087 habitants[Note 1].

Pour les articles homonymes, voir Laval.

Bonchamp-lès-Laval

La mairie.
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Laval
Intercommunalité Laval Agglomération
Maire
Mandat
Gwénaël Poisson
2020-2026
Code postal 53960
Code commune 53034
Démographie
Gentilé Bonchampois
Population
municipale
6 087 hab. (2018 )
Densité 221 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 04′ 27″ nord, 0° 42′ 05″ ouest
Altitude Min. 47 m
Max. 113 m
Superficie 27,51 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bonchamp-lès-Laval
(ville isolée)
Aire d'attraction Laval
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bonchamp-lès-Laval
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Bonchamp-lès-Laval
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Bonchamp-lès-Laval
Géolocalisation sur la carte : France
Bonchamp-lès-Laval
Géolocalisation sur la carte : France
Bonchamp-lès-Laval
Liens
Site web www.mairie-bonchampleslaval.fr

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

    Géographie

    Transports

    Deux axes de circulation routière traversent Bonchamp d'est en ouest :

    • l'autoroute A81 (dont les aires de service de Laval-Bonchamp et Laval-le-Coudray sont sur le territoire communal),
    • la D 57. Un carrefour giratoire remplace les feux tricolores depuis l'été 2008.

    Hydrographie

    La Jouanne est un des deux cours d'eau de la commune. Pêcheurs et promeneurs fréquentent cette petite rivière, là où il est bon de pêcher, notamment à partir du moulin de Pochard.

    Le ruisseau du Quartier se trouve à l'ouest, à la limite de la ville de Laval.

    Communes limitrophes

    Bonchamp est limitrophe à l'est de Laval.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 789 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Argentre », sur la commune d'Argentré, mise en service en 1971[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 774,8 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et à 76 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[14], à 12,1 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Bonchamp-lès-Laval est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bonchamp-lès-Laval, une unité urbaine monocommunale[20] de 6 037 habitants en 2017, constituant une ville isolée[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (39,5 %), terres arables (30,3 %), zones urbanisées (10,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,1 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Bonchamps-lès-Laval, de Malo Campo au XIe siècle, de Bono Campo en 1241 : constatant le changement d'épithète (bon remplaçant mauvais), Albert Dauzat et Charles Rostaing évoquent deux hypothèses. Il pourrait être dû à un affranchissement de taxes féodales ou à un euphémisme destiné à conjurer le mauvais sort[27].

    Le gentilé est Bonchampois.

    Histoire

    De Malo Campo à Bonchamp-lès-Laval

    L'étude des documents d'archives montre que la commune n'a pas toujours porté le même nom et qu'elle aurait même pu s'appeler autrement à partir de la fin du XIXe siècle.

    Les premières traces écrites remontent au XIe siècle, et relèvent une curieuse transformation du nom latin de malo en bono.

    Mais c'est une mésaventure militaire qui décide du sort de l'appellation de la commune, comme le décrit cette déclaration de Gaultier de Vaucenay, maire de Bonchamp, lors de la séance de conseil municipal du  :

    « Messieurs : vous vous souvenez que le 21 septembre dernier, des préparatifs avaient été faits dans la commune de Bonchamp, par le cantonnement de deux escadrons de cavalerie, et que ces préparatifs avaient été inutiles par suite d'une confusion amenée par la ressemblance de nom de notre commune avec celle de Bouchamps (près de Craon) à qui auraient dû parvenir les instructions arrivées ici par erreur.

    Pour arriver à éviter le retour de pareille confusion, je vous invite à adresser aux autorités civiles et militaires une demande tendant à ajouter aux noms de ces deux communes une qualification distinctive sur les pièces officielles, annuaires et cartes. On pourrait pour notre commune dire : Bonchamp-du-Maine ou Bonchamp-lès-Laval, et pour Bouchamps (près Craon), Bouchamps d'Anjou ou Bouchamps-de-Craon. »

    Le conseil municipal donna un avis favorable à cette demande de modification de nom. Et c'est par un décret du que Bonchamp prit son nom actuel : Bonchamp-lès-Laval et que la commune voisine de Craon devint « Bouchamps-lès-Craon »[28].

    Les métiers des Bonchampois à la fin du XIXe siècle

    Nombre de personnes occupant les différentes professions vers 1899 (ces chiffres englobent les patrons et les employés)[29].

    Tous les autres habitants de la commune travaillent alors dans l'agriculture. Sur cent dix exploitations, seulement sept cultivateurs sont propriétaires. Les autres sont métayers ou fermiers, occupant deux cent vingt ouvriers agricoles et une cinquantaine de servantes.

    • Charpentiers : 6
    • Maçons : 8
    • Maréchaux, fabricants de faux : 18
    • Charrons : 10
    • Cordonniers : 2
    • Tisserands : 8
    • Boulanger : 1
    • Épiciers : 3
    • Débitants : 10

    Le chemin de fer

    Bonchamp était desservi par la ligne de chemin de fer départemental reliant Laval à Saint-Jean-sur-Erve. Cette ligne fut ouverte à l'exploitation le 8 mai 1900. À partir du 8 novembre 1934, le service fut transféré sur route. En 1935, seuls vingt-quatre trains spéciaux circulèrent sur la ligne qui fut définitivement fermé le 1er mai 1935.

    En 1902, la gare de Bonchamp avait accueilli 11 168 voyageurs. La halte de Barbé, située dans la commune, avait accueilli 1 752 voyageurs cette même année[30].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1855 1862 Gaultier de Vaucenay    
    1862 1866 Bodereau    
    1866 1884 Charles Denis Vincent    
    1884 1890 Gaultier de Vaucenay    
    1890 1903 Charles Denis Vincent    
    1903 1924 Duchemin de Vaubernier    
    1924 1936 Dulong de Rosnay    
    1936 1945 Georges Pouteau    
    1945 1951 Louis Mongason    
    1951 mars 1973
    (démission)
    Henri Gendron    
    mars 1973[31] mars 2008 Henri Houdouin RPR puis UMP Exploitant agricole, conseiller général (1994 → 2005), député de la 1re circonscription (1995 → 1997 puis 2005 → 2007)
    mars 2008[32] mars 2014 Pierre-Yves Mardelé DVD Cadre supérieur de la Poste retraité
    mars 2014[33] En cours Gwénaël Poisson[34] SE-DVD Enseignant, conseiller départemental (depuis 2015)

    D'après l'abbé Angot, Gaultier de Vaucenay aurait été révoqué de sa fonction de maire en novembre 1908 pour « maintien du crucifix dans les classes »[35].

    Le conseil municipal est composé de vingt-neuf membres dont le maire et huit adjoints[34].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

    En 2018, la commune comptait 6 087 habitants[Note 7], en augmentation de 4,43 % par rapport à 2013 (Mayenne : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2358731 2191 1441 1671 2271 2751 2831 290
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2911 2621 2521 1521 1821 1461 1021 032959
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    939949914788745780788839831
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    8151 3872 2353 4443 8324 7935 2325 8425 900
    2018 - - - - - - - -
    6 087--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Les statistiques officielles concernant la population des communes sont d'apparition assez récente, puisqu'elles datent de moins de deux siècles. Cependant, l'étude des documents anciens tels que les registres d'état-civil nous permettent de nous faire une idée de l'état de la population pour les périodes antérieures.

    C'est ainsi que différents historiens ont pu établir les relevés suivants :

    • Moyenne des naissances de 1601 à 1610 : 38.
    • Pour la période allant de 1610 à 1640, on estime la population à environ 1 000 habitants. L'étude de la natalité et de la mortalité fait ressortir un excédent annuel moyen de 16 personnes. Seules trois années ont un solde négatif, caractéristique des périodes d'épidémies. L'année 1639 est remarquable à ce titre, puisqu'on relève deux fois plus de décès que de naissances.
    • Moyenne des naissances de 1701 à 1710 : 54.
    • 240 feux en 1697.
    • 1 006 habitants imposés par le sel, 51 pauvres et 10 exempts en 1776.
    • 1 026 habitants imposés par le sel, 44 pauvres, 13 exempts en 1780.
    • 900 communiants en 1780.
    • 971 imposés, 26 pauvres et 12 exempts en 1786.

    Activité et manifestations

    Bonchamp-lès-laval est équipée depuis 1996 d'une salle appelée « les Angenoises » qui accueille la médiathèque de la ville et une salle de spectacle de 750 places assises. Elle peut aussi accueillir jusqu'à 1 000 personnes debout.

    Sports

    L'Entente sportive de Bonchamp fait évoluer trois équipes en ligue du Maine et une autre en divisions de district[40].

    L'ESB Jazzline permet la pratique de la danse modern jazz, du fitness, de la zumba et du step[41], avec notamment un gala de danse organisé tous les ans au mois de juin.

    Jumelages

    Borne placée devant la mairie, symbolisant le jumelage avec Diedorf (Bavière).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La chapelle de la Cassine.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

    « Bonchamp-lès-Laval », dans Alphonse-Victor Angot et Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Laval, Goupil, 1900-1910 [détail des éditions] (lire en ligne)

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 454
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Argentre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Bonchamp-lès-Laval et Argentré », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Argentre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Bonchamp-lès-Laval et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Bonchamp-lès-Laval », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    28. Dictionnaire de l'abbé Angot - Tome 1, et Archives Départementales de la Mayenne : E-dépôt 24 1 D 5
    29. Archives départementales de la Mayenne (Ms 80.1 - Monographie communale par H. Guittier, instituteur public)
    30. Un demi-siècle de petits trains en Mayenne, Pierre-Alain Menant, Éditions du Petit Pavé.
    31. « Réactions à la disparition d'Henri Houdouin », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. « Pierre-Yves Mardelé a été élu maire vendredi soir », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. « Gwénaël Poisson a été élu maire par le conseil municipal », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    34. Réélection 2020 : « Municipales. Gwénaël Poisson élu maire à Bonchamp-lès-Laval », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. Dictionnaire de l'abbé Angot - Tomes 1 et 4 (XVI et XIXe siècles) ; mairie de Bonchamp (XXe siècle)
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. « Site officiel de la Ligue du Maine – » (consulté le ).
    41. « Inscriptions ESB jazzline », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    42. « Chapelle de la Cassine », notice no PA00109471, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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