Bogny-sur-Meuse

Bogny-sur-Meuse est une commune française, située dans le département des Ardennes en région Grand Est. Issue de la fusion des communes de Château-Regnault, Braux et Levrezy au , Bogny-sur-Meuse est connue pour ses sites liés à la légende médiévale des quatre fils Aymon, comme l'Ermitage, la statue du cheval Bayard et les quatre pics symbolisant les quatre frères. Dans le Massif ardennais, la commune s'étend en longueur le long des rives de la Meuse.

Bogny-sur-Meuse

Vue depuis le site de l'Ermitage.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Ardennes
Arrondissement Charleville-Mézières
Intercommunalité Communauté de communes Vallées et Plateau d'Ardenne
Maire
Mandat
Kevin GENGOUX
2020-2026
Code postal 08120
Code commune 08081
Démographie
Gentilé Bognysiens, Bognysiennes
Population
municipale
5 032 hab. (2018 )
Densité 217 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 51′ 03″ nord, 4° 46′ 04″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 396 m
Superficie 23,16 km2
Unité urbaine Bogny-sur-Meuse
(ville-centre)
Aire d'attraction Charleville-Mézières
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bogny-sur-Meuse
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Bogny-sur-Meuse
Géolocalisation sur la carte : Ardennes
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Bogny-sur-Meuse
Liens
Site web bognysurmeuse.fr

    Géographie

    Localisation

    Bogny-sur-Meuse se situe au sein du Massif ardennais, dans une zone forestière vallonnée, traversée par la Meuse.

    Urbanisme

    Typologie

    Bogny-sur-Meuse est une commune urbaine[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bogny-sur-Meuse, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[4] et 5 778 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Charleville-Mézières, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (78,4 %), zones urbanisées (10,9 %), eaux continentales[Note 3] (4,2 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), prairies (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Le nom de Braux vient du terme de langue d'oïl bro, qui désigne un marc (de raisin, de bière), mais aussi les boues, et qui est d’origine gauloise[11].

    Géologie

    Le territoire de la commune de Bogny-sur-Meuse est situé à la limite de substrats du Cambrien et du Dévonien. La ligne de partage orientée nord-ouest - sud-est passe par l'Ermitage, les carrières des Pleines Roches au-dessus du château Marcadet, le ruisseau de la Retorse à Tournavaux et le Corpia.

    Au nord de cette limite, c'est le Cambrien représenté par les étages du Devillien supérieur et du Revinien inférieur (entre 540 et 500 millions d'années). Les roches qui composent ces étages sont des quartzites clairs, parfois blancs, des schistes verts et des phyllades ou schistes gris et verts.

    Au sud, le Dévonien est représenté par des schistes, phyllades et quartzites gris. Les schistes ou phyllades de Levrézy sont souvent calcareux.

    La limite est constituée par du poudingue : conglomérat de galets plus ou moins roulés qui ont été entraînés par des coulées boueuses dans la mer dévonienne. Cette formation dite de Fépin correspond à la transgression marine du Dévonien inférieur (Siluro-Dévonien). Elle est âgée d'environ 435 millions d'années.

    Toutes ces roches ont été transformées par métamorphisme et plissées au cours de deux orogenèses (calédonienne, puis hercynienne).

    Au Quaternaire, le cours de la Meuse s'est imposé dans le relief. Des terrasses alluviales aux Grands Ducs, aux Perrières, sur le plateau des Janves ou aux Beaux Sarts témoignent de la présence du fleuve au Mindel, il y a plus de 600 000 ans.

    Une structure géologique appelée les Quatre fils Aymon a inspiré un monument. Depuis les hauteurs des Quatre Fils Aymon, on remarque un méandre abandonné dessiné par les ruisseaux des Eparus et de la Soque, avec au centre le sommet des Beaux Sarts.

    Histoire

    Bogny-sur-Meuse résulte de la fusion de trois villages : Château-Regnault-Bogny, Braux et Levrézy. Cette fusion s'est opérée en 1967.

    Jusqu'en 1629, Château-Regnault appartenait à une principauté indépendante, la principauté de Château-Regnault.

    Sur l'emplacement actuel du monument de la statue du cheval Bayard se dressait la forteresse de Château-Regnault. Lors de l'érection du monument en 1933, quelques trouvailles ont été faites : monnaies, épées, pointes de flèches, vaisselle, et quelques os d'animaux. D'autres trouvailles ont été faites à diverses périodes de l'histoire (XIXe siècle, XXe siècle) sur ce même site, montrant une occupation antérieure à l'époque médiévale de ce nid d'aigle, d'une surface pourtant assez réduite.

    Les derniers souverains de cette principauté furent François de Bourbon, prince de Conti et Louise Marguerite de Lorraine. Le prince de Conti était un prince du sang royal, son cousin germain n'était autre que le roi Henri IV. De son côté, la princesse était la fille du précédent souverain de Château-Regnault, Henri le Balafré. Le règne du prince dura jusqu'en 1614. Devenue veuve, son épouse conserva la principauté jusqu'à la date de 1629, où elle la céda au roi Louis XIII.

    Au XIXe siècle, une activité métallurgique se développe sur les rives de la Meuse, avec notamment la fabrication de boulons et des ateliers appelés familièrement des boutiques. Elle se substitue à une fabrication quasi-artisanale, dans des échoppes de cloutiers. La grosse boutique, des entrepreneurs Maré et Joseph, anciens cloutiers eux-mêmes, devient assez rapidement la boulonnerie la plus importante du département. Son activité cesse presque entièrement durant la Deuxième Guerre mondiale. L'usine ferme ses portes en 1953. Concernant les autres entreprises mitoyennes, une bonne partie a aujourd'hui fermé ses portes, mais quelques-unes subsistent et maintiennent cette tradition ouvrière et ce savoir-faire métallurgique.

    En mars 2020, la commune connait un cas de coronavirus qui devient symboliquement le premier du département[12].

    Exode des habitants

    Au cours de la Seconde Guerre mondiale, entre le 10 et 15 mai 1940[13], les habitants de Bogny-sur-Meuse sont dirigés vers Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Sallertaine et Challans.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis la fusion de Château-Regnault, Braux et Levrézy
    Période Identité Étiquette Qualité
    janvier 1967 mars 1977 René Hugot[14]
    (1898-1978)
    SFIO
    PS
    Commerçant, représentant
    Résistant
    Conseiller général (1949-1967)
    Ancien maire de Braux
    mars 1977 mai 1980
    (décès)
    Abel Decopons[15]
    (1912-1980)
    PCF Instituteur, directeur d'école
    Syndicaliste
    Mutualiste
    juin 1980 mars 1989 Gérard Baudoin PCF Ouvrier métallurgiste
    mars 1989 mars 2001 André Patureaux[16]
    (1922-2014)
    PS Employé puis secrétaire général de mairie
    Syndicaliste
    Mutualiste
    mars 2001 2020 Erik Pilardeau PS puis DVG[17]
    puis LREM
    Retraité de l'enseignement
    Conseiller général puis départemental
    Réélu pour le mandat 2014-2020[18]
    2020 En cours Kevin Gengoux [19] SE Agent de la fonction publique territoriale CD08
    Syndicaliste SDU08
    Secrétaire du comité Bogny-Monthermé (Souvenir Français)
    Conseiller départemental depuis 2021

    Bogny-sur-Meuse a adhéré à la charte du parc naturel régional des Ardennes, à sa création en décembre 2011[20].

    Économie et population

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

    En 2018, la commune comptait 5 032 habitants[Note 4], en diminution de 4,9 % par rapport à 2013 (Ardennes : −3,23 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0151 0591 0571 2711 2991 4981 5221 6571 703
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    2 1542 4072 5402 8542 8412 8362 7783 0653 093
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    3 3842 9073 0233 0312 7612 3062 6803 0986 715
    1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013 2018
    6 8556 2615 9815 8385 6015 5665 5315 2915 032
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Au 24 octobre 2018, la commune abrite le siège de 67 entreprises[25]. La commune a été le lieu aux XVIIIe et XIXe siècles d'une fabrication quasi-artisanale, dans des échoppes de cloutiers. Cette activité s'est transformée au XIXe siècle, avec la révolution industrielle en France, en une activité métallurgique, dans des ateliers appelés familièrement des boutiques. Une de ces entreprises, la Grosse boutique est ainsi devenue la boulonnerie la plus importante du département. Cette usine a fermé ses portes en 1953. Quelques ateliers autres ont subsisté. Ils ont maintenu une tradition ouvrière et un savoir-faire métallurgique. Implantée depuis le début des années 1990 au sein de la zone industrielle de Braux, une entreprise familiale de forge et d'estampage, les Ateliers des Janves (A.D.J.), s'impose progressivement comme le premier fabricant autonome de bielles en France et le deuxième en Europe[26]. Le 4 septembre 2018, elle est placée en redressement judiciaire[27],[28]. En novembre 2018, le tribunal de commerce de Paris a donné son accord à la reprise des Ateliers des Janves par le groupe Walor. Ce même groupe reprend également Ardennes Machining Industries à Vouziers dans le sud du département. Le groupe Walor est un sous-traitant de l'industrie automobile, spécialiste de la forge, de l'usinage, du décolletage et de l'assemblage de pièces métallurgiques. Cette reprise d'activité permet le maintien des emplois concernés[29],[30].

    Usine Hermès le long de la Voie verte Trans-Ardennes.

    En 2002, le groupe Hermès a mis en place à Bogny-sur-Meuse un atelier, appelé la Maroquinerie des Ardennes. Hermès bénéficie d'une prime à l'aménagement du territoire, pour cette implantation dans une commune ayant alors 17 % de taux de chomage[31],[32].

    Bogny-sur-Meuse fait partie de la zone franche ardennaise qui incite les entreprises à s'y implanter par des conditions avantageuses qui leur sont faites[33].

    La commune possède une halte fluviale et diverses zones industrielles :

    • Zone artisanale de Braux,
    • Quartier de Braux,
    • Quartier de Levrezy,
    • Quartier de Château-Regnault.

    Enseignement

    • Périscolaire ;
    • Maternelles ;
    • Primaire ;
    • Collège.

    Lycée le plus proche à Charleville-Mézières (20 km).

    Transports

    La commune est desservie par la ligne ferroviaire de Charleville-Mézières à Givet, elle est sur la partie navigable de la Meuse et se trouve sur la D 1.

    Santé

    • Cabinet médical
    • Cabinet infirmier
    • Masseur kinésithérapeute
    • Deux pharmacies
    • Maison de retraite

    Hôpital le plus proche : hôpital Manchester à Charleville-Mézières, à vingt kilomètres.

    Sports et équipements

    • Salle de sport polyvalente
    • Terrain de foot-ball
    • Tennis

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Les points de vue sur la Meuse et sur les rochers de l'Hermitage, de La Roche Fendue et des quatre fils Aymon permettent d'apprécier la vallée de la Meuse.
    Un centre d'exposition des minéraux et fossiles des Ardennes complète l'information du visiteur sur l'histoire géologique de cette région.

    • À l’emplacement de la statue Bayard, sur une pointe, les ruines d'une forteresse médiévale, la forteresse de Château-Regnault, dominent la vallée de la Meuse. Il ne reste aujourd'hui pratiquement plus de trace de l'édifice. On peut cependant encore observer quelques escaliers taillés à même le schiste, une citerne près du monument et un reste de tour concave taillée elle aussi dans le schiste.
    • Chapelle au cimetière (chemin du cimetière) à Levrézy.

    Au-delà de l'histoire médiévale, l'histoire industrielle de la cité a également laissé des traces.

    En particulier, l'ancien site de la Grosse Boutique évoque l'apogée de la boulonnerie avec notamment :

    • l'ancienne coopérative rue Jourdes, aujourd'hui transformée en boucherie,
    • la cense à roma, une ferme qui approvisionnait en produits du terroir les patrons de la grosse boutique, située entre les ruisseaux des Eparus et de la Soque
    • l'ensemble de maisons appartenant aux patrons constituant le bas de la rue Bernisseaux ,
    • l'ancienne crèche, rue Bernisseau,
    • les habitations ouvrières, rue de l'Echelle.

    Un centre culturel et musée de la métallurgie ardennaise a pris place, réhabilitant des locaux industriels.

    • Musée des minéraux et fossiles

    Lieux d'intérêt

    Évènements

    Le Aymon Folk Festival fête sa quinzième édition en 2012. C'est un festival de musique folk se déroulant sur le site de la platelle des 4 Fils Aymon. Avec une programmation centrée au début sur la mouvance celtique des débuts, qui s'est depuis ouverte à d’autres musiques du monde.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Rogissart (1894-1961), écrivain né à Braux.
    • Maurice Blin (1922-2016), ancien sénateur de la Ve République, né à Levrézy.
    • Eric Sleziak, sculpteur de Woinic établi à Bogny[36].
    • Annie Fortems, pionnière du football féminin, née à Chateau-Regnault en 1955.
    • Jean-Baptiste Migeon (1768-1845), né à Braux, député de 1827 à 1830 (opposition), maire de Mézières.
    • Angelo Pavone, résistant, mort en action le 2 septembre 1944 à Château-Regnault[37].
    • Maurice Louis (1895-1943), ouvrier de la métallurgie puis de l'alimentation, maire de Château-Regnault (1938-1940), mort en déportation à Oranienburg[38].

    Héraldique

    Blason
    D'azur à trois fleurs de lis d'or, au bâton péri en bande de gueules ; au chef cousu de gueules chargé de trois anneaux d'argent entrelacés en fasce.
    Détails
    Adopté le 1er janvier 1967 lors de la fusion des trois communes: BRAUX, CHATEAU-REGNAULT et LEVREZY.

    Galerie photos

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Bogny-sur-Meuse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes. Notice 3863, p. 252
    12. « Coronavirus : à 88 ans, le premier Ardennais contaminé témoigne », sur Journal L'Ardennais, (consulté le )
    13. « Monthermé en 1939-1945 », sur ajpn.org
    14. Notice biographique sur Le Maitron, dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français
    15. Notice biographique sur Le Maitron, dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français
    16. Notice biographique sur Le Maitron, dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français
    17. http://www.lunion.fr/620516/article/2015-12-16/erik-pilardeau-a-claque-la-porte-du-ps
    18. F. A., « Mot d’ordre du 1er conseil municipal : « au travail ! » », La Semaine des Ardennes, no 239, , p. 7
    19. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
    20. Création du PNR des Ardennes
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Créer des listes personnalisées d'entreprises avec Verif.com », sur www.verif.com (consulté le )
    26. ISSS Webmaster, « Forge estampage. Ateliers des Janves », sur www.estampage.eu (consulté le )
    27. L'Usine Nouvelle, « Les Ateliers des Janves en redressement judiciaire - Quotidien des Usines », usinenouvelle.com/, (lire en ligne, consulté le )
    28. « Bogny-sur-Meuse : les Ateliers des Janves en redressement judiciaire, malgré un marché automobile bien portant », France Bleu, (lire en ligne, consulté le )
    29. Pascal Remy, « Walor reprend les Ateliers de Janves et Ardennes Machining Industries », L'Usine nouvelle, (lire en ligne)
    30. AFP, « Ardennes: Ateliers des Janves repris par Walor, les 320 emplois sauvegardés », Le Point, (lire en ligne)
    31. Yves-Marie Lucot, « Hermès développe son site maroquinier de Bogny-sur-Meuse », Les Échos, (lire en ligne)
    32. Pascal Remy, « Hermès créera une deuxième maroquinerie dans les Ardennes à Tournes », L'Usine nouvelle, (lire en ligne)
    33. « Site officiel de la commune », sur Bognysurmeuse.fr
    34. Notice no PA00078349, base Mérimée, ministère français de la Culture
    35. Notice no PA08000005, base Mérimée, ministère français de la Culture
    36. Sébastien Lebourcq, Petit Futé Ardennes, Petit Futé, coll. « Département guide », , 238 p. (ISBN 9782746921931, lire en ligne), p. 94.
    37. http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article185922
    38. http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article140679

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Bogny-sur-Meuse : Du passé vers l'avenir, ouvrage collectif, Charleville-Mézières : Éditions Terres Ardennaises, n° spécial, 2007, 160 p.

    Articles connexes

    Liens externes

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