Beynac-et-Cazenac
Beynac-et-Cazenac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour l’article homonyme, voir Beynac.
Beynac-et-Cazenac | |||||
Une rue du village et le château de Beynac sur son piton rocheux. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Sarlat-Périgord noir | ||||
Maire Mandat |
Serge Parre 2020-2026 |
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Code postal | 24220 | ||||
Code commune | 24040 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Beynacois-et-Cazenacois | ||||
Population municipale |
546 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 43 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 50′ 28″ nord, 1° 08′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 53 m Max. 288 m |
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Superficie | 12,74 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Sarlat-la-Canéda (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Sarlat-la-Canéda | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.beynac-et-cazenac.fr/ | ||||
Beynac est le siège de l'une des quatre anciennes baronnies du Périgord. La commune fait partie de l'association Les Plus Beaux Villages de France.
Géographie
Généralités
Comprise dans l'aire urbaine de Sarlat-la-Canéda, la commune de Beynac-et-Cazenac est implantée en bordure de la Dordogne, à 10 kilomètres au sud-ouest de Sarlat-la-Canéda.
Le bourg est desservi par la route départementale 703, objet d'un projet de déviation contesté.
Communes limitrophes
Beynac-et-Cazenac est limitrophe de cinq autres communes.
Le conflit d'aménagement de la route départementale 703
Une déviation devait permettre de désengorger la route départementale 703 dans sa traversée de Beynac, qui figure parmi Les Plus Beaux Villages de France, où en été circulent quotidiennement plus de 10 000 véhicules entre falaise et Dordogne[1]. Avec la réalisation d'un passage sous la voie ferrée et de deux ponts sur la Dordogne, son coût estimé à trente-deux millions d'euros est particulièrement élevé[1]. Les travaux de ce tronçon, d'une longueur de 3,2 km, auraient dû s'effectuer de 2017 à 2020[1]. Le projet a suscité une forte opposition de différents acteurs de la vallée[2]. Le , la préfète de la Dordogne autorise les travaux[3] mais le Conseil d'État décide le de suspendre le chantier en cours, alors que cinq piles de pont ont déjà été coulées et que quinze millions d'euros ont déjà été payés[4]. Le tribunal administratif de Bordeaux, dans une décision rendue le , ne suit pas les conclusions de son rapporteur public et déclare que la déviation « ne répond pas à une raison impérative d'intérêt public présentant un caractère majeur ». Il demande au département de la Dordogne la destruction des piles de pont déjà mises en chantier et une restauration du site à son état d'origine[5]. Néanmoins, le président du Conseil départemental persiste à poursuivre le chantier et fait appel du jugement[6]. Le , la cour administrative d'appel de Bordeaux confirme le jugement du tribunal administratif en annulant le projet et ordonnant la démolition des travaux engagés et la remise en état des lieux[7] sous délai d'un an, ce qui à terme devrait représenter quarante-cinq millions d'euros de dépenses[8]. Le , le Conseil d'État valide la décision de la Cour d'appel et le , la préfecture de la Dordogne publie un arrêté prévoyant les conditions de remise en état des lieux sur les communes de Castelnaud-la-Chapelle, Vézac et Saint-Vincent-de-Cosse[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[16] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 22 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[20], à 12,7 °C pour 1981-2010[21], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[22].
Natura 2000
La zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, qui s'étend au total sur 3 686 hectares et est partagée avec vingt-quatre autres communes, fait partie du réseau Natura 2000[23],[24]. Deux espèces de chauves-souris inscrites à l'annexe II de la de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[23] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).
Sur la commune, elle s'étend sur environ un kilomètre carré et demi et correspond aux coteaux situés au nord de la route départementale 703, en deux sites séparés, notamment le long du ruisseau de Pontou — et de son affluent le ruisseau du Treuil — et du ruisseau du Brudou.
Urbanisme
Typologie
Beynac-et-Cazenac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[25],[26],[27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[28],[29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,5 %), zones agricoles hétérogènes (28,7 %), terres arables (1,8 %), prairies (1,6 %), eaux continentales[Note 6] (1,3 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2011 pour la Dordogne amont et ses rives, qui concerne donc les zones basses du territoire de Beynac-et-Cazenac[31],[32].
Un plan de prévention des risques (PPR) de mouvements de terrain a été approuvé en 2010 concernant une part importante du territoire communal, et notamment le bourg de Beynac[33],[34].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Beynac proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[35] :
- Belgarrit
- Béringot
- Béringot Haut
- le Brudou
- le Brugen
- Campredon
- Carvès
- le Castanet
- le Cayre
- Cazenac
- Claud de Calais
- le Clauzel
- Cognat
- Combe de Brague
- Combe Gorgue
- les Combes
- Cosse
- le Couderc
- le Double
- la Fage
- Forêt d'Abrillac
- les Garrigues
- le Grand Garrit
- les Grands Picadis
- la Grange
- Grotte de Cro Bique
- Jardins de Haute Terre
- Laborie
- la Lande
- Langlade
- Masclercy
- le Mayne
- la Patte-d'Oie
- Pécanut
- Pech Viel
- le Persillier
- le Peyrat
- la Porte
- le Roc
- la Russaume
- Tral Pech
- le Treuil
- le Vignal.
Toponymie
Localité transcrite Beinacum en 1147[36]. En occitan, la commune porte le nom de Bainac e Casenac[37].
Histoire
La première mention historique de Beynac date de 1115, époque où Maynard de Beynac, fait un don aux religieuses de Fontevrault. Toute l'histoire du village et plus généralement celle du Périgord noir se rattache à l'histoire de l'ancienne famille de Beynac.
Simon de Montfort s'emparera du château à la fin du XIIe siècle, mais les Beynac récupèreront leur château grâce à l'intervention de Philippe Auguste en 1217. Le château restera en possession de la famille de Beynac jusqu'en 1761.
La famille de Beynac s'éteignit en 1753 avec Pierre dernier marquis de Beynac[38] qui épousa en 1727 Anne-Marie Boucher, dont il eut deux filles: Julie qui épousa le marquis de Castelnau et Claude-Marie qui épousa en 1761 Christophe Marie de Beaumont du Repaire[39].
La famille de Beaumont du Repaire ajouta Beynac à son nom et porte depuis le titre de courtoisie de marquis de Beaumont-Beynac[40]. L'un de ses descendants vendra le château en 1961. C'est l'un des plus beaux fleurons de l'architecture médiévale en Périgord.
En 1827, les communes de Beynac et de Cazenac ont fusionné sous le nom de Beynac-et-Cazenac.
En 1957, l'administration française des Postes, télégraphes et téléphones a émis un timbre d'une valeur de 18 francs représentant le village de Beynac, sur lequel le nom de la commune est écrit Beynac-Cazenac[41].
Politique et administration
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[42],[43].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Beynac-et-Cazenac relève[47] :
- du tribunal de proximité et du tribunal paritaire des baux ruraux de Sarlat-la-Canéda ;
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[48].
Démographie
Les habitants de Beynac-et-Cazenac se nomment les Beynacois-et-Cazenacois[49].
Jusqu'en 1827, les communes de Beynac et de Cazenac étaient indépendantes.
Démographie de Cazenac
Démographie de Beynac, puis de Beynac-et-Cazenac
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[52].
En 2018, la commune comptait 546 habitants[Note 8], en diminution de 1,44 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Emploi
En 2015[55], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 219 personnes, soit 39,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-cinq) a augmenté par rapport à 2010 (trente-trois) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 16,1 %.
Établissements
Au , la commune compte 88 établissements[56], dont 62 au niveau des commerces, transports ou services, neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, six dans l'industrie, et cinq dans la construction[57].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Château de Beynac, XIIe siècle, XVIIe siècle, classé aux monuments historiques le [58], visitable.
- La cabane en pierre sèche au Persillier.
- Le château de Beynac.
- Le château de Beynac.
Patrimoine religieux
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Beynac classée aux monuments historiques le [59].
- Église Saint-Martial de Cazenac, inscrite aux monuments historiques le [60].
- Tour de chevalier, dite tour du couvent de Beynac, construite au XIIIe siècle pour des seigneurs vassaux qui se sont installés dans le bourg, vestiges inscrits aux monuments historiques le [61].
- Ruines et sol de l'ancien couvent d'Abrillac classés aux monuments historiques le [62].
- Croix discoïdale.
- La tour dite du couvent.
- Les ruines du couvent d'Abrillac.
- Chapelle dans le château.
Personnalités liées à la commune
- Adhémar de Beynac, ou Adémar de Bénac (vers 1120-1194), seigneur de Beynac, mort peut-être en son château de Beynac.
- Mercadier est un guerrier aquitain du XIIe siècle, chef de routiers, au service de Richard Cœur de Lion qui lui a donné les terres de Beynac.
- Geoffroy Paul Louis Armand de Beaumont-Beynac (1857-1940) dit marquis de Beaumont-Beynac (titre de courtoisie)[40],[63], marquis de la Marthonie, comte du Repaire, comte de Laroque, propriétaire du château pendant près de 60 ans ; ce fut lui qui le restaura entièrement et qui lui redonna vie.
- Jean Trémoulet (1909-1944) est un coureur automobile français, mécanicien sur la commune.
- La « rue Tibal lo garrèl » rappelle le titre d'un roman de Louis Delluc (1894-1974), romancier qui habitait dans cette rue.
Galerie de photos
- Beynac vue depuis une montgolfière.
- Beynac vue depuis une montgolfière.
- L'église et le château, au-dessus du village de Beynac.
- Ruelle qui permet de relier la ville basse au château.
- Idem.
Voir aussi
Bibliographie
- Anne Bécheau, Beynac-et-Cazenac. Histoire et chroniques, Éd. Association Plaisir de créer, 2012.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Beynac-et-Cazenac sur le site de l'Office de Tourisme Sarlat Périgord noir
- Beynac-et-Cazenac sur le site Les Plus Beaux Villages de France
- Société archéologique du Midi, Pierre Garrigou Grandchamp, Inventaire des édifices domestiques romans et gothiques des XIIe, XIIIe et XIVe siècles dans le Périgord, août 2000
- Beynac-et-Cazenac sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Réseau routier de la Dordogne » (voir la liste des auteurs).
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[13].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Cette union fut scellée par un acte solennel de jumelage entre les deux communes en 1985.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Hervé Chassain, « Plus de recours possible à Beynac », Sud Ouest édition Dordogne, 6 avril 2016, p. 15.
- « Dordogne : trois minutes pour comprendre le conflit autour du contournement de Beynac », (article avec lien vers le site des opposants), sur francebleu.fr, (consulté le ).
- Franck Delage, « La bagarre n'est pas terminée », Sud Ouest édition Dordogne, 30 décembre 2018, p. 10.
- Franck Delage, « Les travaux à l'arrêt », Sud Ouest édition Dordogne, 29 décembre 2018, p. 13.
- « Dordogne : le chantier de déviation du village médiéval de Beynac annulé », sur Le Point, (consulté le ).
- « Beynac, Caussade : le tribunal administratif de Bordeaux stoppe des chantiers « sans intérêt public majeur » », (voir aussi liens intra-article), sur rue89bordeaux.com, (consulté le ).
- Le Monde avec AFP, « La justice confirme l’annulation du contournement routier de Beynac », lemonde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- Dominique Richard, « La justice sonne le glas de la déviation », Sud Ouest, 11 décembre 2019, p. 8-9.
- [PDF] « Arrêté du 30 juin 2020 n°|DDT/SEER/ portant prescriptions au Conseil départemental de la Dordogne relatives aux travaux de démolition des éléments construits dans le cadre du projet de contournement du bourg de Beynac-et-Cazenac et de remise en état des lieux sur les communes de Castelnaud-la-Chapelle, Vézac et Saint-Vincent-de-Cosse », Préfecture de la Dordogne, Recueil des actes administratifs spécial no 1, .
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- Carte du site FR7200664, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
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- [PDF] Beynac-et-Cazenac - Plan de prévention du risque inondation p. 4, DREAL Aquitaine, consulté le 14 février 2019.
- PPR mouvement de terrain - 24DDT20100008 - Beynac-et-Cazenac, DREAL Aquitaine, consulté le 19 mars 2019.
- [PDF] Beynac-et-Cazenac - Plan de prévention du risque mouvements de terrain, DREAL Aquitaine, consulté le 19 mars 2019.
- « Beynac-et-Cazenac » sur Géoportail (consulté le 10 mars 2021)..
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 7 février 2014.
- Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, Volumes 43 à 44, 1916, page 239.
- Grand Armorial de France tome 2, page 116.
- Charondas A quel titre, Les Cahiers nobles, 1970.
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- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 28 août 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 22 octobre 2020.
- .
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 14 août 2014.
- « Voici vos 557 maires », supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 24.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 16 décembre 2020.
- Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 4 décembre 2016.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Cazenac », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dossier complet - Commune de Beynac-et-Cazenac (24040) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 11 août 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Beynac-et-Cazenac (24040) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 11 août 2018.
- « Château de Beynac », notice no PA00082380, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 juillet 2011.
- « Église de Beynac », notice no PA00082383, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 juillet 2011.
- « Église de Cazenac », notice no PA00082384, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 juillet 2011.
- « Restes de l'ancien couvent de Beynac », notice no PA00082382, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 juillet 2011.
- « Ruines et sol de l'ancien couvent d'Abrillac », notice no PA00082381, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 juillet 2011.
- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999 (ISBN 2-86577-214-4), p. 88.
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