Bernières-sur-Mer

Bernières-sur-Mer est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 2 286 habitants[Note 1].

Pour les articles homonymes, voir Bernières (homonymie).

Bernières-sur-Mer

L'église Notre-Dame-de-la-Nativité.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Nacre
Maire
Mandat
Thomas Dupont Federici
2020-2026
Code postal 14990
Code commune 14066
Démographie
Gentilé Bernièrais
Population
municipale
2 286 hab. (2018 )
Densité 298 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 56″ nord, 0° 25′ 19″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 55 m
Superficie 7,66 km2
Unité urbaine Luc-sur-Mer
(ville-centre)
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Courseulles-sur-Mer
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Bernières-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Bernières-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Bernières-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Bernières-sur-Mer
Liens
Site web www.bernieressurmer.com

    Géographie

    La commune est sur la Côte de Nacre, aux confins de la plaine de Caen et du Bessin. Son bourg est à km au nord-ouest de Douvres-la-Délivrande, à 19 km au nord de Caen et à 24 km à l'est de Bayeux[1].

    Une partie de la commune en bord de mer a été construite après la Seconde Guerre mondiale alors que la partie historique du village est un peu plus éloignée du littoral.

    Entrée de la ville.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 643 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sallenelles », sur la commune de Sallenelles, mise en service en 2004[10] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 715,8 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 16 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,2 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Bernières-sur-Mer est une commune urbaine[Note 6],[17]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Luc-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[20] et 9 701 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

    La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[25]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[26],[27].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,4 %), zones urbanisées (15,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4 %), zones humides intérieures (1,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %), zones humides côtières (0,8 %), forêts (0,1 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[29].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Bernerias et de Berneres en 1063[30].

    Albert Dauzat, ainsi qu'Ernest Nègre, considèrent que ce toponyme est issu l'anthroponyme Bernier[31],[30].

    René Lepelley y décèle quant à lui le gaulois *brenno, « terrain humide »[32]. L'existence d'un lieu-dit le Marais étaye cette hypothèse. Vraisemblablement en rapport avec l'ancien français berne ou baherne, atelier pour la fabrication du sel par évaporation », d'où bernerie latinisé en bernaria[33].

    Le gentilé est Bernièrais.

    Histoire

    Bernières est un ancien port du royaume de France.

    En juin 1944, lors du débarquement allié en Normandie, la plage de Bernières-sur-Mer est le secteur Nan de Juno Beach, seconde plage la mieux fortifiée après Omaha Beach. Le général allemand Friedrich-Wilhelm Richter commande la 716e division gardant la région avec onze canons de 155 mm et neuf de 75 mm. La prise de ce secteur est assignée à la 3e Division d'infanterie canadienne commandée par le major-général Rodney Keller (décédé en 1954 lors d'une visite en Normandie).

    Le 6 juin 1944, jour J, avec le commando Kieffer le Régiment de la Chaudière est la seule unité francophone à participer aux opérations à terre du débarquement. Commandé par le lieutenant Paul Mathieu de Québec, ce régiment de Canadiens français débarque à Bernières-sur-Mer après les Queen's Own Rifles of Canada et surprend la population locale qui ne s'attendait pas à rencontrer des troupes parlant le français. À la fin de la journée suivante, les forces canadiennes, 21 500 hommes (sans compter les pertes), font leur jonction avec les forces britanniques qui ont pris Sword Beach. Les pertes canadiennes (morts, blessés, disparus) sont d'environ un millier de combattants.

    Héraldique

    Les armes de Bernières-sur-Mer se blasonnent ainsi :

    D'azur au voilier contourné d'argent, sur des ondes du même, surmonté de trois croisettes d'or[34].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1972 juillet 1989[35],[36] Christian Hayaux du Tilly[37]   Directeur de banque
    juillet 1989 août 1989 Délégation spéciale    
    août 1989[38] juin 1995 Henri Maudelonde   Directeur financier
    juin 1995 septembre 2000[39]
    (démission)
    René Tenet   Cadre retraité
    septembre 2000[40] mars 2001 Marie-Noëlle Berthelot   Maire par intérim
    mars 2001 avril 2014 Maryvonne Mottin PRG Technicienne biologiste
    Conseillère générale du canton de Douvres-la-Délivrande (2008 → 2015)
    avril 2014[41] mai 2020 Denis Leportier SE Sapeur-pompier retraité
    mai 2020 en cours Thomas Dupont-Federici SE Enseignant en économie et gestion des ressources humaines
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[42].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].

    En 2018, la commune comptait 2 286 habitants[Note 8], en diminution de 3,05 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2451 2881 4031 4431 4821 4601 3681 4141 378
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3011 1981 2351 1301 078966916836807
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8648768208127408158039811 065
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    9309641 0531 5481 5631 8822 3732 3112 325
    2018 - - - - - - - -
    2 286--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Bernières-sur-Mer fait partie de l'unité urbaine de Douvres-la-Délivrande - Luc-sur-Mer, formée par les communes de Bernières-sur-Mer, Douvres-la-Délivrande, Langrune-sur-Mer, Luc-sur-Mer et Saint-Aubin-sur-Mer[47].

    Économie et tourisme

    Bernières-sur-Mer est dénommée « commune touristique » depuis septembre 2010[48].

    Lieux et monuments

    • L'église Notre-Dame-de-la-Nativité (XIIe - XIVe siècles) qui fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840[49]. Le retable, haut d'environ m, est l'un des plus grands du Calvados. Il a été élevé aux alentours de l'an 1660. Le clocher, haut de 67 m, pouvait servir d'amer aux bateaux[50].
    • Le manoir de la Luzerne, du XVe siècle, qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 22 décembre 1998[51].
    • Le château de Quintefeuille (XVIIIe siècle).
    • Le château de Semilly (XVIIe siècle) qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 16 septembre 1937[52].
    • La gare de Bernières.
    • La plage de Juno Beach.
    • Signal, monument commémoratif du débarquement allié du , situé place du 6 juin. Il est financé par l'argent tiré de la vente d'épaves du débarquement. Il est inauguré le par Antoine Pinay et Georges Vanier. Il est inscrit dessus : « Ici, le , l'héroïsme des forces alliées libère l'Europe ». Le texte y est également inscrit en anglais. Il fait partie d'une série de monuments semblables, portant le même titre, situés dans les communes où le débarquement de 1944 eut lieu.

    Sites naturels protégés

    La falaise du Cap Romain est classée réserve naturelle nationale depuis 1984.

    Activité et manifestations

    Jumelages

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Sallenelles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Bernières-sur-Mer et Sallenelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Sallenelles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Bernières-sur-Mer et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Luc-sur-Mer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    26. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    30. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 3 : Formations dialectales (suite) et françaises, Genève, (lire en ligne), p. 1706
    31. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
    32. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 78
    33. Jean Adigard des Gautries-Fernand Lechanteur, Les noms des communes de Normandie - V [article] Annales de Normandie Année 1962 - page 11.
    34. « GASO, la banque du blason - Bernières-sur-Mer Calvados » (consulté le )
    35. Il est réélu en mars 1989 mais le scrutin est annulé.
    36. « Bernières-sur-Mer : Nouvelles élections municipales les 20 et 27 août », Ouest-France,
    37. « Les municipales dans le canton : Alors, M. le Maire ? », Ouest-France,
      « Bernières (1 548 habitants) - Christian Hayaux du Tilly, 60 ans, directeur de banque, élu conseiller en 1971 et maire l'année suivante, se représente à nouveau »
    38. « Budget et gestion de la commune : Le mode d'emploi d'Henri Maudelonde », Ouest-France,
      « Henri Maudelonde, 67 ans, maire de Bemières depuis les élections du mois d'août dernier »
    39. « Démission de René Tenet, maire de Bernières-sur-Mer », Ouest-France,
    40. « Marie-Noëlle Berthelot maire par intérim », Ouest-France,
    41. « Un premier conseil municipal tendu et une démission », Ouest-France site= ouest-france.fr (consulté le )
    42. « Bernières-sur-Mer (14990) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    47. Liste des unités urbaines officielles en France avec les villes les composant, disponible en téléchargement au format texte (Insee)
    48. [PDF] « Préfecture du Calvados - Recueil des actes administratifs n°42 - 9 septembre 2010 » (page 33)
    49. « Église Notre-Dame de la Nativité », notice no PA00111088, base Mérimée, ministère français de la Culture
    50. Source : panneaux à l'intérieur de l'église.
    51. « Manoir », notice no PA14000013, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. « Château de Bernières », notice no PA00111087, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. « Villes jumelles », sur bernieres-sur-mer.com, mairie de Bernières-sur-Mer (consulté le )

    Bibliographie

    • (en) Lance Goddard, D-Day : Juno Beach, Canada's 24 Hours of Destiny, Toronto, Dundurn Press, , 254 p. (ISBN 978-1-55002-492-0, présentation en ligne)
    • Yann Magdelaine, Juno : L'assaut canadien, Orep, , 32 p.
    • Jacques Castonguay et Armand Ross, Le Régiment de la Chaudière, Lévis : Forces armées canadiennes, Le Régiment de la Chaudière, , 644 p.
    • Jacques Leroux et Philippe Déterville, La Normandie en flammes : journal de guerre du capitaine Gérard Leroux, officier d'intelligence au Régiment de la Chaudière, Condé-sur-Noireau, Condé-sur-Noireau : Ch. Corlet ; Montréal : Iris-diffusion, , 454 p. (ISBN 2-85480-078-8)

    Films

    Le film Storming Juno diffusé le 11 novembre 2010 au Canada est basé sur les actions d'une poignée de jeunes canadiens lors du débarquement du jour J le 6 juin 1944 : http://www.stormingjuno.com.

    Liens externes

    • Portail du Calvados
    • Portail des communes de France
    • Portail de Caen
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.