Bergheim
Bergheim est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Pour les articles homonymes, voir Bergheim (homonymie).
Bergheim | |
La Porte Haute de Bergheim. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Haut-Rhin |
Arrondissement | Colmar-Ribeauvillé |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Ribeauvillé |
Maire Mandat |
Elisabeth Schneider 2020-2026 |
Code postal | 68750 |
Code commune | 68028 |
Démographie | |
Gentilé | Bergheimois, Bergheimoises |
Population municipale |
2 096 hab. (2018 ) |
Densité | 109 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 12′ 21″ nord, 7° 21′ 45″ est |
Altitude | Min. 172 m Max. 733 m |
Superficie | 19,16 km2 |
Type | Commune urbaine |
Aire d'attraction | Colmar (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Sainte-Marie-aux-Mines |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.ville-bergheim.fr/ |
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Ses habitants sont appelés les Bergheimois et les Bergheimoises.
L’habitat se concentre, encore au début du XXIe siècle, essentiellement au-dedans d’un rectangle de 300 m sur 500 m, aux angles arrondis, déterminé par la double enceinte médiévale, laquelle a été conservée jusqu’à nos jours sur quasi toute sa longueur. La ville a somme toute peu débordé de cet étroit périmètre au fil des siècles, allant seulement s’étendre sur quelques centaines de mètres vers l’est, sur le Wolfshoehle, et vers l’ouest, en direction du hameau de Froehn, où se construisent de nouveaux logements et où se sont implantées quelques entreprises.
Géographie
Localisation
Bergheim est située dans le canton de Sainte-Marie-aux-Mines, à 17 km au nord de Colmar et à 10 km au sud-ouest de Sélestat, dans la frange vallonnée de la plaine d’Alsace, entre Ribeauvillé, Saint-Hippolyte et Thannenkirch, à quelque deux kilomètres des montagnes vosgiennes, lesquelles ont, notoirement, un début abrupt sur leur versant oriental.
Hydrographie et les eaux souterraines
La ville est arrosée par le petit ruisseau du Bergenbach, affluent gauche de l’Ill.
Géologie et relief
Cette ancienne cité médiévale est sise dans une contrée riche en vignes, un peu en retrait à l'ouest par rapport à la voie express N83/A35 Strasbourg-Colmar et la ligne de chemin de fer Strasbourg-Bâle.
C'est une des 198 communes[1] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.
Photo aérienne de Bergheim (regard tourné vers l’ouest-sud-ouest). On reconnaît bien le plan rectangulaire de la ville ancienne, délimité par la double enceinte médiévale et sa douve (comblée). On distingue l’église paroissiale à l’avant-plan (près de la section orientale de la muraille d’enceinte) et la Grand’Rue, qui traverse le bourg de part en part, et aboutit, à l’extrémité occidentale de la cité, à la Porte Haute, reconnaissable à sa tour carrée à comble pyramidal. Plus loin, c'est-à-dire plus à l’ouest, le quartier neuf de Froen. Tout au loin, à gauche, l’agglomération de Ribeauvillé.
Urbanisme
Typologie
Bergheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33,1 %), terres arables (32,5 %), cultures permanentes (23,5 %), zones urbanisées (4,1 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %), prairies (0,1 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Toponymie
Attestée sous la forme Berchem en 465, Bercheim en 1302, Berckheim en 1510, Bercken en 1576[9].
Du germanique berg (montagne), repris du celtique et du pré-celtique, et du germanique heim (village)[10].
Bergheim peut se traduire par la « maison du mont »[11].
Histoire
Préhistoire
On a retrouvé à Bergheim 58 silos de l'époque néolithique, dont 14 contenaient des restes humains[12]. Dans le silo 157 ont été retrouvés huit corps, et des bras gauches sectionnés qui n'appartenaient pas aux mêmes individus[13], témoignant d'un événement violent survenu vers 4200 av. J.C.
Construit sur un ancien camp romain
La ville de Bergheim a été identifiée à l’emplacement d’un ancien camp romain. En 1848, on a découvert d'anciennes mosaïques de cette époque, qui ont été partiellement reconstituées.
Un village changeant plusieurs fois de propriétaire
Aucun lieu en Alsace n'a aussi souvent changé de maître que le bourg de Bergheim. Au VIIe siècle, un nommé Hagio en fit don à l'abbaye de Moyenmoutier, en Lorraine. Othon Ier le donna à Conrad, père de Hermann, duc d'Alsace. Les religieux de Moyenmoutier entrèrent en possession de Bergheim[14] en 964 par le recours de Gerhard, évêque de Toul, mais le duc Hermann s'en empara de nouveau en 978 et le concéda à un certain Lugold. Sous l'empereur Henri II, il devint la propriété des évêques de Toul, et, en 1132, le pape Innocent II confirma cette possession. En 1225, l'évêque Eudes conféra son droit sur Bergheim à Mathieu, duc de Lorraine. Mathieu céda à son tour, en 1246, Bergheim, à titre de fief, à Philippe de Gilbeviller, et à la mort de celui-ci à Hugues, comte de Lützelstein. En 1285, Cuno de Berckheim (famille de Mittelbergheim issue de la branche d'Andlau) est l'un des 500 chevaliers invités du comte de Chiny et participe aux fêtes, joutes et tournoi qui se donnent à Chauvency-le-Château près de Montmédy. Il y était venu avec d'autres Alsaciens, dont Conrad Warnier ou Werhner de Hattstatt. Le trouvère Jacques Bretel, chargé de faire le reportage de ces journées, raconte la joute qui opposa alors Cuno de Berckheim au seigneur de Faucogney.
En 1287, Bergheim était entre les mains des Rappolstein. En 1301, Albert Ier, roi des Romains, l'engagea à Burcard de Geroldseck. Henri II de Ribeaupierre le reprit sur ce dernier, l'entoura de fortifications et l'offrit à l'empereur Henri VII, dont il le reçut en fief, en 1312.
Bergheim fut finalement élevée au rang de ville libre sous la tutelle de Henri de Ribeaupierre. C’est en 1313 que Bergheim obtint le privilège de frapper la monnaie, le droit de refuge et le droit de perception de droits de douane. Des vestiges historiques abondants de cette époque sont bien conservés de nos jours.
Entre 1582 et 1683, la ville connait un épisode de chasse aux sorcières[15] : 39 femmes sont condamnées à être brûlées, l'une est pendue et 3 autres autres meurent sous la torture[16].
Les guerres mondiales
Un bombardier US B17 s’est écrasé à Bergheim le 27 mai 1944 après avoir été pris en chasse par un Messerschmitt[17].
8 personnes nées à Bergheim ont été déportées[18].
C'est au « Grasberg » que reposent 5 308 soldats allemands morts pendant la deuxième guerre mondiale[19].
Héraldique
Cuno de Berckheim porte d'or à croix de gueules au Tournoi de Chauvency.
Ernoult de Bergheim (voir l'armorial du tournoi de Chauvency).
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Les armes de Bergheim se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Budget et fiscalité 2016
En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[21] :
- total des produits de fonctionnement : 2 522 000 €, soit 1 238 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 2 080 000 €, soit 1 021 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 1 401 000 €, soit 687 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 1 785 000 €, soit 876 € par habitant ;
- endettement : 627 000 €, soit 308 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 12,85 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,27 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 36,05 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,60 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 20,19 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 603 €[22].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].
En 2018, la commune comptait 2 096 habitants[Note 3], en augmentation de 5,54 % par rapport à 2013 (Haut-Rhin : +0,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ville fleurie : quatre fleurs au concours des villes et villages fleuris[29].
- Remparts (XIVe - XVe siècle)[30],[31], avec sur le flanc occidental une tour-porte, la Porte Haute[32] ou Obertor, érigée au XIVe siècle et remaniée au XVIe, la seule à subsister des trois portes que comptait autrefois le bourg.
- Ancienne commanderie de Templiers, dite Le Tempelhof[33],[34].
- Château de Reichenberg[35],[36].
- Hôtel de ville (1767)[37].
- Ancienne maison d'école[38], aujourd'hui musée de la ville (1550).
- Tilleul de 1300[39].
- Le cadran solaire astronomique[40].
- Les 3 fontaines[41],[42],[43],[44], dont la fontaine située place du Docteur-Pierre-Walter.
- Le lavoir extra-muros[45].
Enceinte médiévale (XIVe), Tour B. Enceinte médiévale (XIVe), Tour E rectangulaire, vers l'est. Enceinte médiévale (XIVe),
Porte Haute.Hôtel de ville (1767). Ossuaire, puis école, aujourd'hui Musée de la ville (XVIe)[46]. - Fontaine (XVIe), place du Docteur-Pierre-Walter.
- Église paroissiale de l'Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie : celle-ci fut probablement, et pour l’essentiel, construite entre 1320 et 1347[47],[48],[49]. Remontent, en effet, à cette époque gothique les éléments suivants :
- le chevet voûté, avec abside à cinq pans, que jouxte au nord une sacristie voûtée à croisée d'ogives ;
- la nef à trois vaisseaux ;
- le clocher occidental, précédé d’un porche, également à croisée d'ogives ;
- et de nombreux éléments sculptés datant du XIVe siècle, tels que le tympan de l'Adoration des Mages surmontant le portail d’entrée, et quelques fragments d'un portail du Jugement dernier apposés contre le flanc sud de la nef.
Cependant, l'aspect actuel de la nef est déterminé surtout par un remaniement dans le sens baroque effectué en 1718, lors duquel le vaisseau central fut couvert d'un plafond et séparé des bas-côtés par des arcs en plein-cintre s’appuyant sur des colonnes toscanes. La chapelle des Quatorze Saints Auxiliateurs, de style néogothique, qui renferme d'intéressantes œuvres d'art tant peintes que sculptées, fut ajoutée au flanc sud en 1819. La sacristie sud, de style néo-gothique également, date de la fin du XIXe siècle. Les grandes orgues, de type Rinkenbach, sont de 1903 ; le bâti néobaroque qui les abrite date de 1879, mais incorpore des sculptures originales de 1740[50],[51],[52].
Bergheim est aujourd'hui le siège d'une communauté de paroisses regroupant 8 paroisses : Bergheim, Guémar, Illhaeusern, Ostheim, Rodern, Rorschwihr, Saint Hippolyte et Thannenkirch. Ce regroupement porte le nom de « Communauté de paroisses du Bon Pasteur, entre Ill et Taennchel » et peut être découvert via son site Internet www.paroisses-bergheim.fr.
Vue d'ensemble, côté nord-ouest. Tympan du portail d'entrée « Adoration des Mages » (XIVe). Plan rapproché du mur gouttereau sud de la nef avec, à droite, fragments du portail du Jugement dernier. Intérieur, avec chœur gothique au fond, et nef réaménagée en sens baroque avec plafond et arcs plein-cintre sur colonnes de type toscan.
- Maisons inscrites dans la base Mérimée des monuments historiques
- Maison au 6, place du Docteur-Pierre-Walter
- Maison au 8, place du Docteur-Pierre-Walter
- Maison au 2-4, rue du Haut-Koenigsbourg
- Maison au 31, rue des Vignerons
- Maison au 62, rue des Vignerons
Maison, 6 place du Docteur Pierre-Walter (XVIe)[53]. Maison, 8 place du Docteur Pierre-Walter (XVIIIe)[54]. Maisons, 2-4 rue du Haut-Koenigsbourg (XVIIe)[55]. Maison, 62 rue des Vignerons (1558)[56].
- La synagogue de Bergheim, inscrite sur l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques par arrêté du 30 octobre 1990[57],[58],[59],[60].
- Le cimetière de Bergheim[61],[62].
- Le cimetière militaire allemand qui accueille plus de 5 000 sépultures de la Seconde Guerre mondiale[63].
- Monuments commémoratifs[64],[65],[66],[67],[68],[69],[70].
Personnalités liées à la commune
- Martin Drolling, peintre né à Bergheim en 1752 et décédé à Paris en 1817. Il travaillait pour de nombreuses manufactures de porcelaine et devint, à partir de 1808, conseiller de celle de Sèvres.
- Son fils Michel Martin dirigeait un atelier d'artistes peintres à Paris. Jean-Jacques Henner y était l'un de ses élèves.
- Dominique-François-Louis Roget (1795-1872), baron de Belloguet, né à Bergheim, historien français.
- Paul Haguenauer, Grand-rabbin de Nancy, né en 1871 à Bergheim. Il est déporté et assassiné à Auschwitz, en 1944.
- Les Netter de Bergheim
- La Famille Blum
- Léopold Sée, né le 4 mai 1822 à Bergheim et mort le 17 mars 1904 à Paris (XVIIe) est un général de division d'infanterie, grand officier de la Légion d’honneur.
Bibliographie
- Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 662 p. (ISBN 2-7165-0250-1)Bergheim, pp. 48 à 51
- Michel Hérold et Françoise Gatouillat, Les vitraux de Lorraine et d'Alsace, Corpus vitrearum, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Paris, CNRS Editions Inventaire général, , 328 p. (ISBN 2-271-05154-1)Recensement des vitraux anciens de la France, Volume V, Bergheim, maison collection privée, page 267
- Le Grand et le Petit-Geroldseck
- Bergheim en 1939-1945 - AJPN
- Sorcières et viticulture
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4e trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Bergheim, pp. 139-140
- Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, Début du Ve siècle à la fin du XVe siècle, Strasbourg, Editions Publitotal, , 495 p.Bergheim pp. 206 à 212 Carte n°5 Alsace-Lorraine-Franche-Comté
- Cavités souterraines : Carrière souterraine gypse
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Le site officiel de la ville de Bergheim
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Liste des 198 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Colmar », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Correspondance des toponymies lorraines en français et en allemand
- Michel Priziac - Les noms racontent la nature, Kidour-éditions, 2007, page 15, (ISBN 978-2-917574-27-0).
- Jean Coste - Dictionnaire des noms propres : Toponymes et patronymes de France - (ISBN 2200356927).
- ANTEA-Archéologie, Bergheim "Saulager", 2012
- France Culture, Le salon noir, Le mystère de la fosse 157 de Bergheim, 10 juin 2014
- Les seigneurs de Geroldseck
- Tout comme ses voisines de Molsheim (voir Procès de sorcellerie à Molsheim), Sélestat, Colmar, Saverne et Strasbourg
- Festraëts Marion, « Les sorcières de Bergheim », L'Express, (lire en ligne).
- la Forteresse B17 "Sweater Out" de la 8e U.S Air Force - 457e Groupe de Bombardement, abattue par la chasse allemande
- Les personnes nées à Bergheim, mortes en déportation
- Cimetière militaire Allemand
- Archives Départementales du Haut-Rhin
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- « Accueil - Mnesys », sur www.archives.haut-rhin.fr (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Source : , site Internet Villes et Villages Fleuris, page consultée le 11 mai 2008.
- « Vestiges des anciennes fortifications », notice no PA00085343, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fortification d'agglomération », notice no IA68006831, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Porte de ville, Porte Haute », notice no IA68006832, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ancienne commanderie de Templiers, dite Le Tempelhof », notice no PA68000027, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Commanderie de templiers, puis d'hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, puis ferme de vigneron », notice no IA68006906, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Reichenberg », notice no PA00135156, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château-fort de Reichenberg », notice no IA68006907, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- L'hôtel de Ville
- « Ancienne maison d'école », notice no PA00085346, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le vieux tilleul
- Le cadran solaire astronomique
- La Fontaine du Maire Witzig
- « Fontaine », notice no PA00085342, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine E », notice no IA68006905, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- La Fontaine rue des Vignerons
- Le lavoir extra-muros
- « Ossuaire, école, musée », notice no IA68006096, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise catholique de l'Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie », notice no PA00085341, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise paroissiale de l'Assomption », notice no IA68006093, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- L'église de l'Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie
- « orgue de tribune : buffet d'orgue », notice no PM68000874, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « orgue de tribune », notice no PM68000873, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bergheim, orgues de l’église de la Vierge Marie
- « Maison 6 place du Docteur-Pierre-Walter », notice no IA68006841, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison, 8 place du Docteur Pierre-Walter », notice no IA68006842, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme 2, 4 rue du Haut-Koenigsbourg », notice no IA68006873, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 62 rue des Vignerons », notice no IA68006897, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085757, base Mérimée, ministère français de la Culture Synagogue 3e quart XIXe siècle.
- Notice no IA68006097, base Mérimée, ministère français de la Culture Synagogue, Hartmann Auguste (architecte)
- « Synagogue », notice no PA00085757, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- La synagogue de Bergheim
- Notice no IA68006098, base Mérimée, ministère français de la Culture Cimetière
- « Chapelle de cimetière », notice no IA68006099, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Cimetière militaire allemand notice sur www.ville-bergheim.fr, site de la ville de Bergheim.
- Le monument aux morts
- Monument aux morts
- Conflits commémorés 1914-18 et 1939-45
- Bergheim par le Centre de Recherches sur l'Histoire des Familles
- Héroïsme d’un jeune Alsacien : Le monument du fusillé de Bergheim, Conflits commémorés 1914-18
- La mémoire des « fusillés pour l'exemple » et des « mutins de 1917 »
- "Les anciens de Tambow et internés en Russie de Bergheim à la mémoire de leurs camarades"
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