Beaussac

Beaussac est une ancienne commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Beaussac

Le village de Beaussac.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Dronne et Belle
Statut Commune déléguée
Maire délégué Stéphanie Marcenat
2020-2026
Code postal 24340
Code commune 24033
Démographie
Gentilé Beaussacois
Population 170 hab. (2015 )
Densité 9,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 29′ 39″ nord, 0° 30′ 00″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 224 ou 225 m
Superficie 18,05 km2
Élections
Départementales Brantôme en Périgord
Historique
Date de fusion
Commune(s) d'intégration Mareuil en Périgord
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Beaussac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Beaussac
Géolocalisation sur la carte : France
Beaussac
Géolocalisation sur la carte : France
Beaussac

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Au , elle fusionne avec huit autres communes pour former la commune nouvelle de Mareuil en Périgord.

    Géographie

    Généralités

    La vallée de la Nizonne au niveau du château d'Aucors.

    Dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, la commune déléguée de Beaussac forme la partie nord-ouest de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord. Au nord-ouest, elle est limitrophe du département de la Charente. Elle s'étend sur 18,05 km2. Elle est bordée au sud sur près de quatre kilomètres par la Lizonne, ici appelée Nizonne, qui sert de limite avec la commune déléguée de Puyrenier. Deux de ses affluents marquent également la limite territoriale : au sud-est le ruisseau de Beaussac avec la commune de Rudeau-Ladosse et au sud-ouest le ruisseau de Bretanges avec la commune déléguée des Graulges.

    L'altitude minimale avec 105 mètres se trouve localisée à l'extrême sud-ouest, là où la Nizonne quitte la commune et sert de limite entre Les Graulges et Puyrenier. L'altitude maximale avec 224 ou 225 mètres[Note 1] dans le nord-ouest au lieu-dit la Garde (ou Lagarde)[1]. Au niveau géologique, le sol se compose principalement de sables, argiles ou graviers pléistocènes et de calcaires du Crétacé, ainsi que d'alluvions holocènes dans les vallées de la Nizonne et des ruisseaux de Beaussac et de Bretanges[2].

    Traversé par la route départementale 93, le bourg de Beaussac est situé, en distances orthodromiques, six kilomètres au nord-est du bourg de Mareuil et treize kilomètres à l'ouest-sud-ouest de Nontron.

    Le territoire communal est également desservi par la RD 87.

    Communes limitrophes

    Carte de Beaussac et des communes avoisinantes en 2016.

    En 2016, année précédant la création de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord, Beaussac était limitrophe de huit autres communes dont trois dans le département de la Charente.

    Parc naturel

    La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin[3] depuis la création de celui-ci en 1998[4], adhésion renouvelée en 2011[5].

    ZNIEFF

    La Nizonne au pont du Râteau, en limite de Puyrenier (vue vers l'amont).
    La Nizonne au pont du Râteau, en limite de Puyrenier (vue vers l'aval).

    Les vallées de la Nizonne et de ses affluents, les ruisseaux de Beaussac et de Bretanges, sont protégées dans leur traversée de la commune au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « Vallée de la Nizonne »[6],[7].

    Sa faune est constituée d'environ 250 espèces dont trente sont considérées comme déterminantes :

    Sa flore est également constituée de plus de deux cents espèces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).

    Le « bois de Beaussac » est partagé entre les trois anciennes communes de Beaussac, Connezac et Hautefaye ; c'est une autre ZNIEFF de type II de près de 10 km2  dont les trois quarts sur le territoire de Beaussac  qui associe également une petite partie dans le sud-ouest de Rudeau-Ladosse, et où pousse la Sabline des chaumes[8],[9].

    La ZNIEFF de type I « Coteaux calcaires des bords de la Nizonne et de la Belle » présente des pelouses calcaires[10],[11] où s'épanouissent plus de 160 espèces de plantes dont plusieurs sont considérées comme déterminantes : la Cardoncelle (Carduncellus mitissimus), l'Euphorbe de Séguier (Euphorbia seguieriana), le Fumana à tiges retombantes (Fumana procumbens), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), la Laîche humble (Carex humilis), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa) et le Thésium couché (Thesium humifusum), et dix-huit espèces d'orchidées terrestres : la Céphalanthère rouge Cephalanthera rubra, l'Homme-pendu (Orchis anthropophora), le Limodore à feuilles avortées (Limodorum abortivum), la Listère à feuilles ovales (Neottia ovata), l'Orchis bouc (Himantoglossum hircinum), l'Orchis bouffon (Anacamptis morio), l'Orchis brûlé (Neotinea ustulata), l'Orchis guerrier (Orchis militaris), l'Orchis mâle (Orchis mascula), l'Orchis moucheron (Gymnadenia conopsea), l'Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis), l'Orchis pourpre (Orchis purpurea), l'Ophrys abeille (Ophrys apifera), l'Ophrys araignée (Ophrys sphegodes), l'Ophrys bourdon (Ophrys fuciflora), l'Ophrys brun (Ophrys fusca), l'Ophrys mouche (Ophrys insectifera) et la Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha). Sur Beaussac, l'ensemble des coteaux de la Nizonne et du ruisseau de Beaussac concernés par cette ZNIEFF s'étend sur environ deux kilomètres carrés d'un seul tenant, à leur confluence.

    Une mince bande d'environ 35 hectares, le long de la Nizonne et de la partie aval de son affluent le ruisseau de Beaussac, fait partie d'une autre ZNIEFF de type I « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »[12],[13] dans laquelle ont été recensées douze espèces déterminantes d'animaux : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cistude (Emys orbicularis), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii), la Loutre d'Europe (Lutra lutra), la Rainette verte (Hyla arborea), le Triton marbré (Triturus marmoratus) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq espèces déterminantes de plantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sagittaire à feuilles en flèche (Sagittaria sagittifolia) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis). Par ailleurs, 160 autres espèces animales et 156 autres espèces végétales y ont été répertoriées.

    Natura 2000

    La vallée de la Nizonne est aussi une zone Natura 2000 avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive habitats de l'Union européenne[14],[15] :

    • dix espèces de mammifères dont huit chauves-souris (Barbastelle d'Europe, Grand murin, Grand rhinolophe, Minioptère de Schreibers, Murin à oreilles échancrées, Murin de Bechstein, Petit murin et Petit rhinolophe), ainsi que la Loutre d'Europe et le Vison d'Europe (Mustela lutreola) ;
    • parmi les insectes, le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), plus six espèces déjà protégées dans la ZNIEFF du même nom, hormis l'Azuré de la croisette ;
    • la tortue Cistude d'Europe ;
    • le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri).

    Urbanisme

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Beaussac proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[16] :

    • Aucors
    • Bois de Beaussac
    • le Bois du Chazaud
    • Bois de Marat
    • Bois Nègre
    • les Brandes
    • Bretanges
    • les Champs Plats
    • la Côte
    • Coulouniex
    • les Coutures
    • le Cros
    • Donzac
    • les Faures
    • la Figure d'Henri IV
    • les Garfouillades
    • la Groïe
    • Grosse Pierre
    • Lagarde
    • Lautre
    • Maconty
    • Marat
    • le Moulin à Vent
    • le Moulin d'Aucors
    • le Moulin de Puyloubard
    • la Papetterie
    • la Petite Garde
    • Plambeau
    • la Platrerie
    • Pont du Râteau
    • Pouffon
    • Poutignac
    • Pronchères
    • le Puy
    • Puyloubard
    • le Repaire
    • la Tanne
    • Terres de Labrousse
    • les Trois Chemins
    • Tuilière de Lagarde
    • les Tuillères.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Boyzac au XIIIe siècle[17] dans un pouillé, puis Boysset (à lire Boyssec) en 1382[18].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Beaussat[19]. On trouve également Baussac en 1793 et à nouveau Beaussat en 1801[20].

    Dans une transcription du XVIIIe siècle d'un acte de 1406, on trouve la mention in territorio de Daussa parochia de Bossaco Petricorensis diocesis, et plus loin in dicta parochia de Beaussaco[réf. nécessaire].

    La forme occitane du nom de la commune est Baussat[21]. L'étymologie est incertaine. Elle pourrait prendre son origine de « Boissat » qui vient du latin buxusatum (lieu où pousse le buis)[21], mais aussi provenir d'un personnage gallo-roman Buccius auquel aurait été ajouté le suffixe -acum[17], signifiant alors le « domaine de Buccius », ou encore dériver du latin boscus suivi du suffixe -iacum, désignant un terrain boisé[17].

    Histoire

    Le territoire de Beaussac a été occupé au Néolithique comme le montre le gisement du lieu-dit les Bretanges[17]

    Beaussac était un fief de la famille de Maillard[22].

    Au , Beaussac fusionne avec huit autres communes pour former la commune nouvelle de Mareuil en Périgord dont la création a été entérinée par l'arrêté du 26 septembre 2016, entraînant la transformation des neuf anciennes communes en « communes déléguées »[23].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Beaussac est rattachée au canton de Larochebeaucourt qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Mareuil dépendant de l'arrondissement de Nontron[20].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[24]. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme, renommé canton de Brantôme en Périgord en 2020.

    Intercommunalité

    Fin 1995, Beaussac intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Mareuil-en-Périgord. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Dronne et Belle.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2011, onze conseillers municipaux ont été élus en 2014[25],[26]. Seuls cinq d'entre eux siégeront au conseil municipal de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord, jusqu'au renouvellement des conseils municipaux français de 2020[23].

    Liste des maires puis des maires délégués

    La mairie déléguée en 2019.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1971 mars 2008 Jean-Marc Bréjassou    
    mars 2008[27] décembre 2016 Éric Charron DVG[28] Agriculteur
    Liste des maires délégués successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    janvier 2017 mai 2020  ?    
    mai 2020 En cours Stéphanie Marcenat[29]    

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Beaussac se nomment les Beaussacois[30].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32],[Note 2].

    En 2015, la commune comptait 170 habitants, en diminution de −8,11 % par rapport à 2010 (Dordogne : 1,03 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

               Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    482489476531573564565608654
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    601559586505543538506514467
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    430401365332331314310323285
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    281254224203212187197185176
    2015 - - - - - - - -
    170--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale (saint Étienne) chaque année autour du 2 août, 37e édition en 2015[34].

    Économie

    Les données économiques de Beaussac sont incluses dans celles de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Patrimoine religieux

    Personnalités liées à la commune

    • Alain de Monéys qui fut tué par des villageois dans ce qui est désigné comme l'affaire de Hautefaye (évoquée dans plusieurs romans) fut membre du conseil municipal et premier adjoint du maire de Beaussac.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Deux données contradictoires selon le Géoportail : 225 mètres sur la carte de l'Institut géographique national et 224 sur son ancien site.
    2. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Références

    1. « la Garde 225 » sur Géoportail (consulté le 27 octobre 2019)..
    2. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
    3. Parc Naturel Régional Périgord - Limousin, DREAL Aquitaine, consultée le 26 octobre 2019.
    4. Décret 98-150 du 9 mars 1998 sur Légifrance, consulté le 26 octobre 2019.
    5. Décret 2011-998 du 24 août 2011 sur Légifrance, consulté le 26 octobre 2019.
    6. [PDF] Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 26 octobre 2019.
    7. Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008181, INPN, consulté le 26 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
    8. [PDF] Bois de Beaussac, INPN, consulté le 26 octobre 2019.
    9. Carte de localisation de la ZNIEFF 720012864, INPN, consulté le 26 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
    10. [PDF] Coteaux calcaires des bords de la Nizonne et de la Belle, INPN, consulté le octobre 2019.
    11. Carte de localisation de la ZNIEFF 720020065, INPN, consulté le octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
    12. [PDF] 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    13. Carte de la ZNIEFF 720020064, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    14. [PDF] FR7200663 Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 26 octobre 2019.
    15. Carte de localisation de la zone Natura 2000 FR7200663, INPN, consulté le 26 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
    16. « Beaussac » sur Géoportail (consulté le 27 octobre 2019)..
    17. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 47-48.
    18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, p. 459, (ISBN 2600028838).
    19. « Beaussat » sur Géoportail (consulté le 27 octobre 2019)..
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Le nom occitan des communes du Périgord - Baussat sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 20 septembre 2021.
    22. Comte de Saint-Saud, Essais généalogiques périgourdins, Librairie Georges Saffroy, 1934
    23. « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord », sur Préfecture de la Dordogne (recueil des actes administratifs), (consulté le ), p. 124-128
    24. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    25. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 3 décembre 2016.
    26. Résultats des élections municipales et communautaires 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 3 décembre 2016.
    27. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 13 août 2014.
    28. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 13.
    29. Beaussac, Communauté de communes Dronne et Belle, consulté le 21 août 2020.
    30. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 4 décembre 2016.
    31. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 .
    34. Patricia Negrier, « La 37e fête patronale c'est ce week-end », Sud Ouest édition Périgueux, 31 juillet 2015, p. 20b.
    35. « Château d'Aucors », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 27 octobre 2019.
    36. « Château de Poutignac », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 27 octobre 2019.
    37. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 52-53.
    38. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 125.
    39. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 186.
    40. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 226.
    41. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 92.
    42. « Église Saint-Étienne », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 27 octobre 2019.
    43. « banc d'église (banc seigneurial) », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 27 octobre 2019.
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