Beauregard-Baret

Beauregard-Baret est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Beauregard.

Beauregard-Baret

Vue du village de Beauregard.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Christian Cottini
2020-2026
Code postal 26300
Code commune 26039
Démographie
Gentilé Beauregerois, Beauregardois
Population
municipale
863 hab. (2018 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 01′ 00″ nord, 5° 09′ 07″ est
Altitude Min. 141 m
Max. 1 292 m
Superficie 23,44 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Romans-sur-Isère
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vercors-Monts du Matin
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Beauregard-Baret
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Beauregard-Baret
Géolocalisation sur la carte : France
Beauregard-Baret
Géolocalisation sur la carte : France
Beauregard-Baret
Liens
Site web Mairie-Beauregard-Baret.com

    Ses habitants sont dénommés les Beauregerois ou les Beauregardois[réf. nécessaire].

    Géographie

    Localisation

    La commune est traversée par le 45e parallèle nord. Elle est donc située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

    Beauregard-Baret est situé à 30 km de Valence, à 10 km de Bourg-de-Péage.

    Une autre commune la plus proche est Hostun à 4 ou km.

    Urbanisme

    Typologie

    Beauregard-Baret est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,4 %), terres arables (15,9 %), prairies (14,3 %), zones agricoles hétérogènes (8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,4 %), zones urbanisées (1,4 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Morphologie urbaine

    La mairie est située dans le village de Meymans.

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[8] :

    • XIe siècle : De Bello Reguardo / Belregard / Bel Regart (cartulaire de Romans, 78 ; 211 ; 478).
    • 1088 : Mandamentum de Belregat (cartulaire de Romans, 193).
    • 1155 : Mandamentum de Belregart (cartulaire de Romans, 346).
    • 1207 : Belreguart (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 32).
    • 1210 : Bellum Reguardum (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 38).
    • 1277 : Castrum de Bello Respectu (inventaire des dauphins, 8).
    • 1295 : mention de l'église de la paroisse de Beauregard : Ecclesia Sancti Nicholay de Bello Respectu (cartulaire de Léoncel, 273)
    • 1450 : Dominus de Belliregardi (archives de la Drôme, E 2140).
    • XVe siècle : mention de l'église de la paroisse de Beauregard : Cura Sancti Nicollay Belli Respectus (pouillé).
    • 1891 : Beauregard, commune du canton de Bourg-de-Péage.

    1920 : Beauregard-Baret[réf. nécessaire].

    Étymologie

    Beauregard : forteresse ou village « beau à voir » ou disposant d'une « belle vue »[réf. nécessaire].

    La deuxième partie de son nom viendrait d'un coteau boisé au nord-ouest du village, du gaulois barro « barre montagneuse, sommet linéaire »[réf. nécessaire].

    Histoire

    Préhistoire

    • 8000 avant notre ère : témoignages préhistoriques à la Pierre Rousse[réf. nécessaire].
    • 2000 avant notre ère : un four à bronze à la Bressonnière[réf. nécessaire].

    Antiquité : les Gallo-romains

    La commune est sur le tracé de l'aqueduc qui va de Valcroissant à Die[9].

    Du Moyen Âge à la Révolution

    Le château est cité en 1235[réf. nécessaire].

    La seigneurie[8] :

    • Terre du fief des dauphins.
    • XIIIe siècle : divisée en trois parts : les Ternieu, les Guélix, les Hostun.
    • XVe siècle : acquise par les Forez-Copre.
    • Fin XVIe siècle : passe (par mariage) aux Du Puy.
    • Vers 1736 : passe (par héritage) aux Leriget de la Faye, derniers seigneurs.

    1689 (démographie) : 280 familles[8].

    XVIIIe siècle : une tradition populaire associe au village la figure de Mandrin (1725-1755). La légende raconte que sa bande se serait arrêtée à la forge de Beauregard pour y faire ferrer ses chevaux à l'envers, et échapper ainsi aux hussards du roi[réf. nécessaire].

    1789 (démographie) : 274 chefs de famille[8].

    Avant 1790, Beauregard était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence et du bailliage de Saint-Marcellin, formant, avec celle de Crispalot, trois paroisses du diocèse de Valence : Beauregard, Jaillans et Meymans. La paroisse de Beauregard, en particulier, avait son église sous le vocable de Saint-Nicolas. Ses dîmes appartenaient au curé, et la cure était de la collation de l'évêque diocésain[8].

    De la Révolution à nos jours

    Comprise en 1790 dans le canton d'Hostun, cette commune fut attribuée à celui du Bourg-de-Péage dans la réorganisation de l'an VIII, et la commune de Crispalot lui a été unie dès 1820[8].

    • La commune de Beauregard est créée en 1792 par le regroupement de 3 paroisses : Beauregard, Jaillans, Meymans[réf. nécessaire].
    • En 1807, la commune de Crispalot (34 habitants) a disparu et une partie de son territoire (Les Matras, Pêcherot entre autres) a été intégrée à la commune de Beauregard. L'église, se trouvant sur la rive droite du ruisseau de la Béaure, en faisait partie. En revanche, la commanderie des moines s'est retrouvée sur Chatuzange-le-Goubet ; elle est rapidement tombée en ruine, les habitants du secteur prenant les pierres pour construire leurs maisons[réf. nécessaire].

    En 1950, le village de Jaillans devient une commune distincte[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15.

    À la suite de l'élection municipale de 2014, le conseil municipal est composé de 4 adjoints et de 10 conseillers municipaux[10].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 juin 2005 André Reynaud[11]    
    septembre 2005 mars 2008 Jean-Claude Revol    
    mars 2008 juin 2020 Lionel Fournat[10] RS Chef d'entreprise
    juin 2020 En cours Christian Cottini SE Retraité

    Intercommunalité

    Finances locales

    Finances locales de Beauregard-Baret de 2000 à 2018[12].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[14].

    En 2018, la commune comptait 863 habitants[Note 4], en augmentation de 9,38 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,05 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4001 3761 5701 6151 6511 6361 6221 6791 665
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6761 7151 6301 5731 5681 3921 3421 2841 231
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2501 1701 109944886882816861415
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    441364321429504543721745804
    2017 2018 - - - - - - -
    854863-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution de la pyramide des âges de la commune de Beauregard-Baret, comparaison entre l'année 1990 et 2006[17]
    Pyramide des âges en 1990 en nombre d'individus
    HommesClasse d’âgeFemmes
    17 
    75 à plus
    11 
    22 
    60 à 74
    30 
    43 
    45 à 59
    35 
    69 
    30 à 44
    62 
    52 
    15 à 29
    51 
    56 
    0 à 14
    56 
    Pyramide des âges en 2006 en nombre d'individus
    HommesClasse d’âgeFemmes
    11 
    75 à plus
    24 
    52 
    60 à 74
    42 
    83 
    45 à 59
    77 
    77 
    30 à 44
    89 
    53 
    15 à 29
    44 
    92 
    0 à 14
    76 

    Enseignement

    Beauregard-Baret relève de l'académie de Grenoble. Cette dernière est supervisée par l'inspection départementale de l'Éducation nationale.

    L'enseignement primaire est assuré dans deux sites différents : l'école du village de Beauregard accueille les élèves jusqu'en CE1 et celle du village de Meymans les CE2-CM1-CM2.

    • En 2008-2009, la première accueillait 18 enfants et la seconde 35.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête communale : dimanche qui précède le 24 juin / À Meymans : fête communale (Septuagésime), fête patronale (Sainte-Anne)[9].
    • La fête des Laboureurs est organisée lors du week-end de Rameaux. Un couple de la commune est désigné chaque année pour la présider. Les festivités comprennent une messe le dimanche matin suivie d'un apéritif aux bugnes et au foujou (gourmandises locales) et d'un banquet dans la salle communale de Meymans. Le tout s'achève lors de la soupe à l'oignon du lundi soir[réf. nécessaire].
    • La soupe au lard de la Saint-Jean a lieu chaque année mi-juin[réf. nécessaire].
    • L'Amicale laïque organise divers événements annuels : loto (fin janvier), tombola, etc.[réf. nécessaire].

    Loisirs

    • Le Club de l'Âge d'or anime la vie des anciens des deux villages[réf. nécessaire].

    Sports

    • Le Tennis Club de Beauregard-Baret gère le court de tennis du village de Beauregard. Depuis 1988, il organise un tournoi inter-membres, des cours d'apprentissage hebdomadaires et des stages découverte.
    • Terrain multi-sport au village de Meymans.

    Économie

    En 1992 : pâturages (bovins, caprins), céréales, carrière[9].

    En raison du faible nombre d'emplois proposés dans la commune, la grande majorité des actifs travaille en dehors, notamment dans les villes de Romans-sur-Isère et de Bourg-de-Péage. En sens inverse, des habitants de ces agglomérations sont de plus en plus nombreux à choisir de s'installer dans cette commune et ses voisines et à accomplir des mouvements pendulaires quotidiens vers leurs lieux de travail[réf. nécessaire].

    Agriculture

    L'agriculture continue d'occuper plusieurs dizaines d'actifs des deux villages. L'élevage de bovins et de caprins se pratique sur les estives du piémont du Vercors, à l'extrémité orientale de la commune. La majeure partie du finage est vouée à la culture céréalière, dans le prolongement de la plaine valentinoise (blé, maïs, orge, sorgho, colza, etc.)[réf. nécessaire].

    Industrie

    Le village a bénéficié jusqu'aux années 1960 de l'extraction de silice et de kaolin dans les montagnes de Musan. Si celle-ci se poursuit dans les communes voisines d'Hostun et de Rochefort-Samson, le site de Beauregard est devenu une friche industrielle. Depuis quelques années, les projets se multiplient autour de l'ancien espace de stockage et de la carrière à ciel ouvert qui occupent de vastes espaces à proximité directe du village, sans qu'aucun ne se soit concrétisé[réf. nécessaire].

    Entreprises

    Le Bulletin[18] édité en janvier 2009 par la municipalité recensait 10 PME, presque toutes des entreprises individuelles. Le secteur du bâtiment et de l'habitat prédomine (maçonnerie, charpenterie, chauffage, aménagements intérieurs). La commune héberge également un taxidermiste, un artisan taxi et un service d'infirmières à domicile.

    Commerce

    L'unique commerce de la commune est une pizzeria-grill sise à l'entrée du village de Meymans. Le dernier des trois cafés existant dans les années 1950 a fermé il y a quelques années[Quand ?]. Les Beauregardois sont donc contraints de s'approvisionner dans les villages environnants et dans l'agglomération de Romans-Bourg-de-Péage, distante d'une dizaine de kilomètres[réf. nécessaire].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Vestiges du château de Beauregard (cité en 1235), en bois sur fondations en pierre, qui a brûlé en 1890[réf. nécessaire].
    • Château de la Jonchère : façade Renaissance[9].
    • Église Sainte-Anne de Meymans : très belle église romane fortifiée au XIVe siècle et surmontée d'un chemin de ronde qui fait le tour du toit de la nef[réf. nécessaire].
    • Eglise du XIXe siècle[9].
    • Cimetière ancien découvert à Meymans en 1960[réf. nécessaire].
    • Un drapeau de l'Ancien Régime en soie peinte, classé Monument historique, est conservé à la mairie. Retrouvé lors de la préparation des fêtes du Bicentenaire de la Révolution française, il porte à la fois les symboles royaux traditionnels (fleurs de lys et dauphins) et une devise révolutionnaire : « Pour la Nation, la Loi et le Roi »[réf. nécessaire].

    Patrimoine culturel

    • Mey-Beau'S arts en Baret protège et fait connaître le patrimoine local[réf. nécessaire].

    Patrimoine naturel

    • Contreforts de la montagne de Musan[9].
    • De très belles balades à faire après avoir passé la combe (passage étroit dans la montagne qui donne accès à une magnifique petite vallée), dans les contreforts de la montagne de Musan. Visible depuis la vallée du Rhône, le pré de Cinq Sous (somme payée pour y estiver un bovin) est un but habituel de promenade[réf. nécessaire].
    • Flore remarquable : lys martagon, jonquilles, gentiane blanche, grande astrance, aconit vénéneux, nivéole de printemps ainsi que de nombreuses variétés d'orchidées dont l'ophrys drômois ou Miroir de Vénus unique en France[réf. nécessaire].

    Personnalités liées à la commune

    • Philippe Jaccottet (né en 1925), poète suisse qui a composé en 1981 le texte Beauregard sous l'inspiration du panorama plein d'harmonie et de mystère de la combe du village[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Le blason de Beauregard-Baret se blasonne ainsi:
    D'or au chef émanché d'azur de trois pièces.

    Annexes

    Bibliographie

    • 1998 : Pierre Palengat, La Drôme insolite : Le guide de la Drôme historique, monumentale, anecdotique, légendaire, statistique, culturelle et pittoresque, Valence, E & R, , 621 p., « Beauregard-Baret », p. 57-58.
    • 2009 : Commune de Beauregard-Baret, Infos Villages : Bulletin d'information sur la commune, .

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 30.
    9. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Beauregard-Baret.
    10. Beauregard-Baret sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 8 mars 2015).
    11. Démissionne en juin 2005 pour cause de désaccord avec des membres du conseil municipal.
    12. http://marielaure.monde.free.fr/Finances_Locales_Web/Departement_026/Beauregard-Baret/Beauregard-Baret.html.
    13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    17. Recensement de l'INSEE en 2006 ; Recensement de l'INSEE en 1990
    18. Commune de Beauregard-Baret, Infos Villages : Bulletin d'information sur la commune, Valence, E & R, .
    19. « Fiche "Beauregard-Baret" du Quid »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
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